Mémoires D'un Chasseur À L'affût

BÊTA PUBLIQUE

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- "Je vous en prieeee...... Nonnnnnn..... S'il vous plait..... retirez-vous...... Pas si profond! ..... Nonnnn....."

Mais Darius ne voulait à aucun prix se priver du plaisir d'éventuellement engrosser cette pute blanche si sexy, il projeta des torrents de foutre épais au fin fond de son utérus espérant lui avoir collé un petit polichi-nelle noir dans le tiroir! .....

Elaine Robert était une infortunée victime de plus des insatiables appé-tits de lucre de Darius, mais elle ne croyait pas qu'il puisse lui arriver pire que ce viol bestial, mais bientôt elle apprit à quel point son pervers vio-leur pouvait se montrer impitoyable.

Pour éviter que les photos et le film de son viol ne soient envoyés à son mari, ses parents, ses amis, il l'obligea à l'impensable, à exercer la plus ancienne profession au monde.

Quittant son travail à 14 heures, elle devait se rendre à l'hôtel de l'aéro-port pour y exercer son second travail celui de prostituée à 300 $ l'heure! .....

Ce nouveau rôle de proxénète s'avérait aussi profitable que réjouissant, il avait enfin osé passer le pas, nul doute que bien vite d'autres de ses proies travailleraient pour lui.

Robert travaillait à un guichet, il était assis à peu de distance en grande conversation avec un sexagénaire qui voyageait seul.

Il se marrait comme une brute en voyant la ravissante jeune femme lui adressait des coups d'œil angoissés en le voyant tendre une photo à son interlocuteur tout en la désignant d'un signe raphide du doigt.

La semaine suivante, Elaine Robert apprenait qu'il avait passé un marché avec ce sexagénaire, c'était un nouveau client à qui elle devrait livrer son corps et ses charmes!

Bien sûr elle se devait de satisfaire pleinement les appétits lubriques de ses clients, que ce soit en bouche, en con ou en cul, sous peine de diffusion des photos et cassettes ce qu'elle ne voulait surtout pas! ......

Se remémorant une fructueuse expédition à Ashville, Darius pouvait dé-peindre en détail la somptueuse blonde vêtue d'une robe rouge qui était assise en travers du chemin travaillant sur son ordinateur portable.

La brillance du diamant de son anneau de fiançailles avait attiré son re-gard comme l'odeur de bacon ouvrait son appétit.

Abandonnant son manteau et son attaché-case sur son siège, il prit se dirigea délibérément vers elle, prétextant jeter quelque chose dans la poubelle, il vit alors qu'aucune alliance ne doublait l'éclat de la bague de fiançailles, il en tira la conclusion évidente que cette ravissante poupée devait être fiancée à un quelconque connard de petit blanc.

Bite tressautant dans son caleçon alors qu'il dévisageait la ravissante jeune femme, Darius se voyait déjà offrir à cette jeune promise un ca-deau de mariage anticipé.

L'infortunée nouvelle proie sélectionnée par Darius avait tout juste 25 ans, Mademoiselle Laurie Burton, cherchait à compléter les dernières cases libres de son emploi du temps au cours de ce long week-end ex-ploratoire, destiné à dénicher de nouveaux débouchés dans les chaînes de magasins de la région.

En tant qu'assistante de la branche commerçante de la "Horton Department Stores" Laurie devait se charger de la présentation des collections vestimentaires tout en recueillant les commentaires en retours des employés de la firme et les attentes de leurs clients.

Elle venait de terminer sa dernière visite de façon à prendre le vol de re-tour de cet après-midi elle avait décidé de regagner sa chambre d'hôtel pour se reposer et y passer la nuit de façon à visiter une dernière boite le lendemain, elle prendrait le vol de retour du lendemain après-midi.

Comme son mariage devait avoir lieu dans deux semaines elle ne ferait plus de tels voyages exploratoires avant son retour de croisière de lune de miel.

Darius se rua dans sa voiture de location lorsqu'il la vit quitter le parking de l'aéroport, par chance elle se cantonna à rouler dans la file de droite jusqu'à la 4ème sortie qu'elle emprunta pour se diriger vers une épicerie au coin de la rue..

