Marie soumise par Jérôme 07

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu vas te décider à le sucer oui ou non?

Question appuyée par un deuxième puis un troisième coup de cravache bien appliqué en travers de mes pauvres fesses déjà bien rouges. J'y vais! Je respire à fond, après je plonge, je le prends dans ma bouche. C'est doux, pas trop âcre, frais même?

Je lèche en m'aidant de mes mains toujours menottées devant moi, j'empoigne la verge, je commence à engloutir le gros bout rose et noir. J'ai une sensation de chaleur intense dans la bouche, une espèce de saucisse boursouflée et souple. La queue continue à sortir de son fourreau. Alors, je me retrouve en train de sucer un mandrin qui doit bien faire dans les vingt trois à vingt cinq centimètres sur environ six centimètres de diamètre.

Finalement, c'est bon, pas du tout comme une queue de mec, c'est agréable, très ferme et doux à la fois, raide et souple tout de même. On sent que c'est un animal, j'avoue que je pensais que ce serait plus âcre et fort.

Le chien a l'air d'aimer, car il gémit de plaisir, son fouet bat dans tous les sens. Je commence à y prendre plaisir. Pas un mot dans la pièce, tout le monde me regarde, je me sens avili, humilié et en même temps terriblement excité, surtout fier d'avoir eu le courage de faire cela.

Tout d'un coup, tout en continuant à sucer Job, je sens un petit peu de liquide séminal qu'il évacue de sa bite, je ne peux m'empêcher de me reculer. Beurk. Vlan! Vlan! Deux coups de cravache, puis la voix de Jérôme.

- Bon, pour une première fois, on ne va pas te forcer à le boire. Mais la prochaine fois?

La menace est claire.

- Allez, à quatre pattes maintenant! Non, ce n'est pas à Job que je m'adresse, c'est à toi papa. Il va te saillir, je te l'avais promis.

- Mais, il va me défoncer, il est bien trop gros! Dis-je pour essayer de l'amadouer.

- Parfait, tu l'auras voulu! Angèle, les culottes!

Quelques secondes plus tard, je me retrouve avec la culotte d'Angèle ainsi que mon propre slip enfoncé au fond de la gorge, le tout retenu par un autre foulard. D'une poussée dure, je me retrouve à genoux au bout du canapé ; Marie se saisit de mes bras, elle les tire en avant, Angèle, s'assoit carrément sur mon dos. Je suis allongé, le buste sur le canapé, en long, les jambes largement écartées par le bâton, le cul bien exposé.

Jérôme alors enduit copieusement mon anus de lubrifiant, il masse bien, tourne, fait pénétrer un, deux puis trois doigts à l'intérieur. Il me graisse comme on graisse une chatte avant de la perforer.

- Attends mon chien, attends je vais te l'ouvrir ta petite femelle.

Je le sens s'installer derrière moi et d'un seul coup, il me rentre sa bite jusqu'aux couilles. Je les sens qui tapent contre mon cul en feu.

- Voilà mon Job, il est tout ouvert, tout prêt pour toi. Regardez les filles comme elle est bien ouverte la chienne de notre amant Job!

Marie et Angèle se branlent sans se cacher, je sens leurs mouvements, elles gémissent les salopes, ça les excite. Je sens la truffe froide et humide de Job qui renifle mon trou du cul, il est largement ouvert et il palpite. D'appréhension ou d'impatience? Je ne sais pas.

Jérôme prend alors la bite de Job à pleine main, il la positionne sur mon cul, les pattes du chien sont sur mon dos, tenues fermement par Angèle. Je sens la queue qui cherche, elle entre.

Marie encourage le chien à me baiser. Il veut satisfaire son maître et remue de plus en plus. Il me pompe le cul pendant un moment jusqu'à ce qu'il s'arrête. Un soulagement de courte durée. Il vient de se nouer à mon cul de chienne.

Marie a compris que nous ne pouvons plus nous dégager l'un de l'autre, elle vient se mettre face à moi pour me donner sa chatte à lécher. Je me fais défoncer le cul par un énorme chien pendant, qu'elle colle sa vulve odorante sur mon visage. Honnêtement, c'est très bon ! Je ne sais pas comment elle fait, elle réussit à se faufiler sous moi en position soixante neuf. Je lui lèche la chatte pendant qu'elle me suce enfin la bite durant que Job me défonce le cul.

Voilà comment se passe le final de cette position. Job jouit le premier dans mon cul. Mon érection est de plus en plus forte surtout qu'elle est stimulée par la bouche experte de ma femme. Je lui aspire le fond de la vulve pour étouffer mes cris de jouissance. Je la fais jouir et je jouis en même temps. Je décharge dans sa bouche et elle avale le tout. En attendant que le nœud de la verge de Job se dégonfle pour nous libérer, je dois aussi faire jouir Angèle avec ma bouche. Une fois qu'elles ont bien joui, c'est autour de Jérôme de jouir dans ma gorge. Après tout ça, Job se retire après que le nœud se soit défait. Le sperme coule de mon cul dans les cheveux de ma femme.

