Mon Apocalypse à Moi 06

Informations sur Récit
Dressage de notre animal de compagnie.
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Partie 6 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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Un rire cristallin retentissait en bas. Je descendais voir ce qui déclenchait cette hilarité soudaine. Farida avait sa jupe relevée et riait de bon cœur.

Je toussais pour signaler ma présence.

-Il n'y a pas de sexe! Assura Farida en s'écartant, alors que sa robe retombait en corrole autour d'elle. Je faisais juste pipi.

Suzy était assise le long du mur. Elle portait son attirail complet. Elle était mouillée.

-Elle s'est salie, cette nuit. On l'a lavée, et on l'a rentrée,sinon, elle allait prendre froid. Expliqua mamanpetitdej. Il pleut, dehors.

Sans mot dire, je contournais le bar. J'avais arraché le fouet électrique de la ceinture de Farida. Je passais la lanière sur les fesses de maman terrifiée.

-Je n'aime pas les initiatives.

Mamancul se cambra légèrement. Ses fesses étaient à un centimètre de ma braguette. Je fis sauter les boutons de celle-ci. Tout le monde me regardait. Christelle avec intensité, Kévin avec peur, Priscilla arborait un air peiné et Farida me suppliait du regard. Katia faisait semblant de beurrer une tartine, mais elle me jetait des coups d'œil. Je sortis mon sexe et investissais les reins de mamancul d'une seule et lente poussée. Elle frémit de douleur et d'humiliation mêlées. Toujours ce cul onctueux. Je posais mes mains sur ses hanches.

-Reste. Ordonnais-je à Farida, tandis que maman décollait ses pieds du sol sous mes coups de boutoir

Elle sanglotait, à présent. Je retins mon éjaculation, laissant juste perler une ou deux gouttes. Je sortis du cul du large et confortable et fit de nouveau le tour du bar. Je marchais sans hésiter vers Farida, qui ne pouvait détacher ses yeux de mon membre luisant.

-Reléves ta jupe,ordonnais-je à la gamine terrifiée qui s'exécuta en tremblant.

Je posais le fouet sur sa jambe et appuyais sur le bouton. Sa jambe se déroba sous elle et elle s'effondra avec un glapissement. Je la rattrapais au vol, serrant son bras d'une main ferme. Je la posais sur le sol.

-Si tu prends une initiative, tu en réponds toi, et toi seule. Dis je durement. Tu es en charge de l'ordre et la propreté ici. Ce fouet est la marque de ma confiance. Dois je le donner à quelqu'un d'autre? Ou le veux tu encore?

-Je , je le... Veux. Hoqueta la gamine.

-Alors ne me déçoit plus. Concluais-je en jetant l'indigne objet de son rang sur ses jambes nues.

-Et baisse cette robe, tu es indécente. Concluais-je en refermant mon pantalon.

Katia me servit mon café.

-J'ai cru tu allais Farida baiser. Dit elle.

-Il faut que tu arrêtes de parler comme maître Yoda. Répondis-je.

Je ris. Tout le monde rit. Cela faisait descendre la tension qui avait quasiment fait vibrer l'air dans la pièce. Farida s'appuyait au mur pour se relever et demanda à Priscilla de l'aider à se mettre à table.

-Bon, puisque vous l'avez déjà rentrée et lavée, on va s'occuper de Suzy.

Un silence attentif accueillit ces paroles.

-Mamancuisine prépare un sachet pour 4 de purée en flocons et ajoute deux cent grammes de viandes séchée. Touille pour que cela soit lisse comme un consommé, Et que la viande soit bien dispersée, surtout.

Je m'approchais de Suzy qui me regardait avec de grands yeux.

-On va te nourrir. On va verser ta pâtée dans ta gueule directement, et tu vas tout bien avaler. Si tu vomis, on te remettra tout. Mais il y a un point positif,dans tout ça. Pendant une heure, tu n'auras rien d'autre dans la bouche. Et si tu es vraiment sage, tu auras droit à un peu d'eau. C'est compris?

