Mon initiation dans la sororité 03

BÊTA PUBLIQUE

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« Alors, voyons comme Bébé Kimberly est humide. »

« Wouah, bébé Kimberly est vraiment trempée. » J'essayais de dire quelque chose, mais Janet me fourra une tétine dans la bouche pour m'empêcher de parler pendant qu'elle me changeait. Plusieurs membres de la sororité vinrent regarder et aider Janet. J'étais totalement humiliée, mais j'avais très envie de quitter ma couche-culotte pleine de pipi. Janet se montrait condescendante à mesure que le changement de couche progressait.

« Je crois que tu as un petit peu trop bu. »

« Tu aurais dû dire que tu avais besoin d'aller aux toilettes plutôt que de mouiller ta couche. » Je crachais ma tétine et lui lançais qu'elle était une grosse conne! Ce fut une erreur me dis-je immédiatement après, car Janet menaça : « plus tard ce soir, tu vas payer pour cette remarque petite fille! » Janet retira ma culotte, mon dessous en plastique et mes trois couches mouillées. Les filles me poudrèrent le derrière, et m'enrubannèrent dans une nouvelle couche jetable. Je demandais à ce que l'on me remette ma culotte à frou-frou pour cacher ma couche, mais ma demande fut ignorée. Avec un nouveau coup sur laisse on me fit comprendre que je devais quitter la table de changement et on sortit des toilettes.

On entra dans le bar, Chris revint prendre ma laisse. Il regarda ma jupe transparente : « Tu as l'air bien langée. » Il me dit qu'il me réservait une place pour le prochain évènement de la soirée.

Note : La prestation de l'hypnotiste arrivant ensuite, et étant une des participantes j'ai demandé à Chris de décrire la suite.

C'était le jour de la "semaine infernale" où les bizutes vivaient l'épreuve de « l'humiliation en couche », et quelle journée! D'abord je tiens à dire que Kim est la femme de mes rêves et que je ne pouvais être plus heureux. Elle était vraiment à tomber et nous avons été capables de partager nos désirs, nos sentiments et nos fantasmes les plus secrets. Elle est ce qui m'est arrivé de mieux. Et maintenant pour ce qui concerne la fête...

Ayant participé à la fête de l'année précédente, je savais l'hypnotiste vraiment doué pour obtenir des bizutes de faire toutes sortes de choses embarrassantes et bébêtes. Je voulais assister à l'hypnotisation de Kim et je m'étais assuré qu'elle fasse partie des sélectionnées. Bien sûr, il n'y avait aucune garantie qu'un sujet puisse être placé sous hypnose, mais avec trois autres bizutes, Kim en faisait partie. Une des autres filles était sa coéquipière, Amy. Il y avait aussi Judy et Bridget. Amy avait encore sa tenue de « Baby New Year » avec sa couche bien visible. Judy portait un uniforme d'infirmière assez coquine et Bridget était habillée en motarde, avec une courte jupe noire en latex. Il était facile de voir que notre fraternité avait eu son mot à dire quant aux costumes, toutes les filles étaient charmantes.

L'hypnotiste s'appelait Tom, et il s'y connaissait pour créer un spectacle vraiment marrant (aux dépens des filles il faut bien reconnaître.) Les filles étaient hypnotisées hors scène et ne montaient qu'ensuite sur l'estrade pour faire le show. Tom demanda aux filles d'imaginer être de tout petits bébés ne pouvant pas faire de vraies phrases. Il les fit asseoir sur scène et il leur fit croire qu'elles se trouvaient dans un parc pour enfant dont elles ne pouvaient sortir. Tom posa un jouet entre les filles et leur suggéra qu'elles voulaient toutes jouer avec. C'était drôle de les voir se battre pour s'approprier le jouet, d'autant qu'aucune ne pouvait s'en saisir à cause de leurs moufles. Amy se mit même à pleurer quand une des filles lui subtilisa le jouet placé à côté d'elle. On fut pris d'un fou rire énorme.

