Mon Apocalypse à Moi 09

Informations sur Récit
Apport de sang frais de la péninsule ibérique.
2.8k mots
4.52
8.5k
1
0

Partie 9 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Desonrage
Desonrage
14 Admirateurs

9

Je montrais le pré à Sylvie. Elle plongea la main dans la terre et eut un sifflement admiratif.

-C'est quasiment du terreau! S'exclama-t'elle.

Elle égrèna la terre dans ses mains. Elle examina sa paume.

-Il y a de la cendre. C'est bizarre.

-Pourquoi? Demandais-je.

-C'est comme si quelqu'un avait mêlé intentionnellement de la cendre à la terre. Cette terre est pleine de vie.

-C'est le cas. Je la griffe en février et je sème du gazon en mars, avril.

-D'où tu as cette cendre?

-De mes victimes. Je détruisais les corps au four. Il y a dix huit corps dans le pré.

-Tu es un assassin.

-Oui. De femmes. Je les enlevais et je les gardais en vie le plus possible.

-Tu leur faisais quoi?

-Tout ce que je voulais. À peu près ce que je fais aux filles à la maison. Et à Suzy.

Elle ne dit mot.

-Mais sur une seule, ça fait des dégâts.

-En tout cas, tu as une super terre.

-Tu peux semer quand? On a un énorme stock de graines.

-L'année prochaine. On est trop tard dans la saison. Il faut aller chercher des plants dans les jardins.

-Je te mets Kévin, Aurélie, Bernard et tes gamins. Tu as besoin de Kévin pour la protection.

-Mais je vais rester à poil?

-Tu peux mettre des bottes et des gants. Tes enfants t'ont jamais vue nue?

-Je ne suis pas pudique. J'ai plus peur de Kévin.

Je riais avec dédain. Kévin ne prenait que ce que je lui donnais.

Quinze jours plus tard, je traînais dans le hameau. C'était une belle journée de printemps. Je montais tout en haut de la colline. Je vis deux ombres sur la plaine qui se déplaçaient différemment des zombies de ci de là. Je levais mes jumelles de marine. C'était deux femmes, à priori. Elles couraient dans les espaces découverts et s'arrêtaient longtemps dans les ombres. Je descendis chercher Kévin.

La camionnette pila devant elles sur la rue, j'ouvrais la porte latérale et leur criais de monter. Elle se précipitèrent. Bon sang, ce qu'elles puaient. Elle descendirent dans une maison durcie et admiraient la propreté des lieux.

-Vous schlinguez dis-je

-C'est pour pas que les "Z" nous repèrent , dit une des deux.

-Qui êtes vous?

-Sara et Nadia Goncalves.

-Et qu'est ce que vous foutez à vous balader dans la plaine?

-On cherche à boire et à manger. On a rien mangé depuis des jours.

-Vous êtes seules?

-Non, répondit Sara

-Oui, Nadia.

-Choisissez. Dis-je,agacé.

Kévin leur donna une bouteille d'eau et des barres énergétiques. Elle les mangèrent avec appétit.

-Il y a notre frère, mais il est resté avec notre mère

-Pourquoi?

-Elle s'est tordu la cheville.

-Vous arrivez d' où?

-De Bermigny. Il y a un gang de motards qui rode et qui fait régner la terreur.

-Les Night Runners?

-Oui, vous êtes avec eux?

Je souriais en songeant au tatouage "NR" avec des flammes autour sur l'omoplate de Suzy.

-Vous les avez vu, ces jours-ci?

-Non. Ils doivent se cacher. C'est pour ça, on a quitté la ville avant l'aube.

-Après vous être enduites de merde?

-C'est pour tromper l'odorat des "z"

Je ricanais franchement.

-Les zombies n'ont pas d'odorat, pas plus que vous ou moi. Ils se repèrent à la vue. La lumière du jour les éblouit, ce qui fait que vous vous êtes déplacées quand ils ont une excellente vue. Ils entendent les déplacements mais ne peuvent pas en déterminer la direction. C'est pour ça qu'ils tournent sur eux même régulièrement.

-Comment savez vous cela? S'étonna Sara.

-Je regarde la télé. Il y a un point régulier sur ce que l'on sait au sujet des monstres.

-Vous avez la télé?

-Bien sûr. Tout le monde a la télévision. Mais j'ai de l'électricité.

Les deux soeurs ouvrirent de grands yeux.

-Écoutez, vous allez prendre une douche. Dis-je. Vous puez tant que je vais vous vomir dessus, sinon. On va vous donner des fringues et des vivres et vous allez nous guider jusqu'à votre refuge.

-Notre maison.

-Votre maison. Qu' est-ce que vous faites dans la vie?

-Je suis aide soignante, j'aide ma mère infirmière qui travaille en libéral. Répondis Sara. Nadia est en première et mon frère est électricien et aidait notre père dans son entreprise.

