Mon Épouse Vers La Débauche 05

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Mon épouse poursuit sa descente dans le vice.
3.4k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2011
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Pour repartir, nous avons dû traverser la salle. Là, quelques habitués nous regardèrent longuement. Évidemment, la tenue ultra provocante de C attirait l'attention et les commentaires.

• Pas mal la nouvelle pute d'Ali.

• T'as vu ces nichons?

• Et ce cul!

• Je lui mettrai bien mon chibre entre les fesses.

• Le mec a dû payer cher pour pouvoir l'emmener.

La route du retour a été silencieuse. Mon épouse regardait par la fenêtre, des larmes coulant lentement le long de ses joues. Moi, de mon côté, je ne pouvais m'empêcher de repenser à tout ce que j'avais vu ce soir. Et quand je jetais un coup d'œil sur la femme assise à côté de moi, je savais que je n'avais pas rêvé.

Arrivés à la maison, C a immédiatement monté les escaliers vers la salle de bains. Je ne pouvais m'empêcher de regarder son cul, bien visible sous la mini-jupe, d'imaginer l'instrument fiché au plus profond de son anus, de deviner les traces du fouet que je lui avais donné.

J'entends l'eau couler dans la baignoire. Je monte. Elle s'est totalement déshabillée et les vêtements de son nouveau statut gisent par terre, dans un coin de la salle de bains. Elle me regarde, surprise et inquiète. Je regarde son corps et la revois, saillie dans cette chambre minable.

• Je dois soigner tes fesses et tes seins. Tourne-toi.

J'enduis longuement la peau zébrée d'une pommade cicatrisante et, incapable de dire quoi que ce soit, je redescends dans le salon et me sers un whisky.

Une heure plus tard, je l'entends descendre. Bientôt, elle est là, debout face à moi. Elle a les cheveux mouillés, elle est complètement démaquillée et a revêtu la robe de chambre informe qu'elle porte toujours après le bain. Elle me regarde sans un mot.

• Que va-t-il se passer maintenant, dis-je enfin.

• Je ne sais pas.

• Il y a une telle différence entre ma femme devant moi et la putain que j'ai baisée et vue se faire baiser cet après-midi.

Elle ne répond pas et baisse les yeux. Soudain, une révélation.

• Tourne-toi et relève ta robe de chambre.

C'est bien ma femme, mais le plug est enfoncé entre ses fesses. Elle l'a remis.

• Comment t'appelles-tu?

• Lola.

Ali, et Marie, avaient raison. La jeune institutrice que j'avais épousée est devenue la chose de Monsieur Ali. Elle lui obéit, même quand il n'est pas là, même quand il ne lui rappelle pas son chantage. Il lui a enlevé toute idée de rébellion.

Elle est montée se coucher sans un mot. Quant à moi, ce soir-là, j'ai dormi sur le canapé.

Le lendemain, après une journée de travail, elle à l'école, moi, sur la route, nous nous retrouvons face à face.

• Eh bien, tu es là ce soir?

• Tu sais bien que Maître Ali m'a donnée une journée de repos.

Je la regarde. Elle est vêtue d'un jean et d'un sweat-shirt, avec des chaussures de sport, comme je l'ai toujours connue.

• Qu'est-ce-qui va se passer maintenant?

• Je t'aime, mon chéri. Je n'ai pas envie de te perdre.

• Tu n'y retourneras plus?

• Si tu me le demandes, non. On essaiera de se débrouiller pour l'argent que je dois et pour les photos qui sont en sa possession.

C'est à moi de décider. Mon épouse met sa vie (sexuelle) entre mes mains. La raison me dit d'arrêter ça. Mais, en même temps, mon sexe se rappelle les images d'hier. Et c'est incrédule que je m'entends dire :

• Nous n'avons pas les moyens financiers pour rembourser Ali, ni pour partir loin d'ici. Je suis malheureux, mais tu dois continuer encore un peu de temps.

Elle ne dit rien. Nous nous installons pour diner dans un silence pesant.

Ainsi, j'ai fait un choix. Mon épouse va continuer à se prostituer, et moi à prendre un plaisir malsain à le savoir, à l'imaginer, à le voir.

Le téléphone sonne. Je décroche.

• Allo, ici Ali. Demain, tu m'amènes Lola pour dix-huit heures. Qu'elle ne s'inquiète pas pour ses vêtements. Il y aura ce qu'il faut ici.

Et il raccroche, sans me laisser le temps de parler.

• Qu'y étais-ce?

• Tu dois t'en douter. C'était Ali. Je t'emmène demain, pour dix-huit heures. Tu n'as pas à t'habiller de manière particulière.

Ma femme me regarde longuement. Elle sait que je viens de livrer son corps à des inconnus. Pourtant, elle ne dit rien. Et ce silence m'excite.

La journée du lendemain m'a paru interminable. Quand je suis rentré à la maison mon épouse attendait déjà. Elle avait revêtu sa mini-jupe, son chemisier transparent et ses talons. Autour du cou, le collier de chien. Elle attrape un manteau (les voisins) et me suit. Dans la voiture, pas un mot. Arrivés devant chez Ali, elle l'enlève et sort. Je la vois traverser le trottoir, ondulant des fesses à cause des chaussures. Elle entre. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je la suis. De la porte d'entrée, je la vois franchir la porte « bureau ». Je suis entraîné derrière elle.

Quand j'entre à mon tour, je la vois debout devant Ali. Elle a les jambes écartées. Elle attend.

• Ah, mais le petit mari est venu aussi. Il a envie de voir sa femme se faire baiser. Il ne va pas être déçu. Assieds-toi sur la chaise au fond. Tu ne bouges pas. Tu ne dis rien.

Je prends la place désignée, déjà excité à l'idée de ce qui va pouvoir se passer. C ne me regarde pas.

• Lola, j'ai deux ou trois choses à te dire. Mais d'abord, pour m'entendre, fous-toi à poil, complètement. Et vite. Les filles qui bossent pour moi doivent m'obéir immédiatement.

• Oui, Maître.

Le plus vite qu'elle a pu, elle a tout enlevé. Sauf, bien sûr, le collier.

• D'abord, Lola, tu vois bien que tu m'appartiens. Tu es venue sans rechigner. Ton petit mari t'a accompagnée et il se régale à te voir toute nue devant moi en train de m'écouter.

• Oui, Maître.

• Oui, quoi? Petite pute.

• Je vous appartiens, Maître. Je vous obéis. Et tout ce que vous ordonnerez, je le ferai.

• Bien. Deuxièmement, j'ai quelqu'un à te présenter.

Et il fait un signe à Marie, toujours présente. Je m'attends à voir arriver un client, qui va sauter ma femme devant moi. Mon sexe en frémit déjà.

Marie ouvre la porte et, surpris, je vois entrer une femme qui doit avoir trente-cinq ans. Je la détaille. Elle a une perruque blonde. Elle est outrageusement maquillée. Un collier de chien, identique à celui de C. Elle portait un imperméable court et ciré noir qu'elle a immédiatement ôté. Dessous, elle est nue, excepté une large ceinture porte-jaretelles rouge et des bas noirs à couture. Elle s'est placée devant Ali, à côté de C. Elle a les jambes écartées, comme elle. Elle attend que son Maître lui donne la parole.

• Lola, je te présente Jackie. Elle était professeur de français. Maintenant, c'est une autre de mes filles. Elle tapine sur le trottoir et n'oublie jamais de me ramener l'argent de ses passes. N'est-ce pas, Jackie?

• Oui, Maître.

• Tu as vu, Lola. Elle est à poil dehors. Tu aimerais ça?

• J'obéirai à vos ordres, Maître.

• Tant mieux, parce que tu es trop jeune pour aller sur le trottoir. Jackie avait déjà beaucoup servi. Lola, regarde donc sa chatte. Que vois-tu?

• Mais, mais... elle n'a pas de poil, Maître.

• Oui, Lola. Toutes mes putes ont la chatte rasée. Alors?

• Rasez-moi la chatte, Maître.

• C'est bien, Lola. Jackie, retourne sur le trottoir. Il me faut trois mille balles, cette nuit, sinon, c'est la maison d'abattage.

C'est encore plus que je n'imaginais. Mon épouse fait maintenant partie des « filles » de Monsieur Ali. Pour bien montrer son emprise sur elle, il va marquer son corps dans sa parie la plus intime. Et c'est ma femme qui l'a demandé.

Trois jours se sont écoulés. Mon épouse est restée à la maison, prétextant une grippe pour ne pas avoir à aller travailler. Chaque soir, quand je rentrais, elle était là, silencieuse, vêtue de sa vieille robe de chambre et pas maquillée. Les soirées se passaient quasiment sans un mot. Elle attendait d'aller se coucher, n'osant pas m'adresser la parole de peur de revenir sur sa vie en tant que Lola. Moi, je ne pensais qu'à ça. Je ne pouvais la regarder sans que toutes ces images de dépravation me reviennent dans la tête. La nuit, je n'arrivais pas à dormir et je n'osais pas la toucher.

Quand le téléphone a sonné, le troisième soir, nous avons su, tous les deux, que ça recommençait. Avec de mon côté une espèce de joie malsaine, et du sien, de la résignation.

• Alors, le petit cocu, ma pute a pu se reposer?

• Oui, Monsieur.

• Elle a toujours son gode dans le cul?

Je me rendis compte que je ne l'avais plus vue nue depuis la dernière séance dans le bar. Je demandais alors à C, par gestes de se retourner et de soulever sa robe de chambre pour me montrer ses fesses. L'excroissance noire qui en sortait me prouvait qu'elle avait continué à obéir.

• Oui, Monsieur.

• À la bonne heure. Elle le garde toute la nuit et elle vient demain soir. Tu peux l'amener si tu veux, et si tu as encore envie de jouer au serveur. Je veux qu'on sache bien que c'est une putain dès qu'elle sera entrée dans mon restaurant. Rendez-vous à 18 heures, et qu'elle ne soit pas en retard.

Il avait déjà raccroché. C était tourné vers moi et attendait.

• Tu as rendez-vous demain à 18 heures. Tu devras être habillée comme une pute. En attendant tu as interdiction d'enlever ton gode.

Elle ne répondit rien et la soirée se passa dans un silence absolu entre nous.

Le lendemain, je savais que j'allais l'amener. J'avais honte, et, cependant, mon sexe se tendait dans mon pantalon.

En rentrant à la maison, je vis que C, ma douce épouse avait disparu. Devant moi, se tenait Lola. Elle avait ses talons de 14cm, des bas couture noir tenus par un porte-jarretelles d'un rouge criard, un string ficelle de dentelle noire au travers duquel on voyait son sexe rasé, son redresse seins que j'avais déjà vu et bien sûr son collier de chien. Elle était très maquillée, avec, en particulier, un rouge à lèvres très vif. Je remarquais que ses seins étaient eux aussi rougis.

• Tu n'es pas encore prête. Tu vas être en retard.

• Je suis prête.

• Mais...

• Je sais que, pour Maître Ali, une pute doit être reconnaissable du premier coup d'œil, et elle doit pouvoir être baisée immédiatement. Donc je suis prête.

Elle enfile un manteau et traverse la rue pour entrer dans la voiture. Les passants se retournent sur cette apparition. J'en rougis.

Arrivés à destination, devant le restaurant de Monsieur Ali, C enlève son manteau et c'est dans son costume de pute qu'elle traverse la salle. Des sifflets et des commentaires grivois accompagnent son passage.

• Quel cul!

• Alors, Lola, tu es prête à te faire enfiler!

• C'est combien, salope?

C avance sans un mot. Ses seins se balancent au rythme de sa marche. Elle entre dans la cuisine-bureau. Monsieur Ali est toujours assis dans son fauteuil. C s'arrête devant, écarte les cuisses et pose les mains derrière la tête.

• Salut, Lola.

• Bonjour, Maître. Votre pute est à votre disposition.

• Ton cocu est venu. Dis lui de s'assoir et qu'il ne prononce pas un mot.

• Assieds-toi là-bas et tais-toi. Maître, ma chatte et mes nichons sont à vous. Faites-en ce que vous voulez.

• C'est bien, petite salope. Tu commences à comprendre ce que tu es.

• Oui, Maître, une salope et votre putain.

• Et ton cul, chienne?

• Je l'ai préparé, Maître.

• Montre.

C se tourne vers Ali. Elle se plie en deux et écarte ses fesses devant son Maître. Le plug apparaît, d'une indécence folle au milieu de ces fesses rebondies.

• Bien, Lola. Dis moi, combien de fois t'es-tu déjà fait enculer?

• Ja...jamais, Maître.

• Comment ça, ton cocu ne t'a jamais pris le cul?

• Non, Maître.

• Tu vas me le donner, salope.

• Oui, Maître.

• Je ne t'ai pas demandé ton avis, sale cochonne. Tu vas te faire enculer et, ainsi, tu me ramèneras plus de pognon. Compris?

• Oui, Maître.

• Pose tes nichons sur la table, écarte les cuisses et ouvre tes fesses avec tes mains.

Sans une hésitation, C s'installe dans la position exigée par son maître. Je suis terriblement excité, mais je ne m'attends pas au nouvel ordre de monsieur Ali.

• Toi, le cocu, va me chercher Youssef.

Je vais immédiatement au bar et dit au serveur que monsieur Ali le demande. Lorsqu'il entre dans le bureau, il ne se prive de regarder les fesses de ma femme.

• Youssef, tu as déjà essayé une fois de l'enculer et tu n'as pas pu.

• Oui, Monsieur Ali.

• Lola me dit qu'elle est prête. Alors enlève lui le plug et baise la par le cul. D'accord, Lola.

• Oui, Maître.

• Dis-le, putain.

• Je suis prête à être enculée, Maître. Youssef, prends moi par derrière.

• Tu dois vouvoyer tous les hommes, et les femmes, qui te baiseront, salope.

• Oui, Maître. Youssef, mon cul est à vous. Enculez moi.

Le serveur s'approche de mon épouse. D'un geste brusque, il enlève le plug. L'anus apparaît, largement dilaté. L'homme baisse son pantalon et son slip. Son sexe est déjà érigé. Il le dirige vers l'anneau de C qui commence à se rétracter. Il se présente entre les fesses de C, qui ne bouge pas. Pourtant, elle doit sentir le gland. D'un seul coup, Youssef s'enfonce dans le cul de ma femme qui hurle de douleur.

• Tais-toi, sale pute. Ton cul doit servir.

Youssef reste au plus profond de mon épouse. Moi, je regarde, hypnotisé, sans l'idée de me rebeller. Puis il recule, presque jusqu'à faire sortir le gland, avant de replonger au fond du cul offert. Le va-et-vient se poursuit. C ne hurle plus, mais elle commence à gémir. Va-t-elle prendre son plaisir de cette manière bestiale? Elle n'a pas cette possibilité, car Youssef vient de lui asséner une série de claques sur ses fesses qui rougissent.

• Tu n'es pas là pour prendre du plaisir, mais pour en donner. Tu comprends, petite pute?

• Oui, Maître. Je suis là pour faire jouir les hommes à qui vous me vendrez.

• Alors, bouge ton cul, salope.

Et je vois mon épouse qui, maintenant, avance les fesses vers l'homme qui l'encule. Elle ose même des petits mouvements de rotation qui semblent faire beaucoup d'effets. Youssef accélère l'allure. Ses testicules claquent contre les lèvres vaginales de C. Je l'entends dire :

• Enculez moi bien. C'est trop bon. Donnez moi votre foutre.

Le serveur se raidit. Je sens qu'il vient de se déverser dans les intestins de ma femme. Et j'en ai la confirmation quand il se retire et que je vois du sperme s'écouler entre ses fesses.

• Va t'essuyer, Lola.

Mon épouse prend une serviette tendue par Marie et s'essuie l'entre-jambes et la raie des fesses. Je la trouve très excitante dans cette position. Puis elle revient se placer debout devant son maître, jambes écartées. Décidément, elle n'oublie rien des ordres d'Ali.

• Lola, tu vas aller t'assoir au bar. Tu as une heure pour faire cinq cents francs. Une pipe c'est cinquante francs, une baise dans la chatte, cent et ton cul, ce sera deux cents. Tu sais ce que tu as à faire.

• Oui, Maître.

• Et toi, le cocu, comme je sais que ça t'excitera de voir ma pute, ton ex-femme, monter avec des clients, tu iras au bar laver la vaisselle. Lola, tu prendras la chambre au fond du couloir pour tes passes.

• Bien, Maître.

Je la vois se lever en string, bas et redresse-seins et franchir la porte. Je la suis et m'installe derrière le comptoir. J'évite de regarder Youssef qui me dévisage en ricanant.

C est assise sur un tabouret. Manifestement, elle attend le client. Cela ne tarde pas. Un premier homme, d'une cinquantaine d'années s'approche d'elle. Il la regarde longuement. Elle a les yeux baissés.

• C'est combien?

• Cinquante la pipe, cent la chatte, deux cents, le cul.

• Tiens, voilà cent balles. Tu devras être bonne.

• Bien sûr, Monsieur.

Elle se lève et emmène son premier client par la main vers les escaliers. Je vois ses fesses chalouper et le client se délecter du regard. C, mon épouse va recommencer à se faire baiser par des inconnus contre de l'argent. Et là, je ne peux que l'imaginer, n'ayant pas la possibilité de quitter le bar.

