Moco Le Chauffeur de Taxi 02

Le chauffeur arrive plus vite que prévu. Léa a eu juste le temps de changer de tenue. Elle vient s'asseoir sur le canapé, elle s'est habillée d'une robe courte qui se boutonne sur le devant. Le décolleté est pigeonnant, il fait ressortir sa belle poitrine. Elle regarde le chauffeur de la tête aux pieds, alors qu'il vient vers elle. Je vois que son regard s'attarde sur la braguette du noir. En le regardant là, debout dans l'entrée du salon, je me rends compte qu'il est aussi grand que nous. Il a l'air imposant, je ne voudrais pas me friter avec lui, je serais le perdant.

- Je m'appelle Moco, je suis un Français d'Afrique, j'ai vingt huit ans. Je n'ai pas de compagne. Il tend une main à Léa. Je suis obligé, avec l'aide de Moco, de lever Léa du canapé, car elle a les jambes en coton et j'ai bien vu dans son regard qu'elle sollicitait mon aide pour se lancer. Elle sait à présent que Moco va la baiser et peut être la mettre enceinte d'un petit noir.

Arrivé au bas de l'escalier, je lui libère la main. Elle me regarde d'un air interrogatif, elle doute sur la conduite à tenir.

Moco lui tient la main fermement et ils montent dans notre chambre. Je les suis avec une vue magnifique sur les fesses de ma femme. Arrivé dans la chambre, il l'attire à lui et l'embrasse sur la bouche. Je vois qu'elle a le mouvement de reculé, mais comme il a passé ses bras autour de ses épaules, elle devient sa prisonnière. Leur bouche sont collés, après la surprise passée, je vois qu'elle s'abandonne au baiser et je vois bien qu'elle fond. Moco décolle sa bouche de Léa, elle a un peu de bave sur les lèvres.

- Bon? Enlève tes fringues et allonge toi sur le lit?

Comme subjuguée, elle obéit et commence à se déshabiller. Moco fait de même et nous voyons sa gaule au repos. Elle est un peu plus grosse et plus longue que la mienne, mais sans en faire une exception extraordinaire, j'en ai vu de bien plus imposante pendant mon service militaire. Il vient se coucher à côté de Léa nue, qui me regarde angoisser, du genre qu'est-ce que je dois faire? Soudain, Moco me regarde et me dit : - Bon, écoute? Tu te recules un peu plus, tu ne vois pas que tu stresses ta femme à la reluquer comme ça. Je vais la faire jouir ta femme, vous avez voulu que je vienne, alors c'est ma femme à présent.

Il empoigne un de ses seins et vient coller sa bouche sur la bouche de Léa. Le baiser qui dure un bon moment, il descend une de ses mains sur le ventre de Léa. La main, après avoir caressé le ventre, descend sur son pubis, puis entre ses cuisses qu'elle écarte. Il lui triture le clito entre le pouce et l'index. Le majeur écarte et glisse entre les lèvres de sa moule. Elle soulève ses fesses sous le doigtage de son intimité. Après, son long baiser, c'est sa bouche qui vient se coller sur la moule de ma femme. Elle tourne la tête vers moi? Je vois dans ses beau yeux bleus, qu'elle n'a pas envie de faire machine arrière. Elle sait à présent, qu'elle désire que Moco soit le père de son premier enfant même s'il est noir, peu importe, elle le désire en elle.

Soudain, de ses mains, elle agrippe les cheveux crépus de Moco. Elle soulève son bassin et râle fort d'un plaisir qui la libère. Il relève la tête d'entre les cuisses de Léa. Il passe sa langue sur ses lèvres en signe de satisfaction. Il passe une jambe par dessus ma femme, sa queue se frotte sur le pubis de Léa. Il la descend le long des lèvres intimes humides de Léa. Elle soulève ses fesses pour l'accueillir dans son puits d'amour. Elle ferme les yeux et râle de bonheur tout le temps qu'il introduit en elle sa virilité. Lorsque leurs pubis sont réunis, il l'embrasse à pleine bouche. Elle apprécie, car elle passe ses bras autour de ses épaules pour prolonger sûrement le baiser.

Moco se décolle de la bouche baveuse de Léa. Ses deux bras tendus de chaque côté du corps de ma femme, il se redresse et entame un va et vient de son bassin. Ça y est, il baise ma femme qui se met tout de suite, à râler de plaisir. Là, il ne fait pas semblant, il la ramone fermement. Léa projette sa tête en arrière, la bouche ouverte, elle râle son plaisir de sentir son premier orgasme arrivé. Moi, je bande comme un taureau, je participerai bien à leur plaisir.

Soudain, elle s'égosille d'un râle qui sort de loin, elle se met aussi à pleurer à cause de la vague orgasmique qui la submerge.

Dans son plaisir, elle enveloppe les hanches de Moco avec ses jambes. Elle enlace ses bras autour du coup de son amant qui se laisse choir sur le corps de ma femme. Dans cette position, Moco augmente le tempo de ses coups de reins. Il la baise de plus en plus vite ma femme, qui pour sa part remue au fur et à mesure qu'il accélère, s'harmonisant avec ses hanches au rythme grandissant de son amant. Fougueusement, elle colle sa bouche contre celle de Moco pour lui rouler une pelle passionnelle qui lui rend bien.