-"Goncalves et fils" commentais-je. Ils ont construit ma piscine. Je vois.

Elle hochèrent la tête. Leur père était un brave gars qui trompait sa femme avec Nathalie, sa comptable. Je songeais qu'il faudrait que je montre le DVD à leur mère.

Elle se douchèrent à l'eau froide dans la maison durcie. Kévin ne pouvait détacher son regard du petit moniteur qui nous transmettait les images et le son.

-C'est notre chance! Disait Nadia.

-Je n'aime pas leur regard, répondait Sara.

-Tu préfères retourner de cacher avec Brian? Protesta La cadette.

-Mais si c'était un piège?

-Ils n'ont pas faim, ils sentent bon. Tu as sucé un gars pour une boîte de conserve.

-Ça va, n'en rajoute pas.

-S'il le faut,je suis prête à me faire sauter pour avoir à manger. Et l'eau courante, et l'électricité!

Je toquais à la porte de la salle de bains, pour signaler mon entrée. Les deux filles se drapaient dans des serviettes de bain.

-Elles sentent bon, vos serviettes. Dit Sara, sans tenir compte du regard furibond de sa sœur.

-Vous complimenterez notre lavandière si vous la rencontrez.

-Vous êtes nombreux? Demanda Nadia.

-Assez pour se défendre. Mais vous pouvez apporter un plus.

-Comment ça va se passer? S'inquiéta Sara

-On va vous ramener chez vous, puis on va récupérer votre mère et votre frère. Je vais arrêter la camionnette dans un coin tranquille, une autre maison, vous expliquer les conditions et après vous déciderez. Soit vous nous rejoignez, soit je vous ramène.

Je sortis de la pièce, elle suivirent peu après, en jogging.

Leur maison était ceinte de murs. Elle ouvrirent le gros portail, pendant que je dégringolais trois zombies trop curieux à la 22 depuis le toit de la camionnette.

La mère Goncalves ressemblait à une parodie de portugaise. Petite,limite obèse, avec des fringues colorées et une ombre velue au dessus des lèvres. Le fils ressemblait à son père, trapu et velu, avec des bras puissants.

Ils écoutèrent le récit de notre rencontre avec les filles et finalement, la mère demanda comment faire pour nous rejoindre. On était en sécurité, dans leur taudis encombré de bibelots. Je décidais de leur parler ici.

-C'est simple. Je commande, et vous obéissez. Commençais-je. Vous devez coucher avec moi ou celui que je vous désigne, et faire les tâches que je commande.

-Comment ça? Demanda la mère, qui s'appelait bien sûr Maria.

-Vous baisez comme je veux, avec qui je veux , quand je veux.

-Vous voulez faire de mes filles tes putes?

-Mes femmes. Et celles de Kévin. Ernesto utilisera les autres. Mais vous aussi.

-Moi?

-Bien sûr, vous êtes bien une femme,non?

Elle eut l'air stupéfaite.

-Par contre, quel âge a Sara?

-Dix sept ans.

-Elle est tranquille jusqu'à ses dix huit ans.

-Jusqu' en octobre, donc, précisa Nadia.

-Et si on vient, on peut partir? Demanda Maria.

-Je vous dépose à vingt km avec cinq jours de bouffe. Mais personne n'est encore parti.

-J'ai peine à vous croire.

-Il y a une formalité.

-Ah?

-Pour prouvez votre obéissance, il faut le golf à trois trous.

Ernesto eut un vague sursaut. Il connaissait l'expression. Son portable avait du beaucoup diffuser de porno.

-Qu'est-ce que c'est que cette invention?

-La bouche, la chatte, le cul.

-Vous allez baiser Nadia?

-Kévin va baiser Nadia. Moi je vais te baiser,toi.

Elle en resta coite. La maîtresse femme en face de moi ne se considérait plus comme un objet sexuel.

-Si Sara avait été majeure , ça aurait compliqué les choses. On aurait été obligé de faire ça en deux fois. Ernesto n'a rien fait pour la communauté aujourd'hui, il n'a pas le droit de baiser.

-Sa propre soeur? S'indigna Maria.

-Vous venez d'un pays où l'on épouse souvent sa cousine , ne jouez pas à l' effarouchée.

Je laissais passer un silence gêné. Puis Maria dit: " d'accord."

Kévin commença à déshabiller Nadia, posant soigneusement les vêtements sur une chaise. Puis il se déshabilla. Il était excité. Il n'avait pas baisé depuis la veille et la gène de la jeune portugaise était un puissant aphrodisiaque.

-La bouche, d'abord. Ordonnais-je.

