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spernen
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Je me suis étendue sur le dos dans le lit, au cours d'une de mes nombreuses nuits solitaire, et je glisse mes doigts entre mes jambes avec délicatesse. Je soulève mes hanches, tirant sur mes genoux ma culotte de petite fille, imprimée de chattons, puis par dessus et jusqu'à mes chevilles. Les murs dans ma maison sont minces comme du papier, mais je ne gémis jamais plus fort que mon oreiller de plumes puisse étouffer. Fermant les yeux, je repense au retour à la maison. Il y a juste quelques heures, j'étais assise sur le siège passager de notre camionnette familiale Oldsmobile, me tortillant légèrement alors que les doigts de mon père grimpaient le long de ma jambe. A ce moment là, je ne prêtais pas beaucoup d'attention à ses mains, alors mêle qu'elles se glissaient méticuleusement près de mes sous-vêtements.

Je me rappelle qu'une fois où nous sommes allé beaucoup plus loin.

Quand il est venu à mon école pour une réunion avec mes professeurs, et après celle-ci il m'a adressé un sourire perfide et m'a tiré à l'intérieur d'une salle de classe vide. Je ne m'attendais pas à ce qu'il m'embrasse, mais mon corps a débordé d'excitation quand il l'a fait. C'était moins un baiser et plus un ordre de ne pas résister à ce qui allait suivre. Ma surprise, ma joie, ma crainte, mon espoir, l'émotion m'envahirent. Je ne pouvais faire autre chose que de sourire quand il a soulevé ma jupe plissée et m'a demandé de la tenir levée. J'ai tenu le tissu en désespoir de cause, mon corps tremblant pendant que je regardais la porte.

J'étais tellement certaine que nous serions surpris. Le temps que nous passions l'un avec l'autre semblait s'éterniser. J'ai senti le doux coton glisser le long de mes jambes, attirant l'attention sur leur blancheur pendant qu'il soulevait mes chevilles pour la retirer. Je ne pouvais le regarder. J'ai regardé le plafond, comptant les fissures de la peinture, et me demandant pourquoi. Pourquoi ce jour? Je ne sais toujours pas. Je n'ai jamais pu imaginer, même pendant un instant, qu'il n'avait toujours désiré, et je n'ai très certainement pas pensé qu'il m'eu excitée si violemment.

Sa langue était une humide surprise, excitant mes soyeuses lèvres ouvertes et provoquant une ligne de feu entre mes cuisses écartées. J'ai tenu ma jupe relevée, mes doigts s'agitant sur les plis vert clair, pendant qu'il continuait encore et encore, tordant et tournant sa langue en moi. Mes jambes détendues ouvertes et autour de sa tête, et je me tortillais contre lui. Je sentais mes propres spasmes ; bougeant en un frémissant cercle ferme et rapide, un rougissement a envahi mes joues et mes genoux ont failli fléchir. Je suis restée ainsi pendant un long moment. Je tirais ma jupe tellement haut, que c'est un miracle que l'agrafe n'a pas lâché. Je la mordais délicatement, le tissu étouffant mes gémissements pendant que sa langue ralentissait ses mouvements. Son baiser retentissait humidement juste au-dessous de mon nombril, et ses mains chaudes esquissaient des demi-cercles lascif le long de la courbe de mon dos.

Je me tortillais pendant qu'il recouvrait d'une fraîche humidité ma peau chaude, produisant presque un plaisant trouble quand j'ai senti chaque extrémité sur mon corps. Son autre main caressait derrière mes cheveux noirs, m'achevant dans mon trouble. Ca me faisait seulement rougir plus fort. Il a souri, et m'a dit que j'étais la plus jolie chose qu'il avait jamais vue et qu'entre mes jambes c'était le paradis.

La bouche ouverte. Je léchais mes lèvres roses tremblantes et j'ai perdu ma voix avant de pouvoir lui dire quel plaisir il m'a donné. Je pense qu'il a vu que je ne pouvais pas parler, parce qu'il m'a réduite au silence par un baiser. Interrompant le baiser seulement pour me complimenter encore ... me disant combien j'étais attirante, combien c'était agréable d'être si bien rasée, et combien il voulait me faire jouir encore te encore. Pendant qu'il me disait cela, il a plongé un doigt dans ma fente, le plongeant plus profondément que sa langue. La tension faisant venir la chaire de poule sur ma peau.

