Marine la plage

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Tout commence par une balade au bord de l'eau.
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Il est deux heure du matin. En cette douce nuit d'été, la lune renvoie ses reflets brillants sur une mer d'huile. Ses sandalettes à la main, vêtue d'une légère robe d'été, Marine marche au bord de l'eau. Les vaguelettes apaisées caressent ses chevilles. Elle se remémore sa soirée, la discothèque, les heures de danses frénétiques et sensuelles, la demi-douzaine de garçons qu'elle allumée avant de les abandonner lorsque le désir se faisait trop pressant.

Pour calmer la passion qui brûle encore en elle quoi de mieux qu'une baignade dans cette mer si accueillante, si reposante. A l'abri de deux barques échouées sur le sable, elle retire sa robe, son soutien gorge et sa petite culotte. A peine cinq mètres à parcourir à découvert avant de plonger dans l'eau rafraîchissante. Accroupie entre les barques, complètement nue, elle jette un coup d'œil à gauche puis à droite avant de se précipiter au cœur de la grande bleue dans un « SPLASH » sonore. L'espace d'une seconde, les rare noctambules auraient pu apercevoir l'éclat blanc et brillant de ses chairs dénudées, ses fesses rondes, ses jolies jambes galbées et ses seins généreux se balançant de part et d'autre de sa poitrine.

Marine nage lentement profitant de ces instants merveilleux. Ses fesses brillent sous la lumière de la lune à chaque fois qu'elle enfonce la tête sous l'eau. Et lorsqu'elle se retourne pour nager sur le dos, ce sont son torse et son ventre qui dessinent une merveilleuse tâche claire dans l'immensité sombre de la mer. Tandis qu'elle fait la planche, sa main glisse entre ses jambes pour caresser son abricot frémissant. Elle sent couler sur ses doigts profondément enfoncés dans sa chatte, un liquide bien plus chaud et épais que l'eau dans laquelle elle baigne. Elle commence à couler et est obligée de reprendre pied. Debout, les jambes écartée, la moitié des seins dépassant de la surface de l'eau, elle poursuit ses caresse et se met à jouir avec intensité.

Son plaisir est brusquement interrompu par la silhouette d'un homme qu'elle distingue à une vingtaine de mètres, assis sur l'une des barques. Elle se demande depuis combien de temps il est là et surtout combien de temps il compte rester. Un frisson parcourt ses chairs. Elle a froid à présent. Tant pis, elle n'a plus envie d'attendre, il faut qu'elle sorte. Au fur et à mesure qu'elle s'avance vers la plage, son corps d'albâtre surgit dans la lumière de la lune. D'abord ses seins magnifiques sur lesquels brillent des milliers de goutes d'eau, puis son ventre large et ferme, enfin son pubis au centre duquel se dessine un petit triangle de poils sombres parfaitement taillés et sous lequel s'ouvre les chairs roses de sa bouche intime.

L'homme fume distraitement une cigarette, comme indifférent au spectacle de cette adorable sirène qui s'approche de lui dans son éclatante nudité. Elle passe à un mètre sans même le regarder, pour retrouver le petit tas de vêtement qu'elle a laissé entre les barques. Mais à son grand désespoir, les vêtements semblent avoir disparu. Elle les cherche frénétiquement tandis que l'homme continue à tirer lentement sur sa cigarette en contemplant la mer.

« Excuse me! You no visto des vêtements à mi?" Une main croisée sur la poitrine, l'autre posée en pathétique rempart devant sa chatte tremblante, Marine ne sait en quelle langue s'exprimer. «J'ai en effet trouvé des vêtements mais je comptais les rapporter à la police. Qui me dit qu'ils sont à vous après tout? » Il a prononcé ces paroles dans un français parfait et avec un ton malicieux qui ne laisse aucun doute sur ses intentions.

« Très drôle! Vous vous êtes bien rincé l'œil? Alors c'est bon maintenant. Rendez moi mes affaires avant que je ne fasse un scandale. » réplique Marine furieuse. « Mais allez-y donc, plus on est de fous plus on rit! Il y a justement là-bas un groupe de jeunes gens bien allumés qui seront très heureux de venir nous rejoindre. Vous voulez que je les appelle moi-même? » Marine doit se rendre à l'évidence. Sur la digue un peu plus haut, il n'y a plus que quelques fêtards éméchés à la recherche d'une dernière aventure pour conclure leur nuit. « C'est bon vous avez gagné. Qu'est-ce que vous voulez? » finit-elle par répondre en baissant les bras.