Marie se relève, elle tamponne ses lèvres, elle me roule une pelle, nos langues encore imprégnées de sperme se mélange. Elle me dit qu'elle est ravie, car elle vient de trouver une nouvelle façon nous faire jouir.

- Petit veinard! Tu vois, toi qui souhaitais savoir ce que c'est que de prendre du sperme plein le cul sans préservatif, maintenant tu sais. Bien sûr, au départ, tu parlais du sperme d'un homme, mais bon. C'est pas mal aussi le sperme de chien hein? Clame alors Jérôme.

Je suis moi aussi content de ce qui vient de se passer. Puis mon cœur s'est arrêté de battre lorsqu'il me dit, qu'ils vont maintenant me présenter officiellement à leurs amis qui ont de gros chiens prêts à être satisfaits par mon petit cul.

Sans que je le sache, le trio fait partie d'un groupe de zoophiles. Je vais devenir le vide couilles de mon fils et son chien aussi de ceux de ses amis.

Ça y est, je l'ai fait, j'ai sucé un chien, aussi je me suis fait enculer par lui. J'ai honte! En réalité, j'ai adoré ça. Je suis une vraie salope, une vraie chienne. C'est exact, cette fois-ci, je le revendique.

Bien sûr, les hommes qui lisent mon récit sont outrés! Je leur rappelle que de ce côté là, les hommes et les femmes sont identiques, avec aussi, pour certain ou certaine, du plaisir à se faire sodomiser. La plus part des hommes souhaitent sodomiser la femme, il y arrive en utilisant des stratagèmes verbaux ou autres, en promettant à la femme du plaisir dans cette pratique, hors il ne désirent surtout pas, avoir ce dit plaisir dans leur anus.

Je pense que c'est fini. Mais non! On se contente de m'enlever l'écarteur, mes mains sont à nouveau fixées par la ceinture sur mon ventre.

- Maintenant Marie, je te le livre. Règle tes comptes, s'il remue trop, Jérôme est là.

Marie, un sourire ravi sur le visage, écarte la table de la salle à manger pour dégager un large espace et s'installe confortablement sur une chaise qu'elle a tiré au milieu de la pièce.

- Viens ici mon chéri. Viens! On a des choses à se dire.

Angèle et Jérôme s'assoient tous les deux sur le canapé, comme au spectacle.

- Marie, si tu as besoin de martinet ou autre, n'hésite pas.

- Merci, pour le moment je vais chauffer le terrain. Allez Alain, viens ici! Dit-elle d'un ton sarcastique.

Je m'approche alors et fermement, elle me fait basculer sur ses genoux? Mes bras ne me sont d'aucune utilité, ils sont immobilisés. Je suis à cheval sur son genou, car avec sa deuxième jambe passée sur les miennes, elle m'immobilise totalement. Mon cul est parfaitement exposé, prêt à subir. Là, je me rends compte que je vais morfler, je vais payer en gros, capital et intérêts. Les intérêts me paraissent élevés, très élevés, bien trop élevés!

La main de Marie caresse mes fesses déjà sensibles, la fessée recommence. Décidément, c'est ma journée. Elle frappe de façon régulière, répartissant bien les claques tout autour, ainsi qu'au centre des fesses, faisant rougir la totalité de la surface, en embrasant de nouveau mes pauvres fesses meurtries, pour une fessée, c'est une fessée. A chaque claque sur mes fesses, mon cul se referme spasmodiquement en éjectant un peu de sperme canin et humain.

Au bout d'une éternité, elle s'arrête, elle affirme tranquillement :

- Maintenant, tu vas recevoir trente coups de spatule et nous serons quittes. Pour le moment et jusqu'à la prochaine fois. Mais là, tu sauras ce qui t'attend si jamais tu dépasses les bornes. Jérôme, délie le, enlève tout. Alain, penche toi en avant, les jambes bien droites, les mains posées de l'autre côté de la table de la salle à manger. Agrippe en le bord opposé. Offre toi bien à la punition, tiens, réclame la?

Je suis brisé, je ne cherche même pas à répliquer.

- Merci Marie pour cette fessée amplement méritée, finis de me fesser avec la spatule, je l'ai bien mérité. S'il te plaît, fesse-moi!

Elle agrippe la spatule.

- Si tu bouges les mains, si tu te redresses, si tu te trompes dans le compte des coups, je recommence à zéro. C'est bien compris? C'est parti!