Nadia se mit à genoux. Elle avait un sexe dessiné en un beau triangle et une jolie poitrine. Elle se pencha sur Kévin et commença à le sucer. Après quelques minutes, je fis un petit signe à Kévin, et il l'étala sur la table basse. Il la besogna avec force , puis la retourna. Il doigta un peu le petit trou, enfin je suppose, puisque je n'avais pas une vision satisfaisante. Mais la soudaine crispation du visage de la jeune brunette m'apprit qu'il commençait à rentrer. Elle poussa une série de petits gémissements assez comiques. Kévin rendit très vite les armes.

Je vis les yeux d'Ernesto briller. C'était de l'excitation pure. Je me levais et ordonnais à Maria de se déshabiller. Elle le fit rapidement et se dressa, ronde et molle, devant moi, avec un regard de défi. Je me déshabillais à mon tour. Elle jeta un regard sur mon sexe érigé, et eut une moue satisfaite. Elle était contente de susciter le désir chez un homme. Je m'avançais vers elle. Elle se laissa tomber à genoux et me prit en bouche. Elle allait et venait avec bonne volonté, mais sans technique. Je lui bloquais la tête et commençais à lui baiser le visage. Elle gargouillait et émettait des bruits humides, tandis que la bave coulait sur son menton. Lorsque je me lassais, je lui fis prendre la place de Nadia sur la table. Elle écarta les cuisses. Son sexe avait l'air d'une large coulée de lave dans une jungle. Le rouge de ses muqueuses humides contrastait violemment avec sa pilosité qui remontait sur son pubis et s'étendait à l'intérieur de ses cuisses. Je la pris d'une poussée. Elle était trempée et eut instantanément un orgasme, qui la fit trembloter comme une gelée. Ses gros seins pendaient à gauche et à droite, laissant une surface lisse au centre. Je la bourrais et elle jouit encore deux fois. Je quittais le sexe qui ruisselait de cyprine et lui ordonnais de se retourner. Elle le fit difficilement, secouée par les répliques de son plaisir. Son cul était réellement impressionnant. Je lui ordonnais de s'écarter et elle plaça ses mains boudinées aux ongles courts sur ses fesses et me présenta son anus. Là encore, une pilosité abondante entourait le petit trou. Tout cela brillait de mouille échappée de sa chatte. Je me plaçais sur l'oeillet serré et entrais jusqu'au fond d'une seule poussée. Elle poussa un cri de truie, et l'une de ses mains glissa . Je la fessais du plat de la main et elle reprit sa position. Je commençais à la pilonner, et je voyais ses poils onduler autour de la colonne de chair. Une petite odeur de merde montait de son petit trou. Ses cris se calmèrent puis changèrent de tonalité. Elle fut de nouveau ébranlée de plaisir. Je sentis son rectum palpiter. Je jouissais dans son cul. Ma bite était maculée de tâches brunes. Je les fis lécher à Maria. Elle s'exécuta avec enthousiasme.

-Tu n'as pas idée à quel point ça m'a manqué. Dit elle.

-On me dit "vous". Précisais je.

-D'accord. Vous voulez bien de nous, alors? Demanda -t'elle

-Oui.

L'arrivée des portugais mit de l'animation dans la maison. Ernesto avait des yeux de fou, devant toutes les nudités féminines exposées. Il regardait particulièrement Katia, qui se penchait pour essuyer une tâche. Ce jeu m'agacait. Je hélais Bernard.

-Suce le , sinon, il va finir par faire une connerie.

Bernard glissa un regard en dessous au jeune artisan, et se mit à genoux. Il prit la jeune bite en bouche et le suça comme une glace. Ernesto lui explosa dans la bouche après seulement deux va-et-vient. Bernard but tout, comme il sied à un bon petit soumis.

-Bon, maintenant,on peut passer à table. Annonçais je.

Les deux jeunes portugaises étaient intarissables. Nadia et Maria étaient nues, mais Sara portait une petite culotte. Elles étaient à l'aise, car les physiques autour de la table n'étaient pas parfaits. Sur le côté, Suzy lapait sa purée et dans un coin, Bernard mangeait avec une cuillère en bois. Il avait demandé à être à part. À présent qu'il acceptait sa perversion, il vivait en caleçon. Ses enfants l'avaient renié. Il l'avait accepté. Pour lui faire plaisir, Priscilla lui urinait régulièrement dans la bouche tandis qu'il se masturbait. Il avait même laissé Katia lui goder le cul. Je vis qu' Ernesto écoutais attentivement.

-Laquelle voudras tu, quand tu auras bien travaillé sur le transformateur? demandais-je.

-Je, je ne sais pas.

Katia le regardait. Il lui jeta un coup d'œil. Il rougit. La moldave rit.

-Tu avais moustache.Dit-elle.

-Oui, dit-il, d'une toute petite voix.

Katia hocha la tête.

