Madame Parain Ch. 06

Informations sur Récit
Je trouve ma mère shootée au calmant et ça dérape...
4.2k mots
4.23
18.1k
1

Partie 6 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 07/30/2019
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
MisterBeet
MisterBeet
24 Admirateurs

Je suis dehors, juste en dessous des fenêtres de l'appartement de ma mère et j'essaye de me calmer en fumant clope après clope... je suis là depuis plus de 20 minutes et je ne sais pas quoi faire! Je remonte voir comment va ma mère, je rentre chez-moi... j'hésite, je fais les 100 pas... je cogite à m'en exploser le cerveau et je bande! Je n'arrive pas à effacer ce que j'ai ressenti en pelotant ses seins! Je les sens encore sous mes mains... si lourds... si gros... et ses tétons semblaient si durs!

Je pousse la porte de l'immeuble, monte la première marche, la suivante... mon pied d'appel s'élance pour me propulser vers la 3ème mais tout mon corps se met à trembler d'un coup! J'ai le palpitant qui part en Techno! Mais pas la petite Techno mélodique à 120 bpm... plutôt le genre Hardcore, à 200 Bpm! J'ai la frousse! Je ne sais absolument pas comment appréhender cette situation! J'essaye de me dire que je ne peux pas la laisser comme ça et que le mieux serait de remonter lui parler pour m'excuser encore une fois... mais non! Je reste planté là, à 3 mètres de l'appartement... je tremble et je bande! C'est bien la seule partie de moi qui ne doute pas! En temps normal, cela serait suffisant pour me persuader et me faire courir jusqu'à sa porte! Pas aujourd'hui... pas avec ma mère... avec elle, j'ai la Techno pantouflarde! Immobile... carrément trouillarde! Alors je fais marche arrière... le groom de la porte la referme lentement derrière moi...

Devant la cage n°16 où réside ma mère, je fume clope sur clope ... je me penche pour observer les 4 fenêtres sur ma droite, au rez-de-chaussée, les siennes...rien ne bouge derrière les rideaux, je ne perçois aucun mouvement, aucun signe de vie... pas de lumière dans le salon ni dans sa chambre... je devrais peut-être faire le tour de l'immeuble et vérifier s'il y a de la lumière à la cuisine donnant de l'autre côté... mais elle risque de me voir... je me demande ce qu'elle fait, ce qu'elle ressent... je me sens si gêné... et si excité à la fois! Elle doit être à la cuisine, oui c'est sûr... il faut surveiller la pizza que nous allions mettre au four avant qu'elle ne me pose toutes ces questions!

Finalement, je rentre chez-moi... il vaut mieux que les chose s'apaisent d'elles-mêmes... je l'appellerai ou je passerai demain après le boulot... et là on verra bien! Je jette un œil avant de partir aux fenêtres de Claude... il y a de la lumière dans sa chambre... dans celle d'Aldo aussi! Allez! Il est temps de se mettre en route... je n'ai plus rien à faire ici!

Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit... je ne pensais qu'à ma mère, à mes mains sur ses seins... à ses seins! Plus j'y pensais, plus l'excitation me gagnait! Je me suis branlé en pensant à elle... c'était bon... j'ai éjaculé comme jamais!

J'ai essayé de dormir une nouvelle fois... mais je ne voyais qu'elle! Encore et encore... j'ai sorti quelques photos que j'avais d'elle et je me suis masturbé une deuxième fois... comme je n'arrivais toujours pas à dormir, j'ai fait des montages de son visage sur le corps d'autres femmes... des corps qui auraient pu être le sien, des corps de femmes âgées aux formes avantageuses, telles que j'imaginais les siennes, ce que j'en voyais chaque jour, ce que j'en avais ressenti dans mes mains...

Je suis allé travailler sans avoir pu dormir une seule petite minute! En sortant, je suis allé la voir pour prendre de ses nouvelles, m'expliquer... je ne suis plus un gamin! Et puis ma mère peut comprendre ce qui m'a pris! Me pardonner aussi... elle m'adore et m'a toujours tout pardonner! Alors je n'ai aucune crainte à avoir.

Je me demandai quelle nuit elle a passé... j'imagine qu'elle a pris la méga dose de Lexomil pour pouvoir s'endormir! Elle en prend tous les soirs depuis près de 30 ans! Mais cette fois, la dose a du être costaud!

Malgré ses 73 ans, elle est une femme sublime! Mais je l'ai toujours regardé avec des yeux d'enfant... je voyais bien ses formes généreuses sous ses robes ou ses jupes serrées... mais je n'en retirais aucune excitation particulière... j'en concluais simplement que j'avais la maman la plus belle du monde!

