Madame de Baincourt

BÊTA PUBLIQUE

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romane
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Il revint vers moi et me fit étendre sur le lit. Il m’entrava alors les poignets et les chevilles aux quatre coins du lit. Je n’avais conservé que ma culotte et mes bas. J’étais trop excitée pour l’en empêcher. Il regarda le résultat et alla dans un coin de la pièce. L’aire froid de la pièce me fit frissonner.

« Caressez moi, s’il vous plait, j’ai froid, » lui dis je.

« Ce n’est pas à moi de le faire Madame »

« Je vous en pris, venez me frotter, me lécher la chatte, j’ai trop faim, » dis je en me tortillant sur le lit.

Il ne répondit pas. J’entendis une porte se refermer.

« Laisse nous, mais reste à proximité, je pourrais avoir besoin de toi » dit elle.

La porte se referma à nouveau.

Elle apparut dans mon champs de vision. Elle me regarda en faisant la moue.

« Voici donc la perle dont j’ai tant entendu parler dans les boudoirs, » dit elle. « Je suis Madame de Porterie, maîtresse de ses lieus. Vous m’appellerez ‘Madame’ étant votre aînée de quelques années. »

« Bien Madame! »

« Etes vous bien installée? »

« Oui Madame. »

Elle sourit et retira le gant de sa main droite. Elle avança alors sa main vers moi et posa ses doigts directement sur ma culotte trempée, caressant en douceur mes lèvres intimes. Je gémis en ondulant mon corps.

« Je vois que votre réputation n’est pas usurpée. Votre attitude dans ma soirée m’avait déjà confirmé mon opinion et surtout la manière dont vous vous êtes occupé de ce petit couple tout à l’heure!! Je me réjouis de vous rencontrer.

Elle arrêta sa caresse à mon plus grand désespoir.

« Vous aimez être attachée ainsi? »

« Ho oui »

« Vous voulez être mon esclave? »

« Oh oui! »

« J’ai pas bien entendu. »

« Oui, je veux être votre esclave Madame »

« Bien »

Elle me détacha alors.

« Lèves toi »

Je m’exécutais et m’approchais d’elle. On se regarda longuement et nos bouches s’unirent en un délicieux et savoureux baiser. Nos langues se mêlait allègrement. Elle me repoussa.

« Tu es belle. Tu m’excites, » dit elle.

Elle me fis asseoir dur le lit et se déshabilla face à moi. Elle avait un corps désirable, une belle paire de seins et une chatte qui ne demandait qu’a être léchée.

« Lèches moi! » dit elle.

Avec grand plaisir. Je m’allongeais sur le lit à la hauteur de sa chatte et fis ce qu’elle m’avait demandé à grand coup de langue. La belle n’était pas en reste. Sa vulve était tout aussi humide que la mienne. Je goûtais à ce nouveau nectar. Elle gémit.

« Allez, mets toi à genoux maintenant. » dit elle.

Je fis ce qu’elle me dit en lui tournant le dos bien évidemment, offrant ainsi mes fesses gainées de sa culotte. Elle me la retira, puis prenant mes deux globe dans ses mains, elle les écarta et je sentis une langue mutine glisser sur mes lèvres gorgées de liqueurs. Elle glissa également dans la chaleur de ma grotte.

Je gémissais sous de si doux attouchement. Mon corps tanguait de plaisir. Elle me tenait par les fesses et la taille, m’assenant de temps en temps une clac sur mes rotondités. Ce traitement était divin. J’avais enfin une femme à ma hauteur dans ses jeux saphiques. Ma petite protégée n’étant pas encore au niveau de Madame de Porterie. Je mouillais de plus en plus.

Sa bouche fut remplacée par deux doigts. Elle me masturba ensuite. Quel délice. Son entreprise était facilité par sa salive et mon abondante liqueur.

Elle retira ses doigts et lécha une dernière fois ma vulve. J’étais au bord du plaisir.

« Ho non, continuez Madame, » dis je de désespoir.

Elle sourit.

« Reste dans cette position. Martin s’il vous plait »

L’homme entra dans la pièce avec une boite en bois exotique. Il la déposa à côté de moi et l’ouvrit. Il sortit un superbe godemiché en bois d’ébènes.

C’est la première fois que j’en voyais un. J’appris plus tard que c’était le cadeau de l’un de ses amants qui avait parcouru l’Afrique et qui avait fait faire cet objet dans un village. Il avait choisit le plus beau spécimen de la tribu et demandé à ce que l’on sculpte son pénis dans le bois. Cette chose, le godemiché, n’était pas encore répandu en Occident.

