Marie fait de moi une Belle de jour

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Marie me prostitue.
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Marie m'expliqua qu'elle avait pu exceptionnellement faire venir mes premiers clients le matin mais qu'en général, c'était plutôt le soir que ça se passait, voire même dans la nuit. Les moments à ne pas rater c'était les vendredis et samedis entre dix heures du soir et trois heures du matin. En particulier, elle connaissait un endroit discret qui faisait partie d'un club libertin qui était équipé de gloryhole.

Nous avons passé l'après midi à chercher comment je pourrais bien justifier d'un emploi du temps si particulier auprès de mon mari. Je devais pouvoir m'absenter toutes les nuits des vendredis et des samedis sans éveiller ses soupçons ni intriguer les enfants.

Ce jour là, nous n'avons pas trouvé. Mais sa description du gloryhole, qu'elle avait elle-même essayé à plusieurs reprises, m'avait troublée. J'essayais de l'imaginer suçant des bites à la chaîne qui sortaient d'un trou dans le mur, menant le maximum d'inconnus à l'éjaculation dans un minimum de temps. Elle précisa qu'il y avait de tout, des petits sexes, des gros, des blancs, des noirs. Tous étaient propres mais certains sentaient assez fort, une odeur prononcée de mâle en rut.

Je suis rentrée à la maison avant mon mari pour éviter d'éventuelles questions et avoir le temps de prendre une bonne douche. Je m'étais tant attardée chez Marie que j'en étais partie encore pleine de sperme dans mes trois trous.

Pendant toute la soirée, sans en avoir l'air, j'avais cette image d'une femme sur ses talons, sans culotte, cuisses écartées, tenant un gros braquemart dans sa main et en léchant le gland. Je cherchais en vain un moyen d'aller discrètement expérimenter le gloryhole.

Le lendemain, je retournai chez Marie vers onze heures. Elle m'avait dit qu'il y aurait encore deux hommes mais que cette fois, nous partagerions. J'avais la boule au ventre en allant chez elle, comme quand on inaugure un nouvel emploi. C'était la première fois que de plein gré, j'allais aux asperges comme on disait dans les romans populaires du siècle dernier pour parler des professionnelles. J'étais en passe de devenir belle de jour en somme.

Ils nous ont prises en même temps, en levrette sur le lit, l'une à côté de l'autre mais tête-bêche. Je voyais Marie se faire baiser et Marie voyait mon partenaire me pilonner. C'est très stimulant de voir un couple copuler. L'homme bourrait le cul de Marie, lui écrasait les seins dans ses paumes tandis qu'il se projetait en avant ou repartait vers l'arrière. Elle subissait ses assauts mais en même temps, elle se branlait furieusement le clitoris. Leur frénésie était communicative et mon partenaire imitait son ami. Cette force dans l'acte était inhabituelle pour moi, mon mari étant toujours plutôt doux. Je fis comme Marie, me masturbant pour arriver à l'orgasme. Nos clients devaient être très excités de voir deux putes qui prenaient visiblement du plaisir. Nous étions loin du cliché de la catin qui simule. Mais ils devaient se rendre compte que moi tout du moins, j'étais une débutante.

L'homme qui baisait Marie se libéra enfin. Je le vis rester collé à son cul, la chair des seins qui blanchissait tellement il les serrait. Il eut un long râle tout le temps que ses couilles se vidaient par giclées successives. Marie cria à son tour. Ils jouissaient tous les deux, lui avec un plaisir bestial, elle de sentir le plaisir de cet homme envahir son intimité.

Mon partenaire me lâcha les seins pour me prendre aux hanches et me claquer les fesses à intervalle régulier. Je sentis qu'il faisait tomber de la salive à l'aplomb de mon anus. Il m'écarta les fesses avec ses pouces et m'en mit un dans le rectum. "J'ai envie de te gicler dans le cul." Il sortit de mon vagin, remplaça son pouce par son gland et m'enfila d'un coup jusqu'au pubis. Comme il avait libéré ma chatte, je pouvais me branler plus largement, mouillant mes doigts à la source pour ne pas irriter mon petit bouton rose.

Je calquais mes mouvements sur les siens. Il m'enculait à un rythme régulier et je m'astiquais à la même cadence. Je sentis qu'il allait jouir parce qu'il commençait à crier de plus en plus fort. Comme Marie, j'ai joui de sentir mes fesses prises dans l'étau des mains et le liquide chaud qui remplissait mes entrailles par saccades.