Depuis hier, tout me semble différent... si aujourd'hui elle se penche devant moi, je n'aurais qu'une réaction! Je me dirai « quel cul elle a...»! Et je n'aurais qu'une envie... relever sa jupe et lui fourrer ma queue entre les fesses!

Oui, depuis hier, elle n'est plus seulement celle qui m'a donné la vie mais une femme pour laquelle je vendrais mon âme si cela pouvait me permettre de la voir à 4 pattes devant moi...

Putain! Comme j'ai envie d'elle... ça recommence! Je venais la voir pour m'excuser et patatras! Voilà que je parle de la prendre en levrette! Ma petite mère... je deviens fou!!! Si tu savais comme j'ai envie de toi... de jouir dans ton ventre... ce ventre qui m'a enfanté...

Elle vit seule depuis 10 ans et la solitude lui pèse parfois... souvent! Pour ne pas trop déprimer et trouver le sommeil, elle prend du Lexomil... ¾ de comprimé chaque soir et parfois autant la journée! Cela dépend des jours, de son moral... je la retrouve régulièrement dans les vapes, effondrée sur la table, la tête dans son assiette, KO dans son fauteuil, le canapé... dans ces cas là, je vérifie qu'elle est toujours en vie et je l'installe dans une position confortable avant de repartir...

Je me demande dans quel état elle va être aujourd'hui!

Je suis enfin à sa porte. Je l'ouvre sans frapper ou sonner avant... j'ai toujours fait comme ça... mes sœurs, elles, doivent attendre que ma mère vienne leur ouvrir! Moi je suis ici chez-moi bien que je vive seul depuis des années... je suis son petit chouchou, je n'y peux rien!

Je signale ma présence en l'appelant depuis le couloir à l'entrée.

« - Maman? C'est moi... je suis là... »

Ma voix tremble... je croise les doigts pour que tout se passe bien! Je n'obtiens aucune réponse... je traverse le couloir lentement en réitérant mon appel... toujours rien... je comprends pourquoi en arrivant dans le salon... elle s'est endormie devant la télé allumée, assise dans son fauteuil sous la fenêtre...

« - Maman? Hé ho! Maman? C'est moi! Tu dors? »

Je m'approche et baisse le son trop fort du téléviseur au passage... puis je tente de la réveiller en la secouant un peu... en temps normal, j'aurais posé la main sur son épaule pour le faire... allez savoir pourquoi je choisis ses genoux!

Le contact de sa peau blanche me file la gaule instantanément! Et aussitôt me reviennent les images et les sensations de la veille, toute ces pensées impures que j'ai eu pour elle toute la nuit... je la secoue encore mais je n'obtiens aucune réaction de sa part... le cœur battant la chamade, je m'assois au bord du canapé pile en face de son fauteuil...

Je la regarde longuement... avec des yeux d'homme... mais les fantasmes d'un fils! Un fils qui a envie de coucher avec sa mère... ça me semble tellement cochon comme projet! Le truc le plus bandant de toute ma vie!

Ma main caresse ses genoux... elle a la peau si douce... mon regard remonte jusqu'à sa bouche pulpeuse qui est légèrement entrouverte... je ferme les yeux et la vois en train de me sucer... je sais que c'est une chose qu'elle n'a jamais fait, ou alors a-t-elle essayé une fois sans jamais renouveler l'expérience! « Ça me dégoûte! » avait-elle lancé au cours d'un repas de Noël bien arrosé! « Quelle horreur de faire ça! C'est par là qu'un homme fait pipi quand même! » Avait-elle ajouté en guise de conclusion... la discussion suivit son cours et un autre sujet fut abordé rapidement... mais moi je n'ai jamais oublié cette confession! Aujourd'hui, je me dis que j'aimerais tellement être le premier homme à lui fourrer sa queue dans la bouche... Mmmmm...

Mon regard descend sur sa poitrine... elle se soulève à chacune de ses inspirations et prend un volume incroyable...

Je bande de plus en plus....

« - Maman? Tu vas bien? »

Silence...

Elle est belle, désirable... le temps n'a aucune prise sur elle... sa peau n'a aucune ride aucune tâche de vieillesse... ses cheveux n'ont jamais blanchi... on lui donnerait 20 ans de moins!

