Mineur Isolé 02

Informations sur Récit
Edouard va-t-il offrir sa femme à Salim.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 10/27/2021
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Ce soir Edouard est installé sur la table du salon pour préparer ses cours du lendemain, la télé est allumée sur un programme de jeu télévisé du début de soirée en bruit de fond.

Pendant ce temps, Ilénia coupe des légumes dans la cuisine ouverte sur le salon.

- Ça a été ta journée ma chérie?

Elle ne va pas lui avouer que dès le petit déjeuner, elle a dû sucer Salim.

- Avec ce temps déprimant je n'ai rien fait, sinon as-tu des nouvelles pour ma candidature à la mairie?

- J'envoie un message à Jean, il a peut-être des news.

Salim passe devant Edouard entrain de tapoter sur son téléphone et se dirige vers la cuisine.

- Ilénia, Tu veux de l'aide??

- Oui, merci Salim.

Tu peux couper ces légumes et les mettre dans l'autocuiseur?

Ilenia tourne la tête et voit la bosse dans le pantalon de Salim.

Il regarde le soutien-gorge en dentelle noir qui apparait entre les boutons de son chemisier,elle referme immédiatement son gilet.

Une sonnerie retentie.

- C'est Jean qui me répond !!

Salim profite de l'attention d'Edouard sur son téléphone pour positionner son sexe tendu contre les fesses d'Ilénia, il met tout son poids sur la jeune femme en remontant le long de ses fesses tout en saisissant une serviette.

- Pardon !

- Laisse les légumes et met la table Salim, merci.

- Tu as le temps de passer voir Jean demain?

- Il a des nouvelles?

- On dirait...

- Je passerai le voir dans la matinée.

Pendant le repas Ilénia reste fixée sur la télé. Edouard discute éducation avec Salim.

La vaisselle faite, Edouard se remet devant son ordinateur pour terminer la préparation de ses cours, mais quelques minutes plus tard, le silence dans la maison l'intrigue.

Il prend la direction du couloir menant aux chambres qui est dans la pénombre.Il passe la tête et voit Salim un genou à terre, regardant dans la chambre du couple, la porte est légèrement ouverte, il regarde le reflet de sa femme dans le miroir de la penderie.

Edouard parle tout seul à voix basse avec un ton excité.

- Salaud ! Tu regardes ma belle. J'espère que tu bandes en matant ses seins, que tu te touches la bite, en flashant sur son cul.

Son esprit divague dans des scènes obscènes, le jeune qui mate sa femme l'inspire.

Le spectacle doit être terminé, Salim se relève en regardant autour de lui. Edouard s'est rapidement mis hors de vue, sa main sur le pantalon tendu.

Il referme son ordinateur et prend la direction de sa chambre, il toque.

- Ma chérie?!

- Entres, Tu veux quelque chose?

Elle est en pyjama à rayure, pas sexy pour un sou mais bien chaud, assise sur le lit avec un bouquin.

- Tu vas déjà te coucher? Quelque chose ne va pas?Tu n'as pas dit un mot à table.

- C'est juste que les journées sont longues à ne rien faire, et ce sale temps n'arrange rien.

- Je comprends, mais Jean va peut-être t'annoncer une bonne nouvelle demain matin.

- Je l'espère.

Dans la nuit Ilénia est réveillée par une gêne sur son visage. Dans un demi-sommeil, elle passe sa main sur son visage et repousse le gland de Salim qui essaie d'entrer dans sa bouche.

Elle tourne la tête et constate qu'Edouard dort dos à elle. Elle demande à voix basse à Salim :

- Non Salim ! Va te coucher.

- Elle est trop dure, je n'arrive pas à dormir, suce-moi ! Et je pars.

Elle s'est à nouveau retournée pour être sure qu'Edouard dort. Elle a saisi la queue de Salim et ouvert la bouche. Un grand sourire est apparu sur le visage du jeune black quand il a senti la langue d'Ilénia sur son gland et les lèvres chaudes lui aspirer la verge.

- Suce-moi ! Ma blanche !

Edouard a maintenant ses yeux grands ouverts, il entend des bruits de succion. Il n'ose pas bouger pour libérer sa queue dure comme du chêne bloquée dans son caleçon. Il est frustré de ne pouvoir regarder sa femme sucer le noir tout en se branlant.

Salim a saisi les cheveux d'Ilénia et pousse sa queue profond dans sa gorge, elle a du mal à respirer.