¼ d'heure plus tard, le client redescend et s'installe au comptoir. Il commande une bière que lui sert Youssef. Celui-ci lui demande :

• Alors, elle a été bonne.

• Pas mal, cette nouvelle pute. Bonne chatte lisse et bien mouillée. Elle m'a chevauché et je voyais ses nichons se balancer dans le rythme. Par contre, elle pourrait montrer qu'elle y prend du plaisir, cette salope, au lieu de toujours avoir les yeux fermés. Une pute doit flatter son client, non?

• Tout à fait, monsieur. J'en parlerai à son maître.

Quelques instants plus tard, c'est C qui apparaît. Elle a réarrangé sa tenue. Pourtant je remarque que ses joues sont rouges (aurait-elle pleuré, seule dans la chambre) mais aussi que ses fesses sont marquées par les doigts de son client. Il la regarde et sa main se tend vers sa poitrine, mais Youssef intervient :

• La passe est finie, monsieur. Ou alors, il faut repayer.

• Et toi, Lola, ne lambine pas et fais toi payer pour ce que tu fais. Compris?

• Oui, monsieur Youssef.

Et elle se réinstalle sur son tabouret.

Les clients vont se succéder, quasi sans interruption. Deux d'entre eux vont la baiser, trois autres se faire faire une pipe. L'heure est passée sans que je m'en rende compte. C a les yeux cernés et humides et beaucoup de mal à avoir un maquillage correct. C'est le moment où le serveur lui dit qu'elle doit aller voir son Maître pour lui rendre compte. Je dois la suivre. Marchant derrière elle, je remarque quelques gouttes de sperme qui lui coulent le long des cuisses.

Sitôt arrivée devant le bureau, elle reprend sa position de soumission : jambes écartées, reins cambrés pour projeter sa poitrine vers l'avant et mains derrière la tête.

• Alors, Lola?

• J'ai suivi vos ordres, Maître. J'ai sucé trois clients et trois autres m'ont baisé la chatte.

• Le pognon, petite pute.

De son redresse-seins, elle sort une liasse de billets chiffonnée qu'elle tend à son maquereau.

• Il n'y a pas le compte, Lola.

• J'ai fait ce que j'ai pu, Maître.

• Personne n'a pris ton cul?

• Non, Maître. Pourtant je l'ai proposé.

• Ce n'est pas assez, salope. En plus Youssef m'a dit que tu te laissais caresser sans que le client ne paie.

• Je n'en pouvais plus, Maître.

• Une heure de passes et tu es déjà fatiguée. Tu me déçois.

• Je ferai mieux, Maître. Je peux y retourner.

• Non, c'est trop tard. Mais ne t'inquiète pas. On trouvera une situation où tu me ramèneras suffisamment de pognon. Pour l'instant, à poil, complètement.

Mon épouse enlève immédiatement le peu de tissu qui couvre encore son corps. Dès qu'elle est nue, elle reprend sa position de soumission, jambes largement écartées et mains derrière la nuque.

• Toi, le cocu, accroche la laisse au collier. Et tu la fixes au plafond.

C a maintenant le cou étiré par la laisse. Elle ne touche plus le sol que par la pointe de ses pieds nus.

• Tu n'as pas su être une bonne pute. Tu vas devenir une bonne chienne. N'est-ce pas, chienne Lola?

• Oui, Maître, je serai votre chienne, obéissante.

• Qu'en penses-tu, Marie?

• Je pense que les clients vont être ravis de s'occuper de la croupe de cette chienne.

• Remarque, j'y avais déjà pensé. Lola, à partir de maintenant, tu es une esclave.

• Oui, Maître, je suis votre esclave.

Ce soir, tu fais tes débuts.

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8 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a presque 3 ans

Dix ans après, quelle suite!!! Moi aussi, je trouve que le mari devrait participer et se faire enculer par sa femme , par exemple.

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Ce serait excellent que le mari cocu soit féminisé, lui faire poussé les seins et en faire une transexuelle afin qu'il fasse la pute avec sa femme. L'avilissement serait total

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

la suite ?

trouchardtrouchardil y a environ 3 ans

Joli retour après dix ans. Mais comme ça j'ai relu les premières parties.

Merci.

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Ah si j'étais Maître Ali…

Mais Cadan3 a une très forte imagination

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