Tom passa à un autre scénario. Il les fit asseoir sur des tabourets de bar, et à travers l'hypnose il leur demanda de s'imaginer être en avion. Il entra dans des détails, fut très précis sur la façon dont elles avaient la ceinture de sécurité sur elles, car l'avion traversait des turbulences. Il poursuivit en suggérant que les filles avaient beaucoup trop bu et commençaient à avoir la bougeotte sur leur chaise. Tom décrivit leur expérience en détail...

« Les filles, vous avez bu café sur café ce matin et vous avez vraiment besoin d'aller aux toilettes. Vous êtes vraiment mal à l'aise et êtes impatientes que le pilote éteigne le signal de la ceinture de sécurité... Vous avez l'impression d'être sur le point d'exploser... Vous commencez à vous balancer d'avant en arrière sur votre siège... Vous passez les jambes l'une sur l'autre, mais rien ne vous soulage de la pénible pression sur votre vessie. » À mesure que Tom fournissait ses suggestions aux filles, elles répondaient en agissant et reproduisant exactement ce qu'il disait. Nous étions tous silencieux dans le bar en observant les filles se débattre sur leurs « sièges d'avion. » Tom continua... « Les filles, je veux que vous vous souveniez d'un jour où vous vous êtes fait violence pour ne pas mouiller votre culotte. »

« Et maintenant, vous vous débattez de toutes vos forces pour ne pas mouiller vos culottes dans l'avion. »

« Vous tentez de retenir votre pipi en plaçant une main sur votre entrejambe et en la poussant contre votre vessie. » Les filles se retenaient toutes en se balançant sur les grands tabourets. « Imaginez l'embarras si vous mouillez vos culottes devant tous les passagers. » Amy se mit à pleurer un peu.

« Vous réalisez que vous ne pouvez plus vous retenir plus longtemps... Vous connaissez cette sensation les filles? » Elles répondirent « Oui, oui. » Tom poursuivit « Les filles, je veux que vous vous penchiez contre vos sièges d'avion, leviez les pieds de vos sièges et teniez vos genoux. »

« Écartez vos jambes et remuez vos genoux d'avant en arrière dans un dernier effort pour vous garder au sec. »

« L'avion traverse un trou d'air et vous êtes effrayées. »

« Vous savez que l'avion se porte bien, mais cette frayeur soudaine vous donne encore plus envie de faire pipi. »

« Les filles. Je veux que vous m'imploriez pour que je vous autorise à mouiller votre culotte et en finir avec votre inconfort. » Les filles répondirent « S'il vous plaît, s'il vous plaît. » Tom les faisait demander pour se faire pipi dessus.

« S'il vous plaît, est-ce que je peux me faire pipi dessus... S'il vous plaît. » Les filles chantaient. Tom dit alors « Je compte jusqu'à cinq, et à cinq vous vous soulagerez de votre de pipi aussi vite que possible. » Tom compta lentement jusqu'à cinq. Cinq passé, les quatre filles tous ensembles poussèrent un soupir de soulagement. Ce qui arrivait à Amy fut le plus visible puisqu'elle portait juste sa couche-culotte lavable. On la voyait presser sa vessie pour faire pipi le plus vite possible, sous nos yeux, la couche d'Amy passa instantanément de sèche à complètement trempée. Mais je faisais surtout attention à Kim, elle portait aussi une couche jetable, avec ses pieds sur le tabouret on voyait facilement la zone de son entrejambe. Sa couche disposait d'un indicateur d'humidité, quand il se colora en bleu, je sus que sa couche était devenue humide. Judy et Bridget semblaient comme figées sur place. C'est compliqué à décrire, je peux juste dire que voir leur expression de soulagement se peindre sur leur visage pendant qu'immobiles, elles mouillaient leur couche, ça n'avait pas de prix.