-Il viendre avec gode ceinture.

Je regardais Ernesto.

-Tu n'aimes pas les femmes. Dis-je

-Non. C'est mon père qui m'obligeait à aller aux putes. Elles ont toujours été discrètes. Avoua-t' il.

Maria le regardait, stupéfait.

-En fait , c'est nous que tu matais, cet après-midi, dit Kévin, pas ta mère ou tes soeurs.

-Oui. Je voulais être à leur place. Concéda-t'il. J'ai déjà sucé un homme. Un rv sur Internet. On a été au café, à Paris. Et après, chez lui.

Je me demandais s'il allait peindre le transformateur en rose.

-Du coup, tu vas poser un problème de récompense. Observais-je.

-Pourquoi? S'étonna -t'il

-Si Kévin est bon, il a le droit à une fille. Précisais je. Mais toi, qu'est-ce qui te ferait plaisir?

-Je voudrais connaître le sexe avec un garçon.

-Te faire prendre?

-Oui.

Je regardais Kévin qui venait de découvrir quelque chose de follement intéressant dans assiette.

-Si tu travailles bien, on va s'arranger.

-Moi, je veux bien. Dit une voix.

Tous les regards se tournèrent vers Bernard.

Un soulagement passa sur l'Assemblée.

Après dîner, je les fis mettre à quatre pattes, face à face, sa mère et lui. Kévin se plaça derrière Maria et Bernard derrière Ernesto. À mon signal, ils entrèrent dans les culs offert. Maria cria sa honte et sa douleur, mais Ernesto restait tranquille, concentré sur ses sensations. Maria gémissait et pleurait en voyant Bernard travailler le trou de son fils, ce qui contrastait avec son attitude le jour même, quand Nadia recevait Kévin dans son anus. Bernard grogna. Ernesto avait les yeux ouverts et fixés sur ceux de sa mère. Il serra les dents. Elle pleurait et tendit la main pour lui caresser la joue. Elle l'effleura et tomba sous la poussée des reins de Kévin. Elle était effondrée sur le carrelage, le visage du coté gauche . Elle gémit de plus belle. Kévin l'enfilait à présent par au dessus. La plaquant sur le sol avec toute sa vigueur et son poids. Le corps massif de Maria tremblait à chaque coup et elle criait de douleur et d'humiliation. Après un long moment rythmé de lamentations, elle fut secouée d'un frisson. On aurait pu la croire évanouie, mais sa bouche formait des mots en portugais. Kévin resta allongé de tout son poids sur elle. Il avait terminé. La sensation d'inondation dans son arrière train avait déclenché l'arrêt des cris et des gémissements. Elle pleurait silencieusement en regardant Ernesto embrasser Bernard.

-Essuie ta mère, ordonnais-je à Sara qui se précipita avec une serviette éponge.

Je regardais mon harem. Je fis signe à Sylvie d'approcher. J'approchais mon bassin au bord du fauteuil. Elle vint vers moi et se mit à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle commença par me lècher sur toute la longueur de la bite puis après quelques coûts de langue sur le gland, fit coulisser ses lèvres le long du mât de chair qui lui arrondissait les lèvres, elle allait et venait avec lenteur, et de profondes respirations nasales. C'était chaud, moelleux et doux comme caresse. Un véritable régal. Je la laissais insister un peu, puis lui dit d'aller s'allonger sur la table basse.

Elle s'étendit et suivant mes consignes, releva ses jambes en les tenant serrées. C'était un régal à regarder. Sa chatte entretenue dépassait légèrement et son petit trou était l'oeil unique qui semblait inviter mon sexe. J'écartais ses jambes avec douceur, et empoignais chacune de ses chevilles. Je me glissais dans son sexe. À ma grande joie, elle était mouillée. Elle accueillait volontiers notre accouplement. Elle me regarda brièvement. Je vis l'acceptation dans son regard. Et même un peu de plaisir. Je profitais de cette chatte accueillante, comme un amant régulier, sans violence. Je jutais tranquillement. C'était inhabituel, pour moi. Elle me regarda, surprise. Elle sourit.

Je me relevais et allais me faire nettoyer par Suzy. Le silence me surprit. Je songeais qu'ils attendaient que je dise quelque chose.

-Maria. Commençais-je,durement. Songe que tu as peu de chance de te faire baiser par ton fils.

La portugaise secoua la tête, incapable de parler. Je montais me coucher , envoyant Farida organiser le coucher, Christelle sur mes talons.

Desonrage
Desonrage
14 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Dans les Méandres de l'Ombre 01-02 Un thriller policier noir et violent.
Malmenée Dans La Dépanneuse Voiture en panne en pleine campagne.
La Sophie Qui perd gagne.
Clémence, une jeune Aristo (01) Une prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élève.
Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Plus d'histoires