Mon bel Hidalgo

Stéphanie et moi étions allongées dans mon lit, nue comme des vers. Nos bouches étaient unies dans un baiser doux et mouillé. On avait tout notre temps. On était pas pressée. Son copain étant en province et elle pouvait rester toute la nuit avec moi.

Elle est pourtant très attachée à son copain. Il avait fallu de long mois et de long effort de ma part avant qu'elle finisse par craquer. C'eut été dommage pour la gente féminine qu'elle ne craque pas. La belle est très douée dans les jeux de Lesbos. Elle n'a pourtant pas quitté son compagnon. Je ne lui en veux pas.

Mes mains parcouraient ce corps que je ne connaissais que trop bien. La belle gémissait de temps en temps.

Ses mains me titillaient également me mettant dans le même état émotionnel qu'elle.

Nos bouches se séparèrent. Elle me souriait, les yeux brillants.

-  Dis moi mon amour?"

-  Oui."

-  Tu ne m'a jamais dit si tu avais déjà bien fait l'amour avec un homme, si tu avais apprécié?"

Je réfléchis un peu.

-  Oui, avec ton homme." Dis je en rigolant.

-  Arrête, je suis sérieuse."

Elle l'était effectivement.

-  J'ai eu une aventure qui reste gravée dans ma mémoire."

-  Raconte!"

-  Je veux bien mais une seule condition?"

-  La quel."

Du regard, je lui montrais ma petite chatte.

Elle sourit et m'embrassa tendrement.

-  Ok!" dit elle en se levant pour aller au pied de mon lit.

Elle glissa un coussin sous mes fesses et s'installa confortablement entre mes cuisses.

-  Qui commence?" dit elle avec un sourire coquin tout en massant mon pubis.

-  A toi!"

-  Ok!"

Elle approcha sa bouche. Sa langue commença à glisser sur ma vulve onctueuse.

................

"J'étais à un congrès en Espagne. Je dois l'avouer, mais le sujet était finalement rasoir. Je profitais plus de la piscine et de la salle de massage, que de la salle de conférence. Je ne passais que la matinée dans la salle de conférence.

Je le remarquais le troisième jour : un beau brun, ténébreux.

Tu me connais, je suis plus attirée par les femmes que les hommes, mais celui-ci m'émoustilla grandement.

Il remarqua qu'il était le sujet de toutes mon attention. J'eus droit à un sourire, mon dieu ce sourire.

On déjeuna le midi à la même table. On échangea pas un mot mais c'est comme si l'on avait parlé des heures. Mon sexe était humide.

Je finis par me lever, afin d'aller me calmer un peu dans ma chambre. Il se leva également. Je le regardais et je lui souris.

Je me dirigeais vers l'ascenseur. Je remarquais qu'il me suivait. Mon cœur s'emballa. Une fois dans l'ascenseur, il appuya sur un étage différent du mien. Je fus déçu et mon cœur se brisa. Il allait à un étage au dessus.

Je descendais à destination et me dirigeais vers ma chambre sans regarder derrière moi. J'aurais du parce qu'il me suivait.

Une fois que j'eus ouvert la porte, je poussais un cri de surprise en le découvrant près de moi. Il mit une main sur le bas de mon dos et me poussa doucement dans la chambre. Il referma la porte derrière lui.

Il me poussa alors, toujours en douceur, vers un mur de la chambre. Il me retira la veste puis déboutonna mon chemiser, sans dire un mot.

Mon corps tremblait.

Je ne portais pas de soutien-gorges. Il dégagea ma poitrine et se mit à la sucer avidement. Je levais ma tête et un gémissement s'échappa de ma gorge. Ma jupe était suffisamment courte pour qu'il accède facilement à mon intimité. Sa main glissa sur mon string en satin noir.

Il murmura quelque chose en espagnole lorsqu'il découvrit mon excitation.

J'étais dans une chambre d'hôtel, planté dans mes escarpins, le corps ondulant sous les assauts d'un inconnu."

Je m'arrêtais pour reprendre mon souffle tellement ma belle petite chatte était soumise à rude épreuve. Stéphanie s'arrêta. Je gémis de désapprobation.

-  Je continue, si tu continues!" dit t'elle.

"Je roulais ma jupe sur mes hanches et retirais mon chemisier."

Stéphanie repris son travail de lustrage.