Tom voulut aller encore plus loin dans l'expérience. « Vous avez toutes mouillé vos culottes et vous êtes très gênées. Vous avez peur que les gens le sachent, et vous essayez de le cacher avec mains. »

« Vos sièges sont complètement trempés et vous tentez de vous lever, mais les ceintures de sécurité vous retiennent. » Les filles agissaient en fonction de chacune des commandes de Tom. Elles faisaient des grimaces et des mouvements bizarres. Tom finit la démonstration et sortit les filles de leur transe hypnotique. Il leur dit qu'elles ne se souviendraient de rien de ce qu'elles avaient vécu. Le public applaudi un bon moment. J'allais retrouver Kim et la pris dans mes bras. Elle réalisa tout de suite que sa couche-culotte était humide et me demanda comment c'était arrivé. Je lui demandais si elles se souvenaient du vol en avion, elle répondit « non. » C'était vraiment surprenant, j'aurais aimé avoir un enregistrement de son vol pour le partager avec elle.

//Retour au point de vue de Kim//

Bien que je ne me souvienne pas ce qui était arrivé pendant l'hypnose, j'étais quand même très gêné de m'être donnée en spectacle, mais nous priment plutôt bien l'humiliation puisque les sœurs de la sororité nous réconfortèrent en nous disant que ce serait formidable qu'on entre dans la sororité. C'était bon signe.

La fête allait finir, et il était temps d'annoncer le décompte final des points. Je savais que l'on était fichu, n'ayant pas pu gagner de points pendant les épreuves à cause du temps passé la chaise pour enfant. En plus, Heather en retirant sa couche plus tôt dans la journée avait remis le compteur à zéro. J'avais comme seul espoir de m'échapper et d'esquiver le sort qui m'attendait, mais je ne voyais pas comment ; je n'étais jamais laissée seule sans compter que l'on me tenait en laisse. Les scores d'équipes furent annoncés, et on ne fut pas surprise d'apprendre qu'Amy, Heather et moi passerions la nuit dans la crèche en compagnie de trois autres bizutes. Ça ne m'aurait pas tant inquiété si les filles de la sororité n'en faisaient pas un si grand pataquès. C'est vrai quoi, comment dormir dans une crèche pouvait-il être si terrible par rapport à tout ce que nous venions de subir?

Nicole, notre présidente, nous dit combien elle était fière de toutes ses bizutes. Et ça nous consola de savoir que tout ce qui nous était arrivé leur était aussi arrivé durant leur initiation. Comme pour tout ce qui concernait "la semaine infernale", Nicole nous rappela que nous ne devions parler à personne de nos expériences. Elle nous dit que les prochaines années nous aurions l'opportunité de participer comme « non-bébé ». Ça me semblait vraiment bien, ce serait drôle de voir des bizutes traversées ce qu'on avait vécu.

Nicole nous annonça les bonnes nouvelles.

« Toutes les bizutes vont avoir leurs moufles et couches retirées. »

« Je sais que cela va en décevoir beaucoup, car vous êtes nombreuses à vous être accoutumées et appréciées de porter des couches-culottes. » Elle se fit huer par les bizutes.

« Toutefois, pour les chanceuses bizutes qui passeront la nuit en crèche, je les prierais de revenir ici une fois que vos Mamans auront ôté vos moufles et couches. » Au moins, ça me serait retiré...

Janet me mena par la laisse jusqu'aux toilettes pour femmes. Elle retira ma couche jetable pendant que je restais debout.

« Wow, tu es encore toute mouillée! » Déclara Janet très fort en essayant de me mettre encore dans l'embarras. Ensuite elle dénoua les lacets qui retenaient mes mains dans les moufles. C'était bon de pouvoir à nouveau remuer les doigts. Je commençais à toucher au collier pour le retirer comme les autres bizutes l'avaient déjà fait.

« Ce n'est pas permis, » dit Janet.

« Les six bizutes devant retourner à la crèche doivent conserver leur collier et rester en laisse, au moins jusqu'au retour à la sororité. » En effet je remarquais que quelques autres bizutes gardaient leur collier. Je demandais à utiliser les toilettes. « Tu viens juste de mouiller ta couche, tu as encore besoin de faire pipi? » j'expliquais que j'avais bu beaucoup et que j'en avais désespérément besoin. Janet pour toute réponse tira sur ma laisse pour que l'on quitte les toilettes. Elle s'arrêta pour me donner la culotte à frou-frou que je portais plus tôt.

