Ma visite à Marie

Informations sur Récit
Je fais l'amour à Marie.
1.8k mots
4.49
9.6k
00
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je rentrais à la maison et retrouvais ma petite famille. Pour la première fois depuis mon mariage, je devais jouer un rôle apparent tout en ayant des pensées contradictoires. Je ne me rendais pas compte si ma prestation était crédible.

Je n'avais pas trop d'inquiétude pour les enfants. Ils attendent surtout de l'amour de leurs parents, pas de détails ou d'explications. Mais donner le change à un mari, c'est un tout autre défi.

Heureusement pour moi, j'étais revenue de chez Marie avant mon mari et je n'eus pas à justifier de mon emploi du temps. Ni vu ni connu.

Mais c'est dans le détail des actions quotidiennes, des échanges et surtout dans l'intimité de la chambre à coucher qu'on risque le plus de se trahir. La question la plus redoutable est "A quoi tu penses?". Elle montre qu'on s'est dévoilé sans s'en rendre compte par une attitude absente. Et comment répondre alors qu'on pense à quelque chose d'inavouable? Quand un homme a de la psychologie, il est illusoire de penser pouvoir masquer un bouleversement tel que ma rencontre avec Marie.

Je m'en tirais néanmoins en appliquant la tactique la plus élémentaire : ne pas répondre aux questions et laisser la journée suivre son cours. C'est ainsi que se passa le weekend, que j'occupais le plus possible avec les enfants pour éviter les têtes à têtes avec le mari, et aussi pour éviter de m'exciter en me rappelant mon après-midi avec Marie.

Mais dès le dimanche soir, je commençais à ne plus pouvoir penser qu'à une chose : quand irai-je retrouver Marie? Le remord vis à vis de ma famille me commandait de ne pas y retourner. Mais l'envie était irrépressible et je savais que je ne résisterais pas longtemps.

Ma résistance fut si faible que le lundi matin, dès que je fus seule à la maison, j'appelais Marie. Elle me dit de venir tout de suite et à dix heures, je sonnais chez elle.

Comme la première fois, elle ne s'embarrassa pas de conventions sociales pour m'offrir un café par exemple. Elle m'entraîna directement jusqu'à sa chambre.

A la tête du lit, le cadre se prolongeait en hauteur d'un pan de ferronnerie aux extrémités duquel étaient attachées deux paires de menottes capitonnées.

Marie me déshabilla elle même, massant mes seins quand elle dégrafa mon soutien-gorge, humant mes senteurs intimes quand elle baissa mon slip et embrassant mon corps un peu partout au fur et à mesure de sa progression. Encore une fois, j'étais nue devant elle qui restait tout habillée. "Allonge toi sur le dos avec ta tête au pied du lit, je vais t'attacher." Elle referma les menottes sur mes chevilles, l'une après l'autre.

Elle enleva ses chaussures et monta sur le matelas, se plaçant à califourchon à hauteur de mes épaules. Elle avait ses deux genoux de part et d'autre de ma tête et je voyais sa culotte sous sa robe. "Approche toi et sens moi." Je fis un effort pour lever mon visage et Marie abaissa simultanément ses fesses. J'avais l'entre-jambe de son slip quasiment sur le nez. L'odeur n'était pas forte mais tout de même bien présente. D'ailleurs, le sous-vêtement portait une petite auréole d'humidité pile en son milieu. Marie me prit la nuque dans sa main et me fit encore lever la face jusqu'à ce que mes lèvres touchent le tissus. Elle se frotta lentement, en bougeant son bassin d'avant en arrière. La petite tâche s'agrandit et le parfum se fit plus intense.

Elle écarta le bord du slip, découvrant sa fente fermée mais luisante de ses sécrétions. J'eus envie de goûter et je passais la pointe de ma langue sur la jointure des lèvres. "Ouvre moi la chatte, tu auras plus de jus." Avec mes deux mains, je découvris la vulve, entre le rose et le rouge, nappée d'un liquide épais et translucide. C'était la première fois de ma vie que je voyais un sexe féminin d'aussi près. Et qui plus est, un sexe ouvert et excité. Je vins récolter un peu de nectar au bout de mon index et jouais les goûteuses de chattes. Ce n'était pas désagréable. J'en repris et je trouvais ça même bon. J'agrippai les fesses de Marie et je collai ma bouche sur l'entrée du vagin pour fourrer ma langue dedans. C'était finalement délicieux.

Elle se mit debout et enleva sa culotte. Elle prit quelque chose dans le tiroir de la table de chevet et revint s'accroupir sur moi. Je sentais son sexe humide sur ma gorge. "C'est à ton tour de me faire jouir. Tu vas me caresser avec tes doigts et je vais me branler en même temps avec ce joujou." Elle me montra une sorte de petit cylindre qui avait la taille d'un tube de rouge à lèvres. Elle le plaça sur son clitoris caché par les lèvres refermées. Elle tourna la base, ce qui mit le petit vibromasseur en route. "Touche moi la chatte pendant que je m'astique le clito." J'écartai de nouveau ses lèvres, je salivai mon majeur et je le rentrai dans son vagin. Pendant qu'elle stimulait son bouton avec le petit engin, je la pistonnais lentement avec mon doigt. Je sentais qu'elle mouillait de plus en plus et je voyais sa vulve se gorger de sang. "Encule moi avec ton autre main." Ses mots crus m'excitaient terriblement. Bien que je n'avais jamais jusqu'ici enculé personne, et surtout pas mon mari qui en aurait été horrifié, je mis le majeur de ma main gauche dans ma bouche pour bien le lubrifier et je cherchai son anus. Je frottai la petite rose pour la badigeonner de salive et je pressai dessus pour la perforer. Elle s'ouvrit et mon doigt entra profondément dans le rectum de Marie.