"Tout en me léchant les seins, il me pétrissait les fesses, tirant de temps en temps sur mon string ce qui le faisait glisser entre mes lèvres humides. Je gémissais de plaisir.

Il me fit asseoir sur une table et là on échangea notre premier baiser. J'ouvris mes jambes. Il me caressa alors le pubis à travers mon string, glissant ses doigts sur mes lèvres juteuses. C'était divin.

Il me fit alors m'appuyer sur la table offrant ainsi mon postérieur. Il glissa alors un doigt en moi. Je me cambrais plus en gémissant de plus belle. Il glissa un deuxième doigt.. J'étais au ciel.

Il ne s'intéressa pas qu'à ma petite chatte. Il glissa aussi deux doigts dans la partie la plus étroite de ma personne. Mon doux mâle me branla par les deux orifices.

J'aimais beaucoup et le lui fit comprendre par de long gémissements et des mouvements du bassin.

Il me branla un bon moment avant que je ne décide de m'occuper de lui.

Je retirais mon chemisier, m'agenouillais tout en le collant contre la table et sortit son pénis tuméfié. L'engin était de belle taille. Je le caressais tout en le regardant et l'embouchais doucement.

Je ne me jetais pas dessus comme une sauvage. Je le suçais et le léchais doucement. Il me prit la tête. Il gémissait, appréciant ma douce caresse buccale.

Je glissais deux doigts dans ma grotte liquéfiée et me masturbais tout en le suçant.

Un moment, je sentis ses boules se contracter. Il allait jouir. Pas maintenant, je t'en prie.

J'arrêtais le travail de ma bouche et me relevais. On s'embrassa.

Afin qu'il reprenne ses esprits, je m'écartais de lui pour retirer ma jupe roulée à ma taille. Je ne gardais que mon string. Il se déshabilla lui aussi. Il mit un préservatif sur son superbe membre.

Je me couchais alors sur la table posant un genoux sur le dessus, offrant ma fleur à ses envies.

Il fit entrer et sortir son pieu plusieurs fois avant que je ne proteste.

-  Baises moi, prends moi sauvagement...", pensant qu'il ne comprenait pas, je le lui dis en Anglais: "Fuck me, please, fuck me harder..."

J'eus droit alors à l'une des plus belles levrettes de ma vie. J'étais au paradis. Il me baisait merveilleusement bien. Je jouis plusieurs fois et lui continuait son travail sans tenir compte de mes cris de jouissances."

Stéphanie leva sa frimousse barbouillée de mes liqueurs.

-  Continue, mon amour, oh continue..." dit elle.

"Il s'arrêta soudain et me prit dans ses bras. Je protestais mais j'étais impatiente de savoir ce qu'il mijotait.

Il me déposa dans le lit. Il me branla à nouveau tout en me suçant les seins. Je ne voulais qu'une chose. Que sa bite me reprenne.

Je le basculais sur le lit, grimpais sur son ventre et m'empalais sur son membre puissant. Je partis dans une chevauché d'enfer. J'alternais le trot et le galop.

La pièce était remplie de nos gémissements. Il me tenait soi par les seins, soit par les fesses. J'avais les mains sur le mur, la tête en arrière, gémissant, râlant. J'eus de nombreux orgasme encore une fois sans qu'il ne crache sa semence.

Je me fis reprendre à nouveau en levrette. Il me tenait par les cheveux et me baisait sauvagement. Il ne tint pas longtemps à ce rythme.

Il se tétanisa et cracha sa semence dans le préservatif. Mon orgasme fut aussi bon que le sien. J'avais des étoiles devant les yeux.

On se retrouva allongé l'un contre l'autre, reprenant nos esprits.

Il m'embrassa un sein et se leva. Il se rhabilla et après un dernier baiser sur le front, il quitta ma chambre. Pas une seule parole n'avait été échangée durant tout ce temps.

Je pris alors une longue douche et ne sortis de ma chambre que le lendemain. J'avais à nouveau envi de lui. Je retrouvais mon bel Hidalgo en conversation avec une charmante blonde. Il avait bon goût. Je l'aurais bien croqué moi aussi.

Il la suivit, comme il m'avait suivi la veille. Tant pis, il restera un bon souvenir."

Stéphanie conclu mon histoire en me faisant jouir. Elle approcha sa belle frimousse de ma bouche. Je nettoyais le résultat de son travail.

On s'enlaça. On avait tout notre temps. Je lui rendis la pareil un peu plus tard dans la nuit.