Mon Épouse Vers La Débauche 03

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Elle s'enfonce.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2011
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Lundi est arrivé.

Comme elle en a pris l'habitude, et sans plus se poser de question, C s'est préparée à rejoindre son Maître : mini-jupe (ras la touffe, comme Il dit), chemisier transparent et talons aiguilles. N'ayant pas eu le temps de laver ses sous-vêtements de « pute », elle est absolument nue dessous. De toute façon, elle sait bien qu'elle doit être prête.

Quelle transformation! La jeune institutrice sage est devenue une fille facile, prête à tout pour plaire à son Maître.

C traverse la salle, déshabillée par les clients. Et elle ne peut s'empêcher de penser à ce qu'elle a subi, ici-même, samedi dernier.

Elle entre dans la cuisine. Monsieur Ali est toujours assis derrière son bureau. Il n'a même pas un regard pour elle. Pourtant, en un tournemain, C s'est mise nue, ne gardant que ses talons et son collier (qu'elle porte maintenant en permanence). Elle accroche la laisse et attend, bras le long du corps.

Alors, petite pute. Tu es fière de toi?

C ne comprend pas la remarque de son Maître.

Tu n'as pas été bonne, samedi soir. Les clients se sont plaints et il a fallu te rappeler à l'ordre. N'oublie pas que ton corps m'appartient. Quand je donne un ordre, tu dois l'exécuter servilement, comme l'esclave que tu es. Quand je te donne à mes clients pour qu'ils te touchent, tu dois leur laisser te tirer les nichons et entrer leurs doigts dans ta chatte, et faire tout ce qu'ils ont envie avec ma pute. Compris?

Oui, Maître, dit C en ravalant ses larmes.

Tu n'as pas mérité une punition?

Si, Maître.

Si, quoi, salope!

J'ai ...mérité une punition, Maître.

Pose tes mains sur le bureau, écarte les cuisses, et n'oublie pas de compter. À toi, Marie, le fouet et quinze coups.

À ces mots, C se met à trembler. Le fouet, elle ne l'a jamais ressenti. Et quinze coups!

Marie décroche un long fouet, à mèche de cuir large. Elle vient le mettre devant les yeux de sa victime.

Tu vas le sentir, salope.

Le premier coup claque. La lanière cingle les deux fesses et finit sa course au ras de la vulve.

Un

Une marque rouge violacée traverse les deux hémisphères culiers. Les coups se suivent et marquent le cul de Lola de sillons d'où perlent quelques gouttes de sang. Le douzième coup la surprend au milieu du dos et frappe jusqu'au téton. Treize, quatorze. Le dernier coup vient entre ses cuisses et atteint les lèvres vaginales.

Quinze, dit C, dans un souffle.

Elle a supporté sa punition, et, au milieu de sa honte, apparaît un sentiment de fierté. Elle a réussi à subir cette douleur, en faisant honneur à son Maître.

Maintenant, tu vas remercier Marie, chienne. Mets-toi à quatre pattes et lèche lui les pieds, comme le bon petit animal que je veux que tu soies.

C obéit immédiatement et commence à embrasser les pieds de sa tortionnaire.

J'ai dit lèche, avec ta langue.

Elle sort la langue et la fait glisser des orteils aux chevilles. Pendant ce temps, vicieusement, Marie caresse le cul de l'esclave avec la lanière du fouet. Au bout de longues minutes...

C'est bon, maintenant. Toi, Lola, tu restes à quatre pattes. Toi, Marie, va chercher Youssef.

Ça y est. Elle va encore se faire baiser, mais cette fois-ci, dans une position encore plus avilissante. Son Maître l'a bien nommée « chienne ». Elle va donc recevoir le sexe de l'homme qu'Il lui a choisi, fesses levées, seins pendants. Quelle image!

Elle entend la porte s'ouvrir, puis, rapidement, un zip de pantalon. Elle ne bouge pas, consciente d'offrir ses fesses et sachant que, dans un instant, un sexe allait la pénétrer. Elle attend.

Des mains se posent sur son cul. La grosse mentule de Youssef frotte ses lèvres et s'enfonce d'un seul coup au fond de son vagin. Cette intromission brutale fait ballotter ses seins. Les testicules velus claquent ses fesses.

Soudain, une autre main saisit ses cheveux et la force à lever la tête. Face à elle, Marco, sexe à l'air. Il l'approche de sa bouche. C'est donc ça. Son Maître la livre à deux hommes en même temps. Elle revoit les images des revues du sex-shop. Elle devient comme ces filles. Le sexe de Marco s'enfonce entre ses lèvres et vient cogner le fond de sa gorge.

