Madame Klein Chapitre 01

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Chapitre 1 : Le début.
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Je venais d'avoir 21 ans et j'étais toujours puceau. Ce n'est pas que ça me gênait vraiment mais tous mes copains avaient une amie et ne se privaient pas, quand nous étions ensemble, pour raconter leurs soirées extraordinaires en rajoutant sûrement un peu.

À force de ne jamais me voir avec une fille, ils en avaien t déduit que je devais être homosexuel, ce qui ne faisait rien pour faciliter mes flirts éventuels. Ils ne pouvaient pas avoir plus tort, je n'ai rien contre les homosexuels, mais je n'étais définitivement pas attiré par les hommes. En fait, j'étais davantage attiré par les femmes mûres que par les jeunes filles de mon âge.

Nous arrivions au mois de juillet et pour tous les étudiants, c'était la course aux jobs d'été. Étant en faculté loin de chez moi et ne connaissant personne, je n'avais aucun piston et pour moi, c'était une tâche particulièrement difficile.

Je trouvais pourtant un emploi saisonnier pour le mois de juillet dans un magasin de chaussures, ce qui me laissait un peu de temps pour savoir ce que j'allais faire au mois d'août.

Le travail était facile, mais fatigant. Nous restions debout toute la journée, à aider les clientes à choisir.

J'étais le seul homme dans un monde de femme, peu habitué à discuter chiffon, mais je m'adaptais rapidement à ce travail qui consistait avant tout à rassurer les clientes sur le choix qu'elles avaient fait.

Quand nous avions un peu de temps, nous nous occupions plus particulièrement d'une cliente, l'aidant à se chausser, la cocoonant comme disaient mes collègues.

C'est ainsi que ça arriva. C'était un vendredi à 18h30 le magasin fermant à 19h. Toutes mes collègues étaient parti et je restait seul, avec la patronne. quand une femme d'une cinquantaine d'années entra dans la boutique. Au regard que me lança la patronne, je compris qu'il fallait que je m'occupe d'elle et que je le fasse le plus discrètement possible pour ne pas attirer d'autres clientes à cette heure. Je la conduisis donc dans la salle de derrière, proche de l'arrière boutique et particulièrement équipée pour recevoir les VIPs.

C'était une belle femme, grande, avec un beau visage éclairé par des yeux marron et encadré de cheveux bruns coupés au carré, avec une poitrine généreuse sans être disproportionnée. Je vis tout ça par des regards furtifs tandis que je l'amenai s'asseoir dans un fauteuil. Je plaçai un pouf pour m'asseoir devant elle, mais elle se méprit et posa ses jambes dessus, s'en servant comme d'un repose-pieds.

"Vous avez vu un modèle qui vous plaît Madame,?"

"Oui, celui-ci, je voudrais essayer le 38 ou le 39."

Elle désignait du doigt une paire d'escarpins en cuir noir que je trouvais très classe et qui lui irait très bien. J'allais chercher les boîtes dans l'arrière boutique et habitué aux essayages, j'amenai en plus du 38 et du 39, le 40.

Ne sachant trop comment me mettre, je me mis à genoux et alors qu'elle se penchait pour se déchausser. Je prévins son geste et commençais à descendre la fermeture éclair de ses bottines. Peu habitué à cette tâche, je dus m'approcher pour la mener à bien, ce qui fait que j'avais la tête à quelques centimètres quand finalement, je retirais la chaussure.

L'odeur fauve de son pied me saisit immédiatement et je rentrais étonnement en érection. Elle sentait fort en cette fin de journée et je ne sais pas pourquoi mais plus je respirais, plus je bandais, rendant inconfortable ma position agenouillé.

Me redressant, je fis pareil avec son autre bottine, et comme avec la première, je dus me pencher pour parvenir à l'enlever. Je m'attendais maintenant a renifler son odeur 'sui généris' mais cela ne fit rien pour calmer mon érection.

C'était étrange, ce n'était, certes pas, une odeur agréable mais elle était pour moi terriblement aphrodisiaque.

Je levai les yeux. Elle me regardait d'un air bizarre. Je me tournai rapidement pour cacher mon érection qui devait être visible dans mon fin pantalon de toile et c'est avec une certaine émotion que j'enfilais les escarpins.

Elle se leva pour les essayer.

"Oui, ça va, je vous les prends"

J'allais enlever les chaussures pour les remettre dans la boîte quand elle appliqua fermement son pied humide de sueur sur mon visage.

J'inhalais son odeur fauve et aigre. Je ne sais pas ce qui me prit, mais je sentis que j'atteignais le point de non-retour et j'éjaculais piteusement dans mon pantalon rien qu'à respirer ce parfum rance.

Elle ne dit rien, retira son pied, remit ses bottines et, saisissant le sac que j'avais préparé, partit payer à la caisse.

Sitôt qu'elle fut parti, je jetais un coup d'œil sur mon pantalon où s'étalait une large tache d'humidité.

Je n'avais jamais eu aussi honte de ma vie.

Je n'en revenais pas. Jamais je n'avais jamais ainsi éjaculé sans me toucher. Je croyais même ça impossible.

De plus, j'allais sûrement être viré et pour moi, c'était une catastrophe.

Heureusement je gardais des vêtements de rechange dans l'arrière boutique. J'allai me précipiter pour me changer quand la cliente revint et me tendit la main. Je savais qu'elle me donnait ainsi un pourboire et je lui serrait la main par réflexe.

Je la sentis me glisser dans la main un billet.

"Je fus ravie de votre service"

Éperdu et rouge de honte, je répondis machinalement.

"Tout le plaisir fut pour moi"

Elle fixa ostensiblement la tache sur mon pantalon.

"Oui, je vois"

Elle avait déjà disparu quand je sortis de l'espèce de stupéfaction honteuse que sa remarque avait provoquée.

J'ouvris la main et je n'en revins pas: 50 euros, elle m'avait laissé 50 euros de pourboire.

Je cachais ptécipitament le billet dans ma poche quand j'entendis ma patronne qui venait.

Fort peu désireux qu'elle me voit dans cet état, je me réfugiai dans l'arrière boutique.

"Pascal, où es-tu?"

"Je suis là Madame, je me change"

"Dépêches-toi, on va fermer"

Après m'être changé, j'enfournais le pantalon souillé et le tee-shirt que j'avais aussi changé pour faire crédible dans un sac de sport et je sortis en saluant ma patronne qui ferma derrière moi le rideau defer.

La honte que j'éprouvais n'était pas passée mais le pourboire pharaonique qu'elle m'avait laissé montrait au moins qu'elle ne m'en voulait pas.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
superbe

qui n'a pas eu ce parfum des pieds de la femme aimée en lui retirant ses souliers, en lui caressant ses bas (ou ses collants) ?

une femme, un corps de femme, ce sont aussi des odeurs subtiles et fortes !

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans

Très bon ,je suis impatient de lire la suite.

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