Marie en prend plein le cul

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Je continue à éduquer cette petite salope.
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Marie m'avait fait une vraie bonne pipe alors qu'elle était réticente. Ça m'a donné des idées. Puisqu'elle se laissait faire, j'allais essayer de lui faire faire des trucs de plus en plus érotiques, de bousculer un peu sa sexualité, aussi de l'asservir un petit peu.

L'après midi après la pipe, je pensais à aller la baiser le soir et, je dois le dire, cette perspective me faisait bander. Je devais rester assis à mon bureau et ne pas trop me balader où mes collègues auraient repérés que ma bite faisait une bosse bien visible. De temps en temps je me massais un peu la queue à travers mon pantalon, je sentais que mes couilles se remplissaient doucement et j'avais envie de les vider dans cette fille soumise.

Elle avait probablement du passer une journée étrange à digérer tout le foutre qu'elle avait pompé de ma queue et ça semblait lui avoir plu, finalement, car quand je l'appelais elle proposa immédiatement que je passe chez elle le soir.

« Hello Marie, c'est moi. Ça va?

« Oui. Tu vas venir me voir? »

Moi hypocrite : « Oh je sais pas trop, tu veux que je vienne? »

« Ben ... oui, si tu veux, oui... »

« Tu as envie de baiser? C'était bien de me sucer la queue à midi, hein , »

Petit silence ; « Bon tu veux venir? »

« OK, à tout à l'heure »

Il n'y a rien de meilleur que d'aller chez la fille qu'on va baiser à coup sur. Je n'éprouvais évidemment aucun sentiment envers Marie, c'était juste une fille facile que je pouvais troncher à la demande et la perspective de son corps charnu, des ses gros seins un peu tombant, de son cul bien rond, la certitude que j'allais pouvoir la foutre à poil, la peloter, la sucer où j'aurai envie -- et me faire lécher la bite aussi bien sur -- me rendait tout excité!

Elle m'ouvrit la porte et je la commençais immédiatement à lui pétrir les nichons en l'embrassant et frottant ma queue déjà à demi bandée contre elle. Putain, quelle sacrée paire de nibards! J'en avais plein les mains, ils étaient fermes, ses gros tétons saillant à travers ses vêtements... Je lui fourrais ma langue dans la bouche bien profond et elle la suça gentiment comme elle avait sucé ma bite. Visiblement le contact de mon membre contre son ventre bombé lui plaisait, elle se frottait et laissait échapper de petits gémissements tout en se cambrant pour me donner un meilleur accès à ses nibards amoureux.

« Hmm, tes seins sont bons. Tu aimes quand je les prends comme ça? » Et je serrai un brutalement...

« Ah tu me fais mal, oui c'est bon mais moins fort. »

« J'aime bien les pétrir, ils sont faits pour être pris par un mec. J'ai envie de te téter les bouts, tu as envie? »

Elle gémit « Hmm, oui si tu veux. »

« Et toi tu veux? » Je voulais lui faire avouer l'emprise que mes caresses avaient sur elle, la forcer à demander. « Si tu as pas envie c'est pas forcé. »

Mais tout en disant ça, je pinçais doucement ses tétons, roulant ses bouts charnus entre mes doigts.

« Oui, je veux bien. »

« Tu veux bien ou tu as envie? »

« Oui j'ai envie, viens. »

On entra dans sa chambre et je déboutonnais son chemisier. Elle avait un soutif sans charme (mais il faut dire qu'il avait du boulot pour supporter sa grosse paire!). J'avais hâte de la foutre à poil car vraiment ses sous-vêtements étaient tout sauf excitant! Je lui ôtais son chemisier et elle passa les bras derrière elle pour dégrafer son soutien gorge. Il glissa, sa majestueuse paire de nichons était maintenant à moi. Goulûment, je pris un téton entre mes lèvres et le suçais avidement en masturbant l'autre. Elle se cambra, gémit de plaisir.

« Ouvre ma chemise. »

Elle obéit.

« Caresse-moi les tétons, pince les un peu, tire les. »

Elle les pris entre ses doigts et, timidement au début, commença à les tripoter. Je me reculais un peu. Elle était debout devant moi, torse nu, son visage et son cou avaient rougis et je luis pris les deux bouts dans mes doigts.