C'était une drôle de sensation de la posséder ainsi, d'occuper ses deux trous. Je n'avais jamais eu jusqu'ici un rôle actif. Mon mari me pénétrait, mon mari me caressait et je me laissais faire. Là, c'était moi qui pénétrait, et dans deux orifices en même temps. Cela décupla mon excitation. Je sentais le cul de Marie réagir à mes doigts, le sphincter se contracter ou bien s'ouvrir. Je regardais la vulve se napper de plus en plus de jus et le vagin s'offrir de plus en plus largement. J'eus envie de la prendre plus fortement et je mis un second doigt dans chacun de ses trous. Elle continuait à appliquer son appareil sur son clitoris, appuyant plus fort sur son petit gland.

Elle s'est mise à crier. Je cessai de bouger mes doigts. Je les écartais dans leurs cavités. Je voulais qu'elle ressente cette force pendant sa jouissance, que son cul et sa chatte étaient pris, que j'opposais l'écartement de mes doigts à ses contractions anales et vaginales. Elle eut plusieurs spasmes, ses cuisses se fermant puis s'ouvrant alternativement, ses muscles se tétanisant.

Elle se releva, se dégageant sans douceur de mes mains. Elle s'allongea à mon côté, me fit tourner la tête vers la sienne et m'embrassa à pleine langue. Elle prit ma main droite et la porta à nos deux bouches. C'était son jus qu'elle mélangeait à nos salives. Elle fit de même avec ma main gauche et cette fois, nous goûtions ensemble quelque chose qui m'aurait répugné il n'y a pas si longtemps, mais que je léchais aussi avidement qu'elle.

Elle s'accroupit au dessus de ma poitrine, la tête orientée vers mes pieds et son cul placé juste en face de mes yeux. Elle se pencha en avant et écarta largement ses cuisses. Son sexe était à portée de ma langue pour peu que je tende légèrement le cou. Elle prit un oreiller et me le passa derrière son dos. Elle releva son buste et s'assit carrément sur mon visage. Elle le fit sans appuyer, juste pour que son cul soit en contact avec ma face. J'avais mon nez au niveau de sa vulve. Je lui demandai de s'asseoir sans retenue. Je sentis son poids plus fortement. Son sexe s'écrasait sur mes yeux, mon nez et ma bouche. Je sortis ma langue et essayais de lui lécher la chatte. Elle m'aida en se frottant sur mon visage, de bas en haut et de haut en bas. Je me repaissais des restes de son orgasme.

J'avais envie de jouir moi aussi. J'ai commencé à me masturber. Marie s'est relevée et a sorti un petit gode de la table de chevet. Elle m'a détachée les chevilles du lit mais les a aussitôt rattachées à mes poignets en levant mes jambes et en les faisant basculer par dessus mes fesses. J'étais en boule, sur le dos, avec mes pieds au dessus de mes épaules. Marie était à genoux, face à mes deux trous bien exposés. Elle tenait le gode et le petit vibromasseur.

Elle s'allongea à plat ventre, le buste légèrement relevé, en appui sur ses avant bras. Elle me lécha largement, y compris l'anus. J'étais gênée mais je ne pouvais pas me soustraire à sa feuille de rose. Elle reposa les deux jouets sur le matelas et utilisa ses mains pour m'ouvrir davantage. Elle se concentrait sur mon petit trou qu'elle barbouillait de salive et qu'elle assouplissait en faisant pression avec son pouce. Elle finit par percer le sphincter et à faire entrer la première phalange.

Elle reprit le petit gode et le plaça à côté de son pouce. Petit à petit, elle remplaça son doigt par le cylindre et elle le fit entrer plus profondément. Elle le maintint en place avec sa main gauche tandis qu'elle reprenait le vibromasseur avec sa main droite.

Elle l'approcha de mon clitoris et le mit en route. La stimulation était d'emblée très forte, bien plus forte que ce que je pouvais faire avec mes doigts. Cela tétanisa mes muscles. Je serrais les fesses, mais sans pouvoir refermer mon anus à cause du gode planté en moi et que Marie tenait fermement. Elle força mon vagin avec sa langue. Je sentis qu'elle touchait mon méat. Le vibromasseur continuait à exciter mes chairs sans relâche. Ma respiration se bloqua. J'étais tendue tout entière vers l'orgasme, le cul crispé sur le gode que Marie poussait en moi, les jambes tendues et écartées, la chatte béante avec la langue au fond, le ventre contracté, la bouche ouverte cherchant mon souffle. J'exhalais un long soupir qui se mua en plainte puis en cri. Je sentis mon vagin se contracter plusieurs fois et j'eus l'impression de faire pipi à chaque nouvelle convulsion.

La tension retomba d'un coup. Marie retira le gode de mon rectum, arrêta le vibromasseur, continua de me lécher la vulve puis se releva, me détacha et vint m'embrasser longuement.

Quand je me suis assise sur le lit, j'ai vu que le drap était trempé là où étaient mes fesses. Cela ne semblait pas avoir gêné Marie, tout au contraire.

Nous sommes allées prendre une douche toutes les deux et nous n'arrêtions pas de nous caresser mutuellement en nous lavant. Elle me fit promettre de revenir dès le lendemain en précisant qu'elle aurait une surprise.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit