Ma Vie Ch. 02

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Sonia continue à mener le jeu.
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/15/2016
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La vie reprit, étrangement normale, mais pour moi rien ne serait jamais comme avant. J'avais perdu une sorte d'innocence. Jusqu'à présent, j'avais vu ma mère humiliée. La honte que j'avais ressentie était due à ma participation à son humiliation. Mais à présent, c'est moi qui me sentais profondément humilié. Et curieusement, cela me rapprochait de ma mère dont je me sentais à nouveau très proche Lors de nos discussions le soir, nous avions retrouvé les éclats de rire qui s'était raréfié depuis quelques mois .

Sonia passait tous les deux ou trois jours, toujours le soir. Elle restait parfois à manger. Elle discutait essentiellement avec ma mère et, pour le laisser papoter, j'avais pris l'habitude de faire le service. Un soir que j'étais assis à table en écoutant d'une oreille distraite leur conversation quand Sophia se retourna vers moi

« Ouvre la bouche »

Surpris par cet ordre, je m'exécutais. Elle sortit de sa bouche un morceau de viande mâché et l'introduisit dans le mienne. Je fus dégoûté par ce bout de gras manchonné et imprégné de sa salive mais sans réfléchir, je le mâchais moi même pour parvenir à l'avaler.

À partir de ce soir-là, cela devint une sorte de rituel. Et je me retrouvais souvent à ingérer les aliments mâchonnés dont elle ne voulait pas. J'étais toujours humilié par le rôle de poubelle qu'elle me faisait tenir mais assez vite, le dégoût que j'avais éprouvé la première fois disparu. Il arriva même à ma mère de faire la même chose à mon grand étonnement.

Un soir, cela devait faire trois ou quatre semaines que je n'avais pas jouis et je commençais à nouveau à avoir du mal à supporter ma cage, je ne trouvais personne en rentrant des cours. J'appelais et ce fut Sonia qui me répondit

« Viens là, on est dans la chambre »

Je posais mes affaires et me dirigeai vers la chambre de ma mère.

Le spectacle me fascina. Ma mère était nue, ligotée sur le lit dans une position obscène. Elle avait les mains attachées à ses jambes et était immobilisée, à genoux, la tête posée sur l'oreiller, le cul en l'air. Ses jambes étaient écartées, attachées aux pieds du lit ce qui exposait à la vu son anus et sa chatte.Elle était bâillonnée par un bâillon boule, avait le visage rougi et semblait avoir pleuré.

Sonia était tranquillement assise dans un fauteuil.

« Déshabille-toi »

Je retirais mes vêtements machinalement, captivé par le spectacle stupéfiant que j'avais sous les yeux et je me retrouvais rapidement avec ma seule cage de chasteté, au milieu de la pièce. Je savais à la douleur que je ressentais que mon sexe bandé était rouge, écrasé par les barreaux de la cage sans avoir à le regarder.

« Tu as déjà vu le cul de ta mère? »

« Non Madame »

« Approche-toi...regarde le de plusprès »

J'entendis le cri de protestation de ma mère, étouffé par son bâillon.

Je m'approchais du lit observant avec sidération l'anneau fripé et brun de son anus entouré de poils follets.

« Approche-toi plus, mets-toi à genoux derrière elle »

La protestation de ma mère devenait une sorte de gémissement sonore. La douleur dans mon sexe devenait insupportable et je sentis des larmes sur mes joues. Je m'approchais encore, me mettant à genoux sur le lit. J'avais la tête à quelques centimètres de ce cul offert dont je pouvais percevoir l'odeur aigre et lourde. Visiblement, ma mère ne s'était pas douché avant cette séance.

« Sens-là »

Je me penchais et posais mon nez sur son anus. L'odeur était là beaucoup plus forte, une odeur de sueur lourde et terreuse. Je pouvais percevoir l'odeur des excréments mais l'ensemble n'était pas si désagréable que je m'y serais attendu. L'idée d'être là, à quatre pattes, en train de renifler le cul de ma mère me faisait trembler à la fois de honte et d'excitation.

« Lèche, nettoie-lui le cul »

Ma mère poussa un sort de hurlement rauque et gigota dans ses liens.

Hypnotisé, je posai ma langue sur la chair ridée. Le goût était étrange, aigre et amer. Je sentis sous ma langue de minuscules particules solides se détacher et je les avalais avec un mélange de dégoût et de fascination. Je léchais longuement, enduisant la chair tendre de salive, jusqu'à ce que je n'eus plus aucun goût dans la bouche

« Rentre ta langue »

J'essayais de faire pénétrer ma langue dans le sphincter mais celui-ci était fermé, crispé, je réessayais plusieurs fois, mais sans succès et ma langue commença à me faire mal à force d'appuyer sur chair fermée. Alors j'abandonnais et me redressais. Ma mère pleurait doucement. J'entendis un soupir sonore derrière moi et je me retournais pour voir Sonia les joues rouges, les yeux fermés, affalée dans le fauteuil, jambes largement écartées, la main dans son jean. C'était le première fois que je la voyais jouir. Il y eut un instant de silence, troublé seulement pas les sanglots étouffés de ma mère.

Au bout d'un moment, Elle rouvrit les yeux et me regarda avec un regard embué. Puis, elle se reprit, se redressa et se leva du fauteuil.