« Mets ça pour te couvrir. » Je l'enfilais, mais me sentait encore très dénudée. Je pouvais voir dans le miroir que ma culotte était très visible sous la jupe en plastique.

« C'est mieux, Chris aime les jolies petites filles. »

Sans moufles, j'étais capable d'offrir plus de résistance, et avant de quitter les toilettes j'essayais de prendre la laisse des mains de Janet. Elle devait s'y attendre, car elle tira la laisse très fort. (Je n'avais jamais porté de collier, évidement, et j'étais étonnée par le dégrée de contrôle que Janet pouvait exercer sur moi grâce à la laisse.) Janet presque en m'étranglant me fit sortir des w.c.. La laisse fut donnée à Chris et il me fit rejoindre les autres cinq bizutes condamnées à devoir passer la nuit en crèche. Nicole donna de brèves instructions.

« Vos Papas et/ou Mamans vont vous reconduire à la sororité. »

« J'ai demandé à chacun d'eux qu'ils vous gardent dans les colliers pour avoir un strict contrôle grâce aux laisses. Par le passé, certaines bizutes ont été tentées de s'échapper. Je ne prendrais aucun risque avec vous, les filles. Nicole finit en disant : « On se retrouve à la sororité où vous serez bordées proprement pour la nuit. » Sur ce, Chris donna un coup sur la laisse et je le suivais hors du bar.

Dehors attendait une longue limousine que Chris avait réservée pour les équipes perdantes de bizutes ainsi que leurs Papas et Mamans. Nous étions tous un peu saouls et c'était une bonne chose d'avoir un moyen de transport. C'était la plus grande limousine que j'ai jamais prise, mais on était quand même serré. On nous ordonna, à moi Heather et Amy de s'asseoir sur le sol en moquette. J'étais assise aux pieds de Chris, les bras enroulés autour de ses jambes. Il me tapotait la tête et me caressait les cheveux, mais ne laissait jamais échapper la laisse. J'avais la sensation de lui appartenir, et bizarrement ce n'était pas un sentiment désagréable. J'aurais juste souhaité qu'on soit seuls.

Alors que la limousine quittait le bar-restaurant, Heather demanda à aller aux toilettes. Elle semblait désespérée.

« Les filles, vous auriez dû y penser avant de partir, » dit Janet. Je dis alors assez rudement qu'on lui avait demandé, mais que nous n'avions pas reçu la permission.

« Dommage les filles, » dit Chris. Je ne sais pas qui en eut l'idée, mais on s'arrêta à un drive-in, et trois grandes boissons furent commandées pour Amy, Heather et moi-même. On leur dit qu'ils étaient cruels, mais cela fit juste rire nos Papas et Mamans, et ils nous demandèrent de boire. On essaya de siroter par petites gorgées, mais ils tinrent alors les coupes contre nos bouches nous fonçant à engloutir toute la boisson. Avoir eu autant à boire nous donnait une envie constante de faire pipi.

La pensée traversa mon esprit qu'avec une couche je n'aurais eu ce problème. (Mais je chassais cette pensée, du moins momentanément...) Je dis à haute voix que j'allais faire pipi par terre. Heather et Amy dirent la même chose. Je pensais que ça attirerait leur attention, et avec succès. Le conducteur de la limousine nous informa qu'il y avait un parc situé près de la place publique du centre-ville. (Je pouvais voir que le conducteur regardait nos moindres faits et gestes par le rétroviseur. Je suis sûre qu'il a dû trouver tout ça très intéressant.) La voiture s'arrêta et nos trois Papas nous tirèrent hors de la voiture par nos laisses.

