Ma Servitude 02

Informations sur Récit
La suite de mon éducation à la soumission.
950 mots
4.06
28.7k
3
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 10/28/2022
Créé 02/28/2013
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Je passai une mauvaise nuit dans la cave, rongé par la culpabilité d'être un mauvais garçon. Joy me réveilla à 5 heures du matin, pour que je prépare le petit déjeuner pour ma mère et elle ainsi qu'un lunch pour midi. Comme je n'avais aucune idée comment faire la cuisine, c'est Joy qui m'a indiqué ce que je devais faire. Comme j'étais trop lent, elle du me gifler plusieurs fois pour que je fasse correctement ma tâche.

A son arrivée à la table, ma mère remarqua mes joues rouges et elle m'assena deux paires de claques supplémentaires pour n'avoir pas tout de suite obéi correctement à Joy, puis elle m'envoya cirer ses chaussures pendant qu'elle prenait tranquillement son petit déjeuner.

Au moment de partir, ma mère sortit une paire de menottes du tiroir de l'entrée et emprisonna un de mes poignets et elle me tira dehors en disant : "J'ai demandé à Marianne notre voisine de s'occuper de toi aujourd'hui, comme elle n'est pas encore réveillée, je vais t'attacher au pilier derrière sa maison. Je suis nu à part ma cage de chasteté et il fait froid même si on est en été, alors je résiste. Joy surgit derrière moi et saisit une baguette en bambou posée dans le porte-parapluie et m'en assène une dizaine de coups avant que je ne cède et suive docilement ma mère. Celle-ci m'attache au pilier et me dit d'attendre sagement là sans crier ni faire aucun bruit.

Je pleurniche comme un gosse, en disant que c'est injuste. Alors ma mère m'attrape par les cheveux et siffle dans mon oreille: " Tu existes parce que ton père m'a violée et que je n'ai pas eu le droit d'avorter, alors comme ton père est mort, tu es le seul sur lequel je peux me venger. Tu lui ressembles tellement! Alors arrête de pleurer, tu mérites amplement tout ce qui t'arrive!"

Ma mère s'en va en me laissant totalement estomaqué, en proie à la nausée. Moi! Fils d'un violeur! Je comprends mieux mon attitude de sale petit voyeur. Si on n'y prend pas garde, je deviendrai comme mon père, c'est dans mes gênes. Les choses commencent à s'éclairer et je saisis toutes les implications.

Deux heures plus tard, Marianne ouvre la porte et me dit que je vais aujourd'hui être à sa disposition ainsi que celle de ses filles. Elle détache mes mains du pilier, mais tire ensuite violemment mes bras vers l'arrière et passe la seconde menotte autour de mon poignet. Je suis maintenant menotté dans le dos. Je dis que ça n'est pas nécessaire, mais Marianne me répond: " Tu n'as pour l'instant pas besoin de tes mains, donc autant qu'elles restent attachées".

D'une bourrade, elle me propulse dans la cuisine où ses deux filles Mélanie 21 ans et Gabrielle 23 ans déjeunent juste vêtues d'une babydoll sous laquelle elles sont nues. Je marque un temps d'arrêt, excité par le spectacle. Ma verge est douloureuse, mon début d'érection contrarié par la cage.

Marianne se précipite alors vers moi et me roue de coups, en criant: "Espèce de sale petit pervers, baisse tout de suite les yeux!". Je fixe alors le carrelage, pendant que Mélanie et Gabrielle m'abreuvent d'insultes. Marianne prend mes testicules dans sa main et les broie, me faisant hurler de douleur et me mettant à genoux. Les deux filles se déclarent intéressées par cette torture qui semble tellement efficace et Marianne leur promet qu'après le petit déjeuner, elles pourront s'entrainer un moment.

Elles terminent tranquillement de déjeuner et après que j'aie fini de laver et de ranger, nous passons dans le salon pour la séance de torture. Je me fais broyer, frapper, attacher et pincer les couilles par les trois femmes durant plus d'une demie heure. Mélanie et Gabrielle y mettent du coeur, désireuses d'apprendre à se débarrasser d'un homme importun. A la fin, c'est tellement douloureux, qu'une simple caresse de Mélanie sur mes parties intimes me fait sangloter de douleur. Marianne se déclare satisfaite de la prestations de ses filles et m'envoie à la cuisine mettre de la glace sur mes parties endolories.

Pendant que je me soigne, elles vont se doucher et s'habiller. Marianne revient la première et m'indique les différentes tâches ménagères à effectuer durant la journée. Je m'exécute du mieux que je le peux, et je ne reçois qu'une centaine de coups de cravache à la fin de la journée. A midi, j'ai eu le droit de manger accroupi dans la cuisine, dans une gamelle.

Lorsqu'elle entends la voiture de ma mère s'engager dans l'allée, Marianne me renvoie chez moi. Comme je suis sale, ma mère refuse de me laisser entrer et m'arrose à l'eau froide à l'aide du tuyau d'arrosage. Joy revient sur ses entrefaites et se déclare satisfaite de la situation. Je lui dit que je comprend pourquoi elles font ça et que je suis d'accord de payer à la place de mon père.

Joy dit que c'est bien que je prenne conscience de ma culpabilité à l'égard de ma mère et des femmes en général et m'annonce qu'elle va veiller à me briser complètement pour extirper tout le mal qui est en moi, pour me reconstruire différemment, mais que cela va prendre du temps. Elle me permet de manger avec elles, mais de rester totalement silencieux.

Après le repas, je dois mettre tous mes vêtements dans un grand sac, afin qu'ils soient distribués aux nécessiteux. Elle m'apporte aussi des cartons dans lesquels je devrai emballer absolument tout ce que je possède jusqu'à la fin de la semaine. Cela aussi sera donné ou détruit si personne n'en a l'utilité.

Cette nuit, j'ai le droit de dormir dans ma chambre. Aussitôt couché, je m'endors, épuisé par cette journée.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Bonjour,

Une suite est-elle prévue ?

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

J'ai adoré ces deux chapitres.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Intéressant!!!

Bonjour Demale, nous attendons la suite avec impatience....

AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans
J'adore

Je trouve ce récit vraiment extraordinaire et de plus plein de sincérité.

J'adore.

Rudy

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