Tandis que la bonne queue de Moco entre et sort de son puits d'amour. Les râles de plaisir qu'elle pousse se renforcent en intensité, alors qu'elle ouvre grand la bouche pour aspirer plus d'air de plaisir.

Tout en filmant dans mon coin avec mon portable l'étreinte amoureuse de Moco et de Léa qui n'ont pour seul objectif, jouir et jouir encore. La femme blanche, sous le corps de son amant noir, n'a qu'une envie, s'est de jouir, peu importe si elle tombe enceinte.

La tête de notre lit tape contre le mur beaucoup plus fort que lorsque Léa et moi, nous faisons l'amour, à croire qu'il va le démolir?

Après les râles, Léa laisse à présent échapper de sa gorge, de forts rugissements en pointant ses orteils vers le plafond, sous les coups de boutoir de Moco. Sa moule blanche enrobe et abreuve de son plaisir la colonne de chair noir, la lubrifiant à chaque passage.

Moco, râle de plus en plus fort, je vois ses fesses se raidir. Il jouit en inondant le puits d'amour de Léa de sa semence. Il continue de lui labourer la moule sans le moindre ralenti. Des filets de sperme débordent de son puits d'amour à chaque pénétration lesquelles finissent de donner un dernier orgasme bruyant à ma Léa chérie. Elle sombre dans un plaisir sans fond, ce que l'on appelle la petite mort.

J'en suis admiratif et jaloux de sa jouissance. Elle n'a jamais joui comme ça avec moi, je suis dépité.

Moco continu à la baiser ardemment, j'entends le bruit mouillé que fait la moule de Léa à chaque fois qu'il écrase son pubis contre le sien.

Moco, ne bouge plus? Il colle sa bouche sur celle de Léa et c'est un baiser d'amour qu'ils se donnent tous les deux. Elle a croisé ses jambes autour de sa taille et ses deux mains passées sous les bras de Moco viennent lui caresser la nuque.

Le tableau des deux amants enlacés me fait mal. J'ai voulu être le spectateur de leur accouplement. Alors, que je bande comme un malade devant le spectacle, je me sens diminué, je n'ai jamais fait jouir autant et aussi longtemps ma femme. Je me condamne en les voyant ainsi soudé par le plaisir.

Moco se désolidarise de ma femme. Il reste un moment couché à côte d'elle qui referme ses cuisses.

Il se lève, se rhabille et se dirige vers la porte de la chambre. Il se retourne, me regarde en levant un pouce.

- C'est à présent ma femme, tu ne lui baises plus la chattes, sinon gare à toi? Il jette un clin d'œil à Léa et sort. Elle me regarde d'un air de malheureuse. - Vient à côté de moi mon chéri, je t'aime toujours autant. Je viens du côté du lit où elle s'est rapprochée. Elle m'attrape par la ceinture d'une main, de l'autre qu'elle passe derrière ma nuque et attire ma bouche sur la sienne.

Elle m'embrasse d'amour pendant que son autre main défait mon pantalon et le fait descendre avec mon slip sur mes genoux. J'interromps notre mélange de langue. - Tu as entendu Moco? Il ne veut pas que je te baise, surtout après ce qu'il t'a mi dans le ventre. Elle me regarde avec un air malicieux. Elle redresse la tête, pose ses deux mains sur mes fesses et avale ma queue tendue.

Mon amertume, ma frustration s'envolent. C'est la première fois qu'elle prend ma queue dans sa bouche volontairement. Je n'avais eu que quelques bisous et coups de langue, mais pas plus. Là, elle

taille une pipe mémorable.

Quand elle avale ma queue jusqu'au fond de sa gorge, elle passe sa langue mouillée sur mes couilles. Je ne tiens pas très longtemps, je pose mes mains sur sa tête pour qu'elle ne se recule pas pendant ma jouissance. Ça y est? Je jouis dans la bouche de ma femme pour la première fois. Elle ne se dérobe pas comme je le supposais. Elle avale et aspire ma jouissance. Je me finis avec les genoux sur le bord du lit. Elle continu de me sucer pendant que je débande. Je passe une main sur sa moule qui déborde de leurs jus. Je lui branle le clito et j'arrive en très peu de temps à la faire jouir avec mes doigts, elle en avale ma bite flasque.

Je suis là, debout à côté du lit, le pantalon descendu sur mes mollets, la bite pendante. Avec les doigts de ma main dans l'entrée ouverte du puits d'amour de ma femme, qui rejette spasmodiquement la semence de Moco. Elle lève ses yeux bleus vers moi, elle est à bout de souffle. A présent, nous sommes persuadés que notre premier enfant sera sûrement noir. Je la remercie pour la fellation qu'elle m'a gratifié généreusement. Elle m'a répondu qu'elle m'aimera toujours et que pour elle, elle est toujours ma femme. Donc, elle trouve qu'il est normal, qu'elle fasse son devoir conjugal sous n'importe qu'elle forme à présent.

Maintenant, Moco vient presque tous les jours baiser ma femme et dès que sa grossesse est confirmé, il peut lui faire l'amour tous les jours. Ils baisent dans chacune des pièces de la maison. J'ai dissimulé des caméras dans toute la maison avec l'approbation de Léa et sans en parler à Moco.

Pour me consoler et faire son devoir conjugal, Léa me taille une pipe à caque fois que Moco lui a fait l'amour. Comme, elle culpabilise d'avoir tous ses orgasmes qu'elle a avec Moco. J'ai réussi à la convaincre que ses pipes ne me suffisent plus? Que c'est dans son ventre que je désire jouir.

A présent, elle guette jour après jour avec une fébrilité non dissimulé, l'arrivée de son Moco. Elle est vêtue à chaque fois d'une tenue plus osée et plus dénudée que la veille afin de lui prouver son appartenance. Quand il arrive, elle l'attend docilement debout, alors il l'examine de haut en bas afin qu'il valide le choix de la lingerie qu'il lui a fait acheter. Ce rituel l'a fait mouiller abondamment.

Moco, lui rappelle très souvent, que je ne dois pas la baiser dans son vagin et que les pipes qu'elle me gratifie en avalant mon sperme, cela lui convient. Il lui a même suggéré que la sodomie serait bien meilleur pour nous deux.

Après, plusieurs sodomies, j'arrive à la faire jouir, bien sûr pas autant qu'avec Moco. Mais, elle jouit avec moi.

Il faut bien avouer, que ma Léa a parfaitement accepté son statut de soumise à Moco. Elle lui est entièrement dévouée, même si elle me répète à chaque que je la fais jouir en l'enculant, qu'elle m'aime toujours. Cela fait bien trois mois, que nous vivons ainsi. En rentrant du travail, je vois le taxi de Moco garé devant le garage. En rentrant, je découvre Moco allongé nu sur le canapé et Léa nue le chevauche. Jusqu'à là, rien d'anormal, sauf qu'il y a un homme noir derrière ma femme qui la sodomise.

Elle est prise en sandwich entre deux hommes noirs. Elle embrasse Moco à grandes sucions mouillées. Elle déverse sa jouissance dans la bouche de son amant. Quelle jouissance, quel plaisir de se donner ainsi. Écœuré, je file dans le bureau pour regarder si les caméras enregistrent bien la prise en sandwich de ma femme. Malheureux comme tout en entendant les cris répétés de jouissance de ma femme. Alors, je me suis enfermé dans le bureau, jusqu'au départ de ses amants.

Je vois sur les enregistrements que les prises de Léa en sandwich sont devenues monnaie courante avec rarement le même deuxième partenaire. A sa première double pénétration, elle a compris ce que voulait dire être pleine, être remplie, elle adore.

La venue de Moco dans notre couple, une métamorphose s'opère dans la personnalité de ma femme.

Ma Léa, timide, réservée, jeune femme blanche un peu raciste, est devenue le jouet sexuel de Moco, il en a fait un vulgaire sac à sperme à se faire baiser par tous les trous pour ses amis.

Au fil des mois, je vois le ventre plat de ma femme s'arrondir et grossir petit à petit, développant le fœtus d'un petit bâtard de couleur.

Neuf mois plus tard, en rentrant à la maison, Moco vautré sur le canapé, baise Léa nue est assise sur lui, enceinte jusqu'aux yeux. Les mains de Moco écrabouillent les mamelles pleines de ma femme, tandis qu'elle chevauche son Moco qui a fait d'elle une truie pleine. Tous les deux jouissent ensemble avec tellement de force que c'est limite inhumain et au beau milieu de leur orgasme commun. La poche des eaux de ma femme se rompt.

Aussitôt, Léa la moule baveuse du sperme de Moco, enfile une légère robe sans rien d'autre. Peu lui importe ce que les gens pensent d'elle à présent. C'est Moco qui nous conduit à la clinique. Léa accouche d'un garçon couleur café au lait mélangé, se qui étonne le personnel médical. Mais nous ont ne l'est pas du tout.

Quelques heures, après l'accouchement, ma femme met la bouche de son bébé très coloré contre le téton de son sein blanc, afin de pouvoir l'allaiter. Ensuite, elle tourne son visage vers moi avec l'air le plus serein du monde. Une vive lumière dans ses yeux qui me laisse aucun doute sur la suite de notre couple.

Deux semaines, après que Léa et notre petit Léo soient rentrés à la maison, Moco vient voir Léa et le petit Léo. Je lui signifie qu'il ne baisera plus ma femme, car suite à l'accouchement, il ne lui faut pas de rapport pour au moins six mois. Je raccompagne Moco dépité à sa voiture en lui demandant l'adresse d'un bon garage, pour remettre ma voiture en bon état. Il me donne une adresse et monte dans son taxi et disparaît au coin de la rue.