Les hommes sont partis et nous sommes allées nous laver, nous savonnant mutuellement sous la douche.

Enfin, Marie m'annonça qu'elle avait peut-être trouvé la solution pour le gloryhole. Elle connaissait un couple qui tenait une boutique à Paris. Ils acceptaient de nous servir d'alibi. J'étais censée venir travailler tous les samedis et dimanches pour leur permettre de rester ouvert sept jours sur sept. Je devais partir le vendredi soir pour faire l'ouverture le samedi matin et revenir le dimanche, tard dans la soirée. Ils avaient un grand appartement et pouvaient m'héberger gratuitement. Pour ce qui est du salaire, nos gains à Marie et moi suffiraient largement à alimenter un compte et même à payer les charges de mon emploi fictif. Je serais même déclarée, avec fiche de paye et il était peu probable que mon mari se doute de quelque chose.

Pour que cette proposition ne semble pas tomber du ciel, nous avons convenu que d'abord, je présenterais Marie à mon époux, puis Marie nous inviterait chez elle où nous ferions la connaissance du couple. Au cours de la discussion ils seraient amenés à me proposer ce travail. Marie serait simplement une amie de fraîche date, rencontrée dans une galerie d'art et partageant ma passion de la peinture.

Je trouvais ce scénario convaincant et j'étais vraiment excitée à l'idée de mes futurs weekends de putain consentante.

Le soir même, je parlais de Marie et je proposais une invitation pour le samedi suivant. Mon mari accepta avec enthousiasme. Un homme ne s'inquiète pas des amitiés féminines de sa femme. Au contraire, cela l'émoustille en général.

Nous avions emmené les enfants chez leurs grands-parents pour pouvoir dîner entre adultes. Mon mari semblait trouver ma nouvelle amie à son goût. Il était enjoué dans la conversation. Nous faisions tous les deux face à Marie. Il ne voyait pas qu'elle me faisait du pied sous la table, caressant même mes mollets. Il voulait se montrer sous son meilleur jour, faisant preuve d'une serviabilité hors norme. Il desservit, prépara le plat suivant en cuisine, fit le service, s'occupa des vins. Il disait qu'il voulait nous laisser profiter l'une de l'autre et nous le faisions au delà de ce qu'il suggérait. A chaque fois qu'il sortait de la salle à manger, Marie levait sa jambe et posait son pied sur mon sexe, sous ma robe. Elle me demanda même de retirer ma culotte et de la lui donner. Ses orteils s'engluaient dans ma fente et je frottais son pied sur ma vulve. Quand mon mari revenait, nous reprenions une posture innocente, continuant une conversation sur l'art et la peinture.

A la fin du repas, nous avons inversé les rôles. Marie et moi sommes allées à la cuisine pour remettre de l'ordre et j'ai dit à mon mari qu'il avait été formidable mais qu'il pouvait aller se reposer au salon et que nous le rejoindrions. Nous avons pu nous embrasser, nous caresser, Marie s'est agenouillée pour me lécher et j'en ai fait autant avec elle. Mais nous ne pouvions pas nous attarder sans risquer de nous découvrir et nous avons rejoins sagement mon mari.

Marie nous proposa de nous rendre notre invitation le mardi soir. Elle nous présenterait à un couple de ses amis.

Le mardi, après avoir laissé les enfants se débrouiller seuls, nous sonnions chez Marie. Ses amis étaient déjà arrivés et nous sommes assez vite passés à table. Ils nous expliquèrent les difficultés des petits commerçants parisiens, notamment pour trouver du personnel. Ils étaient à la recherche d'un employé depuis plusieurs mois et ne trouvaient personne pour travailler le weekend. Candidement, je me proposais pour le poste. Mon mari n'osa pas me contredire devant le monde mais il me regardait d'un air incrédule. Les amis de Marie prirent ma proposition au sérieux et nous commençâmes à mettre sur pied une solution réaliste. Mon mari restait silencieux. Je savais qu'au retour à la maison, je devrais trouver des arguments convaincants pour contrebalancer mon éventuelle absence du vendredi soir au dimanche soir.

Cela ne manqua pas. Il n'était pas totalement hostile, mais plutôt réticent. Ce qui emporta la décision ce fut que je lui dis que ça me ferait du bien d'avoir un rôle social, de ne pas être que la maman au foyer. Il n'osa pas s'opposer à mon désir d'émancipation.

Je devais commencer mon nouveau travail le weekend suivant.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
excellent

bon récit vivement la suite

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