« Hmm, c'est bon de se branler les bouts de sein comme ça, ensemble. On sent exactement ce que l'autre sent, c'est excitant, hein. »

Elle gémit en guise de réponse et je vis qu'elle se frottait les cuisses l'une contre l'autre, pressant sa chatte probablement trempée, excitée, chaude, le vagin prêt à se faire enfiler, complètement ivre de désir. Il serait difficile de le lui faire avouer mais je savais qu'à cet instant elle crevait d'envie de se faire bourrer, elle avait envie de bite comme une chatte en chaleur

.

Je la poussais sur le lit, défit sa jupe et la fis glisser son slip en même temps. Sa chatte et le l'intérieur de ses cuisses étaient luisant tant elle mouillait, tant ça lui coulait de la fente. Je me déshabillais aussi, ma queue libérée sauta, pratiquement plaquée contre mon ventre. Elle tendit la main, la prit et commença à me branler pendant que je lui ouvrais les lèvres pour la doigter. Elle ouvrit grand les cuisses pour me donner plus facilement accès à sa fente.

« Regarde toi un peu, couché comme ça, une bite dans la main, en train de faire doigter. C'est bon de me faire durcir la bite, hein? Tu as envie qu'elle soit bien dure pour te baiser le con... »

Les yeux exorbités, écarlate, elle ne répondit pas. Je retirai mes doigts.

« Réponds si tu veux que je te branle ; Tu aimes ma bite? »

« Hmm... oui. »

« Je te crois, il suffit de te regarder pour deviner que tu as tout le temps envie de te faire foutre. Tu es un peu salope, hein... Une bon petit trou à bite... »

Elle ne répondit rien mais je voulais l'habituer à un langage vulgaire et humiliant, c'était le début de la soumission et j'avais bien l'intention de pousser le jeu pour voir jusqu'où irait son acceptation, son obéissance à mes désirs. Elle avait l'air facile à dresser et je me disais qu'elle serait bientôt obéissante, à mes ordres, acceptant même ce qui spontanément lui était désagréable juste parce que je le voulais. Et qu'elle finirait par l'aimer. Elle continuait à me branler et je lui remis les doigts dans la fente, allant profond et frottant un point que j'aime bien, un peu plus rugueux au plafond du vagin. Ses gémissements étaient plus forts, elle ne se retenait pas et se tortillait , poussant son bassin pour que mes doigts entrent plus profond.

Tout en la branlant avec deux doigts, je pressais mon pouce sur son clito bien gonflé. Elle se cambra et commença à haleter. Je pressais son bouton, tournant autour, revenant dessus pour le frotter... Soudain je sentis qu'elle allait jouir. J'hésitais un instant puis retirai ma main, la laissant inassouvie, pantelante.

« Pourquoi tu arrêtes? »

« Parce que tu jouis quand je veux, si je veux. Si ça ne te va pas, je te laisse te branler, je sais où aller pour baiser une fille plus obéissante. »

Elle me regardais effarée mais sans protester tellement elle avait envie que je la fasse jouir. En fait, si je ne la baisais pas, j'en serai quitte pour trouver un pute, ce n'est pas ce qui manque quand on sait où chercher. Mais je préférais évidemment vider mon jus dans cette fille réellement excitée...et gratuite...

Je repris la main, comme on dit.

« Suce moi la bite avant que je te la mette ».

Je reculais pour la faire mettre à genou et elle se jeta goulûment, avalant non seulement mon gland mais pratiquement toute la longueur de ma bite dans sa bouche. Spontanément, elle empauma ma bourse massant légèrement mes couilles tout en suçant. Je voyais ses joues se creuser et je sentais le sang affluer dans mon membre bientôt complètement raide. Je commençais à lui baiser la bouche, bougeant mon bassin d'avant en arrière, frottant mon gland contre ses lèvres serrées puis poussant jusqu'au fond, la faisant suffoquer un peu mais ça fait partie du jeu, non? Elle ne se plaignait d'ailleurs pas, pompant ma queue maintenant avec force, caressant mes couilles du bout des ongles, osant aller jusqu'à mon périnée... mais pas plus loin.

« Caresse-moi le trou du cul. »

Elle s'arrêta de me pomper et hésita un instant. J'empoignais ses cheveux, fermement et poussais ma queue luisante de salive dans sa bouche. Me sentant décidé, elle glissa un doigt timide sur mon anus et l'y laissa posé... Seul les mouvements de mon corps quand j'enfonçais ma queue dans sa bouche provoquaient une vague caresse... Je voulais plus!