Je voulais lui dire que je le voulais aussi honteusement que ce qu'il m'avait fait. Je voulais lui dire de se déboutonner, et de se dégrafer, de sortir sa trique et de la glisser profondément en moi. J'étais prête. Je voulais du plaisir. Je pouvais parler. Ma langue était sèche, et j'étais blottie contre son épaule, sentant le travail de ses doigts en moi. Poussant toujours plus profond, jusqu'à ce que je ressente le frisson intime et jouisse contre sa main. Il embrassa ma joue, me dit que j'étais une gentille fille, et me dit je pouvais finalement lâcher ma jupe. Cette nuit là dans mon lit, j'ai failli me masturber jusqu'à à la mort en pensant à lui.

Je me demandais quand il me toucherait à nouveau. Mais il frisait l'indifférence. Il ne me gratifiait de rien d'autre que de regards, m'ignorant il me semble, me conduisant au désespoir. Le bord de ma jupe remontait, et les boutons dans mon chemisier avaient mystérieusement disparus. Je sortais presque hors de mes vêtements quand j'étais avec lui, mais ça ne semblait pas le préoccuper que je m'habille comme une pute. Me penchant a chaque fois que c'était possible, le bord de ma jupe se soulevait plus haut, exposant mes deux fesses douces à son regard. Je me trémoussais lentement pour l'entendre soupirer pendant qu'il observait. Ma culotte se pinçait entre mes lèvres. Mes sous-vêtements par moments semblaient toujours être vieux, défraîchi proche de la transparence, et innocemment blanc tandis qu'ils séparaient mes lèvres roses de bébé. Alors je lui souriais toujours. Frôlé par lui quand il se tenait calmement avec un rougissement cramoisi, ses yeux bleus m'observaient en train de tirer l'arrière de ma jupe vers le bas à une longueur raisonnable quand je quittais la pièce. Sûrement, je ne pensais pas être une pute, mais je voulais en être une pour lui.

Les soirs c'était pire... au moins pour lui. Je l'excitais avec mon corps, vêtue de brassière moulante et de dessous de coton léger qui s'arrêtaient à mes hanches. La première fois que je l'ai fait, ses yeux se sont exorbités et j'ai vu tout son corps se crisper. Je pensais qu'il me prendrait tout de suite là, mais il a seulement frissonné lui-même et il a continué à regarder. Sa respiration s'est approfondie quand je me suis assise près de lui, enjambant ses genoux de mes jambes minces. Je jouais avec sa main ce soir. Riant nerveusement pendant la petite discussion, et observant la multitude d'aspect du choc sur son visage pendant que je frottais le bout de ses doigts sur mon ventre. Mon index et le sien se sont retrouvés le long du contour du trou de mon nombril. Nous avons regardé les actualités, et un long film du soir. Je me suis lentement penché entre ses genoux, le sentant bander sous moi. Mon souffle est devenu chaud, et je souhaitais ....

Son pouce frottait doucement contre ma peau, descendant vers la ligne froncée de ma culotte. Il caressait le mince tissu blanc coquille d'oeuf, pendant qu'il l'enroulait entre des jambes. Mes légers tortillements l'y groupaient en des morceaux plus épais contre ma fente maintenant excitée. Sa main s'élargit, et je sentais le froid de son alliance, un doigt s'est séparé, je sentais les plis dentelés d'une chevalière. Je fermais les yeux, je priais le choix du destin tourne en ma faveur. La vue de sa main descendant plus profondément, tirant de coté le bouclier de tissu agressé, et courant rapidement à travers les courts poils noirs duveteux qui s'étalaient comme un écrin autour de ma ravissante fente de rose.

"Je pense qu'il est l'heure d'aller te coucher". Je me rappelle clairement les mots. Sa voix était douce, mais elle a interrompu ma rêverie.

"OK." Ai-je répondu. Il y avait toujours demain, et le jour suivant. J'avais des astuces en abondance.