« Viens-là »

Je descendis du lit et me dirigeai vers le fauteuil comme un zombie. J'avais encore le goût aigre/amer dans la bouche.

« Assied-toi »

Sitôt assis, elle me ligota ferment sur le fauteuil. Puis elle parut hésiter un moment et cherchait je ne sais quoi dans la pièce. Tout d'un coup, elle sembla avoir une idée et sortit de la chambre. Ma mère avait arrêté de sangloter. Après quelque instant, Sonia revint avec un large rouleau de scotch à le main. En passant, elle fouilla dans les vêtements de ma mère et saisit quelque chose que je ne vis pas. Revenant vers moi, elle me fit ouvrir la bouche et y introduisit un bout de nylon et me bâillonna avec une bande de scotch. C'est alors seulement que je compris que ce que j'avais dans la bouche était la culotte de ma mère. Je perçus un vague goût salé, une certaine amertume.

Sonia me retira ma cage de chasteté puis elle s'assit sur le lit, à coté de ma mère dont elle caressait tendrement les cheveux. Nous restâmes ainsi pendant une dizaine de minutes. Je sentais que ma salive délayait les sécrétions et la culotte devenait gluante dans ma bouche.

Soudain, on sonna à l'entré. Sonia se leva et sortit.il y eut des bruits de voix étouffés . Je me demandais qui était là et ce que Sonia avait dans la tête. Quand elle revint, elle était suivie par un homme grand, cheveux poivre et sel. Je lui donnais 45/50 ans. Il observa la scène que nous offrions, ma mère et moi, d'un air blasé puis il se déshabilla, posant soigneusement ses vêtements. Il était en demi-érection. Son sexe était circoncis, peut-être un peu plus gros que le mien mais sans excès. Sonia se mit à genoux devant lui, saisit son sexe et lui fit une fellation. Au bout d'un court instant, elle se releva, l'homme était maintenant en pleine érection. Il s'approcha de ma mère, promena un instant son pénis sur sa chatte exposée. D'où j'étais, je voyais tout et je sentis mon érection pointer contre mon ventre. Au bout d'un moment, il introduisit son sexe. Ma mère eu une sorte de gémissement. Ce type baisait ma mère devant moi. Il commença à faire des va-et-vient lents.

Cela dura longtemps. J'étais stupéfait de l'endurance du mec qui accélérait sa pénétration. Ma mère avait commencé à geindre sous ses coups de boutoir. J'étais incapable de savoir si c'était de peine ou de plaisir. Sonia c'était à nouveau assisse sur le lit et caressait doucement les cheveux de ma mère.

L'homme continuait à la pilonner, ses gémissements se faisaient plus fort, plus pressant et je compris qu'elle éprouvait du plaisir à être ainsi violé par cet étranger. Ses gémissements se changèrent en une plainte sourde, puis un soupir profond. Je sus qu'elle venait de jouir. Le type ralentit un moment son mouvement...puis repris son rythme. C'était incroyable, ça devait faire dix minutes qu'il baisait et il semblait contrôler encore parfaitement son plaisir. Assez vite, ma mère eut une seconde jouissance puis il la saisit brusquement par les hanches, s'enfonçant à fond en elle, il poussa un grognement sourd...et je jouis! Je sentais mon propre sexe tressauter en projetant des giclées de sperme chaud contre mon ventre tandis que lui faisait pareil au fond du ventre de ma mère.

J'étais dans un état second quand je le vis se retirer. Un filet de sperme globuleux s'échappant de sa chatte grande ouverte.

Ma mère s'était remise à pleurer doucement. Maintenant que l'excitation était tombée, je m'aperçus que le type n 'avait pas mis de préservatif. Sonia se leva et vint l'embrasser à pleine bouche et je compris à cet instant qu'ils s'aimaient. Le gars se rhabilla et partit. Sonia m'essuya, nous détacha, moi et ma mère et nous nous retrouvâmes tous les trois dans le salon, ma mère et moi toujours nus.

«Hélène, Pascal, je vais m'en aller »

ma mère baissât la tête en répondant.

« Tu pars avec lui »

« Oui, il s'appelle Marc, on sort ensemble depuis six mois et on va partir ensemble »

Il y eut un instant de silence

« Je voulais te dire Hélène, ...j'ai beaucoup aimé ce qu'on a fait ensemble...que je t'aime et que je ne t'oublierai jamais...Pascal, ça a été super de jouer avec toi.. »

« On ne se reverra plus? »

« Il ne faut jamais dire jamais Hélène, mais si un jour on doit se revoir, ça me fera plaisir ...allez, rhabillez-vous...Pascal, je sais qu'Hélène peut supporter tout ce qu'on a fait ensemble, j'espère du fond du cœur que je n'ai pas fais une connerie en te mêlant à nos jeux...mais c'était si excitant »

Je regardais ma mère. Elle me fixait l'air inquiet

« Non, ne t'inquiète pas Sonia, ça va bien. Ma mère restera toujours ma mère, quoique nous ayons pu faire »

Sonia se leva, embrassa longuement ma mère, puis vint m'embrasser à mon tour.

« Bon...j'aime pas les adieux...Portez-vous bien »

Elle prit ses affaires et sortit.

Nous étions un peu perdus tous les deux. Nous nous habillâmes et partîmes chacun dans notre chambre.

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