Mon initiation dans la sororité 02

BÊTA PUBLIQUE

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Le manège s'arrêta et le gérant s'approcha pour recevoir les tickets. Comme mon cheval était le plus proche du bord, je les lui donnais. D'autant que je ne voulais pas qu'il voie le pantalon trempé d'Amy. Quand le manège redémarra, Heather et moi devions mettre fin à notre inconfort coûte que coûte. Enfin... Ce n'était pas comme si on avait vraiment le choix. Au point où j'en étais, j'avais l'impression que du pipi allait me sortir des oreilles! Joueuse, Amy nous encouragea : « Au compte de trois, on lâche tout! » Comme nous commencions à compter, je sentis ma vessie prendre le contrôle de mon corps. Je mis mes bras autour du pôle traversant le poney et de mes jambes m'agrippais au petit cheval aussi fort que je pouvais. Je mouillais mon jeans. Je me balançais d'avant en arrière sur ma selle pendant que mon pipi s'échappait librement. Je ne pouvais pas endiguer le flot. Je m'appuyais sur les étriers pour essayer de moins sentir l'humidité de mon jeans, évidemment, ça ne marcha pas. Je me rasseyais pour finir de faire pipi et regardais Heather. Elle semblait avoir perdu la tête, soit de plaisir, soit de honte. Son visage reflétait les deux.

Toutes trois, nous étions dégoulinantes de pisse. Et bien que l'odeur ne soit pas désagréable, la senteur provenant de nos jeans mouillée était très forte. Je vis arriver nos Mamans et Papas qui rigolaient à gorge déployée. Ils nous avaient observés pendant tout notre calvaire. Ils se précipitèrent sur nous quand le manège stoppa et nous détachèrent des pôles. L'on s'observa l'une l'autre. Je n'avais jamais été aussi gênée! On était pathétique, mon pipi avait traversé tout mon jeans et était descendu jusqu'aux chaussures. Et le pire, c'est que quand vous vous faites pipi dessus, on ne peut pas le cacher. Les marques sur le pantalon sont très spécifiques, pas du tout uniformes comme quand l'on tombe dans une flaque.

Chris tapota mes tâches humides en face des autres. J'étais si humiliée... mais j'aurais tout accepté pour que Chris me prenne dans ses bras. Il m'accompagna avec le reste du groupe jusqu'aux toilettes publiques. Nos jeans furent déverrouillés et on nous tendit un sac où se trouvait un de nos habits pour la fête. Le mien était le costume en vinyle rouge que j'avais essayé plus tôt. Je ne m'habille normalement pas avec des vêtements aussi provocants, mais je n'avais pas d'autres choix. C'était déjà bien que je puisse quitter ma culotte et mon pantalon imbibés de pipi. Ce ne fut pas facile de retirer mon jeans collant, mais j'y parviens. Je décidais de laisser ma culotte mouillée dans les toilettes, mais pris le jeans avec moi. Je mis le mini-short rouge vif et le corset correspondant et sortis des w.c. un peu penaude. Amy et Heather portaient des costumes franchement vulgaires. Amy avait une robe noire très courte quant à Heather, elle portait des bas résilles et les talons hauts les plus longs que j'ai jamais vus. On ne pouvait pas faire un pas dans le centre commercial sans qu'on nous mate. On se dépêcha de rentrer à la sororité.

Je me demandais ce que nous réservait la suite du programme. Avec espoir, je me rappelais que notre présidente avait dit ; nous étions très proches de devenir des sœurs de la sororité. Je me rapprochais très étroitement de Chris, je pensais aux souvenirs que nous partagerions ensemble. Même si c'était gênant pour moi à admettre, il faudrait que je lui dise comme j'avais trouvé tout cela excitant. Même si je supposais que Chris savait déjà que je participais à l'initiation avec enthousiasme. J'ignorais par contre s'il aimait autant que moi porter des couches-culottes. Après tout, avant ce bizutage, si quelqu'un m'avait proposé de porter une couche-culotte et de me faire pipi dessus, j'aurais pensé qu'elle était folle. J'en apprenais beaucoup sur moi.

Quand l'on revint, la sororité était en pleine activité. Tous se préparaient pour la longue nuit. C'était comme si la journée n'allait jamais finir! Chaque bizute était prise en main par sa Maman pour être habillée. J'essayais de deviner ce que chacune allait porter. On savait que nos costumes seraient jugés, alors nos Mamans voulaient que l'on soit à notre avantage. Je savais que la couche-culotte et le collier allaient faire partie du costume, et j'étais impatiente et inquiète de savoir ce que je porterais d'autre. Je n'eus pas longtemps à attendre. Quand nous n'étions pas dans les dortoirs de l'université, toutes les bizutes dormaient ensemble dans la grande salle de la sororité. Presque tout le deuxième étage était occupé par cette pièce. Notre responsable de sororité était une merveilleuse vieille femme qui prenait soin de nous toutes. Elle avait accroché une corde à linge qui traversait toute la salle, et après avoir rincé nos culottes en plastique, elle les avait mises à sécher sur le fil. C'était une vision surprenante. Je me sentis fébrile en voyant nos noms sur le dos de nos culottes précédées du mot « Bébé. » Je décrochais la culotte en plastique qui disait « Bébé Kimberly » et la tendis à Janet. Elle la mit de côté, puis rassembla divers objets et fourra le tout dans le sac à couche que j'avais acheté durant la chasse au trésor. La responsable de la maison avait brodé nos noms sur chaque sac, on ne pouvait pas se tromper. (Notre responsable, Nancy, avait beau être âgée, elle participait à toutes les activités de la sororité et était très active.)

Janet prit soin de me préparer pour la fête. La sororité gardait différents objets pour bébé dans ses réserves. (C'était la troisième fois consécutive que le thème des bébés était utilisé comme rituel d'initiation.) Janet me demanda de m'allonger alors qu'elle allait farfouiller dans un coffre. Elle revint avec trois grandes couches lavables et les étendit tout à côté. Elle tira sur mon mini-short en vinyle que je portais depuis le centre commercial pour le retirer, et elle plaça les couches sur mes fesses. Je protestais faiblement, mais elle n'en tint aucun compte. Elle poussa les couches entre mes jambes et les fixa en place. Elle me demanda de me lever pour examiner son travail. D'autres filles se préparaient dans la salle et je remarquais qu'elles s'arrêtaient pour me regarder. Janet me fit tourner sur place, elle était contente. Si je pensais que la couche jetable que je portais auparavant avait un rembourrage épais, ce n'était rien comparé à trois couches lavables mises l'une sur l'autre. Janet me fit placer les pieds dans les ouvertures de ma culotte en plastique et la remonta le long de mes jambes. Ensuite elle sortit une culotte à frou-frou qu'elle avait achetée chez Fredrick's. J'avais déjà vu ce genre de culotte, mais jamais porté par une fille de mon âge. La culotte était rose avec des rangées de frou-frou sur les fesses. Elle avait pensé à l'acheter en taille extra-large, car elle devait contenir toutes les couches-culottes posées sur mon postérieur. Je remontais la culotte rose moi-même et Janet me demanda d'aller au centre de la pièce et de revenir pour voir l'effet que ça donnait. Les couches volumineuses me forçaient à me dandiner, et tout le monde trouvait que ça me rendait mignonne. Des ex m'avaient dit que j'avais un joli cul, mais avec les vêtements que je portais, c'était impossible à deviner. Janet continua de m'habiller avec la jupe en plastique transparent acheté plus tôt, ainsi qu'avec une brassière rose coton de la marque « bebe » le logo bien visible dessus. C'était approprié, jugeais-je. Pour finir, je devais enfiler des chaussures avec des talons aiguilles incroyablement grands. Enfin, elle referma le collier en cuir rose autour de mon cou. La sensation et le symbolisme du collier me donnèrent un frisson. J'eus le fantasme de Chris me mettant un collier sur le cou, cette pensée m'excita fortement.

Je me regardais dans un miroir sur pied pour me faire une idée plus juste de mon apparence. Je trouvais que je ressemblais à quelque chose entre une « fille sauvage et perverse » et une « prostituée en couche-culotte. » Si l'idée était de nous donner un air excentrique et complexé, le but était atteint. Janet suggéra, « regarde, tu peux voir les frous-frous sur tes fesses à travers ta jupe. »

« T'as l'air vraiment choute. »

« Je parie que Chris va adorer te voir habiller comme ça. » Mais tout ce que je pensais était que ça allait être horriblement gênant de me rendre à une fête de sororité/fraternité vêtue de couches-culottes et d'un ensemble qui en montrait tant.

Avant de partir à la fête, nous fûmes rassemblés pour recevoir les dernières instructions et subir une inspection de Nicole, la présidente. Elle n'allait pas nous rendre les choses faciles. Elle me sélectionna pour faire une démonstration qui allait toutes nous rendre malades de trouille.

« En avant, Bébé Kimberly. »

« Mets-toi à quatre pattes. »

« Je vais vous montrer comment obéir quand votre dresseur vous donne un ordre. »

« Le "dresseur" est la personne qui tient votre laisse. » précisa-t-elle en attachant la laisse à mon collier.

« Assise! » J'étais lente à réagir, car je n'étais pas sûre de ce que « assise » voulait dire.

« Bizute idiote. » Elle tira sèchement sur la laisse me forçant à me mettre à genoux et les mains en position assise.

« Vous voyez comme Kim a vite appris la position assise? » Elle donna un bref coup sur la laisse, je compris qu'elle voulait que je la suive à quatre pattes pendant qu'elle marchait.