Alors aujourd'hui, des semaines après notre première fois, il m'a touché encore sans ma demande ou ma provocation. Pas aussi agressivement qu'avant, mais le simple passage de sa main contre ma cuisse m'a fait mouiller. Je le voulais tellement avec obscénité, mais il ne voulait pas aller plus loin. Ce soir, je compensais cela. Je mordais l'oreiller, gémissant entre mes dents serrées. Le lit grinçait pendant que mon corps s'arquait et s'agitait. Deux de mes doigts étaient plongés dans ma fente, s'accrochant juste à l'intérieur et s'activant rapidement de dedans en dehors. Pendant qu'ils faisaient un bruit de succion, je pensais à la façon dont mes petits doigts devaient être si deux des miens ne pouvaient m'écarter autant qu'un seul des lui. J'activais un troisième doigt vers le bas dans mon ouverture. Mon corps se tordait quand mon ongle frôlait tendre mon clitoris. Mes jambes se sont refermées étroitement, emprisonnant ma main entre mes cuisses. Me besognant lentement, j'ai activé mon troisième doigt contre mon clitoris, frottant le paquet de nerfs enchevêtré jusqu'à ce que mes jambes se séparent avec des frissons. L'oreiller est tombé sur le plancher, jeté de côté par ma convulsion. Arrivant à l'orgasme, je n'avais rien pour étouffer mon gémissement. Rien pour m'empêcher de l'appeler.
" Papa... papa... papa... papa!" ; Je gémissais, ne sachant pas bien si je criais fort ou si je chuchotais doucement. Mon attention se concentrait sur la chaleur et la tension qui se développaient en moi. Mes doigts se contractaient à un rythme régulier entre mes lèvres gonflées, me faisant ressentir comme une langue de feu glissant en moi. Mes yeux s'agitaient et j'imaginais que la porte s'ouvrait derrière moi. Il entendait mon appel pour lui, et s'approchait de mon lit, me berçait dans ses bras puissants et me tenait pendant que mon orgasme continuait.

Je suis là.

Faisant jaillir une liqueur collante sur mes jambes, je le réclamais encore. Ma paume tambourinait vivement contre mon ventre, ma main écartant du tranchant mes petites lèvres. Je gardais les jambes écartées, l'imaginant en train de s'enfoncer en moi ; relevant violemment mon corps qui se tordait, voulant me faire jouir sur lui et me remplir de sa jouissance qu'il poussait plus profond.

J'ai rebondi contre le lit, "oh papa ..." ai-je gémis, ne m'inquiétant pas trop si j'étais entendu. Ma liqueur se répandait en une tache humide sur mes draps roses corail, le sérieux chaos l'ayant marqué du galbe de mes fesses, s'infiltrant lentement de ma fente mouillée.

Finalement, le tremblement a diminué et je pouvais voir nettement. La porte derrière moi était ouverte, et une chaude lumière éclairait ma peau laiteuse. La légère coupe de cheveux de noir luisait avec des gouttes d'argentées. Une ombre s'est détachée du mur, formant la silhouette d'un homme. J'ai mordillé ma lèvre inférieure, qui avait vaguement le goût d'une prune brillante.

"Gentille fille". Dit-il simplement, ses yeux ne voyant pas mais dévorant tout de même mon corps. "Gentille fille, tu réclames papa". J'ai souri.

"Papa...." Murmurais-je, ma bouche entrouverte laissant échapper un gémissement.
Mes jambes toujours tremblantes, caressant mes cuisses humides collantes le long de l'une et de l'autre.

"Shuuut bébé" murmura-t-il, tapotant un doigt sur mes lèvres ouvertes, "tu vas réveiller toute la maison".

"Je suis désolée... ". Je rougissais, brusquement timide alors que j'étais nue sur mon lit.

Il a secoué la tête, me fixant dans mes grands yeux bleus et ignorant le reste. Je tremblais devant son regard fixe mais je levais les mains et prenais mes seins dans le creux de mes mains. Mes doigts nerveux se tordaient sur mon mamelon rose gonflé. Mes yeux fixant vers son entrejambe. J'espérais qu'il l'aime ça. Je rougissais plus fort, me demandant ce que je ferais de moi si peut-être il ne faisait rien.

Ses yeux se sont baissés. J'imaginais son souffle entrer en moi. Son coeur battant plus rapidement pendant qu'il fixait du regard mon allure mince, mes courbes fines seulement brisées par l'ensemble de mes seins potelés. Commençant à trembler sur mes genoux, je bégayais "p-p-papa... e-est.... q-que..." ; Je n'ai pas pu finir. Mes mots se sont transformés en des gémissements confus dans ma bouche.

