Marine à la ferme

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Chargée de la clientèle au gîte rural « Les Bécasses »! Tu parles d'un job! En matière de clients, Marine n'a eu, au cours de cette première semaine, qu'à s'occuper d'un couple de touristes retraités venus passer un week-end à la campagne. Et pour le reste, on lui a gentiment fait comprendre qu'à la ferme tout le monde doit donner un coup de main. Alors, depuis une semaine, en parfaite petite paysanne, elle nourrit les poules, ramasse leurs œufs, nettoie l'étable et la porcherie et termine invariablement la journée épuisée, crottée jusqu'aux aisselles, le corps imprégné d'une une pénétrante odeur de purin.

La douche en fin d'après-midi dans le petit réduit derrière la ferme est son seul moment de plaisir. Elle laisse couler longuement le jet chaud sur sa peau meurtrie qu'elle ramène peu à peu revivre par d'expertes caresses. Elle se savonne abondamment pour noyer cette odeur animale qui la pénètre, s'attardant avec application sur les parties les plus intimes de son anatomie. A plusieurs reprises, elle a aperçu la silhouette massive d'André, le fils des propriétaires, l'épiant derrière la vitre embuée. Depuis qu'elle est arrivée, il lui a à peine adressé la parole. Pourtant, elle le trouve plutôt séduisant malgré son air bourru et ses tenues crottées. Consciente de l'effet de son corps dénudé sur le jeune homme timide, elle a poursuivi ses caresses sensuelles jusqu'à l'inévitable jouissance.

Ce matin, on lui a demandé d'aller nourrir les vaches. Alors qu'elle pénètre dans l'obscurité de l'étable, la puissante odeur des bovins envahit ses narines. Alors qu'elle s'avance entre les vaches, son pied heurte un objet lourd qui se renverse dans un fracas métallique, répandant à ses pieds une grande flaque de lait blanc et fumant. « Bon Diou! Pouvez pas faire attention non? » La voix grave d'André résonne dans l'étable. « Z'êtes pas sur les Champs Elysées ici! On regarde où on met les pieds! Savez l'temps que ça prend d'remplir un seau d'lait comme çui-là? » Marine se confond en excuses qui ne semblent pas calmer le gaillard. « J'crois qu'i vous faudrait une bonne leçon! » annonce-t-il en écartant le tabouret sur lequel il était assis. « V'nez par ici, j'va vous apprendre comment on doit s'tenir à la ferme. » La jeune femme hésite un instant puis s'avance vers le André qui l'agrippe d'une main ferme et la force à se coucher en travers de ses cuisses.

Sans même prendre la peine de relever sa courte robe d'été, André laisse retomber sa main sur les sphères charnues. « Aie! Aie! Aie!» Les cris de Marine résonnent dans la grange. Au bout de dix claques assenées sur un rythme soutenu, il se décide à relever la robe pour dévoiler, sous une culotte de coton blanc, une superbe paire de fesses rosies. Après une dizaine de claques supplémentaires, il retire enfin sa petite culotte. Tandis qu'il laisse Marine reprendre ses esprits, André contemple avec admiration les deux demi-sphères de chairs tremblantes qui rougeoient dans l'obscurité de la grange. Il ne résiste pas au plaisir de leur assener une dernière série de claques. Les fesses de la jeune femme tremblent à chaque impact, déclenchant des éclairs rayonnants au plus profond du ventre de Marine. Son clitoris pressé contre la cuisse de son tourmenteur est gonflé de sang et de désir. Tandis qu'il caresse doucement ses fesses meurtries, elle sent deux doigts calleux qui se glissent en elle et viennent se noyer dans la chaleur humide de son con.

« Déshabillez-vous! » ordonne-t-il soudain en la repoussant. Encore toute étourdie du traitement qu'elle vient de subir, Marine s'exécute lentement, faisant passer sa robe au-dessus de sa tête, dégrafant son soutien-gorge pour se retrouver nue et penaude face au jeune assis devant elle. Les yeux baissées sur ses bottes crottées, les mains chastement croisées sur son con brûlant, les mamelles offertes, pareilles à celles des dizaines de vaches ruminant paisiblement dans l'étable, elle attend la suite de son châtiment avec une impatience craintive. « Asseyez-vous. » dit-il en lui cédant son tabouret. Marine prend place devant la vache qu'André trayait quelques minutes auparavant. « J'va vous apprendre à traire les vaches. Allez, saisissez lui les pis. » Tandis que Marine s'empare des longs tétons bruns, André, agenouillé derrière elle, en fait de même avec ses deux mamelons qu'il saisit à pleine main.