Ma main écarte ses genoux et glisse sous sa jupe, entre ses cuisses le long desquelles je remonte doucement... elle a de bonnes cuisses bien pleines... généreusement rondes... mon cœur bat si fort... mes mains tremblent... je caresse ma mère... je suis sous sa jupe... entre ses cuisses... j'ai peur qu'elle se réveille brusquement et me prenne sur le fait! Je crois que ce serait une fois de trop! D'abord ses seins, et maintenant ça! Elle ne s'en remettrait jamais! Mais j'aimerais tellement qu'elle ne soit pas endormie, qu'elle sente ma main, qu'elle ressente ce désir incroyable qu'elle fait naître en moi...

« - Maman... (Ma voix n'est qu'un murmure, un souffle d'émotions si intenses et contradictoires) J'ai envie de toi... (Mes doigts pétrissent la chair de ses cuisses) Je bande comme un fou... je veux être dans ta chatte... (J'ai des tremolo dans la voix) je veux que tu sentes ma bite dure dans ton ventre... (Ma main caresse son entrecuisses à présent... mes doigts effleurent sa culotte... sa peau est si chaude à cet endroit) Oh ma petite mamaaaan... comme je t'aiiime! »

J'ai une furieuse envie de l'embrasser! Je lève mes fesses du canapé et viens plus près d'elle ... mais je dois retirer ma main de son entrecuisses pour pouvoir l'embrasser... mon bras coincé sous sa jupe trop serrée m'empêche de l'approcher plus... je me retire lentement et prenant appui sur ses genoux, je me hisse à hauteur de sa bouche... mes yeux ne peuvent ignorer sa poitrine en progressant vers son visage, ses seins si lourds qui gonflent et se dégonflent... elle dort profondément... je sens souffler sur moi l'air chaud que sa bouche expire... mes doigts se referment sur sa grosse poitrine tandis que mes lèvres se posent sur les siennes... je respire comme un goret... je pétris amoureusement les 2 grosses boules sous le chemisier et je ferme les yeux... ma langue darde et parvient à franchir la barrière de ses mâchoires à peine desserrées pourtant... c'est si bon... tellement excitant... je perds toute notion du bien et du mal, toute limite aussi! Mais mon désir est trop fort... de toute façon, je crois que j'ai déjà dépassé le point de non retour, non? A l'instant où j'ai glissé ma main entre ses cuisses, j'ai fait le choix d'aller jusqu'au bout, jusqu'à la concrétisation de ce fantasme qui a pris possession de mon esprit depuis hier... j'ai ouvert la boite de Pandore, mais les maux qu'elle contient ne sont pas tous destructeurs! Le Vice, par exemple, n'est que du plaisir drapé dans la morale qu'édictent les peine-à-jouir, les curés et autres frustrés qui adorent se mêler de ce qui se passe dans les chambres à coucher! La Passion, quant à elle, n'est qu'un feu merveilleux dont les flammes réchaufferont son âme qui s'est privée de vivre et d'éprouver l'extase qui naît dans l'intimité de 2 corps enlacés ...

Je sens les bouts de ses seins dans le creux de mes mains... je pince entre mes doigts ses tétons excités avec un peu du chemisier et de son soutien-gorge... je les tords, les fais rouler... j'aimerais tant les sucer... je les sucerai! Je n'en suis qu'à la lecture du menu! J'en ferai mon apéritif... et de sa chatte aussi! Je reviens sur sa bouche... j'en dessine le contour de la pointe de ma langue, je lèche ses lèvres, je la regarde un peu... je lèche dans l'autre sens, puis ma langue s'enfonce et retrouve la chaleur de sa bouche...

Soudainement, sa tête remue, les os de sa nuque craquent... elle grogne!

Pris de panique, je sursaute et suis pris d'un violent spasme qui me traverse le corps de la tête aux pieds, comme si je venais d'être frappé par la foudre! Nos dents s'entrechoquent et ma langue échappe de justesse à la morsure de ses mâchoires qu'elle referme! Je me vrille un poignet en tentant de me retenir avec le mur, et je m'affale de toute ma masse sur le canapé derrière moi. Dans ma chute, mes pieds viennent heurter la table de chevet près de son fauteuil... elle part en arrière et cogne bruyamment contre le mur avant de rebasculer vers l'avant... son tiroir s'éjecte et vient s'éclater au sol un peu plus loin, suivi de la table elle-même! Je suis foutu! Putain mais quel con! Je ne pouvais pas me contenter de la peloter! Fallait que je lui fourrer ma langue! Et pourquoi pas ma queue pendant que j'y étais! Quel con mais quel con! Pourvu qu'elle n'ai rien senti... le reste je peux l'expliquer... j'ai essayé de la lever de son fauteuil pour l'emmener dans son lit et je me suis cassé la figure, voilà tout... mais non! Je ne peux pas dire ça! Elle va croire que je voulais l'allonger pour la violer! C'est pas faux mais si je présente le truc comme ça, elle va hurler comme une folle! Qu'est-ce que je fais? J'attends qu'elle ouvre les yeux? Je me casse en vitesse avant? J'ai le palpitant qui bat des records! Je vois qu'elle essaye de soulever ses paupières et d'articuler 2-3 mots... mais elle est tellement groggy que pas moyen de se réveiller...