"C'est d'accord mon cœur, Shuuut...." me réduisant encore au silence, cette fois éloignant son regard de mes yeux et observant entre mes jambes à la place. Mes lèvres étaient gonflées et roses, excitées, écartées et se plaquant à chacune de mes cuisses.

"Tu es un peu mouillée" ; minimisa-t-il, glissant un simple doigt entre mes plis. Je gémissais encore, perdant presque mon équilibre. Ses mains me calmaient, me tenant par l'épaule tout d'abord mais remontant lentement jusqu'à tenir mes joues dans le creux de ses mains.

"Je ne p-peut pas l'aider... j-je dois...." ; J'haletais, gargouillant pendant que j'essais vainement et contrecarrais les perceptions à l'intérieur de moi.

"Essaie et aide-le chérie", dit-il. Son souffle est un peu loqueteux également.

J'inclinais la tête, essayant de mon mieux de me contrôler mais sachant que j'allais probablement échouer. Mes lèvres, trop sensibles déjà, semblaient brûler pendant que son doigt tardait entre elles. La sensation fourmillement alternait avec une humidité froide, et je savais sans regarder que ma liqueur commençait à déborder de nouveau. J'ai saisis sa chemise, écartant mes jambes, mon corps douloureux par quelque chose à l'intérieur.

"Shuuuttt....." chuchota-t-il, caressant ma joue chaude de son pouce. Je gardais ma bouche étroitement close, courbant ma lèvre inférieure vers l'intérieure et mordillant en guise de distraction. Ma tête tourbillonnait de idées de ce que je pouvais lui faire ou de ce qu'il pouvait me faire. J'ai plaqué ma joue contre sa main, poussant en avant et étouffant mon prochain gémissement dans son entrejambes. Se tenant au-dessus de moi, il haletait et serrait ses doigts autour de ma tête. Ma langue frémissait contre son boxer de coton, le tissu mince n'était pas accordé à ma passion. Je le sentais gonfler sous ma langue, sa trique s'élargissant alors que je oscillais ma tête de haut en bas, recherchant le bout.

"Oh chérie tu le veux vraiment?" gémi-t-il.

Je le repoussais, et regardais fixement vers le haut avec incrédulité. Est-ce que je le voulais vraiment? Devais-je?

"Oui." Chuchotais-je doucement. Mes mains passaient sur sa taille, et écartaient légèrement l'élastique maintenant son boxer. Pendant que je m'activais, son doigt s'enfonçait lentement en moi. Le bout plongeant en entrant et s'agitant en sortant avec rythme, mais atteignant une nouvelle profondeur chaque fois. J'haletais, claquant ma main sur ma bouche et tortillant mes hanches sous sa main.

Alors que je recouvrais mes esprits, je le voyais me grimacer pernicieusement. Je souris en retour. Je savais aussi comment le faire se trémousser. Mes mains tiraient son boxer vers le bas, révélant pouce après pouce sa rigidité palpitante. Ma main entourait son sexe, sentant soudainement un peu comment à peine étroit il était près de la base. Il caressait mes cheveux, ayant l'air d'attendre quelque chose moi. Je ne voulais pas décevoir. Mes cheveux s'emmêlaient entre ses doigts, alors que je me précipitais en avant, l'enfournant profondément dans ma bouche. Il enflait entre mes lèvres, écartant mes lèvres minces. Je sentais un picotement au coin de ma bouche. Frissonnante, haletante, je me rendais compte pourquoi mes petites amies m'ont mise en garde contre les pratiques sexuelles orales. Celle-là était une histoire vraie et vraies et osée qui n'étais pas un mensonge. Je me contractais et me forçais à m'abaisser. Déterminé à lui faire plaisir, je faisais courir ma langue le long du dessous de sa hampe. Ma petite main caressant quelques secondes pendant que je léchais en même temps.

Il a gémit, alors se rappelant ses propres avertissements et étouffa le bruit. Mes propres bruits se traduisaient par des vibrations descendant la longueur comme le signal dans un fil de téléphone.