Il la relâche pour qu'elle reprenne sa respiration. Il saisit son haut de pyjama et le rehausse pour lui caresser les seins.

- Avales mes boules !!

Elle descend le long du gros pénis en l'embrassant et lèche les testicules de Salim.

- Tu l'aimes ma queue?

Les yeux d'Ilénia se tournent vers ses épaules, elle a peur qu'Edouard se réveille.

La respiration de son mari augmente, il essaie de se canaliser et de se calmer, difficile car il y a un feu d'artifices dans sa tête, le littéraire a une imagination débordante.

Il perçoit les petits gémissements de Salim, les bruits humides provoqués par la bouche d'Ilénia, il ne sait pas si elle a toute la verge en bouche, ou la langue qui remonte le long du mandrin, le gland coincé entre les lèvres.

- La salope !!! Elle suce le negro ! Je parie que cet enculé en a une plus grosse que moi. Pense-t-il.

Ilénia accroit la fréquence de succion pour qu'il parte le plus rapidement possible de sa chambre, elle le masturbe en lui malaxant les testicules.

Salim lui pelote les seins. Après quelques minutes sa main glisse sur le ventre d'Ilénia, son doigt rentre dans son nombril, il continue son chemin,pénètre dans le bas de pyjama et s'immisce dans la culotte de la belle italienne.

- Non, Salim arrête...Haaahaaaahaaaa.

- Tu aimes ma blanche, ta chatte est trempée.

Edouard n'en peut plus d'écouter les messes basses, il essaie de venir discrètement toucher sa queue, l'explosion est imminente :

- Putain !!!! Il touche la chatte de ma femme !!!

Ilénia masturbe le jeune particulièrement repoussant sur toute la longueur de sa bite, le bout de sa langue poussant dans son urètre.

Soudainement, Salim saisi sa queue et contracte ses fesses, un jet de sperme se répand sur le visage d'Ilénia, puis un deuxième sur sa bouche.

Salim pose son gland sur l'œil d'Ilénia et descend le long de son visage et finit par le placer sur sa lèvre inférieur, tout en remontant sa main le long de sa queue pour faire sortir les dernière gouttes de semence qu'il dépose dans la bouche d'Ilénia.

Elle refait quelques allers retour sur sa queue.

- Va dormir maintenant.

Elle attend qu'il soit bien couché et s'assoie sur le bord du lit. Elle se retourne, Edouard dort se dit-elle.

Elle prend la direction de la salle de bain, ce qui soulage son homme, lequel se positionne sur le dos, le front trempé, la bouche grande ouverte reprenant sa respiration, il se lève à son tour essayant de sortir un mouchoir en papier, les mains pleines de sperme. Il change de caleçon et se recouche.

Tentant de se rendormir dos à sa femme qui est revenue dans le lit, il réfléchit :

- C'n'est surement pas la première fois qu'elle le suce, sinon elle l'aurait repoussé.

Le lendemain matin, Ilénia sent un baisé sur la joue.

- Bonne journée ma chérie.

- Bonne journée.

Elle ouvre les yeux, Edouard la fixe dans la lumière passant à travers les volets.

- Quelque chose ne va pas mon chéri?

- Non rien, à ce soir, n'oublie pas le rendez-vous avec Jean.

Edouard a juste imaginé quelques secondes les mains de Salim sur le corps de sa femme, il sort de la maison le pantalon tendu.

Ilénia entend la voiture de son homme rouler sur les graviers et quitter la maison. Elle regarde le radio réveil.

- Je dois me lever pour ne pas arriver trop tard au rendez-vous.

Devant son petit déjeuner elle est anxieuse.

- Je ne dois pas oublier de demander à Jean si Salim part bien à la date prévue, et s'il pouvait décamper avant?!

La table propre, elle passe prendre ses vêtements dans la chambre et file dans la salle de bain. Elle lève le mitigeur et met son gant de toilette sous l'eau tiède.

Elle entend du bruit et regarde la porte.

- Merde ! Le verrou.

Pas le temps de bouger, la poignée se baisse.

- Salut Ilénia.

- Salut.

- Tu as bien dormi?

Ilénia le regarde avec un visage sévère, les yeux noirs.

- Très bien ! Tu ne vois pas que je fais ma toilette?

- Si, mais il y a deux lavabos.