Je vais te baiser la bouche.

Les deux hommes commencent à la pilonner. Elle sent la bite de Youssef frapper le fond de sa chatte pendant que celle de Marco lime sa bouche. Elle a pensé « bite », « chatte », « se faire limer ».

Elles sont bonnes, ces queues?

Lola ne peut que grogner son assentiment.

La queue de Youssef quitte sa chatte et elle se présente devant sa bouche, pendant que Marco s'enfonce dans son ventre. Elle lèche Youssef, qui porte les traces de sa liqueur féminine. Tout recul a disparu. Elle sait qu'elle doit faire tout ce que lui impose son Maître.

Plusieurs fois, les verges échangent leur position.

Tout à coup, Marco se raidit et déverse son sperme au fond de sa gorge. Docilement, elle avale tout.

Youssef, encule-la.

Non, pas par là. C est encore vierge de ce côté. Elle n'a jamais admis que son mari la prenne par derrière. Pourtant, elle ne bouge pas quand le gland quitte sa chatte pour se présenter devant son anus.

Youssef la tient fermement par les hanches et tente de pénétrer la putain de son patron. Rien à faire. L'œillet refuse cette intromission.

Impossible, patron. Cette pute a le cul plus serré qu'une porte fermée à double tour. Je risque de me casser la bite.

C'est très embêtant, ça. Sans son cul, elle est beaucoup moins intéressante pour mes clients. Youssef, essaie avec ton doigt.

C sent le doigt du serveur appuyer sur son anus, fortement. Il finit par réussir à pénétrer.

Ça y est, patron, mais, putain, qu'est-ce-que c'est serré.

On va l'élargir. Pour l'instant, éjacule où tu veux.

Youssef saisit alors la tête de C et enfouit son chibre au fond de sa gorge, jusqu'à lui provoquer un haut-le-cœur. Toujours à quatre pattes, elle se fait baiser la bouche. Enfin, elle reçoit le jet de sperme. Elle avale.

Elle n'oublie pas de nettoyer la bite, consciencieusement.

Bon, Youssef. Va chercher le client. Et toi, Lola, viens ici.

Lola s'approche de son Maître. Ses seins ballottent.

Ta bouche.

Le rituel recommence. Lola reçoit la langue de Monsieur Ali, qui lui fore la bouche. Puis le crachat, qu'elle avale, presque machinalement.

Elle récupère sa micro-jupe, mais :

Mais qu'est-ce-que tu fais, salope. Reste à poil. Écarte les jambes et mets les mains derrière la tête, en faisant face à la porte.

Qu'est-ce-que son Maître a encore prévue pour elle? Déjà qu'elle sent le sperme de Youssef couler le long de ses cuisses, le goût du sperme de Marco sur son palais, sans compter les brulures du fouet sur ses fesses et ses seins.

Elle sait qu'elle va encore franchir un palier dans sa déchéance et portant, elle ne bouge pas. Elle reste toute nue, jambes écartées rendant son sexe bien visible, mains derrière la nuque, étirant ses seins vers l'avant. Elle ne porte que son collier dont la laisse pend entre ses seins et ses talons hauts qui cambrent encore plus ses fesses. Elle se rend compte qu'elle devient une femelle docile, prête à obéir à tous les ordres de son Maître.

C'est à ce moment qu'apparaît un homme d'une soixantaine d'années, presque chauve, bedonnant, vêtu d'un costume plus de première fraicheur. Il s'arrête sur le pas de la porte de la cuisine et examine longuement Lola. Ses yeux caressent toutes les parties de son corps, grand offert.

Alors, qu'en penses-tu? Dit Monsieur Ali. Et Lola est une femme mariée. Tu vas pouvoir faire encore un cocu.

Jolie petite pouliche. Tu as le chic pour trouver des filles particulièrement excitantes. J'aime bien quand elles sont mariées. Je les imagine rentrer auprès de leur mari avec mon sperme dans la chatte.

Présente tes nichons, Lola.

C passe ses mains en coupe, sous ses seins et les redresse. Que se passe-t-il? Qui est cet homme? Et pourquoi son Maître la présente-t-il de cette manière dégradante?

Qu'est-ce-que tu choisis? Sa bouche, sa chatte ou les deux.