Soudain j'ai senti un deuxième doigt plonger en moi. Mes parois l'on serré contre son premier. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'un spasme. Ma tête a rebondi sur son entre jambes, et le bout s'est enfoncé dans le fond de ma gorge. Mon bâillon l'a fait sursauter, et il a reculé ses hanches, retirant sa hampe de ma bouche. Avant même qu'il puisse me demander si j'allais bien, je replongeais à nouveau. Ma bouche frissonnant à mi-chemin, et ma main tirant vers le haut pour couvrir toute la longueur.

Je suçais bruyamment et lui soupirait simplement, "je suis heureux que tu ailles bien... ", sa main caressant mon dos en descendant vers bas. Je me penchais en avant. Mes genoux poussaient sur le bord du lit, et me renversais contre lui. Il ne peut pas me laisser tomber, pensais-je. Il ne me repoussa pas, j'espère.

Un nouveau goût remplit ma bouche. Chaud et doux-amer, ça coule de son extrémité dans des écoulements visqueux.

"Oh bébé" murmura-t-il, "je ne savais pas que tu aimais ça.... aimes-tu la jouissance de papas? Aimeras-tu ma sem-" ; il arrêta son bafouillage quand j'ai lapé le bout. Il était à moi. J'ai gémi triomphalement, agaçant ma langue autour de la fente collante du bout du champignon. Son corps se trémoussa en avant et introduisit sa hampe à nouveau dans ma bouche. J'haletais surprise pendant qu'il prenait ma tête plus fermement dans ses mains. Ses hanches s'élançaient en avant, se précipitant dans la main qui l'enveloppait. Je serrais fort mes lèvres, en l'entendant faire de petits bruits humides pendant qu'il allait et venait.

Ses doigts bougeaient plus rapidement en moi, s'agitant aveuglement vers le haut et vers l'intérieur. Ils se déplaçaient en voûtes dentées, accrochant mes parois intérieures et les écartant. Pour ma part, je serrais mes jambes plus étroitement, emprisonnant sa main entre mes plis de soie.

"Oh bébé.... Je... Je joui" aboya-t-il trop tard, trop tard pour que je fasse quelque chose. Je me reculais juste un peu, juste assez de pour que la première goutte soit saisie par ma langue au lieu du fond de ma gorge.

J'avalais. J'en voulais plus. Je le voulais. J'avais besoin de lui. Je ne pouvais pas... Je devais.... Je faisais.

Le dégageant de ma bouche, je sautais rapidement sur mes pieds et me tenais sur le lit devant lui. Ma main soulageait son sexe. Sa liqueur collante suintait sur mes doigts, et giclait sur ma paume.

J'ai saisi son épaule pour m'appuyer et balancé mes hanches en avant. Une de mes jambes s'est pliée autour de sa cuisse, et j'ai frotté sa trique contre mes lèvres humides.
"Qu'est-ce que tu fais...." s'étrangla-t-il. Mes yeux s'agitaient, et je me tortillais contre lui, à moitié aveuglée et d'approchant rapidement de l'orgasme. Vacillante comme j'étais, c'est un miracle que j'ai pu trouver le bon angle pour me pencher contre lui, alors que je le faisais, le bout gonflé sépara mes lèvres facilement.

Descendant de quelques centimètres, j'ai eu un spasme. Mon corps se déhanchant en avant plus rapidement que je ne prévoyais. Nous avons tous les deux senti quelque chose se casser à l'intérieur de moi. Je sentais à peine la douleur. Le plaisir me submergeait, se répandant depuis mes jambes et envoyant dans tout mon corps un frisson. La tension qui montait en moi était folle et ma tête tournait. Je me demandais d'où tout le sang giclait.... Je me demandais....

Ma chatte se comprima sur son sexe, et la dernière chose que j'ai senti c'est son dernier jet... une rapide secousse de lui et un chaud tourbillon à l'intérieur de moi.

Mes yeux s'agitaient, et les choses ont commencé à perdre leur couleur.
J'ai gémi. Plaquant ma main devant ma bouche....
Je me suis tordue d'un côté à l'autre, mon petit corps empalé sur sa trique. Je le sentais pousser en moi, nos tailles se heurtant l'une contre l'autre et le lit grinçant sous ma tête. C'était trop.....

.... Le lendemain matin. Je me réveille finalement.

Mes jambes sont écartées, et ma culotte est autour de mes chevilles. Je le sais ce n'était pas un rêve. Ca s'est produit. C'était notre début.

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