Elle émit un petit bruit, et tenta de hocher la tête ,ce qui ne pouvait se faire, avec son collier. Mais l'envie de bien faire était manifeste. C'était un avantage supplémentaire à la reprise en main de tout à l'heure. Si je n'hésitais pas à brutaliser les miens que ne ferais je pas à une ennemie. Maman cuisine et Farida étaient occupées à la préparation de la pâtée de la chienne. Priscilla était assise sur le canapé et Katia nettoyait autour de la télévision.

-Où est Aurélie? Demandais-je.

-Elle dort encore, répondit Christelle.

-Va la chercher.

La grosse ne l'était pas tant que ça. Elle avait un petit ventre, pas trop volumineux. Son cul se tenait bien, privilège de la jeunesse. Elle avait la cuisse épaisse mais pas difforme. Elle frissonnait.

-Tu n'es pas ici en tant qu'invitée, dis je. Tu te souviens de la condition pour que tu restes?

-Ne jamais dire non. Murmura-t'elle.

-Bien. Va lècher Christelle.

La première de mes esclaves se positionna sur le fauteuil, les jambes sur les accoudoirs. Ses chairs intimes s'ouvraient, exposant une intimité ouverte. Aurélie approcha son visage de l'humide grotte du plaisir et commença à faire circuler sa langue rose le long de la fente. Christelle lui donnait des indications de la voix et du geste. Après quelques minutes, le corps de Christelle ondula d'une vague de plaisir tandis qu'un petit cri ravi lui échappait. Je vis qu'une brillance était visible entre les grandes lèvres d'Aurélie. Je fis signe à Kévin de s'étendre sur le tapis. Aurélie l'enjamba sur mon ordre et il guida son membre vers sa chatte. Elle était à quatre pattes, et Kévin donnait de lents coups de reins. Elle couinait un peu. Je vins me mettre à genoux devant elle, et lui présentais ma bite. Elle entama une fellation maladroite , surtout que les coups de reins de Kévin la propulsaient en avant et lui faisaient glisser ma bite vers la luette. Quand mon érection fut bien humide je me plaçais derrière elle, bloquant ses jambes avec les miennes. Je poussais, en lui ordonnant de pousser. Elle n'y arrivait pas. Je sentais son envie de se dérober, mais Kévin la serrait dans ses bras et il était un peu plus grand et beaucoup plus fort qu'elle. Je poussais,mes mains crochées dans ses hanches dodues. L'oeillet céda et j'entrais. Elle gémit de douleur. Puis Kévin et moi commençâmes à la pilonner en alternance. Les vagues que cette activité déclenchait dans ses fragiles parois intimes étaient exquises. Kévin se cabra pour jouir devant et je venais à mon tour dans son cul. Je sortis , et Kévin la bascula sur le côté. Elle se pelotonna en pleurant. Cette sensiblerie était agaçante.

-Farida! Appelais je.

Elle dévala l'escalier.

-Nettoie Aurélie, donne lui à déjeuner, puis qu'elle fasse quelque chose d'utile.

Je revins vers mamanpurée, à présent secondée par sa fille. Je plongeais mon doigt dans la purée.

-C'est peut être trop salé, dit maman.

-C'est parfait. Cela lui donnera soif. Vous verrez qu'elle va désirer qu'on lui pisse dedans.

Je transvasais de la purée liquide et tiède dans un broc en verre. Je m'approchais de Suzy qui suivait mes mouvements du regard dans oser bouger. Je la repoussais jusqu'au mur. Je versais le brouet dans l'écarteur. Je vis qu'elle déglutissait , je remplis plusieurs fois sa bouche, et elle avala tout. Je donnais le récipient à Farida qui enchaîna. En moins de dix minutes, le saladier de purée fut transvasé dans la prisonnière. J'autorisais Farida à lui donner à boire. Je m'installais devant la télé. Bizarrement, une chaîne privée avait recommencé à émettre, avec même une des présentatrices vedettes. Justement la blonde rappelait les consignes de sécurité. Ne pas signaler sa présence et ne pas répondre à ceux qui demandaient une localisation précise. Le pays était traversé par des bandes armées qui fondaient sur les imprudents. Elle rappelait que le seul endroit où laisser ses coordonnées était le site officiel terminant par .gouv.fr, et que les services de l'État étaient seuls compétents à venir à notre secours. Le reste du journal était consacré à un reportage sur la zone safe des Alpes, et la civilisation qui s'y maintenait sous l'autorité du préfet Bornier et du ministre Sanront, au moins jusqu'à l'organisation d'élections. En fin d'édition, la liste des qualifications désirées défilait, avec leur nombre. On ne cherchait aucun prof d'histoire contractuel, ni femme au foyer. Quand aux jeunes, leur totale absence de compétences directement utilisables était patente. Honnêtement,le nouveau monde n'avait pas besoin de nous. En tout cas, pas encore. Quand les vivres manqueraient dans leur nid d'aigle, ils lanceraient des expéditions de "ravitaillement" pour piller les réserves des naïfs qui auront mis leurs états de stocks en ligne. Et puis qui pourrait sérieusement penser à passer à autre chose avec des soumises prêtes à offrir leurs orifices sur un signe de moi?