« Que diriez vous d'un baiser contre une serviette pour vous sécher. Je ne voudrais pas que vous attrapiez froid ce soir. » Pressée d'en finir au plus vite, elle s'avance vers le jeune homme pour l'embrasser chastement mais lorsqu'elle veut s'écarter, il est trop tard. Il l'a saisie dans ses bras puissants et la serre contre lui en lui dévorant la bouche. Sa langue se glisse en elle comme un serpent. Elle sent sa main ferme qui agrippe fesses dénudées tandis qu'un doigt s'aventure jusqu'aux premiers rideaux bord de sa chatte détrempée. Enfoncée entre ses jambes, la cuisse musclée du jeune homme écrase son clitoris d'où rayonnent des éclairs qui pénètrent au plus profond de son intimité. Au bout d'une longue minute, alors que l'excitation est à son comble, c'est lui qui décide d'interrompre leur étreinte.

« Whaou! Tenez vous l'avez bien méritée » lui dit-il en lui tendant un minuscule serviette à peine plus grande qu'un mouchoir. Marine espérait pouvoir enfin se couvrir mais le petit morceau de tissu éponge n'est même pas assez grand pour faire le tour de sa taille. Alors, elle se met à se sécher lentement, sous le regard amusé du jeune homme. « Et maintenant? » demande-t-elle avec impatience en lui rendant la serviette trempée. « J'ai ici un soutien gorge que j'échangerais volontiers contre une dégustation de votre peau salée. Qu'en dites-vous? »

Marine commence à trouver cette petite aventure à son goût. Allongée sur le sable chaud à l'abri des deux barques, elle lui livre son corps et l'invite à savourer le moindre centimètre carré de chair salée. Il se penche sur elle et laisse glisser ses lèvres et sa langue sur sa peau frissonnante. Il la lèche longuement, comme un chien enivré par le goût du sel. Il parcourt les seins, suce les mamelons avec passion, laboure le ventre en s'attardant longuement au creux du nombril.

Lorsqu'il arrive enfin au buisson sombre qui marque l'entrée de sa caverne, un lent filet de cyprine chaude sourd déjà des lèvres tremblantes, glisse entre la raie des fesses et vient mourir sur le sable chaud. Il se désaltère longuement à cette source enivrante. Le corps de Marine est pris de frissons de plus en plus intenses et le jus qu'elle exhale n'en est que plus abondant.

Elle n'en peut plus, elle voudrait lui crier de la prendre là tout-de-suite mais au lieu de cela, elle le repousse brusquement et ils restent tous les deux de longues secondes affalés côte à côte sur le sable. « Ca c'est pour mon slip » lui annonce-t-elle tout en le faisant rouler sur le dos avant de libérer son membre dressé de l'étroite prison de son pantalon.

C'est au garçon à présent de trembler de plaisir. Les lèvres expertes de Marine parcourent méthodiquement l'hampe tendue, s'attardent sur le gland qu'elle mordille sans égard avant d'avaler complètement le long serpent tremblant. Accroupie dos à la mer, entre les jambes du jeune homme, sa croupe dressée ronde et brillante semble faire concurrence à la lune.

Dans sa bouche Marine sent les spasmes réguliers qui traversent le membre tendu. Alors elle s'arrête, s'avance et enfourche le jeune homme. « Et voilà pour la robe » dit-elle tout en laissant glisser le long gourdin au cœur de sa chatte inondée. Elle le chevauche dans un mouvement sensuel qu'accompagne le balancement régulier de ses seins et qui suit le rythme lent des vagues qui s'échouent quelques mètres plus bas. Elle sent le membre chaud qui se frotte sur chaque millimètre de son inimité soyeuse. Au bout de moins d'une minute, ils jouissent à l'unisson dans un long râle qui se perd dans le bruit de la mer.

Elle se rhabille lentement et en silence, encore pénétrée par cette incroyable aventure et ne sachant vraiment que dire à son amant d'un soir. « Vos sandales pour un dernier baiser? » lui dit-il en lui tendant les chaussures. Elle sourit et l'embrasse avec passion avant de s'éloigner. « A demain? » lui lance-t-il tandis qu'elle disparaît sur la digue.

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