Sans aucun soupçon Laurie Burton s'arrêta à l'épicerie du coin pour y prendre un repas qu'elle savourerait dans sa chambre d'hôtel, ainsi elle n'aurait plus à la quitter une fois arrivée à l'hôtel.

Elle se prit un hamburger, quelques rondelles d'oignons,

et une boisson fraîche, puis elle retourna dans sa voiture.

Elle ne prêta aucune attention à la camionnette rangée auprès de sa voi-ture, comme elle sondait son sac pour y trouver les clefs, elle perdit tout contrôle de ses gestes, laissant tomber sa boisson fraîche au sol.

Il la déposa inconsciente sur le sol à l'arrière de sa camionnette, il la bâil-lonna et referma le véhicule puis partit à la recherche d'une chambre.

Une chambre au rez-de-chaussée au fin fond du complexe hôtelier fai-sait pleinement son affaire.

Il se facilitait d'avoir résolu si rapidement les problèmes inhérant à une situation improvisée.

Et maintenant alors que l'adorable jeune femme était sur le point de sor-tir de sa torpeur cotonneuse pour se retrouver ligotée et bâillonnée, il se préparait à lui offrir un cadeau de mariage anticipé.

Finalement elle battit des paupières alors qu'elle revenait à elle.

Darius se réjouir de voir ses yeux se remplir d'horreur, jamais elle ne se serait attendue à se retrouver entravée et bâillonnée, nue sur lit devant un colosse noir se branlant énergiquement son épaisse bite.

Darius adorait la voir se débattre, jetant des coups de pieds de part et d'autre alors qu'il lui écartait de force les cuisses la clouant sur le lit.

Une fois qu'il contrôla les mouvements de ses jambes en empoignant ses chevilles il la fit soupirer et s'arquer sur les talons alors qu'il lui dévo-rait sa petite chatte.

- "Nnnnnn..... Nnnnnnnnnnnnn..... Nnnnnnnnnnnnn....." gémissait-elle alors qu'il dégustait à pleine bouche son jus intime.

Soudain son corps fut secoué de spasmes incontrôlables Darius sut alors qu'elle succombait à un orgasme indésiré, qu'elle avait repoussé de toutes ses forces ce que confirmait l'épanchement crémeux de sa chatte dans sa bouche.

- "Ahhhhhhhhhhhh... Aaaaaaaaahhhhhhhhhh... Nnnnnnnnnnn..... Nnnnnnnnnnnfffffffffffffff......" miaulait-elle en dépit du baillon qui étouffait ses cris alors que Darius lui faisait expérimenter des plai-sirs qu'elle n'aurait du connaître que lors de sa nuit de miel! ......

- "Ahhhhhh...... Crois-tu que ton époux parviendra è te faire jouir ainsi lors de ta nuit de noce? ..... une chose est certaine...... Comme c'est moi qui vais cueillir ta fleur, tu ne saigneras plus lors-qu'il te prendra la première fois, n'est ce pas ma chérie! ......"

- Il gloussait de fierté d'avoir été le premier à la posséder, à être celui qui l'avait dépucelée.

Darius la laboura toute la nuit jusqu'au matin vers 10 heures assouvis-sant ses appétits luxurieux sur le corps de la jeune et innocente Laurie Barton...

Voyant que ce combat l'avait laissée épuisée, il lui enleva sa poire d'an-goisse et la délia, la prévenant :

"Le billet que j'ai trouvé dans ton sac me dit que tu dois prendre un vol cet après-midi, je crois que tu ferais mieux de te rafraîchir avant de t'embarquer à bord de l'avion! ..... Après la nuit que nous avons passé ensemble, je vais t'accorder deux heures pour te laver et te refaire une santé...... Et fais bien attention de bien nettoyer tout le foutre qui te couvre le visage, hey, hey, hey..... Oh au fait ta voiture se trouve de l'autre coté de la rue, dans le parking là où tu as acheté de la nourriture! ....."

Le lendemain de leur mariage, la nouvelle madame Laurie Marsh et son mari, partaient pour une croisière dans les caraïbes, ils se promenaient main dans la main sur le pont lorsqu'elle se figea soudain et agrippa son estomac comme si elle avait des nausées.