« Fais attention à rester proche de moi, et à t'arrêter quand je stoppe. »

« Quand je m'arrête, tu dois t'asseoir comme une bonne chienne s'assiérait à côté de son maître. » Elle poursuivit en me faisant obéir à une série d'ordres humiliants. Puis elle prit une petite balle qu'elle jeta à travers la salle.

« Ne va pas chercher tant que je ne dis pas "va chercher." »

« Très bien, maintenant, Kim, rapporte la balle. » je fis de mon mieux pour marcher à quatre pattes jusqu'à la balle et la pris de mes mains.

« Quelle petite fille stupide! Pas avec les mains. »

« Utilise ta bouche et apporte-moi la baballe. » C'était difficile, mais je parvins à me pencher jusqu'à mordre dans la balle. Nicole m'attendait avec la palette de la sororité.

« Laisse la balle à mes pieds! »

« Si tu ne portais pas autant de rembourrage, je t'assure que tu sentirais ces coups. »

Nicole me donna cinq grands coups de palette. Ce fut plus pour la galerie, car je ne sentis pas grand-chose physiquement. Mais j'étais sur le point de pleurer à cause de l'humiliation.

Nicole s'adressa aux bizutes.

« Pour qu'aucune de vous ne soit tentées de faire la même erreur idiote que Kim en prenant la balle de ses mains, je vais devoir vous retirer la possibilité d'utiliser vos mains pendant la fête. »

« De toute façon de petits bébés comme vous n'ont pas de raison d'utiliser leurs petites menottes. » Je crois que l'on avait toute la même question en tête... Comment pouvait-elle nous empêcher d'utiliser nos mains? La réponse ne tarda pas...

Et -quelle chance- Nicole me garda comme sujet test pour la démonstration.

« Kim, donne-moi la patte... je veux dire la main, » me taquina Nicole. Elle saisit ma main pendant que j'étais assise sur le sol. Elle glissa une très grande moufle sur la main et l'enfonça comme si c'était un gant de boxe. En fait, ça rassemblait beaucoup à un gant de boxe, la moufle était toute ronde. Il n'y avait pas de trous pour les doigts ou pour le pouce. Deux cordons pouvaient s'attacher et elle les serra par un nœud au niveau du poignet. La moufle était assez légère et la surface faite en cuir ou en vinyle. Je n'arrivais pas à déterminer de quoi était fait l'intérieur, j'avais l'impression d'avoir la main dans un sac à haricots. Je sentais des boules à l'intérieur, mais ne parvenais pas à les toucher car il y avait un revêtement interne. Je pouvais toutefois remuer le pouce et les doigts, mais tout juste de quelques millimètres. Mes mains allaient être inutilisables. Nicole me mit l'autre moufle pour que mes deux mains soient emprisonnées. (J'appris plus tard que c'est notre responsable, Nancy, qui avait été assez « gentille » pour confectionner toutes ces moufles.

« Faisons une autre démonstration pour les bizutes, » aboya Nicole

« Montre au public comment tu sais marcher sur tes pattes. » Ce fut facile. Avec les moufles, j'avais l'impression d'avoir des coussinets au creux des mains.

« Maintenant, Kim, je veux que tu ailles jusqu'à la porte de l'armoire. »

« Debout! Ouvre la porte! » J'essayais de tourner la poignée, mais avec mes moufles, je ne parvenais même pas à accomplir une action aussi simple. Nicole me demanda de retirer mes moufles, mais cela aussi m'était impossible.

« Vous voyez les filles, Kim va avoir besoin de toute l'aide de ses "dresseurs" ce soir. »

« Elle n'est pas fichue de faire quoi que ce soit par elle-même. » Nicole demanda à ce que je revienne vers elle. Comme je me déplaçais sur les genoux, je remarquais que ma laisse traînait entre mes jambes ; arrivée devant Nicole elle me félicita « Kim est une bonne petite bizute. » Elle me tapota la tête et me mit un morceau de sucre dans la bouche. J'étais furieuse, mais j'essayais de ne pas le faire voir. Je laissais le sucre fondre sur ma langue et restais à ses pieds. Je crois que toutes les bizutes pensaient à la même chose... Comment allions-nous traverser la fête si l'on ne pouvait même pas faire les gestes les plus simples? La pièce était silencieuse, nous étions toutes légèrement paniquées. Les membres de la sororité avaient vraiment pensé à tout pour nous angoisser. On enfila des moufles similaires aux miennes sur chaque bizute afin que l'on : « expérimente un lien mutuel. »

Nicole n'en avait pas fini de ces singeries. Elle choisit Heather, ma coéquipière pour la suite.

« Bizutes, vous vous souvenez que ce matin Heather a pensé pouvoir ignorer les règles de notre initiation en retirant sa couche-culotte. »

« Eh bien, nous avons une petite surprise pour Heather. »

À suivre...

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