- Deux vasques !!! J'aimerais avoir un peu d'intimité !

Salim passe derrière elle et se positionne devant la seconde vasque et ouvre le mitigeur.

Ilénia regarde Salim dans le miroir, elle est en colère. Lui arbore un petit sourire de provocation.

Elle réfléchit et prend une grande respiration en le regardant, elle ouvre le pot de crème et se l'applique sur le visage de façon homogène. Son regard et ses gestes fond abstractions de l'intrus à sa gauche.

Elle déboutonne son haut de pyjama et le pose, puis le bas, elle est nue devant le miroir le visage impassible. Le caleçon de Salim est tendu.

Elle savonne son gant de toilette et le passe sur ses aisselles, elle savonne ses seins. Elle se penche, écarte les cuisses, passe le gant de toilette entre les lèvres de sa vulve et sur son anus. Elle le rince soigneusement et passe son corps à l'eau claire.

Salim à la queue à la main il se masturbe. Les yeux rivés sur la belle poitrine suspendue et la toison foncée parfaitement taillée.

Elle reste de marbre et rince son visage, elle se regarde dans le miroir, il n'y a pas de trace de crème. Après avoir séché son corps, elle saisit son soutien-gorge et l'agrafe à l'envers, le retourne, passe les bretelles, et positionne ses seins dans les bonnets. Elle prend sa culotte et l'enfile. Elle se regarde dans le miroir et ajuste le bel ensemble en dentelle bleu marine.

Salim se retourne et éjacule dans la baignoire.

Elle esquisse un petit sourire en boutonnant son chemisier.

Un brin de maquillage et les cheveux attachés, elle se retourne.

- Bonne journée Salim !

- Bonne journée.

Ilénia est dans sa voiture, elle pense à ce qui vient de se passer dans la salle de bain. Elle parle toute seule.

- J'espère que ça l'a un peu calmé, en tout cas il a une belle queue, dommage qu'il soit aussi moche. Quelle salope je suis, que dirait Edouard s'il apprenait que je l'ai sucé?

Sans réponse, elle se gare dans une rue proche du lieu de son rendez-vous. Elle pénètre sous un porche qui débouche dans une cour d'époque devant un bel immeuble.

- Et bien dis donc ! Ils ont du pognon au syndicat !?

Elle sonne à une porte et entre comme indiqué, elle est dans un appartement transformé en bureau, la secrétaire lui fait signe d'avancer. Elle rejoint le bureau, le parquet grince sous ses pieds.

- Bonjour, j'ai rendez-vous avec Mr Cornet, je suis madame Moulin-Gio.

- Je préviens Mr Cornet, patientez.

Elle a peine posé son téléphone que la porte d'un bureau s'ouvre.

- Ilénia ! Venez ma chère !

Elle entre dans le bureau, Jean referme la porte derrière elle.

- Je vous libère de votre manteau et votre sac, asseyez-vous !

- Merci de me recevoir, je m'excuse de vous déranger, vous devez être occupé.

- Les journées sont trop courtes, mais c'est un plaisir de vous revoir Ilénia.

- Merci monsieur.

Elle insiste bien sur les marques de politesses, avoir le poste qu'elle convoite tant serait merveilleux.

Elle est mal à l'aise, Jean reste debout à ses côtés.

- Edouard !? Ça va les cours au lycée?

- Oui, la routine.

De temps à autre les yeux de Jean se porte dans le chemisier d'Ilénia, puis il se retourne et déambule dans son bureau.

Elle ne veut pas laisser passer sa chance et pour cela déboutonne un bouton de son chemisier.

L'air de rien il se positionne de nouveau à côté de sa chaise en lui répondant. Elle passe sa main sur son cou et descend vers sa poitrine et écarte son chemisier. Il voit parfaitement le gros sein prisonnier du soutien-gorge à dentelle. La tension dans le pantalon en velours marron en témoigne.

Elle lève les yeux et surprend le regard vicieux. Jean passe du côté de son bureau et s'assoit.

- Et Salim !! Tout va bien avec Salim?

- Oui, très bien. D'ailleurs je voulais vous posez une question.

- Je vous écoute.

Le libidineux a du mal à regarder dans les yeux, il cherche le tissu de sa culotte.

Ilénia joue de ses charmes, avance le bassin ce qui fait remonter la jupe de son tailleur et de temps à autre décroise les jambes.