Je me déplaçais vers Suzy. Elle me regardait par en dessous. J'effleurais sa luette du bout du majeur. Elle eut un sursaut de dégoût, mais improductif. La vidange stomacale était rapide, avec la purée. C'était presque déjà digéré et très nourrissant . Je me dirigeais vers ma cantine à sextoys. J'en sortis un plug de belle taille.

-C'est possible, ça? S'étonna Christelle.

-Oui. Répondis-je. Je pourrais rentrer mon poing dans son fion. Ça rentrerait dans le tien ou même celui de Kévin. C'est une question de dilatation. On va dilater cette salope.

Maman réprima une exclamation.

-Souviens toi qu'elle et ses copains avaient prévu de nous massacrer et de tout nous prendre. Tu regrettes?

-Non. Avoua-t' elle.

Alors viens avec ton huile.

Je posais le plug devant Suzy.

-Suce le. Plus il sera mouillé, mieux il entrera.

Maman se plaça derrière le cul rejeté en arrière par la succion de l'objet. Maman avait mis de l'huile dans une coupelle et se graissa les doigts. Elle introduisit son index puis joignit son majeur et tourna. Elle se servit ensuite de ses doigts comme gouttière pour ajouter de l'huile. Je fis signe à Farida de partir dans l'escalier. Elle disparut de ma vue. Je récupérais le plug. Je posais son extrémité ronde contre le petit trou palpitant. Je poussais en tournant et engageais les premiers centimètres Suzy avança pour échapper à cette intrusion.

-Aurélie, viens la tenir. Ordonnais-je.

Avec un méchant sourire, la petite grosse vint s'asseoir sur les épaules de celle qui avait participé au meurtre de ses parents. Celle-ci s'effondra, en position de l'adorant , visage contre le sol et cul en l'air. Je recommençais les rotations lente avec appui. Le corps de caoutchouc noir s'enfonçait lentement dans l'anus de plus en plus ouvert, à la limite de la rupture. Des cris de bête rauques sortaient de la bouche maintenue ouverte. Un long gémissement où s'entendait le basculement dans une autre réalité, pleine de l'intolérable et implacable douleur qui irradiait dans tout son corps. l'énorme plug s'enfonçait en elle, forant un passage impossible dans ses chairs les plus tendres et les plus fragiles. Enfin le bourrelet fut franchi et l'anus de Suzy se serra autour de l'étranglement qui suivait. L'oeillet ouvert en grand n'était plus fripé. C'était à présent un cordon lisse tendu comme un chouchou de queue de cheval autour d'un tronc d'arbre. Je devissais la base du large socle , laissant un plus petite et qui découvrait l'orifice de sa vulve, serré, puisque protégé par le périnée. Je sortis mon sexe à demi érigé.

-Suce moi, mamanbouche. Dis-je.

Maman se mit à quatre pattes devant moi agenouillé. Elle ouvrit ses lèvres et coulissa sur la hampe. Seule sa bouche travaillait, mais elle s'appliquait avec sa langue. Caressant le frein du gland lorsque je ressortais presque. Dans cette position, elle réussit deux fois sans dégoût à l'avaler en entier, sans le recracher ensuite. J' étais bien dur à présent, et lubrifié de bave. Je m'approchais de Suzy, et je voyais les fesses d'Aurélie toujours posées là où je lui avais ordonné de se mettre. Le volume du plug avait resserrée cette chatte qui n'était de plus, pas préparée du tout, ni consentante. C'était un vrai régal. Le fourreau étroit m'enserrait la bite comme celui d'une épée. La bave de maman fut bientôt supplée par la mouille de Suzy. Je fis signe à Aurélie de s'écarter. Ma victime du moment ne bougeait pas, acceptant passivement son viol. Je la bourrais longtemps, avant de lui tapisser les parois de mon sperme. Je me retirais avec un bruit humide. Je me plaçais à sa tête. Sur mon ordre, elle se plaça docilement à quatre pattes et je me nettoyais sur sa langue.

En fin d'après midi, Suzy gémissait de nouveau sans s'arrêter, se tenant le ventre. Je détachais sa laisse du radiateur et l'emmenais dans le jardin. Je crochais mes doigts dans le support du plug et tirai un coup sec. Elle expulsa sa merde et son urine à quatre pattes, les fesses le plus en arrière possible. C'était un spectacle mémorable. Je faisais faire ses besoins à la chienne. Derrière les fenêtres de la pièce, je voyais les autres admirer le spectacle.

Je lui avais ordonné de faire attention à ne pas en mettre partout, sous peine de connaître le fouet . Elle faisait attention. Ne pas subir le fouet était tout ce qu'elle espérait. Lorsqu'elle eut fini, je la fis progresser de deux mètres, toujours à quatre pattes dans l'herbe humide. J'inspectais le bas de son son corps.

-C'est bien, bonne chienne. Dis-je en lui grattant la tête.

Son anus baillait, élargi par le plug. Je la fis s'incliner vers le sol et le remis en place. Un râle d'agonie sortit de Suzy, mais elle ne résista pas, ni ne tenta de s'échapper. Je rentrais la chienne, puis , rafraîchi par l'herbe humide, la redressais sur les genoux. Je plaçais mon sexe ramolli dans l'écarteur et ordonnais"avale". J'avais consulté un blog sur l'éducation canine, et je voulais voir si je pouvais éduquer une humaine. En tout cas elle raidit sa position et déglutit régulièrement. C'était doux et bon parce que contraire à la nature. J'autorisais Kévin à la prendre ensuite, ce qu'il fit sans se faire prier. Lui aussi se nettoya sur sa langue tandis que je discutais avec Katia et Christelle d'idées de distractions. J'aimais bien la pute moldave. Elle avait bien été dressée et se vantait régulièrement d'être la meilleure du cheptel de Boban, son souteneur, et d'être une call girl de classe et pas une pute de chantier. Elle s'acquittait sans rechigner des tâches les plus pénibles, et ne protestait pas, ni aux ordres de Farida, ni aux miens. Farida, depuis sa leçon du matin, menait son monde à la baguette. Au fouet électrique à chien serait plus juste comme terme, d'ailleurs. Au repas du soir, j'annonçais que le lendemain serait dédié à une belle partouze. Il était temps que toutes les filles goûtent les unes aux autres. Pour l'occasion, on sortirait des sex toys et les hommes prendraient le nécessaire pour tenir la distance.

-Ça serait mieux de nous mettre deux par deux, dit Christelle.

Je toisais l'importune.

-Je ne te demande pas ton avis. Répondis-je .

-Ça serait plus sympa.

Je la regardais fixement. C'est un regard sur j'ai mis au point en classe. Je laisse affleurer la colère pour calmer les importuns, et j'accompagne ces yeux terribles d'une expiration nasale. J' essuyais mes lèvres en les tamponnant de ma serviette blanche.

-Kévin. Encule Christelle. Lachais-je

-Mais... commença Christelle.

-Un mot de plus et c'est à sec.

Christelle se dénuda et se plaça à quatre pattes sur le tapis. Je me posais dans le fauteuil face à elle et fis signe à Priscilla. La soeur vint se placer entre mes jambes et sortit mon membre, pendant que Kévin se passait de l'huile.

-Regarde moi.

Christelle releva la tête. Kévin guidait son sexe de la main. Christelle grimaça de douleur, mais surtout d'humiliation. Des bruits de va-et-vient commençaient à se faire entendre, accompagnés de claquements de pubis contre fesses, tandis que le jeune homme entamait sa chevauchée brutale. Christelle ahanait sous le rut , prise sans égards par un partenaire non désiré. Son visage était défait et quelques unes de ses grosses larmes scintillaient sur ses joues. Priscilla s'appliquait à sa tâche et juste après que Kévin eut émis un grognement, elle but soigneusement mon sperme jusqu'à la dernière goutte. Elle allait ranger mon sexe lorsque je l'arrêtais. Je me levais et marchais jusqu'à Christelle.

-Prend la bien dans ta bouche.

Elle me regarda. Elle comprit. Son regard vacilla. Elle entoura ma verge de ses lèvres. Le premier jet la fit tousser. Je la laissais récupérer puis lui remis mon sexe en bouche. Je finis ma miction.

Cette fois-ci je la laissais ranger l'instrument de mon pouvoir. D'une traction à l'épaule, je la relevais.

-Tu ne me coupes pas la parole, et tu ne me contredis pas. Dis-je. Ton statut privilégié est dû à mon bon vouloir. Ne recommence plus.

-Excusez-moi. Dit elle.

-C'est pardonné. Tu as été punie. Mais je n'oublie jamais rien.

Elle hocha la tête. Je lui relevais le menton et l'embrassais. Sa bouche avait un arrière goût. Mais c'était l'arrière goût de mon pouvoir.

Je me penchais sur le cas de Suzy.

-Je vais t'enlever l'écarteur, dis je.

-Je donnais quelques petits tours de clé et elle put de nouveau bouger les lèvres. Je vis que cela lui faisait mal, ses articulations avaient été trop longtemps immobilisées. Elle avait l'air de mastiquer dans le vide.

-Tu n'as pas le droit de parler. Et tu dois faire la même chose qu'avec ton écarteur. S'il y a le moindre écart, je te le remets, encore plus ouvert. Hoche la tête pour signifier ton accord.

Elle tenta de hocher la tête.

-Bien, on va te mettre une gamelle d'eau. Si tu as besoin de pisser, trouve un moyen de le signaler.

Elle but une pleine gamelle en lapant , sortant sa langue avec des petits bruits.

Peu après, elle s'agitait en montrant la porte fenêtre du visage. Farida la mena dans la pelouse pour qu'elle s'y soulage.

-Combien de temps va t'on lui laisser ce.. Je ne sais plus. Demanda maman.

-Plug. Encore quelques jours, pour assurer que son cul reste ouvert. Puis on en mettra un autre plus petit, avec une queue.

-Une chienne, ça a une queue. Approuva maman.

Lorsque je donnais le signal du coucher, je suivis Christelle dans notre chambre.

Je la fis mettre la tête dans les bras à genoux sur le lit.

-Tu t'es donnée à un autre. Je suis obligé de te punir. Dis-je, en assouplissant la badine.

Je frappais en travers des fesses. Le sifflement suivi d'un claquement sec retentit dans la maison silencieuse. Au bout du troisième coup, Christelle se mit à gémir. Au cinquième,elle cria, tandis que les traits de coup se superposaient sur ses fesses rondes, traçant de grossières croix rouges violacées. À dix, je posais la badine sur le côté, me dénudais et la rejoignis sur le lit. Elle frissonnait, après la douleur vive, ses fesses lui cuisaient. Je léchais sa vulve exposée, insistant de la pointe de la langue sur le clitoris qui pointait de son petit capuchon. Le son de ses gémissement glissait vers des manifestations de plaisir. Lorsque je l'embrochais, elle ronronnait d'aise. Elle reprit cris et halètements ensuite, au fur et à mesure que s'accélérait le rythme de mes coups de reins. Elle se cambra encore davantage, pour s'offrir plus. Un long cri lui échappa lorsqu' elle s'abandonna à l'orgasme. Je crachais au fond de son vagin. Je m'allongeais sur le dos et la laissait me nettoyer le sexe. Elle se glissa sous mon bras et je la laissais profiter un peu.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Super

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