C a envie de pleurer. Ainsi son Maître va encore l'offrir à un autre homme. Et dire qu'elle n'a pas encore fait l'amour avec Lui.

L'homme s'approche d'elle, regarde attentivement sa bouche, puis les lèvres de son sexe qui laissent encore apparaître les traces de Youssef. Il passe derrière elle : ses fesses semblent beaucoup l'intéresser.

Pourquoi pas son cul?

Ah, ça, c'est impossible pour le moment. Même Youssef a failli y casser sa bite.

Madame est vierge du cul? Que fait son connard de mari?

Ne t'inquiète pas. On va régler ça.

Je lui aurais bien fourré la chatte, mais elle me semble encore bien grasse. Combien pour sa bouche?

Cinquante balles pour une pipe, cent pour lui baiser la bouche. Marco et Youssef sont en train de l'éduquer et ils disent qu'elle est douée. Ouvre la bouche, Lola.

Tout en obéissant, C est sidérée. Elle a bien compris. Son Maître la vend, comme une...prostituée, comme une...pute. Et elle ne réagit pas. Mieux, elle obéit.

L'homme, le client regarde sa bouche, écarte un peu les commissures.

Tiens, voilà cent balles. Je vais suivre tes conseils et lui baiser la gorge.

Donne l'argent à Lola, qu'elle me l'amène. Après tout, c'est elle qui va le gagner.

C'est bien, ma petite pute. Maintenant, à genoux, cuisses bien écartées. Ouvre grand la bouche. Mains derrière la tête et tu ne bouges pas.

Lola s'est mise en position. Son client sort un sexe de taille moyenne, mais encore un peu mou. Il le prend dans la main et le pose sur la langue de C.

Arrondis tes lèvres dessus, salope.

Il commence à aller et venir dans sa bouche. Le sexe grossit au fur et à mesure des mouvements. Parfois elle sent le gland lui heurter le fond de la gorge et elle s'oblige à ne pas vomir. Parfois, il se caresse sur l'intérieur de ses lèvres.

C'est vrai qu'elle a une bonne bouche, ta pute.

Je pense que ça va devenir une de ses spécialités, répond Monsieur Ali.

Je l'imagine embrasser son mari ce soir. Crois-tu qu'il va sentir ma jute?

Le client fait durer son plaisir. C commence à avoir mal aux commissures de ses lèvres, à force de les avoir distendues. Elle essaie de le caresser avec sa langue, pour abréger la séance.

Arrête ta langue, salope. J'ai payé pour te baiser la bouche, pas pour une vulgaire pipe. Ma queue est propriétaire de ta bouche et de ce qu'il y a dedans. C'est elle qui vient se glisser sur ta langue, quand elle en a envie.

Il y a encore du boulot, patron, pour qu'elle soit une bonne gagneuse. Elle doit apprendre la différence entre la vulgaire pipe et la baise orale.

C, la bouche empalée sur le sexe de cet inconnu, rougit de honte. Pourtant, elle s'applique à ne plus rien bouger et attend le bon vouloir du client.

Soudain, un jet de sperme, épais et gluant lui envahit la gorge. Surprise, elle en laisse s'échapper une bonne partie sur le sol.

Gifle la, cette pute, pour ne pas avoir su avaler ton foutre.

Une gifle énorme claque sur la joue de Lola. Elle perd l'équilibre et tombe sur le sol crasseux.

Et toi, Lola, maintenant, lèche. Il ne doit rien rester sur le sol.

Et la voilà, à genoux, croupe levée, en train de ramasser la liqueur qu'elle a laissée tomber. Elle ne stoppe que quand il n'y a plus rien. Elle attend, à quatre pattes, les mamelles pendantes, les ordres de son Maître.

Dis donc, Ali, tu l'as bien dressée, cette chienne.

Elle a encore du boulot. Tu vois bien, elle n'est même pas capable d'avaler.

Je peux?

Vas-y, tu as payé.

Viens ici, salope. À quatre pattes.

Le client s'est assis sur une chaise. Il a les jambes écartées. Lola avance vers lui, comme un petit animal craintif. Quand elle est suffisamment prêt de lui, il attrape la laisse et tire sa tête vers sa queue flasque.

Suce-moi, pouffiasse. À genoux et sans les mains.

Lola ouvre la bouche et aspire le sexe flasque. Elle essaie de le réveiller en le caressant avec sa langue.

Marie, mets lui du rouge à lèvres. Ça m'excite de me faire pomper par une bouche bien rouge.

