Mini Harem Partie 01

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je me retirai et soulevai son visage par le menton.

"Je ne dois pas sentir tes dents. Je ne veux sentir que ta langue, tes lèvres et l'intérieur de tes joues. T'as compris?"

Ce disant, je réintroduisis sans ménagement ma queue humide dans sa moiteur buccale. Au bout de quelques courtes minutes, le mouvement devint régulier et sa bouche était devenue très agréable.

"C'est bien, t'apprends vite, petite salope."

Je prenais mon pied.

"Fais-moi voir ces gros nichons que tu caches depuis si longtemps"

Elle s'interrompit un instant pour enlever son pull si étroit, ce qui fit se déverser sa double vague de graisse ventrale. Elle dégraffa ensuite son soutien-gorge et libéra ses 2 mamelles qui retombèrent mollement. Elle avait la peau très blanche, trop blanche. On distinguait aisément les veines bleutées qui parcourait ses seins.

Je soulevai une de ces mamelles et la laissai retomber pour en faire ressortir le côté flasque. Bien que flasques, ils étaient pourtant encore bien pleins. Ils ressemblaient plus à un ballon de rugby aplati qu'à un ballon de football dégonflé. Ils me faisaient penser à des melons ovales très mûrs.

Je les pris tous 2 en mains et les soupesai. Aicha avait la tête baissée et regardait mes mains palper ses mamelles.

"C'est des bons gros melons que tu as là"

Elle souleva la tête en souriant.

- T'aimes pas?

- Si, ça fond sous la main, dis-je en lui rendant son sourire. Continue à sucer, ajoutai-je après une courte pause.

Elle reprit sa besogne et je cru détecter de l'enthousiasme. Elle se remit à sucer presque méticuleusement. Comme soucieuse de bien faire.

Je pressais ses seins comme pour faire sortir le jus d'une orange. Leur maléabilité était très agréable.

Mes pressions s'accentuèrent et je la fis sursauter en geignant quand, sans m'en être vraiment rendu compte, j'enfonçai mes ongles dans sa chair molle.

Elle extirpa de sa bouche ma queue raide qui ruissela de salive.

- Tu m'as fait mal! dit-elle en aspirant in extremis un filet de salive qui tentait de s'échapper de sa bouche.

- Excuse-moi, lui dis-je. Je suis tellement habitué avec Latifa. Ca t'a vraiment fait mal? Pourtant j'y ai pas été si fort. Faut dire que Latifa est tellement résistante. Je vais y aller doucement.

Elle reprit sa pipe mais semblait maintenant vigilante.

Au bout d'un moment, j'en eu assez de sa bouche.

Je sortis ma queue de sa bouche et lui tapotai la joue du gland.

"Allez, je veux ton gros cul maintenant. A poils."

Elle se leva et commença à se déshabiller tandis que je m'étais assis sur le lit sans avoir cessé de me branler. Quand le boudin eut fini son strip-tease, je lui demandai de rester debout, devant moi. Ses grosses cuisses tremblotantes étaient surmontées de 2 énormes fesses dégoulinantes de graisse. Elle était dégoutante à voir, et elle devait s'en douter. La beauté de son visage n'était pas de taille à rivaliser avec la répulsion spontanée que l'on pouvait éventuellement ressentir à regarder son corps informe. Sa peau blafarde, ses mamelles obscènes, son ventre éléphantesque, son cul et ses cuisses flasques pouvaient donner envie de gerber. Pour couronner le tout, ses cheveux étaient en bataille.

J'affichais un léger rictus de dégout.

"Ca te dérange si je te dis que t'es une grosse vache?"

Elle fit non de la tête, le regard vague.

"Je te le dis alors : t'es une grosse vache. Une truie avec des grosses mamelles et un gros cul de vache qui devrait payer pour qu'on la baise."

Elle baissa les yeux et eut l'air d'un chien battu.

"Amène ton gros cul ici."

Elle s'approcha.

"Ecarte les cuisses et penche-toi."

Elle était très poilue.

"Tu le rases jamais ton gros cul?" dis-je avec une pointe d'agacement à moitié calculée dans la voix.

Elle ne répondit pas.

J'approchai mon visage de sa croupe et humai. Ca ne sentait pas la rose, mais ça ne sentait pas mauvais non plus.