« Pour traire une belle génisse comme celle-là, faut y aller avec fermeté et délicatesse. » Tout en parlant de sa voix bourrue, il malaxe avec vigueur les seins de Marine. Il les triture, les étire, les relâche, remonte lentement le long du globe distendu avant de les étirer à nouveaux dans un rythme alterné. Les mains fermement agrippées aux pis de la vache, Marine essaye de copier ses mouvements. Tandis que son corps succombe irrésistiblement aux caresses mammaires que lui inflige André, elle entend le sifflement du jet lacté s'écraser au fond du seau dans un bruit métallique. La musique du lait coulant en jets réguliers accompagne le rythme des mains d'André sur ses seins brûlants. Elle ferme les yeux tandis que des spasmes de plaisir traversent son corps et qu'entre ses jambes, s'écoule le chaud torrent de sa jouissance.

André a compris que sa traite a été fructueuse, alors il relève sa séduisante génisse, la retourne et, après avoir pris place à son tour sur le tabouret, se retrouve le nez à hauteur du con baveux. Les mains toujours accrochées aux mamelles, il y colle sa bouche assoiffée et recueille à même la source, les jets de jus chaud et salé qui coulent en abondance des lèvres brillantes de Marine.

Après avoir étanché sa soif, il lui demande de monter sur le tabouret et de s'allonger sur le dos de l'animal. Marine s'exécute et se retrouve en travers de la vache, la poitrine et le ventre collés contre les flancs de la vache, le cul brillant offert au regard d'André. Elle entend derrière elle le bruit familier d'une ceinture qui l'on déboucle puis d'une fermeture éclair qui descend lentement. Soudain, le tabouret sur lequel elle se dresse bascule et, retenue par les puissantes mains d'André, Marine glisse lentement le long de l'animal jusqu'à sentir une grosse bite chaude et dure écarter les lèvres de sa chatte affamée avant de s'enfoncer inexorablement en elle.

Marine sent l'épais gourdin envahir peu à peu l'étroit conduit détrempé, écartant les chairs soyeuses, explorant chaque recoin en faisant vibrer intensément chaque cellule sensible. Et lorsqu'enfin le membre viril arrive au fond de sa caverne, elle se repose comme empalée, les jambes balançant à dix centimètres du sol.

Tandis qu'André la ramone avec méthode, le corps de Marine glisse sur le peau chaude et soyeuse de la vache. Les deux femelles oscillent de concert sous les coups de piston. Marine s'accroche aux poils de l'animal, ses seins oppressés sont gonflés de plaisir, son con coule sans discontinuer sous l'effet d'une intense jouissance, elle laisse échapper un longue suite de « Ouiiiii.. » sonores et répétés qui résonnent dans l'étable et déclenchent les meuglements enthousiastes de l'ensemble de troupeau.

Lorsqu'il se retire enfin et la repose sur le sol, Marine reste de longues secondes chancelante, accrochée au flanc de la vache. Lorsqu'elle se retourne, elle découvre André, debout derrière elle, un sourire dessiné sur les lèvre et le gourdin toujours vaillamment dressé. La jeune femme lui rend son sourire et, après avoir déposé le tabouret devant le jeune homme, elle s'y-assoit. «Vous m'avez appris à traire les vaches » lui dit-elle, « laissez moi vous montrer comment on trait les taureaux par chez moi! » et d'une bouche vorace, elle engloutit le membre encore trempé des liqueurs brillantes de sa jouissance. Quelques minutes plus tard, André jouit à son tour en longs jets épais et chauds que Marine avale avec gourmandise.

« Finalement, ce boulot à la ferme n'est pas si ennuyeux que cela » pense-t-elle et en recueillant les dernières gouttes de sperme chaud sur les contours de ses lèvres. « Que diriez-vous de m'apprendre à ranger les foins demain?» Annonce-t-elle en quittant l'étable dans un éclat de rire.

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