« Fourre-moi un doigt. »

Elle hésita puis lentement commença à caresser l'entrée de mon cul sans trop pousser encore mais je tordis un peu ses cheveux et elle compris le message! Elle appuya et je sentis son doigt me pénétrer, augmentant mon plaisir.

« Nique-moi, merde , il faut te le dire comment? »

Et elle commença à faire aller et venir son index dans mon cul. La caresse était délicieuse jointe à la pipe qu'elle me faisait avec ardeur maintenant.

« Plus profond! Fourre moi tout ton doigt!».

Et elle obéit, mon rectum jouissait d'aise à cette pénétration et je sentis que la pression du foutre augmentait dans ma prostate, dans mes couilles et que j'allais bientôt lui jouir dans la bouche. Mais je me retins car j'avais une autre idée... Me retirant de sa bouche, je la fis se tourner ; elle s'appuya sur le mur, écartant les cuisses et cambrant son dos, me donnant une vision érotique de sa chatte trempée... et de son petit trou du cul que j'avais décidé d'honorer.

Mais il me fallait y aller progressivement. Je commençais par frotter ma pine lubrifiée de salive dans sa raie tout en lui caressant le clito. Elle gémissait en sentant cette double pression et s'habituait à ce que le plaisir de son sexe s'associe à la caresse sur son cul. Bien. Je glissais d'abord mes doigts dans sa chatte pour les couvrir de jus puis, les retirant, je les remplaçais par ma queue que j'enfonçais franchement, commençant à la baiser sans trop de retenue, de grands coups de bite qui allaient s'écraser sur le fond de son con.

Elle gémissait et poussait son bassin en arrière quand je la fourrais pour accroître les sensations ; Visiblement, elle aimait être baisée fort, bourrée, bien ramonée par une queue dure... Je sentais que toute son attention était maintenant monopolisée par le plaisir ressenti dans sa chatte. Je posais mon pousse sur son anus et commençais à pousser doucement à chaque fois que j'enfonçais ma bite. Elle ne réalisa même pas au début et c'est seulement quand je lui entrai franchement un doigt qu'elle pris conscience que je commençais à lui fourrer le cul.

« Non, arrête, je veux pas, arrête! »

« Laisse-moi faire, tu vas aimer et puis j'ai envie. Tu sens pas comme ça me fait bander de te prendre le cul en même temps que je te baise la chatte? »

« Ah oui mais, mais, oh là là, oh ho ah. »

Le plaisir l'empêchait de protester et je lui masturbais le cul maintenant avec deux doigts que je tournais en les enfonçant pour lui élargir l'entrée. Les sensations visiblement se confondaient et devenaient plus fortes, elle ne savait plus où elle sentait le plaisir, son cul, sa chatte, tout ça était pareil, fourré, caressé... Restait maintenant à l'enculer vraiment...

Je sortis mes doigts et contemplais un instant son trou déjà dilaté et un peu ouvert? Putain j'avais vraiment une envie folle d'y fourrer ma queue, de la frotter dans son conduit étroit et d'y vider mon foutre... Quand je sortis ma bite elle resta tendue vers moi attendant sans doute que je reprenne la baise mais je saisis fermement ses hanches charnues, y cramponnais mes doigts et appuyai mon gland sur son anus.

Elle cria « Oh non pas là, je veux pas, non ».

Sans répondre j'accrus la pression et poussai ma queue luisante de son jus. Ma boule écarta l'anus déjà travaillé pour commencer à se planter et en même temps je lui pinçai légèrement le clito, la masturbant pour lui faire perdre le sens qu'elle se faisait enculer. Et ça marchait! son cul s'ouvrait de plus en plus et quand je lui mis trois doigts dans la chatte, elle ne put se retenir de pousser vers moi et de s'enfoncer elle-même ma bite dans le cul. Mais je laissais sa chatte pour la saisir à nouveau aux hanches afin de me donner un appui pour l'enculer bien à fond. A moitié pénétrée, elle n'avait plus guère le choix et tout en criant « non, non » elle poussait en fait ses fesses autour de mon membre.