"T'as pris une douche aujourd'hui?"

Elle fit non de la tête après avoir hésité.

"Quand?"

- Hier.

- Mets toi à 4 pattes.

Il lui fallu un certain temps : elle n'était pas acrobate.

J'écartai ses fesses pour mieux voir son anus et sa vulve touffue. Sa chatte n'était pas toute fraiche.

"Combien de bites sont déja passées par là?"

- Une seule, dit-elle à demi-voix.

- Monte sur le lit et écarte bien les cuisses.

Elle y grimpa. La gravité attirait ses nichons et la graisse de son ventre vers le matelas.

"Ecarte tes grosses fesses avec les mains."

Elle dut faire reposer ses épaules contre le lit.

Je la penetrai profondément d'un seul mouvement puissant.

"Bouge un peu ta graisse, comme une pétasse. Ondule du cul."

Elle se mit à tortiller ridiculeusement du bassin.

Mes mains posées sur mes reins, je la baisais d'un mouvement plutôt rapide mais régulier. Elle commençait à gémir faiblement. Chaque coup de bite que je lui donnais faisait vibrer son corps obèse.

Je me laissai choir sur son dos, lui faisant supporter tout mon poids. Je pris ses mamelles en mains et les massai tandis que je baisais de plus en plus vite.

Ma bouche était à hauteur de ses oreilles.

"Tu vois, c'est comme ça que les chiennes se font baiser. T'es juste bonne à sucer des bites et à te faire baiser comme une chienne. Grosse vache."

Je me lachais totalement. J'avais envie de la rabaisser plus bas que terre, de lui faire ressentir une certaine douleur morale, qu'elle se sente possédée, complètement offerte, lui faire comprendre que c'était comme ça que j'avais envie d'elle. Je voulais qu'elle se sente laide, sale, immonde, que devant moi elle n'ait plus de dignité. Lui faire comprendre que son cul et sa bouche m'appartenaient. Qu'à partir de ce jour, nos relations ne seraient plus jamais les mêmes.

J'étais en bonne voie.

"Tu veux être ma petite salope? Ma petite pute? Mon sac de graisse dans lequel je décharge mon sperme? Dis-le que tu m'appartiens, dis-le!"

- Je t'appartients, lacha-t-elle entre deux gémissements.

- Petite pute!

Ce disant je lui donnai une gifle sur la fesse, puis une autre, puis encore une autre.

"Ca fait longtemps que t'a pas été baisée comme ça, hein dis-moi? Je suis sûr que ton mari ne te baise pas comme moi je te baise, comme une chienne en chaleur."

Je me sentais proche de jouir.

"Tu veux mon sperme dans la bouche?"

- Non ...

- Allez, tu vas aimer, tu vas voir. Laisse moi juter dans ta petite bouche, allez!

- Non, s'il te plait, j'ai pas envie ...

- Bon, ok. Sur ta gueule alors?

- OK.

- Mets toi sur le dos.

Elle se retourna et j'allai m'asseoir sur sa poitrine, ce qui fit qu'elle eut mes couilles tout contre sa bouche.

"Lèche."

Elle actionna sa langue tandis que je me branlais audessus de son visage.

Mine de rien, je m'avançais de plus en plus, et j'étais presque assis sur sa bouche. Je me demandais comment elle allait réagir. A ma grande surprise, elle n'eut aucune réaction particulière. Elle continuait à faire voyager sa langue. Elle léchait l'intérieur de mes fesses, mais je remarquai qu'elle évitait soigneusement mon anus.

"Leche mon trou de cul, dis-je en me tortillant sur son visage."

Elle finit par m'obéir et se mit à léchouiller mon anus. C'était tellement bon de la sentir sous moi, sa langue fouillant mon cul.

Je lui fis plier les genoux, pour ainsi pouvoir m'appuyer sur eux. Je fis aller et venir rageusement mon cul sur son visage, me souciant peu de son besoin respiratoire.

Finalement, je n'en pus plus, je me reculai et éjaculai 4 ou 5 giclées de sperme épais sur sa face. Elle en avait dans l'oeil, sur le nez, la joue, et une giclée s'était écrassée juste sur sa bouche, qu'elle avait fermé.

Je me laissai choir sur son ventre et l'embrassai à pleine bouche, mêlant le sperme et nos salives. J'adorais faire ça. J'aime les baisers mouillés.

"T'inquiètes, tu vas apprendre à aimer mon sperme. Si ça ne tenait qu'à moi, je te ferai déjeuner et diner au sperme."

- Ne dis rien à Latifa, me demanda-t-elle.

- Pourquoi? T'as plus envie qu'elle te lèche le cul? J'étais sérieux, tu sais.

- Parce que je suis ta soeur et qu'on ne devrait pas faire ça, personne ne doit savoir, jamais! Tu te rends pas compte?

- Ecoute : Latifa, je l'ai dans la poche, je suis sûr que si j'abordais de temps en temps le sujet avec elle - sans parler de toi - et qu'au bout d'un moment on la mettait devant le fait accompli, elle se contenterait de suivre la marche.

- Non ... ne lui dis rien! Si tout le monde sait ce qu'on vient de faire, ça va tout détruire.

- N'aie pas peur. Elle sait garder un secret. T'a-t-elle déja raconté notre vie sexuelle, pourtant débridée? Jamais! Pourtant vous parlez souvent toutes les deux! Ecoute, je vais juste voir avec elle, essayer de diriger la conversation, pour voir sa réaction. Je te jure de ne pas lui parler de toi tant que je ne suis pas sûr de sa réaction, ça te va? Il n'y a aucun risque.

Elle sembla pensive, et son mutisme me fit penser que je l'avais convaincue.

"Allez, arrange-toi, moi je descend, Latifa ne devrait pas tarder à arriver, elle m'a dit qu'elle allait revenir à pieds."

J'étais retourné m'asseoir devant la tv, m'étant servi un verre de thé.

Aicha me rejoignit quelques minutes plus tard. Elle semblait éviter mon regard, comme honteuse.

"Ca t'a plu? la questionnai-je."

Elle me tournait le dos.

- Oui...

- Assieds-toi.

Elle s'assit.

"Tu sais, je ne pense pas tout ce que je t'ai dit. C'est juste ... que j'aime ça."

Elle évita encore mon regard et souleva brièvement les épaules.

"Ca te plait, peut-être?" lui demandai-je.

- Un peu, ça m'excite.

- Moi, ça m'excite terriblement! dis-je, enthousiasmé.

C'est à ce moment que la sonnerie de l'entrée retentit.

"Ca doit être Latifa."

Je me levai pour aller ouvrir la porte.

Effectivement, c'était Latifa, portant deux sacs remplis de ses achats au centre commercial.

"T'es déja là, mon coeur?" lui dis-je en la faisant entrer.

Nous nous assîmes autour de la table.

"Justement, on parlait de toi!" lançai-je sur le ton de la plaisanterie.

Ma soeur sembla me foudroyer du regard.

- Qu'est-ce que vous disiez? Du bien, j'espère!

- Bien-sûr, mon coeur, que veux-tu qu'on puisse dire d'autre sur toi?

- Il me disait juste combien il t'aimait, Latifa! dit Aicha.

Nous discutâmes de choses et d'autres. Latifa était égale à elle même, mais ma soeur semblait réservée, surtout quand je prenais la parole. Elle laissait Latifa faire le gros du bavardage.

Finalement, ce fut l'heure de nous en aller. Latifa me le fit remarquer.

- On y va? me demanda-t-elle.

- Oui, on y va.

En me levant, je dis à Aicha :

"Passe plus souvent nous voir, Aicha. Moi et elle on s'ennuie, ces temps-ci."

Et nous quittâmes sa maison.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

c'était trés bien, vite une suite merci

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Delicious

I love incest and ordeal family. Men submited by vicious mother or sister .....

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
maladroit

tu crois qu'avec tes paroles obscènes envers ta sœur tu fais branler les bites? non tu te trompes ce sont les phrases lascives qui excitent la libido chez le lecteur

AnonymousAnonymeil y a plus de 15 ans
Deux de mes choses favorites

Domination et inceste. Bien faire.

Montre plus
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

La Transition L'Eveil d'un Doué au Pouvoir !
Un Couple Moderne Pt. 01 Domination sexuelle d'une mère par son fils.
Bon Anniversaire Maman Deces d upere inceste mere fils.
Son ventre Inceste mere/fils.
La débauche de Manon Un père surprend sa fille et ne peut résister.
Plus d'histoires