Soutenue par son mari alors qu'elle cherchait à reprendre son souffle, lorsqu'il lui demanda ce qui n'allait pas, Laurie chercha dans sa tête ce qu'elle pouvait bien lui répondre et balbutia :

- "Je suppose que toute cette agitation a eu raison de mes forces! .... C'est juste un coup de barre! ...."

Elle disait sûrement la vérité, mais en fait la cause réelle de son malaise était le passager noir qui se penchait au-dessus de la rampe un peu plus loin, un passager dans lequel elle avait reconnu le type qui l'avait violée lors de son voyage d'affaires deux semaines plus tôt.

Ce n'était certainement pas une coïncidence si Darius était à bord du ba-teau pour cette croisière.

Lorsqu'il avait fouillé son sac, lorsqu'elle était encore en état de totale sidération, Darius avait lu les dates de leur croisière et le nom du bateau sur son agenda, départ le dimanche pour les caraïbes avec retour le samedi suivant, elle-même fièrement indiqué le numéro de leur cabine de luxe.

Se ruant sur les dernières réservations à bas prix sur internent destinées à compléter la croisière, Darius avait acheté un billet au tiers de sa va-leur.

Laurie dit à son époux qu'elle voulait profiter du salon de beauté pour se relaxer pour le lendemain, pendant ce temps elle était certaine qu'il ap-précierait de piquer une tête dans la piscine lui qui adorait nager, elle prit alors l'ascenseur mais ne se dirigea pas vers le salon de beauté.

En fait, elle se rendit dans la cabine de son maître chanteur le numéro lui avait été remis en main propre, par un homme d'équipage pendant le lunch alors que son mari était parti aux toilettes.

Si elle ne voulait pas que son mari ait connaissance des photos que contenaient l'enveloppe, elle devait rejoindre son maître chanteur cabine 615 sur le 2ème pont cet après-midi comme tous les après-midi de la croisière.

Inutile de préciser que la croisière ne fut en fait que la suite de la sou-mission de la jeune épouse à son maître chanteur.

En regardant le couple de jeunes mariés déambuler main dans la main sur le pont puis sur la promenade menant au parking réservé aux pas-sagers, Darius gloussait en voyant à quel point le jeune marié semblait avoir la tête dans les étoiles, bordel, si seulement il savait que son ado-rable épouse ne s'était jamais rendue au salon de beauté comme elle le lui disait chaque jour. Cependant elle se faisait masser et malaxer cha-que jour, bien que ces massages la brûlent et l'humilient, et ce spéciale-ment lorsqu'elle écartait largement les cuisses pour que Darius lui fourre son épaisse mentule au plus profond de son intimité.

- « Hey, hey, elle est encore étroite à mon goût, mais cela s'arrange chaque après-midi, je lui ai bien élargi la chatte maintenant! ..... » s'amusait-il, et encore n'avait-il pas fini de profiter de ses charmes, puis vraisemblablement de la faire travailler à son compte, il lui suffirait de lui faire occuper une chambre d'hôtel à son aéroport de base deux fois par mois! .... Cela ne pouvait pas lui faire de mal d'augmenter son cheptel! .....

Darius avait pris une navette pour l'aéroport, il avait pris un vol pour Hartsville pour y rencontrer quelques clients et rentrait chez lui.

En arrivant sur l'aire d'embarquement il jeta un coup d'œil rapide sur la liste des départs, s'enquérrant s'il y avait rien de neuf au niveau des départs, il apprit alors que son avion avait quelques ennuis techniques et que la météo était extrêmement mauvaise, les passagers devaient prendre un autre vol et les départs seraient retardés.

Il parvint à obtenir un billet sur un autre vol et se dirigea vers le terminal concerné, il avait programmé de prendre un rapide lunch avant de s'inté-resser aux beautés susceptibles de meubler ses délais d'attente.

Jetant un oeil sur l'aire des départs de son vol, il vit qu'il y avait très peu de monde qui attendait à la grille numéro 8, il se dit alors que la plupart des passagers devaient être parti se restaurer.

Il fit un tour rapide du petit aéroport et ne dénicha pas de mignonnes poulettes, aussi se dirigea-t-il vers le bar pour vider une bière et manger un sandwich.

Alors qu'il sirotait sa bière, en attendant son sandwich, une ombre passante attira son attention, il se retourna et vit alors une ravissante rouquine vêtue de blanc qui passait dans son dos.