« - Mmm-â-â-â-â-â-â-man? (Ma voix tremble façon chèvre!) C'ê-ê-ê-ê-êst mmmoiiii...

- Chhhem jjjj sfomm...Mmmm...»

Je suis prêt à bondir et à piquer un sprint! Je la regarde... mais non... on dirait qu'elle s'apaise déjà... elle bouge oui, et baragouine encore un peu, mais ça va... elle est toujours dans les vaps et retourne au silence rapidement...

Je ne l'ai pas réveillée... avec tout ce bordel elle roupille toujours... ça tient du miracle! J'ai frôlé la catastrophe et l'arrêt cardiaque! La vache... je dois être blanc comme un cul! Mais tout va bien... on se détend, Dom! Tout va bien... sa tête est retombée sur son épaule, et elle ronfle!

« - Wow! Tu m'as foutu une de ces trouilles! Tssss... t'es complètement stone, ma p'tite mère! Et moi un porc! Quoi que je fasse tu ne captes rien! Et ce n'est pas comme ça que j'aime prendre mon pied! J'ai l'impression de te violer là... »

Cet incident m'a remis les idées d'équerre! Je crois que j'allais faire une connerie... mon désir n'est en rien apaisé et j'ai envie de lui faire l'amour plus que jamais! Ce serait le fantasme ultime pour moi... je sais que j'y prendrai un plaisir galactique! Mais comme ça? Non... je ne peux pas... je veux une vraie relation, un amour sincère... je veux sentir ses mains sur mon corps, sa peau contre ma peau... je veux qu'elle m'embrasse, qu'elle m'enlace... lui offrir toutes les caresses qu'elle n'a jamais reçu et recevoir toutes celles qu'elle n'a jamais offert... je veux avoir ses yeux dans les miens quand je viendrai sur elle, vivre ce moment où elle écartera les jambes pour m'accueillir dans son ventre... je veux l'entendre gémir quand ma verge la pénétrera, sentir la force de ses cuisses qui se resserrent autour de ma taille... je veux entendre mon prénom dans sa bouche quand elle criera son plaisir... je veux qu'elle m'entende lui dire que moi, son fils, je suis en train d'éjaculer profondément dans son vagin... et je veux la prendre encore et encore, par devant, par derrière, le jour,la nuit...

Elle reste endormie, bien calée au fond de son fauteuil... je me lève et l'embrasse délicatement...

« - Maman? Je vais rentrer maintenant... je vais te laisser un petit mot, et puis je vais rentrer... Si tu savais comme j'ai envie de toi... Je me suis masturbé toute la nuit dernière en pensant à toi... je n'ai pas fermé l'œil une minute! À cause d'hier soir, quand j'ai posé mes mains sur ta poitrine, tu sais... tu as de bons gros nichons, ma p'tite maman! Hahahaha! Et moi, ça me rend dingue les gros seins! Mamaaaan... (On dirait un gamin chialant dans les jupons de sa mère) Je bande comme un fouuuuu!!! J'ai tellement envie de te toucher... caresser ta poitrine encore une fois... alors il faudra qu'on en parle... dès que possible! Prends soin de toi ma petite mère... ne te bousille pas la vie avec ces cachetons de merde... il n'y a aucun honte à vouloir ressentir ou satisfaire dans sa chair le désir de celui qu'on aime ou le sien... rien de sale ou d'impur... au contraire! C'est une porte que l'on ouvre sur l'Eden, un coin de paradis... »

J'ai refermé sa porte à clé derrière moi et je suis parti...

J'imagine que si le verrou de son éducation rigide parvenait à sauter, celui de sa timidité avec, alors elle se livrerait sans retenue à toutes les turpitudes, goûtant le vice avec dédication, et si j'osais, avec religion!

Mais non... de ce côté-là, elle est d'un ennui... maman se prénomme Marie, oui comme l'autre! Et de la Marie biblique elle a tout hérité... jusqu'à la virginité! Avant et après son mariage!

Une vie sans sexe c'est d'une tristesse... morne, grise, pénible, plate et douloureuse fut la vie de ma mère aux côtés de son défunt mari, mon père... j'imagine qu'elle a du batailler souvent pour repousser ses assauts, le soir dans leur lit conjugal. Quelle abnégation, quelle force pour vivre puis se coucher et s'endormir jour après jour auprès d'un homme pour lequel elle n'éprouvait rien au fond... et comme je le plains aussi cet homme, d'un caractère charmant et charmeur, au sourire ravageur, entouré de femmes toute la journée dans son travail et d'une fidélité à toute épreuve pourtant, car mortellement amoureux de cette coincée du cul qu'est ma mère! Oh, oui! Pardonne-moi pour mon langage, maman! Mais je plains sincèrement papa d'avoir eu à partager ta couche de frustrée!

Bien que je l'ignore totalement, je suis certain de pouvoir estimer le nombre de vos relations sexuelles en 50 ans de mariage! Ça doit se compter sur les doigts d'une main! Une pour chaque enfant! Comment je le sais? Il suffit de voir nos dates de naissance... un enfant chaque année depuis votre mariage, puis plus rien! Ce qui donne 4! Oui, j'exagère un peu... alors affinons le calcul et ajoutons-y les échecs liés à la fertilité naturelle et normale, une fausse couche ou deux et la mort après 6 mois seulement de ce frère qui aurait du être mon aîné... multiplions par 3... allez! Je veux bien multiplier par 5 pour être large et pour croire que tout ne fut pas si noire eux! Je pose 1, je retiens 2... à la louche j'obtiens environ 50... mon pauvre petit papa! Tu es parti juste avant de célébrer le 50ème anniversaire de votre mariage... 50 relations sexuelles en 50 ans... une pour chaque année... mais j'ai oublié de déduire les 42 dernières années puisqu'elle s'est refusée à toi après la naissance de mon frère, il y a 42 ans...

Donc! On reprend notre calcul!

50 ans de mariage -- 42 ans d'abstinence = 8 ans

50 relations estimées au total / 8 ans = 6,25 relations par an!

Une tous les deux mois...

Puis le néant...

Condamné à la chasteté conjugale pendant 42 ans... 42 putains d'années à dormir tout près d'elle et de ses gros seins, ses grosses fesses, sa grosse bouche et je le sais maintenant pour l'avoir bien doigtée, sa grosse chatte aussi!

42 ans sans ne plus jamais avoir le droit de caresser sa peau si douce...

Sa peau si claire sous ses cheveux noirs...

Une peau d'une blancheur que l'on qualifie -- tu aurais du te méfier!- « blancheur virginale »!!!

42 ans de castration physique! Une vraie perpétuité... une peine égale à la mort pour n'importe quelle virilité!

Ma mère n'a eu qu'un homme dans sa vie, enfin je crois, mon père. Je dis « je crois » car il y a eu cette aventure avec un militaire américain qu'elle nous a souvent racontée... ma famille maternelle est originaire de Sicile... ma mère y est née d'ailleurs, comme tous ses frères avant elle et sa sœur aînée... elle était la petite dernière, née juste avant que la guerre n'éclate... tous ont été élevés au biberon du fascisme et se devaient de porter l'uniforme des jeunesses mussoliniennes! Quelle drôle d'époque... quelle triste époque! Un temps de misère surtout! Ils crevaient de faim! Mes oncles braconnaient et allaient à la maraude pour s'en sortir... les plus généreux partageaient leur butin, mais le plus souvent, chaque garçon se dépêchait d'avaler tout ce qu'il avait pu chaparder avant de rentrer à la maison! Il y a une photo de ma mère qui date de cette époque... elle est si maigre... on dirait une gamine pendant une de ces famines africaines... les barreaux de la chaise en bois sur laquelle elle essaye de grimper sont plus gros qu'elle! C'est pour cela qu'ils ont tous émigré en France! L'un après l'autre, ils ont quitté la mamma! L'aîné fut le premier à tout plaquer... une fois sur place, il a trouvé du travail, un appartement, et il a préparé le terrain pour le suivant et ainsi de suite... ma mère fut la dernière a partir... elle a donc vécu dans ce petit village aux pieds de l'Etna jusqu'à l'âge de 18 ans... à la libération de l'île par les troupes alliées, un GI est tombé fou amoureux d'elle et a demandé sa main! Ma grand-mère a refusé net! Ma mère aussi d'ailleurs... elle était une jeune fille timide, très prude... vierge surtout! Je crois que les choses de l'amour l'ont toujours effrayée... de tout cela il reste une photo de cette époque et de ma mère, jeune fille sublime, photo prise par ce soldat sur le toit terrasse de leur petite maison...

MisterBeet
MisterBeet
24 Admirateurs
12