Ma Servitude

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Un jeune homme mis au pas par sa mère et une amie.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 10/28/2022
Créé 02/28/2013
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Certains sont nés pour commander, pour être des chefs ou des patrons. D'autres, comme moi sont nés pour obéir et se soumettre à la volonté des autres. C'est quelque chose en quoi je crois profondément et qui me permet d'accepter mon sort et mon rôle avec joie.

Je suis un esclave. C'est un bien grand mot pour exprimer une servitude librement consentie et portée par le sentiment d'être parfaitement à ma place. Avec le recul, tout ce qui m'est arrivé était juste et nécessaire. Mais n'anticipons pas. Je te prie, cher lecteur, de lire ce qui va suivre avec toute l'ouverture d'esprit dont tu es capable, en gardant à l'esprit que je suis heureux ainsi.

Tout a commencé lorsque j'avais 18 ans. Ayant atteint ma majorité, je m'imaginais être un homme. Je vivais avec ma mère qui m'avait élevé seule et nos rapports étaient conflictuels. Je me révoltais contre ce que je pensais être une tutelle, alors qu'elle essayait juste de me protéger contre moi-même et mes choix désastreux.

Ma mère avait une amie qui s'appelait Joy. Anglaise d'origine, elle était docteur en psychologie et venait souvent à la maison lorsqu'un colloque l'appelait dans la région. Joy était une très belle femme. La quarantaine épanouie, elle était dotée d'une superbe poitrine qui me faisait fantasmer. Je n'avais de cesse de l'épier, ce qu'elle trouvait bien sûr détestable. Par égard pour ma mère elle ne disait rien, mais cela ne faisait que m'encourager.

Un jour, j'étais en train de la regarder par le trou de la serrure de la salle de bain. Nu, je me masturbais frénétiquement. Tout-à-coup, j'ai reçu un coup dans les parties, depuis derrière et je me suis écroulé, voyant 36 chandelles. C'était ma mère, qui s'était glissée derrière moi et m'avait balancé un violent coup de pied dans les testicules. Alors que je me roulais par terre en gémissant, elle me traita de tous les noms, prenant le Bon Dieu à témoin: qu'avait-elle fait pour mériter un sale petit pervers comme moi?

Sur ces entrefaites Joy sorti en peignoirs de la salle de bain et compris immédiatement la situation. Elle se laissa tomber sur moi en me rouant de coups. A elles deux, elles n'eurent pas de peine pour m'immobiliser. Il faut dire que je n'ai jamais été très baraqué. A l'époque, je faisais 1m70 pour 58 kilos tout mouillé.

Une fois que je n'ai plus été en mesure de bouger, elle commencèrent à tour de rôle à me frapper et me pincer, tirer et malaxer mes pauvres couilles et mon petit pénis, disant qu'elles allaient me castrer pour m'apprendre à jouer les pervers. Bientôt je hurlais et suppliais qu'elles arrêtent cette torture, mais elle ne cessèrent qu'au moment où je me recroquevillai sur moi-même en sanglotant.

Je restai ainsi une demie-heure, pendant que les deux femmes allaient se faire une tasse de thé et discuter de ce qu'elles allaient faire de moi. Lorsqu'elles revinrent, elles avaient pris une décision. Ma mère commença par me faire prendre une douche, arrosant les parties d'eau glacée, ce qui atténua la douleur.

Ensuite, elle me conduisirent à la cave où je me couchai sur un vieux matelas. Je restai là, nu. Une couverture me tient chaud durant la nuit. Personne ne vint me rendre visite et je dus me contenter d'une bouteille d'eau, sans rien manger.

Le lendemain matin, Joy vint me chercher et m'emmena prendre à nouveau une douche, cette fois tiède. Mes couilles étaient toujours très douloureuses et j'évitai de trop les toucher. Après m'être séché, je dus suivre Joy au salon, toujours nu et frottant ma joue. Lorsque j'avais demandé à m'habiller, Joy m'avait pour toute réponse balancé une claque en retour en m'ordonnant de faire silence.

J'entrai dans le salon, où ma mère attendait en compagnie d'un inconnu d'une cinquantaine d'année. J'ai d'abord pensé que c'était une médecin qui venait m'examiner, car il tâta mes couilles et mon pénis et pris des mesures, puis il ouvrit sa mallette et en sortit plusieurs objets métalliques. Il enserra tout d'abord la base de mon pénis et de mon scrotum avec un anneau d'acier ouvert sur environ un cinquième de sa circonférence, puis il y ajusta une petite barre pour le fermer. Ensuite, il fit glisser mon pénis dans un petit tube coudé et l'ajusta à l'anneau. Pour finir, il fixa les deux à l'aide d'un cadenas, dont il donna les clés à ma mère en disant: "voilà, vous n'aurez désormais plus de problème de nature sexuelle avec votre fils, cette cage va le garder bien chaste aussi longtemps que vous le souhaiterez".

Je me sentais idiot, nu devant ces trois personnes, sans vraiment comprendre ce qui m'arrivait. L'homme prit congé, disant qu'il repasserait pour voir si tout allait bien ainsi que pour l'apprentissage du milking.

Je ne comprenais rien à rien. J'obéis à l'ordre de raccompagner le monsieur jusqu'à sa voiture, garée dans la rue et de lui porter sa mallette. A côté de l'entrée, un pagne était accroché et je dus l'enfiler avant de sortir dans la rue. Je me sentais vraiment ridicule de porter la mallette de l'homme devant notre voisine, juste vêtu de cette jupette. Comme elle écarquillait les yeux, ma mère alla lui dire un mot et elle éclata de rire.

Alors que je revenais de la voiture, ma mère me fit signe d'approcher et m'arracha mon pagne pour montrer ma cage de chasteté à Marianne, notre voisine. Celle-ci s'empressa d'appeler ses deux filles et la femme de ménage qui était là par hasard. Toutes ces femmes se mirent à tâter ma cage de métal tout en parlant toutes en même temps.

Toutes les femmes se déclarèrent rassurées que je sois encagé. Je me rendis compte que j'avais la réputation d'un petit pervers épiant les filles lorsqu'elle prenaient le soleil en bikini dans leur jardin. Ma mère fut outrée d'apprendre cela et promis de me punir sévèrement. Elle m'emmena dans la maison en me tenant par l'oreille sous les quolibets de toutes les femmes présentes et m'assena une solide fessée avec une cuillère en bois, dans la cuisine.

Après cette correction, je dus aller sonner chez la voisine et présenter mes excuses à elle et à ses deux filles pour ma conduite inqualifiable. Les deux filles me crachèrent au visage pour me montrer leur mépris et je dus m'en aller, sous leurs remarques méprisantes sur mes fesses rouges.

Le reste de la journée, je dus faire diverses corvées, puis j'eus le droit de manger. C'était le premier jour de ma servitude, mais je ne le savais pas encore.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

Vraiment très très bien.

Bravo

Rudy

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