Se redressant sur l'arête du bar, il la toisa alors qu'elle passait à proximi-té et il sourit à pleines dents se disant : pourvu que cette somptueuse rouquine se cherche un siège à la grille 8! ......

Elle était magnifique, sa peau semblait de la porcelaine et sa tenue blan-che exacerbait encore sa sensualité, à sa vue sa bite s'était mise au garde à vous dans son caleçon! ......

Déçue de voir les choses traîner en longueur, Mélanie

Faber pensa qu'elle ferait mieux d'appeler ses amies pour leur dire que le déjeuner qu'elles avaient programmé devait être reporté.

Elle s'était habillée élégamment en pensant louer une voiture dès son arrivée pour se rendre directement au restaurant rejoindre ses amies tout cela pour rien, enfin, elle aurait d'autres occasions de rencontrer ses ex-copines de collège durant le week-end à venir, de déjeuner et de faire du lèche-vitrines avec.

Elle avait combiné cette réunion fraternelle avec un voyage d'affaire car sa compagnie prenait en charge tous les frais inhérent aux voyages d'af-faire, logement nourriture et voyage, mais cela entraînait l'obligation de travailler parallèlement à ses retrouvailles.

Mélanie était heureusement mariée, elle allait sûrement manquer à son mari bien-aimé et sa petite fille de 2 ans.

Mais elle savait que sa belle-famille s'occuperait bien de sa petite fille, ils se réjouiraient même si son périple traînait en longueur.

Jusqu'ici, elle s'était toujours débrouillée pour que ses voyages n'excédent pas la journée et lui permettent de rentrer à la maison en fin d'après-midi, ce qui ne perturbait pas sa vie de famille.

Se positionnant confortablement, Mélanie sortit son portable pur appeler ses amies, discuter avec elles et leur faire part du retard des vols, et qu'elle se verrait dans l'obligation de les voir moins longtemps, se devant de produire un certain travail pour sa compagnie qui finançait son voyage.

Elle appela ensuite en particulier l'une de ses amies et discuta et rit avec elle en évoquant le bon vieux temps lorsqu'elles se retrouvaient en se-maine.

C'est alors qu'un frisson ténu parcourut son échine, ce qui provoqua sa curiosité, l'amenant regarder ce qui sa passait autour d'elle.Elle soupira profondément commentant pour son amie au bout du fil :

- "Oh ma chère Debbie, si tu voyais ce bâtard de noir qui me toise du regard... Je jurerai que je le fais bander ferme! ....."

Elle gloussa en entendant son amie rétorquer :

- "Hey, rappelle-toi comment on allumait sans aucune pitié les mecs, même les profs dans nos années collège! .... Fais de même avec ce type..... montre-lui tes jambes, jette-lui un coup d'œil provoquant en remontant ta jupe! ..... Eh ben quoi... Ca te fera au moins pas-ser le temps d'attendre ton vol! ......"

En voyant cette salope le reluquer avec un large sourire, Darius comprit qu'elle l'avait vu la toiser des pieds à la tête, appréciant ses appâts, elle releva les jambes et les posa sur son attaché-case, il savait pertinem-ment qu'elle faisait cela pour l'allumer.

- "Quelle salope de petite allumeuse! .... Elle ne sait sûrement pas ce qu'elle risque à jouer avec le feu! ..... Ecarte encore un peu plus que je voie mieux salope! ..... Je jure bien que je vais m'la faire cette petite salope! ..... Bientôt elle verrouillera ses lingues cuisses blanches dans mon dos... Je le jure chienne! ...." se promit-il à lui-même.

Lors de leur arrivée tardive en pleine nuit, Darius prit la voiture qu'il avait réservée à son nom, la rouquine se faisait la queue cherchant à louer un véhicule.

Voyant qu'elle avait obtenu satisfaction, il lui fut aisé de la suivre, il était évident qu'elle ne connaissait pas les lieux.

En la voyant s'arrêter devant le "Grand Regency", un endroit bien trop cher pour lui, Darius la regarda de loin disparaître dans les couloirs alors que le portier rangeait sa voiture dans le parking.

Il était passé devant des hôtels bon marché en la suivant, là il trouverait une chambre plus dans ses prix, mais avant, il voulait faire un tour au parking pour repérer sa voiture.