- Vous nous avez évoqué un départ de Salim au courant du premier trimestre il me semble?

Elle écarte un peu ses cuisses à nouveau et descelle dans son petit sourire qu'il est très intéressé par la vue sur le tissu bleu.

- Oui en effet c'est ce qui est convenu, on est bientôt fin novembre, cela nous emmène dans deux mois je pense.

- Vers fin janvier?

- Oui? Oui... Il fait chaud, vous n'avez pas chaud? Le chauffage est fort dans cette vieille bâtisse.

Il se lève enlève sa veste et vient la déposer sur le porte-manteau.

- Donnez-moi votre veste de tailleur tant que j'y suis, il fait chaud bon sens !

Il tend le bras vers Ilénia et attend sans bouger.

- Très bien.

Elle ne veut pas le froissé et se lève. Elle bombe le torse pour retirer sa veste à la plus grande joie de Jean.

Il rejoint son fauteuil en cuir et Ilénia se rassoit en remontant légèrement sa jupe. Elle remonte les genoux et croise les jambes, Jean voit parfaitement le triangle bleu marine.

- Bon ! Vous êtes là pour connaitre l'avancement de votre dossier concernant la place à la mairie?

- Oui en effet.

- J'ai discuté avec le maire. Il a été sensible quant à votre implication dans la ville, le fait d'accueillir le jeune immigré.

- Nous sommes content que Monsieur le maire soit satisfait par notre engagement.

- Mais attention ! Je dois le convaincre, venez à mes côtés.

Ilénia se lève et vient se placer à côté du fauteuil de Jean, les mains jointes sur le bas de son ventre, la tête baissée et anxieuse.

- Vous avez déjà fait des efforts ! Mais si vous arrivez de nouveau à me convaincre ! Je pense que c'est gagné.

Jean la regarde dans les yeux, puis son chemisier et il alterne plusieurs fois.

Ilénia saisit le message, lève les mains et commence à déboutonner son chemisier.

- Voila ! C'est bien ! Tu comprends vite, ce poste est fait pour toi.

Elle a le chemisier ouvert, les bras le long du corps.

- Retire-le et donne-le-moi. Approche-toi maintenant.

Jean pose sa main sur sa hanche et l'autre sur son ventre, il approche son visage du corps offert et embrasse à plusieurs reprises son ventre.

- Que ta peau est douce et chaude.

- Merci Mr Jean.

Il continueà embrasser son ventre. Elle est surprise quand elle sent la langue de Jean s'enfoncer dans son nombril.

Il glisse ses mains sur le tissu du soutien-gorge et presse les seins d'Ilénia.

Il se relève et passe ses mains dans le dos de la jeune femme et dégrafe son soutien-gorge et le fait glissé le long de ses bras.

- Tes seins sont superbes, Edouard a de la chance de pouvoir jouer avec une si grosse poitrine.

Jean les prend à pleine main, les malaxes. Il approche sa bouche et fait le tour de ses aréoles avec la langue.

- Hooooo... Vous êtes un coquin Mr Jean !

- Ils sont si bons, MMMmmmm... !!! Tes grosses mamelles !!! J'aimerais tellement pouvoir jouer avec plus souvent.

- Si j'ai ce poste à la mairie, on devrait se voir plus régulièrement.

- T'inquiète pas je vais faire mon maximum pour que tu l'obtiennes ce travail.

- Merci Mr Jean.

Ilénia a resserré ses seins sur le visage de Jean, il coince le téton gauche entre ses lèvres et tire dessus.

Jean regarde la pendule au-dessus de la porte.

- Merde !!! J'ai un rendez-vous dans dix minutes !

Il défait sa ceinture et déboutonne son pantalon en velours.

- Viens par la, tu la connais déjà.

Ilénia est à genoux entre ses cuisses, il descend son slip sous ses fesses.

- Prends la sucette à tonton Jean.

Elle écarte les poils et saisi le petit mollusque entre l'index et le pouce, elle s'approche et pose le bout de sa langue sur le gland qui apparait. De l'autre main elle joue avec les testicules frisés.

Elle lève les yeux et voit Jean la bouche ouverte et les yeux fermés qui réagit à chaque mouvement de langue sur son gland.

La petite bête prend de l'ampleur, elle ouvre la bouche et avale la moitié du pénis en continuant à le masturber.