1,2,3... 29,30.

Je me redresse dès qu'elle m'y autorise. Jérôme et Angèle applaudissent.

- Merci Marie de ta sévérité! Je le méritais, je me suis conduit comme un gamin mal élevé, tu m'as puni comme tel, c'est bien. Merci pour cette preuve d'amour.

Je ne vois même pas le drôle de la situation tellement je suis cassé et sans réaction.

- Bien, maintenant, une petite récréation, dit-elle. Les amis, nous allons arroser ça. C'est de moi. Il ne manquait plus que ça?

- Alain, va chercher le plastique et assieds-toi dessus.

J'obéis et me retrouve assis au milieu de la salle à manger, mon cul bouillant sur le plastique glacé d'une bâche transparente.

- Ouvre la bouche! M'ordonne Marie.

- Jérôme, regarde le joli réceptacle, la superbe pissotière!

Jérôme s'approche, astiquant doucement son manche dans sa main droite.

- Il a un super cul, on est très bien dedans, voyons voir si la bouche est aussi intéressante.

Il tient sa queue d'une main et en dirige le bout vers moi? Je vois une goutte perler au bout du gland, quelques fuites, ensuite le jet dru qui défonce ma bouche. Je manque de m'étrangler.

- Ne bouge surtout pas sinon? Dit la voix menaçante de Marie.

Alors, je ne bronche pas, la pisse me coule partout dans la gorge, sur le corps. Je me rends compte que pendant toute cette séance, ils ont bu deux grandes bouteilles d'eau. Tout cela était prévu. Ça coule, ça coule. Ça y est, c'est fini.

- Essuie le! Ordonne tranquillement Marie.

J'obéis, je sèche avec ma bouche et ma langue la totalité de la queue de mon fils qui rebande un petit peu.

- Si tu veux encore le baiser, n'hésite pas? Dit Marie.

- Non, non, il va seulement me branler bien gentiment. Au boulot!

Me voilà en train de branler Jérôme qui ne tarde pas à éjaculer à longs traits dans ma bouche.

- À nous maintenant! Viens Angèle, toi Alain, allonge-toi. Ordonne Marie.

Elles sont toutes les deux au-dessus de moi, elles commencent. Je vois les chattes qui se crispent, l'effort qu'elles font toutes les deux puis soudain, la pluie jaillit. Une douche chaude et vigoureuse, je suis complètement inondé. Ça dure, ça dure, après les jets entremêlés ralentissent, ainsi ils se tarissent.

- Ta récompense Alain, tu nettoies bien proprement nos deux chattes, fais ça bien sinon, pan pan cucul. À genoux et lèche!

Affirme Marie dans un grand éclat de rire.

J'obéis, je commence par Marie, ensuite je passe à Angèle. Voilà, tout est bien propre. J'accroche le regard de Jérôme, plein d'ironie. Je suis furieux. Je me relève, au moment où je me dirige vers la salle de bain, Marie me rappelle :

- Oh là là! Une seconde! Je crois bien que tu veux peut être encore jouir? Réponds!

- Oui, c'est vrai!

- Bien parfait! Le spectacle continue, asseyez-vous sur le canapé mes amis!

Les voilà tous trois vautrés sur le canapé. Marie m'ordonne.

- Viens ici devant nous Alain! Maintenant, tu vas te branler devant nous, lentement, bien à fond, en décalottant bien le gland afin qu'on le voie bien. Bon, je veux te voir en action, ne te presse pas, exécution!

Alors, je me branle, j'essaie de faire durer, j'écarte bien les jambes, je mouille délicatement le gland turgescent d'un doigt léger. Je sens que ça monte.

- Tu recueilles tout ça dans ta main et surtout n'en perds pas, sinon?

J'ai compris, je sais comment l'histoire va se finir, je suis résigné, sans réaction. Un orgasme violent me terrasse. Je jouis en plusieurs jets qui viennent s'écraser dans ma paume droite. Sans attendre l'ordre, en ouvrant bien la bouche, en sortant la langue au maximum, je lèche mon sperme, lentement.

Marie approuve de la tête, sans rien dire, même Job a l'air d'approuver, admiratif, le chien devant sa nouvelle femelle. Elle a de la ressource la petite chienne, me dis-je en moi même avec beaucoup d'ironie.

- Bravo, bravo! Tu vois quand tu veux. Je sens que nous recommencerons ce genre de séance, cela te rend docile et j'adore cela! Déclame Marie enfin.

Voilà, c'est terminé. Je suis crevé, je file à la salle de bain pour me laver. Ils discutent et rient, ils plaisantent de moi, de la salope que je suis heureuse devenue, une salope certes, mais quelle salope?

Je suis sûr que ma vie de couple vient de prendre un autre chemin.

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