Comme il connaissait la marque, le modèle et le numéro inscrit sur sa plaque d'immatriculation, ce fut un jeu de la repérer pour y fixer un émetteur G.P.S.

Le lendemain, ayant complété sa liste de rendez-vous le matin même, elle jeta un oeil sur l'heure et songea qu'il était temps de se presser, si elle voulait déjeuner avec ses amis ce midi, sinon elle devrait se rendre à la maison de son ex-fraternité pour y rencontrer toutes ensembles les nouvelles étudiantes comme convenu.

Elle eut beau chercher à l'appeler, elle ne parvint pas à contacter Debbie sa meilleure amie, elle lui laissa un message lui disant qu'elle espérait bien déjeuner avec elle, mais que si cela ne se faisait pas elles se rattra-peraient plus tard.

On était parti pour une chaude journée, elle avait enfilé une élégante robe d'été et des sandales, mais elle avait jugé inutile de mettre des col-lants.

Dans sa hâte de déjeuner avec ses amis, Mélanie baissa sa garde et négligea de vérifier que personne ne se trouvait sur le siège arrière comme elle le faisait d'habitude.

Au moment ou elle allait tourner la clef de contact elle reçut un violent choc électrique à la base du cou.

- "Hey chérie, te rappelles-tu de moi? ...." la raillait Darius.

A voir la façon dont elle se débattait et l'expression terrifiée qu'affichait son visage, Darius comprit qu'elle l'avait effectivement reconnu alors qu'il se penchait sur elle pour mâchouiller un de ses tendres tétons..

- "Tu ne pensais tout de même pas qu'après m'avoir m'allumé comme tu l'as fait à l'aéroport je te laisserai te moquer ensuite de moi? ..... Tu vois ma chère madame Mélanie Faber tu t'es juste permis d'allumer le mauvais gars! ...." l'avisait sacarstiquement Da-rius en lui caressant lascivement ses longues jambes couleur ivoire..... Tes jambes sont vraiment douces et soyeuses! ..... Juste comme je les imaginais en sortant de l'aéroport! ...." commentait-t-il continuant à la caresser voluptueusement.

- "En fouillant ton sac à main j'ai trouvé des potos de ta petite fille et ton cornard de mari blanc... Etre mariée ne t'empêche pas d'allumer les hommes! .... Tu vas apprendre ce qu'il en coûte de jouer avec le feu Mélanie Faber! ....." ricanait Darius avant d'enfouir sa matraque charnue au fin fond de sa foufoune rétive.

- "Nnnnnn..... Nnnnnnnnnnnnnnnn..... Nnnnnnnnnnnnnnnnnnn......" criait Mélanie bien que son baillon étouffa ses hurlements.

Darius adorait entendre hurler ses proies, il ironisait :

- "Ne serait-il pas judicieux pour ta petite fille de lui fabriquer un petit frère ou une petite sœur, bien sur elle serait bien plus bronzée qu'elle mais qu'importe! ....."

Il coulissait à son aise dans sa foufoune distendue tout en ajoutant :

"C'est bon chérie...... J'espère bien t'engrosser! ....."

-

Il la retint captive pendant deux jours complets, il ne la relâcha qu'une fois lui avoir donné une bonne leçon de savoir-vivre, elle n'était pas prête d'allumer de nouveau des étrangers pour se marrer.

Violée dans différentes positions, elle avait avalé son saoul de foutre épais puis il avait du lui plaquer la main sur la bouche, lorsqu elle décou-vrit pour la première fois le "plaisir" anal.

Entre deux séances de baise il avait pris un taxi pour régulariser la location de son véhicule.

Lorsque Mélanie eut assez récupéré, elle se força à rencontrer ses amies en milieu de semaine le temps de répondre aux questions qu'elles se posaient, se servant finalement de son boulot pour s'excuser de ne pas les avoir rejoint plus tôt

Plus tard, elle avait appelé sa fille et son mari mais pas parce que son mari se tracassait à son sujet, puisqu'elle lui avait téléphoné chaque soir.

- "Oh mon Dieu j'ai du téléphoner à Jack chaque soir que je l'aimais tant..... Alors que ce sale bâtard de noir se vidait les couilles dans ma chatte à cet instant même! ...." grimaçait-elle.