Mon Apocalypse à Moi 05

Informations sur Récit
Je dejoue un piège et capture une prisonnière.
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Partie 5 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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La route déroulait son ruban d'asphalte à perte de vue. J'avançais vers le sud. Je tournais ensuite à droite sur une petite route ridicule. Les talus étaient pleins d'herbes folles qui poussaient hors de contrôle et de tonte. Le champ derrière agitait sa verdure . Un petit bosquet s'étendait sur la gauche. Le pavillon de banlieue était assiégé par une bonne dizaine de zombies. J'arretais le moteur et Kévin et moi passâmes dans la benne. Christelle prit ma place au volant. Le moteur tournait au ralenti. Je plaçais le bipied de ma 22 lr sur le toit et visait posément. À côté de moi, le jeune homme m'imitait. Je plaçais la première tête grisâtre et échevelée dans mon viseur. Une toux se fit entendre. Le mort vivant s'effondra. Les autres enjambèrent juste le cadavre pour aller frapper sur les volets clos. Je fis signe à Kévin qui ouvrit le feu avec le fusil de son père. Le claquement était plus sec, et le résultat spectaculaire. Le zombie tournoya sur lui même avant de s'étaler alors qu'une gerbe de sang éclaboussait le volet devant lui. C'était trop puissant. Et trop bruyant ,deux zombies se dirigeaient à présent vers nous. Je lui dit de les laisser approcher, puis de les aligner. Je continuais mon oeuvre d'extermination, avec une certaine excitation. Choisir viser,tirer, bam,suivant. Kévin me toucha l'épaule avant de dégringoler les derniers. Enfin, le calme se fit et Christelle nous avança jusqu'à l'entrée. Elle klaxonna deux fois. Quelques minutes plus tard , deux femmes sortirent précipitamment. Une grande d'une trentaine d'années et une jeune plus petite, un peu boulotte. Un mec les suivait . Je haussais les sourcils. Il était pas prévu, lui. Je m'arrêtais à quelques centaines de mètres de la maison. Je descendis. Trois visages inquiets me toisaient depuis la benne.

-Par précaution, on va vous demander de vous déshabiller entièrement et de poser vos affaires sur le bas côté. On ne peut pas laisser quelqu'un de contaminé aller plus loin.

Ils descendirent du véhicule,et commencèrent à ôter leurs vêtements. Le mec avait un air nerveux franchement déplaisant. Il se dessapa quand même. La petite grosse avait des bleus au creux des cuisses. Je savais ce qui laissait ces marques. Des mains qui écartent de force les jambes. La fille s'était faite violer.

Je les fis tourner sur eux même.

-Tout va bien? Demanda-t'il.

-Pas tout à fait, répondis je en lui tirant une balle dans la tête.

Les autres regardaient ,stupéfaits.

-C'est un piège. Comment devait-il prévenir? Vite! Dis-je en plaçant le canon encore chaud sur le front de la grande bringue.

-Avec une fusée. Elle est avec lui. Dit la petite grosse.

-Dans la benne, vite et emmenez le cadavre, ordonnais-je. Kévin, à la maison dure!

La maison dure était une maisonnette à l'écart. Elle ressemblait à celles d'à côté, mais elle était renforcée. J'engouffrais le 4x4 dans le garage et rabattis la porte. Kévin appliqua la barre d'acier. Je montais les filles menottées au rez de chaussée. Il y avait deux fusées dans la sacoche du gars. Une rouge une bleue.

-Quelle couleur? Demandais-je.

-Bleue répondit la grande

-Rouge répondit la petite.

Je sortais la main et tirais les deux.Dix huit motards et un break ne tardèrent pas. Le motard de tête se détacha dans la lumière des phares dans le soleil couchant.

-Hohé de la maison! Cria-t'il.

Ils s'étaient garés avec leur caisse juste au dessus de la plaque d'égout préparée.

-Barrez vous! Criais je.

-Écoute, tu nous laisses rentrer, et on prendra tous tes stocks, on baisera ta meuf et demain, on se casse.

-Votre mec est mort.

-C'était un prospect. Ça ira.

-Si vous partez, je vous tue pas tous.

Un rire me répondit. J'effleurais la télécommande et le break disparut dans une boule de feu. Ils se ruèrent vers la maison et s'etalèrent en se prenant les pieds dans les câbles . Deux d'entre eux commencèrent à convulser suite au sang de zombie qui mouillait les pointes dissimulées par la végétation. Tirer les ombres à contre jour fut un jeu d'enfant. Il fallut ensuite abattre de nouveau ceux qui s'étaient relevés. Vers minuit, les flammes se calmèrent. Je fis encore attendre une heure. Quelques mort-vivants vinrent goûter aux cadavres, mais rien de plus. Je montais sur le toit et regardais autour de là avec les jumelles à intensificateur de lumière. Fabuleuse invention, ce truc. La plaine s'étendait à perte de vue, calme et vide. Ces crétins avaient tant l'habitude de survivants terrifiés qu'ils étaient tous venus.

Je me garais dans la cour devant notre base réelle. Je fis rentrer tout le monde .

La petite grosse était une victime. Elle avait vu mourir sa mère et son père, et subi les assauts des bikers, qui avaient profité du chaos ambiant pour ruiner les espoirs des gentilles familles dispersées. Ils étaient arrivés en faisant semblant de vouloir aider. C'était ce que j'avais prévu,plus ou moins. Mais finalement, le résultat me convenait mieux. La grande était une membre du gang. On allait la massacrer.

Mais après que Farida et Priscilla furent parties avec la grande pour la passer au jet, on s'installa pour manger avec Aurélie, la petite grosse. Celle-ci s'était étonnée de ne pas pouvoir mettre de vêtements. Je lui avais expliqué les règles de la maison. Elle était en sécurité, protégée, mais elle en connaissait le prix. Elle avait dégluti avec angoisse, mais accepté son sort. Elle ne dirait jamais non. Maman regardait Aurélie avec tristesse. Mais elle aussi, son regard s'alluma quand Suzy la bikeuse refit son apparition. Priscilla lui tenait son collier et Farida suivait, la main droite serrée sur son fouet électrique.

-À genoux, salope. Dis-je.

-Va te faire foutre. Répondit-elle.

Farida plaqua son outil sur sa cuisse gauche et appuya sur le bouton. Suzy s'effondra avec un cri.

-Mauvaise réponse, commentais-je, avant de me pencher pour lui entraver les pieds.

J'ajustais les liens. J'utilise du câble métallique. C'est moins bruyant que les chaines , et tout aussi efficace.

-Je t'explique, Suzy. Commençais-je. Tu n'as plus aucun droit. Si tu te soumets , tu vivras une vie difficile, mais tu vivras. Sinon, tu vas mourir.

-Vas te faire foutre. Répondit-elle.

-Farida, va faire un tour.

Elle était attachée de manière à ne pas pouvoir se déplier complètement. En fait, la seule position qui convenait, c'était à quatre pattes. Je me plaçais derrière elle et l'enculais brutalement. Elle hurla sa douleur, et tenta de s'échapper. Mais sa jambe gauche était toujours anesthésiée , et elle fit une sorte de virage à gauche. Je lui empoignais les cheveux et tirais un coup sec. Elle gémit.

-Tu vas payer pour ça. Affirmais je en me retirant.

La cravache lui cingla le dos, laissant un trait rouge et lui arrachant un cri. Je donnais l'outil d'équitation à Christelle. Celle-ci imprima une marque rouge en travers des fesses. Kévin choisit le bas du dos. Priscilla fouetta les omoplates. Maman la marqua sur les fesses. Aurélie donna un timide coup à peu près au même endroit que Kévin. Et Katia frappa en long, directement sur la chatte de Suzy. Le cri de douleur passa en suraigu, suivi de petites répliques hystériques pour finir en gémissement.

-Ça être pire. Dit Katia. Elle souffrir longtemps.

-Tu es décidément pleine de ressources, observais-je.

-Eux faire ça aux mauvaises filles.

-Tu as subi ça, aussi?

-Une fois. Un coup. Avec fouet.

Je ricanais. Elle avait été bien dressée. Il n'y a rien de tel qu'une ancienne victime pour faire un bon tortionnaire.

-Tu es de meilleure composition, maintenant? Demandais-je à Suzy.

-Va...Te... Faire... foutre.

J'espérais que tu dirais ça.

-Je lui relevais la tête en lui tirant les cheveux.

-Ouvre la bouche.

Elle gardait la bouche fermée. Je fis un petit signe à Katia. Elle frappa l'entrejambe de Suzy. Celle-ci se mordit les lèvres et eut un haut le coeur de douleur. Je fis signe de recommencer. Cette fois-ci la femme à quatre pattes ne put faire autrement que de hurler sa douleur. Je posais l'écarteur. C'était un petit objet circulaire, avec des gouttières pour les dents en caoutchouc. La bouche était maintenue ouverte, et une sangle, également en caoutchouc, permettait de maintenir l'objet en place et prévenait l'expulsion. Un système de clé sur les côtés permettait de faire varier l'ouverture. Cet objet de torture a été très employée par les hôpitaux pour gaver les malades réticents, par les arracheurs de dents pour éviter de se faire mordre, avant de commencer une troisième vie dans le SM, pour contraindre le soumis à la fellation. Je desserrais la vis de réglage pour augmenter l'ouverture, sans tenir compte des bruits furieux qu'émettait Suzy. Des larmes coulaient de ses yeux bleus.

-Tu as de beaux yeux. J'aurais de la peine, si je devais les crever. Dis-je.

Je la redressais. Je passais ses cheveux par dessus la sangle. Ses boucles châtain foncé s'étaient sur sa nuque, alors que sa respiration faisait un bruit de soufflet, au fur et à mesure que la douleur s'estompait.

-Kévin, tu n'as, je suppose, jamais baisé une bouche.

-Non, avoua -t' il.

-Et bien, c'est le moment.

Il se dénuda et rassembla les cheveux de Suzy dans son poing droit. D'une traction ferme, il releva la tête de la femme qui roulait de grands yeux affolés. Il fit passer son gland dans l'écarteur. Puis il commença à lui prendre la bouche. À chaque fois que son sexe heurtait la luette, le corps tout entier de notre prisonnière était secoué de dégout. Elle bavait un répugnant mélange de vomissures et d'eau. Vraiment,ce n'était pas joli à voir. Sans compter les bruits humides, les "gargl" répétés. Kévin grognait en lui martyrisant la gorge . Finalement il resta longuement plantée dans la bouche bloquée, le nez de notre vide couilles écrasé dans ses poils. Je lui pinçais le nez pour qu'elle avale bien. Kévin se retira et elle put avaler l'air avec la frénésie d'un noyé. Maman lui passa un coup de sopalin sur le menton et la gorge. Je m'étais déjà mis à genoux derrière elle. Elle hurla quand mon pubis frotta sur son coccyx, tandis que je la sodomisais à fond. C'était sec et serré. Ce rectum ne voulait pas être pris. C'était presque désagréable, je n'avais pas envie de me passer le gland au papier de verre. Je quittais le cul de Suzy. Je fis prendre la poire à lavement à maman et lui fit huiler le rétif conduit. Je forçais de nouveau la petite porte. La cri retentit à nouveau, surtout que l'introduction de l'huile par la poire à lavement déclenche un réflexe de rétention, et donc de contraction de l'anus. C'est un bon moyen de recréer une pucelle du cul. Je ne tins évidemment aucun compte de ses cris inarticulés pour la bourrer violemment. Ma bite se couvrait d'huile et de traces brunes. Je lachais finalement les vannes, quand elle ne lâcha plus que des râles rauques avec ses cordes vocales irritées. Bien sûr, je la contournais ensuite pour me nettoyer dans sa bouche sans défense, déclenchant une nouvelle série de nausées, improductives, celles ci.

Je baillais. J'allais jusqu'à mon sac d'équipement et en sortis un collier en cuir plus large que celui qu'elle portait pour l'instant. Je retirais l'accessoire canin pour le remplacer par l'autre. Le nouveau épousait la forme de son cou et lui tenait la tête relevée. Il s'attachait derrière la nuque, à un endroit inaccessible pour elle avec ses entraves. C'était parfait. Je sortis de nouveau mon sexe et l'engageais dans l'écarteur. Je lui rinçais l'oesophage de mon urine. Susy toussa et tenta de cracher, mais le jet atterrissait trop loin pour qu'elle puisse le faire efficacement. Je laissais la place à Kévin qui se soulagea pour la première fois de sa vie dans un être humain. Christelle souriait.

-Pour toi, il faut qu'elle s'assoie. Dis-je. Assied toi.

Suzy secoua la tête. Elle résistait encore. Katia préparait déjà son geste. Je l'arrêtais.

-Elle va apprendre à obéir.

Je pris le fouet électrique de Farida. Je touchais doucement sa poitrine et appuyais sur l'interrupteur. Suzy se cabra avec un petit saut de douleur, et une sorte de rot.

-Assieds toi.

Elle ne bougeait pas. J'introduisis l'extrémité de l'outil de dressage dans son sexe. J'effleurais le bouton. Elle eut des convulsions et perdit quelques gouttes d'urine, tandis qu'un cri déchirant sortait de son écarteur.

-Assieds toi. Répétais je.

Cette fois ci elle se positionna avec empressement.

-Vises bien , conseillais je à Christelle.

Le jet doré fila dans la bouche entravée. Suzy avalait avec régularité, respirant dans les pauses. Priscilla demanda à en profiter aussi. Elle fut moins habile. Un peu de sa miction coula sur le front et les yeux de Suzy. Avant d'aller me coucher, j'attachais notre captive dans le chenil extérieur avec la laisse du défunt clébard. J'ajoutais un cadenas sur la porte et allait me coucher.

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