Par un ingénieux système de harnais, l’homme fixa l’objet à la taille de Madame de Porterie.

Jamais cette engin ne pourrait entrer dans mes chairs, même si elle était amplement lubrifiées.

Elle prit alors dans un pot, un produit visqueux qu’elle étala sur le membre en bois.

« Laisses nous, » dit elle à son assistant.

L’homme quitta la pièce pendant qu’elle s’installait derrière moi, sur le lit.

Je tremblais de tout mon être lorsque je sentis le bout de l’engin sur mes lèvres. Elle m’écarta les fesses et me pénétra lentement. Il me faisait mal et je hurlais de douleur.

« Dans une minute, tu n’aura plus mal, » me dit elle.

L’objet continua sa progression dans mes chairs.

« Arrêtez, arrêtez, j’ai trop mal. »

Elle s’arrêta t je sentis l’engin ressortir. Il revint à la charge.

« Aïe, ça fait vraiment trop mal! » dis je sous la douleur.

« Dommage, » dit elle, « je suis certaine que je pouvais aller plus loin en vous. Tant pis.»

Elle se retira à nouveau.

Je le désirais de toute mon âme, ce pénis de bois. Je voulais qui m’arrache les chairs.

« Attendez, attendez, » dis je dans un râle.

Je posais ma tête sur l’oreiller et écartais mes fesses de mes deux mains libres.

« Revenez, je vous en pris. Je veux que vous me possédiez ».

Je tremblais à nouveau lorsque l’engin me pénétra. Je sentis que dans cette position, le pénis d‘ébène aller plus loin. J’avais de nouveau mal, mais je ne dis rien. Je ne voulais pas qu’elle se retire pour toujours.

A mon grand soulagement, je sentis son bas ventre sur mes fesses. L’objet était complètement en moi.

« Attendes un peu Madame. Il faut que mes chairs s’y fassent. »

Je sentis me chairs intimes s’adapter au pieu de bois.

« C’est bon Madame, vous pouvez me posséder maintenant. »

C’est alors que commença, lentement puis de plus en plus rapide, la plus belle baise de ma vie. Elle m’encourageait en me disant des mots cochons.

« Ca te plait ma belle. »

« Ho oui ».

« pensais tu qu’un jour tu te ferais posséder par une femme. »

« Non, non. Baisez moi plus fort. »

« Tu es une vrai salope et tu aimes çà! »

« … »

« Je n’ai pas entendu. »

« Je suis une salope.. »

« Vrai… »

« Je suis une vrai salope et j’aime çà .

« Plus vite s’il vous plait, » lui dis je.

Elle me baisa ainsi pendant bien quinze minute avant que je ne défaille. J’eus un puissant orgasme qui me laissa toute pantelante.

A mon réveil, je retrouvais l’engin qui m’avait fait tant plaisir à côté de moi. Je le pris et l’observais longuement. Quel objet délicieux et qui va très bien à sa propriétaire.

Il faisait jours. Je me rhabillais et quittais la pièce de débauche. Je me promis d’y revenir.

Je ne peut faire mes hommages à Madame de Porterie. Elle était invitée à Versailles.

Voilà, mon cher journal, c’est tout pour aujourd’hui.

Je refermais le journal intime de Madame de Baincourt, livre que j’avais trouvé par hasard dans une brocante. Cette femme aurait pus être mon aïeul. Elle avait aimé le sexe comme moi je l’aime, à la fois dominatrice et soumise, avec les personnes qu’elle désirait homme ou femme.

Je posais le livre sur le canapé. La lueur du jour faiblissait. Je pris une cerise dans le bol près de moi et la mangeais. J’en pris une deuxième que je gardais dans la bouche. Je pris alors la tête de Stéphanie entre mes mains et lui fis quitter la chaleur de mes cuisses.

Je l’embrassais, lui offrant par la même occasion la cerise dans ma bouche. Sa bouche avait les odeurs de ma chatte juteuse.

« Merci lui dis je doucement. »

Elle sourit et m’embrassa plus fougueusement.

« C’est moi! C’est très agréable.» dit elle avant de retourner me lustrer le minou tout en se léchant les lèvres de gourmandise.

Dans la lumière couchante, j’eus mon orgasme dans la bouche de Stéphanie en pensant à Madame de Baincourt et son jeune paysans.

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