La serveuse s'approche et lui tire violemment les cheveux en arrière. Elle maquille les lèvres de Lola pour les rendre très vulgaires. Mais de quoi peut-elle se plaindre? Elle est nue, à genoux, devant un homme qui exige qu'elle le suce, et elle le fait. Il lui veut des lèvres de pute, eh bien, c'est ce qu'elle est.

Elle réembouche la bite. À chaque mouvement, elle sent le goût du rouge. Mais elle est en train de réussir. Le sexe grossit dans sa bouche. Elle continue vaillamment.

Nouvelle giclée de sperme. Lola se fait un devoir de ne rien laisser tomber et montre qu'elle avale tout. Puis elle reste à genoux, aux pieds de l'homme qui lui flatte un sein.

Dommage que ma bite soit vide. Je lui en aurais bien mis un coup dans la chatte.

Ce sera pour la prochaine fois.

Le client est parti.

C'est bien, ma petite Lola, tu t'es bien reprise.

Merci Maître. Je voulais vous faire plaisir en réussissant l'épreuve que vous m'imposiez.

L'épreuve? Quelle épreuve?

Eh bien, mais me donner à un inconnu, devant vous.

Monsieur Ali éclate de rire.

Mais tu n'as rien compris, petite conne. Ce n'était pas une épreuve. C'était ton premier client.

Je ne peux pas me prostituer, Maître.

Je ne te demande pas ton avis, salope. Tu me dois plein de pognon et tu pourras arrêter, si tu en as encore envie, à ce moment là, quand tu m'auras tout remboursé.

Encore une fois, le chantage. C se rend compte qu'elle n'a pas vraiment le choix. Elle baisse la tête. Ali sait qu'il a gagné et que cette jeune femme maintenant lui appartient.

Approche, Lola. Suce ma langue.

Domptée, ne s'appartenant plus, C entoure de ses lèvres, sur lesquelles il reste un peu de rouge, la langue de son Maître, qui est aussi devenu son souteneur. Elle s'applique à la sucer, la caressant de sa propre langue.

Bouge ton cul et tes nichons, pouffiasse. Il faut que tu donnes envie de te baiser.

C ondule du bassin et des épaules. Ses seins ballottent.

Voilà, comme ça, Lola. Là, tu es vraiment baisable.

Maintenant, tourne-toi et plie-toi en deux. Comme ça, c'est bien. Ecarte tes fesses avec tes deux mains. Je veux voir ton trou du cul.

Éperdue de honte, C, cependant, obéit. Elle sent le doigt de son Maître caresser son anus. Le doigt essaie de forcer sa corolle qui se refuse.

Pousse comme si tu étais aux chiottes.

Ça y est. Le doigt est entré dans son derrière. C sanglote. Jamais, elle n'a accepté cela.

Youssef avait raison. Tu es vraiment trop étroite. Il va falloir arranger ça.

Que veut-il dire? Ce n'est pas possible, elle ne peut pas accepter cela. Et pourtant, elle ne dit rien.

Ce soir, tu passes au sex-shop. Le patron saura quoi faire.

D'autre part, demain, ce n'est pas la peine de venir le midi. Je t'attends ici, à dix-huit heures. Tu porteras tes bas et n'oublie pas de te maquiller. Maintenant, casse-toi.

C renfile sa mini-jupe, son chemisier et quitte la cuisine. Comment va-t-elle dire à son mari qu'elle doit sortir ce soir et qu'elle ne rentrera pas demain soir?

En quittant l'école, C décide de ne pas rentrer à la maison et d'aller directement au sex-shop.

En poussant la porte, elle réalise qu'elle a gardé ses vêtements de sage institutrice. Elle se doute bien que le patron va faire son rapport à Maître Ali et que ses fesses risquent encore de chauffer. Mais trop tard pour faire demi-tour.

Mais c'est notre petite institutrice, l'esclave de Monsieur Ali, s'exclame le patron.

Les clients affairés à regarder cette débauche de chair féminine nue et exhibée se retournent en entendant ces mots. C ne sait plus où se mettre, elle est toute rouge. Elle se dirige vers le comptoir.

Alors, ma petite chienne, on est venu faire ses courses.

Monsieur Ali m'a demandé de passer, et vous saurez pourquoi, dit-elle à voix basse.

Comment l'as-tu appelé?

Maître, Maître Ali... souffle-t-elle.