Plus profond! Je m'enfonçais dans son rectum, délicieusement serré dans son conduit, et ses gémissements, moitié de plaisir, moitié sans doute de douleur soumise, ne faisaient que m'exciter. Peu de lubrification donc le frottement sur ma bite était presque douloureux ... presque ... mais je sentais que je n'allais pas tenir longtemps avec cette pression sur toute la longueur de ma verge, mon gland forçant peu à peu dans le tréfonds de son rectum pas encore dilaté.

J'y allais franchement maintenant, gémissant à chaque fois que je poussais. Ma bite était presque entièrement enfouie, mes couilles complètement remontées commençaient à toucher ses fesses et Marie maintenant se donnait complètement, poussant en même temps que moi, gémissant des cris inarticulés au fur et à mesure que son plaisir montait. Plus question de protestations, visiblement avoir une bite au cul la faisait ,grimper vers l'orgasme!

« Tu vois, tu aimes ça, hein salope, te faire enculer, tu aimes ça hein? »

« Non, c'est toi, tu ahhhh ahhhh oh làlà, non oh »

Et elle poussait, s'enferrant ma queue plus profond, plus vite, plus fort. Soudain elle serra tous les muscles de son bas ventre et écrasa ma bite. Je pouvais à peine bouger mais rien que la pression et l'excitation de la sentir prête à jouir me donnèrent la force d'un ultime coup de reins et je m'écrasai sur se fesses, laissant les jets de sperme courir le long de ma queue, sortir puissamment par ma fente, inonder son cul. Elle criait maintenant, se tortillant pour renforcer le contact, jouissant comme jamais, complètement folle de cette sensation inconnue pour elle et si puissante qu'elle balayait toute prévention. Ma queue se relaxa légèrement mais restait ferme. Aidé par la lubrification de mon foutre, je pistonnai doucement, la faisant protester : « Ah c'est trop, j'en peux plus, non. » mais en disant ça elle se tortillait de plus belle pour continuer à sentir ma bite dans son cul.

Quand je sortis ma queue rassasiée de son anus, je gardais Marie baissée en avant, contemplant avec satisfaction son trou béant d'où coulait du foutre qui se répandait sur son sexe. Jouissif. Haletante, elle restait ainsi courbée, toujours offerte et je me demandais si elle n'aurait pas pris avec plaisir une bite bandée dans son cul après la mienne... Hmm on verrait peut-être. Je l'essuyais de la main et, me penchant en avant, torchais mes doigts sur son visage, spécialement sur sa bouche, un mélange de sperme et de son jus à elle qui coulait librement après son orgasme... Elle poussa un gémissement de protestation mais j'insistais, glissant mes doigts dans sa bouche haletante et déposais le cocktail sur sa langue. Elle ne put s'empêcher de sucer mes doigts.

« C'est bon, hein, tu aimes ça... »

Seuls des gémissements me répondirent aussi pris-je une autre louchée de foutre et la lui glissais dans la bouche. A nouveau elle téta mes doigts, avalant sans vraiment se défendre le mélange obscène dont je la gavais. Pas besoin de paroles, la manière presque goulue dont elle suçait ma main montrait son appétit pour avaler du foutre... Décidément un vrai plaisir cette fille.

Enfin, je la laissais, et allais jusqu'à la salle de bains pour me laver la bite. Elle me suivit, la main entre les cuisses pour retenir les coulées qui ruisselaient sur ses cuisses. Mais je l'empêchais de se laver...

« Lèche ta main, ne laisse rien perdre. »

« T'es dégoûtant, pourquoi tu me fais faire ça? »

« Parce que je sais que tu aimes et que tu ne le sais pas donc je t'apprends. Ca n'a rien de dégoutant, c'est normal pour une fille de bouffer ce qui sort de son cul et de sa chatte quand son mec l'a enculée.»

Hésitante elle porta la main à sa bouche et lécha sa paume pleine d'une substance blanchâtre et gluante. Elle me regardait qui souriais en la voyant faire et finit par nettoyer sa main, moitié léchant, moitié suçant avec ses lèvres. Curieux, je lui pris le menton et l'embrassais, prenant dans sa bouche une partie de ce qu'elle venait de prendre sur sa main. Hmm, le goût n'était pas déplaisant...

Comme je ne souhaitais pas que notre relation comportât le moindre romantisme, je me rhabillais rapidement et lui dit bonsoir. Nue et pas encore lavée, elle me regarda partir sans dire un mot.

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