« À quatre pattes, et avancé juste sur nos pas petites bizutes. » Nous étions toutes menés dans différentes directions, mais devions chacune nous traîner aux côtés de notre dresseur. Chris me dit « Mince Kim, je ne vois pas de toilettes, je crois que tu vas devoir faire pipi dans l'herbe comme une petite chienne. » J'avais toujours eu le pouvoir sur mes ex-petits amis et je pensais qu'il serait facile de me sortir de cette situation avec Chris.

« Tu NE VAS PAS me faire accroupir pour faire pipi comme une chienne, non? » Mais je me trompais. J'avais beau protester Chris dit : « À moins que tu ne veuilles essayer de te retenir toute la nuit, je te conseille de profiter de cette occasion pour faire pipi. »

« Je ne peux pas, » affirmais-je. Chris prit une petite branche et me fouetta le derrière. J'essayais de ramper hors de sa portée, mais il n'avait qu'à tirer sur la laisse pour m'empêcher de m'enfuir. Il me donna un nouveau coup de branche sur les fesses.

"Ouille!"

"Maintenant, pipi!" cria Chris. Je n'avais jamais reçu d'ordre comme ça, et aucun garçon ne m'avait parlé de cette façon. J'aimais la voix puissante de Chris et la façon dont il me tenait sous son contrôle. (Et c'est plutôt dur pour un gars de me contrôler, Chris y arrivait sans problème.) Je dis à Chris que je portais toujours la culotte à frou-frou et lui demandais de me l'enlever. Chris répondit, « Ce n'est pas toi qui décides, tu gardes ta culotte. »

« Tu restes à quatre pattes, tu t'accroupis comme la chienne que tu veux tellement être, tu écartes les genoux et tu fais pipi! »

« Maintenant! » Chris prit la branche et pour renforcer ses demandes fouetta à nouveau mon derrière. Personne n'avait eu une emprise aussi totale sur moi et c'était excitant. C'était aussi humiliant, mais j'aimais que Chris me commande.

Je fis de mon mieux pour me pencher légèrement en arrière et écarter les genoux afin que mes jambes ne soient pas mouillées. Contrairement à la soirée où j'avais trouvé cela très dur de me faire pipi dessus volontairement, j'avais ouvert les vannes si souvent que je trouvais maintenant assez facile de relâcher mon pipi. Agenouillée à quatre pattes, je commençais à faire pipi dans ma culotte. Chris tenait fermement ma laisse et me tapotait la tête comme si j'étais une chienne. Il regardait intentionnellement sous ma jupe en plastique et je devais révéler un sacré spectacle. Au début mon pipi rencontra le nylon dont était faite ma culotte et l'humidité se répandit aussitôt sur tout mon entrejambe. Cela me fit sursauter. Comme je continuais à faire pipi, un jet finit par se former et traversa la matière fine de ma culotte pour atterrir sur l'herbe. L'embarras et le soulagement que je ressentais me conduisirent à deux doigts de l'orgasme. Chris remarqua immédiatement que je prenais mon pied.

« Je vois que mon petit chiot aime faire pipi dehors. » Comme je finissais mon pipi, Chris se baissa devant mon entrejambe et me massa à travers la culotte. Il dit, « Tu viens de mouiller ta culotte, ou t'es juste contente de me voir? » Son sens de l'humour était à mourir. Je lui dis que je l'aimais et que je voudrais m'étendre dans l'herbe pour qu'il me fasse l'amour. Il me taquina et me dit qu'il aimait sa nouvelle petite chienne. Malheureusement il fallait retourner à la limousine et il me fit marcher à quatre pattes les mains dans l'herbe. On retrouva les autres et on monta dans la voiture. Même si je n'avais pas vu Heather et Amy se soulager dans le parc, je pouvais dire qu'elles avaient fait pipi, car nous étions toutes bien contentes. Même si ce ne fut que pour un court moment...

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1 Commentaires
Sium38Sium38il y a plus de 2 ans

Superbe récit !

J'ai rempli ma couche en te lisant avec délectation. Heureusement que j'avais prévu de mettre 4 culotte PVC à pressions !

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