Je pense qu'il sera fâché de savoir que tu oublies les bonnes manières.

Non, s'il vous plait, monsieur.

Si, mais dis-moi, qu'est-ce-que tu es venue chercher?

Vous savez bien.

Explique-toi, c'est pour quoi aujourd'hui?

C réalise que le patron veut qu'elle dise tout haut la raison de sa présence dans le magasin.

C'est pour... arranger mes fesses.

Tu veux dire, ton cul.

Oui.

Alors, dis-le. J'attends.

C'est pour mon cul, Monsieur.

Messieurs, dit-il aux clients, cette pute a le cul tellement serré qu'il refuse les bons chibres d'hommes. Ne faut-il pas arranger ça?

Surement.

Il faut lui arrondir la rondelle.

Elle sera bonne, à enculer.

Les clients se sont approchés et la détaillent, sans vergogne, comme une marchandise exposée.

Bon, enlève ta jupe, et ta culotte si tu en as une.

C se retrouve encore une fois quasi nue (elle a gardé son chemisier et ses chaussures) au milieu d'hommes inconnus. Cela commence à devenir une habitude, et, pourtant, elle ne s'y fait pas.

Le patron s'approche d'elle, tenant à la main un objet de plastique noir, légèrement conique, terminé par une crinière et un tube de gel.

C'est un plug. Je vais te montrer comment t'en servir, salope.

Écarte les fesses avec tes mains. N'oublie pas de le lubrifier.

C se met en position. Elle est obligée de se pencher en avant et elle se voit dans le miroir, pliée en deux, tendant son derrière nu à un homme inconnu. Elle le voit approcher l'objet, luisant de gel, de ses fesses. Elle sent le « plug » appuyer sur son anus. Non, ce n'est pas possible. Et pourtant, si. Le patron demande à deux clients de la maintenir par les épaules. Ils se précipitent pour pouvoir la toucher, être au plus près du spectacle. Il pousse l'objet en plastique sur sa chair.

Tenez la bien. Et toi, pousse, comme pour la grosse commission.

Les mêmes ordres que ceux de Maître Ali. Puis, l'objet en plastique perce la résistance. C le sent entrer en elle. Ça la déchire. Elle se retient de crier, mais ses larmes coulent. C'est de plus en plus gros dans son anus, la faute à cette forme conique. Soudain, elle se sent avaler le plug. Il est tout en elle. Il la remplit de manière brutale, mais il tient en place.

Regarde-toi dans la glace.

Effarée, elle voit une forme noire épouser ses fesses et une queue de cheval en sortir.

La belle pouliche.

Je lui ferais bien un petit galop, à cette salope.

Tu as vu comment faire, lui demande le patron.

Oui, Monsieur. Alors, à toi. Montre-moi.

Maintenant?

Dépêche-toi, salope.

Et il lui enlève le plug d'un seul coup. Un grand vide entre ses fesses. Le plug dans sa main.

Suce-le avant de te l'enfiler.

C s'exécute. Le cône est dans sa bouche, la crinière pend de ses lèvres. Elle a le goût de son anus dans la bouche. Haut-le-cœur, et pourtant, elle s'applique. Les clients applaudissent.

C'est bon. Écarte tes fesses et enfile-toi le plug dans le cul.

C s'ouvre avec une main. L'autre approche l'objet de sa rosette. Elle appuie. Sa salive aide l'intromission de l'objet. Elle sent ses sphincters recevoir le plastique. Elle a mal mais elle continue. Ça y est. Elle sent la partie la plus large du cône. Elle continue à appuyer. Elle sent soudain le plug avalé par son cul. Elle retire la main et reste ainsi, souffle coupé.

Enlève ton chemisier et mets-toi à quatre pattes, comme une chienne.

Avance. Fais le tour du magasin.

C voit, dans les miroirs, la chienne qu'elle est devenue passer à côté des clients qui l'encouragent. La crinière caresse ses cuisses.

Reviens vers moi. Reste à genoux.

Le patron ouvre sa braguette et en sort un sexe redoutable, plus long et plus gros que ce qu'elle a vu jusqu'à maintenant. Il se masturbe lentement devant elle.

Suce-moi maintenant. Et sois bien douce.

C ne pense même pas à refuser. Elle sait que c'est ce que veut son Maître. Elle commence par lécher la colonne tendue, puis se la met en bouche. Elle fait coulisser ses lèvres le long de la bite, essayant de l'avaler le plus profond possible.

Cadan3
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