- HAAaaaa.... Hoooo... Tu sais y faire, je suppose qu'Edouard a le droit à une petite pipe le soir dans le lit conjugal?!

Ilénia accélère le rythme sur le petit membre tout dur.

- Alors tu le suces ton mari?

Elle fait un signe positif de la tête.

- C'est bien ! C'est bien... Il a de la chance. Haaaa... Haaaa... C'est bon... !!!

Jean entend le bruit de succion dans la pièce, il apprécie les mains de la belle Italienne qui lui caresse les testicules.

- Et Salim? Tu le suces Salim?

Il la regarde descendre et monter sur sa queue, il a du mal à respirer, son visage est écarlate.

- Il a le droit à sa pipe le noir aussi??!! Réponds-moi !!!

Elle fait un nouveau signe positif de la tête.

- Ho putain la cochonne !!!

Jean saisit la tête d'Ilénia et pilonne sa bouche.

- Petite salope de suceuse !! Petite sal... !!! Je viens !!! Haaaaaaaa... Haaa... Ha...

Jean s'affale dans son siège le souffle court, le visage tout rouge, en nage.

Ilénia pose sa main sur sa bouche et avale le sperme. Elle se relève et attrape ses vêtements.

- Viens par là.

Il se repositionne et se passe un mouchoir en tissu sur le front. Il lui saisit un sein et lui presse avec douceur, sa main descend sur les fesses d'Ilénia jusqu'au genou et il remonte sous sa jupe, il lui caresse les fesses en regardant la pendule.

- On a encore plein de chose à faire tous les deux.

Elle lui fait un sourire de politesse et fini de se rhabiller. Jean se lève avec un peu de mal et la raccompagne à la porte et lui ouvre.

La secrétaire les regarde par-dessus ses lunettes.

- Merci Madame Moulin-Gio, je vous rappelle avant la fin de semaine sans faute.

- Très bien, merci Mr Cornet.

Ilénia passe devant la secrétaire en reboutonnant son chemisier, celle-ci lui retourne un sourire mesquin.

Assise dans sa voiture elle se sermonne toute seule.

- Connasse tu as intérêt à l'avoir ce poste, tu ne vas pas sucer ce gros porc pour rien !!!!

Elle envoie un texto à Edouard « on déjeune ensemble?»

Le temps de faire la route, elle attend devant le lycée. Il est midi la sonnerie retentit, les lycéens défilent devant elle. Elle sourit en voyant son mari sortir d'un bâtiment, elle lève le bras avec le sourire mais son enthousiasme redescend vite quand elle voit une blonde suivre Edouard, lui poser la main sur l'épaule avec un grand sourire.

- C'est qui cette pétasse???

Ils se rapprochent.

- Ilénia je te présente Sophie, une collègue. Sophie voici Ilénia ma femme.

Après un échange de courtoisies, ils prennent tous les trois la direction d'une brasserie au coin de la rue.

- Ilénia, cela ne te dérange pas que Sophie mange avec nous?

Dépitée elle répond - Non, bien sûr.

La brasserie est bondée, les deux femmes s'assoient l'une à côté de l'autre sur la banquette et Edouard en face de sa femme. Sophie se lève.

- Je vais me passer un peu d'eau je reviens.

Edouard regarde sa femme.

- Ça ne va pas ma chérie?!

Elle ne répond pas.

- Houuuu ! Elle est jalouse.

- N'importe quoi !!

- Si si si !! Tu es jalouse !

- Je te dis que non.

- Je n'aime que toi ma chérie.

Edouard prend la main d'Ilénia. Il enlève son pied de son mocassin et vient caresser la jambe de sa belle.

- Sinon le rendez-vous avec Jean c'est bien passé?

- Oui il doit me rappeler en fin de semaine.

Edouard remonte jusqu'à son genou et essaie de se glisser entre ses cuisses.

- Arrêtes ! Qu'est-ce que tu fais. Il y a plein de monde.

- Personne ne peut voir, il y a la nappe. Tu n'as pas mis de collant?

- Non, Je suis partie précipitamment ce matin.

- Tiens, voilà Sophie.

Le repas servit, la discussion s'installe.

- Vous êtes mariés depuis longtemps?

- Un peu plus de deux ans.

- Vous faites un joli couple.

- Merci.

Sur ces mots le pied d'Edouard revient sur le mollet de sa belle Italienne et remonte sur les genoux, son pied s'engage entre les cuisses.

blois
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