Ma Reine Ch. 15

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séance exhib à la fête foraine
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Levisse
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Le lendemain, il fut décidé d'aller à la fête foraine au village. Enfin, elle avait décidé. Robe à nouveau très courte avec des fleurs vertes et roses, chaussures d'été et juste une culotte rose.

Arrivées au village, nous fîmes le tour des attractions. Il y avait déjà beaucoup de monde. Comme toujours, je ne pensais qu'à cacher mon entrejambe afin que personne ne découvre ma vraie nature et pour Marraine l'objectif était exactement l'opposé. Et je savais qu'elle allait tout faire pour me mettre mal à l'aise. Elle observait chaque manège pour choisir le plus gênant pour moi.

Nous commençâmes par les voitures tamponneuses. Evidemment, il ne me fut pas aisé de m'installer sans découvrir mes dessous. C'est elle qui conduisait et rapidement elle visa une autre voiture où se trouvaient deux garçons de notre âge qui étaient ravis et nous rendaient coup pour coup. La voiture remuait dans tous les sens et il était difficile de rester jambes serrées. Je craignais d'être découverte et donc ne profitais pas du moment présent.

Finalement j'estimais m'en être bien sortie. Mais la soirée ne faisait que commencer et j'allais devoir encore beaucoup serrer les jambes.

Evidemment, j'eus droit au fameux train fantôme où je savais pertinemment que les jupes des filles ne résistaient pas aux nombreuses souffleries placées à dessein. J'avais profité du spectacle moi-même dans une autre période. Le pire 'était à la sortie, je le savais et j'appréhendais cet instant. Pour les autres passages en surplomb, je pus facilement tenir ma robe entre mes jambes.

Mais le moment fatidique arriva. Il fallait traverser un grand rouleau qui tournait dans les deux sens. Je me concentrai, tenant bien ma robe. J'hésitai. Je voyais les garçons voyeurs positionnés en bas, se tapant des coudes. Trois personnes étaient derrière moi, il fallait que j'y aille. Il y en avait pour deux secondes, pas plus. Je m'élançais et immédiatement déséquilibrée, je lâchai ma robe pour me retenir aux barres prévues à cet effet et bien sûr en sortant du rouleau ma robe se souleva quasiment au-dessus de ma poitrine.

Je passais très vite et remis mes mains sur ma robe qui était restée soulevée moins d'une seconde mais les garçons étaient ravis. Quelqu'un avait-il vu que je n'étais peut-être pas aussi femme que je le prétendais? En passant devant les garçons, l'un d'eux s'approcha de moi et me dit

« Très belle »

J'étais rouge de honte.

« Allez, la chenille, maintenant » annonça ma reine...

La chenille évidemment, le classique des voyeurs. Je savais que je n'y échapperais pas. Elle me fit monter du côté extérieur. Je me contorsionnais pour bloquer ma robe sous mes fesses?

« Non, non, pas de ça. Laisse faire la nature. »

Comme au château fantôme, plusieurs garçons étaient installés pour mater. Le train démarra, doucement au début. Il était facile de contrôler ma robe. Mais rapidement le rythme s'accéléra et je fus plaquée contre le bord et dus me tenir à la barre. La vitesse était maintenant au maximum. Je ne contrôlais plus rien. Je ne voyais plus rien. Quel spectacle offrais-je? Pour avoir regardé les autres au tour précédent, je savais ce que je découvrais. Mes jambes étaient irrémédiablement écartées par la vitesse et donc mn entrejambe était forcément offert. Ma petite culotte rose offerte à tous, certes, mais la petite bosse en dessous? Mon Dieu, que je craignais d'être découverte...

Toutes les filles dans la même position que moi riaient complices des garçons qui les zieutaient. Moi, non. Simplement parce que je n'étais pas une vraie fille et que j'avais une peur irraisonnée que quelqu'un s'en aperçoive.

Et soudain, l'horreur... je les vis. Patrick et Hervé arrivaient avec plusieurs de leurs copains. Faites que cette roue s'arrête, que je puisse descendre avant qu'ils ne voient. Elle s'arrêta à temps... Ouffff.... Mais ma maitresse qui venait de remarquer mes amis reprit deux tickets et malgré mes supplications « S'il te plait marraine, il y a des gars qui me connaissent, ils vont essayer de regarder sous ma robe » « Je sais bien ma belle. C'est pour ça que j'ai repris un tour de plus. Je sais que ça te fait plaisir. Tu aimes bien qu'on regarde sous tes jupes? N'est-ce pas? Et... C'est pas le moment de bander... Sinon, ils vont tout voir... » Marraine riait à gorge déployée alors que je ne savais plus où me mettre, rouge comme un coquelicot.

Je dus reprendre ma place à ses côtés, serrant les jambes au maximum avant le départ de l'engin. Mes amis ne m'avaient toujours pas repérée mais s'étaient rapprochés dangereusement. Le manège démarra doucement, puis de plus en plus vite. Je parvenais à maintenir mes jambes fermées. Soudain, je vis Patrick faire signe à Hervé. Ils me voyaient désormais et se rapprochaient rapidement du manège. Ils me firent signe. Je ne répondis pas concentrée au maximum sur ma tâche.

La vitesse augmenta encore et les rires se multiplièrent dans et autour du manège de celles qui faisaient semblant de cacher leur intimité et de ceux qui manifestaient leur joie de découvrir les interdits. J'étais la seule à ne pas rire de la situation détestable. Je parvenais toujours à protéger mon entre-jambe mais soudain la course de l'engin s'arrêta et repartit brutalement à l'envers. Là, rien à faire, je perdais tout contrôle et écartais les jambes pour garder l'équilibre, accrochée à la barre. Nouveau changement de direction et ma jupe s'envola sans que je puisse la retenir. Je sentais l'étoffe remonter sur mon ventre et l'air frais s'engouffrer sous moi. Je finis par lâcher une main pour repousser ma jupe mais de nouveau perdis l'équilibre me forçant à reprendre la barre à deux mains.

J'apercevais mes voyeurs hilares se poussant du coude, se gaussant comme des crétins. Pourvu qu'ils ne voient pas l'anomalie sous ma culotte rose... Je repensais au spectacle que j'avais déjà offert au jeune François quelques jours auparavant. Ils devaient voir à peu près la même chose.

Mon calvaire finit par s'arrêter et nous pûmes descendre du manège. Les garçons nous attendaient et sans me demander mon avis, Hervé me plaqua deux bises sur les joues « Bonjour Virginie. Tu es magnifique aujourd'hui. Toute de rose vêtue. Waow... » Le rose était évidemment celui de ma culotte que je venais de leur exposer gratuitement. Mes joues étaient également roses. De honte. De désespoir. Je ne voyais vraiment pas comment me sortir de ce piège horrible. «Tu dis pas bonjour à mes copains? » Je me forçais à embrasser Patrick mais me refusais d'accorder ce plaisir aux autres « Je ne les connais pas » « T'es bien bégueule d'un coup. T'étais moins timide il y a deux minutes. Eux ils te connaissent bien maintenant, ils savent que tu mets des culottes roses » rajouta Hervé, tout content de me mettre aussi mal à l'aise.

Tout le monde riait à gorge déployée. Geneviève restée à l'écart me reprit en main pour me soulager « Allez, viens, on va finir le tour » Et nous laissâmes les garçons regarder un nouveau tour de chenilles...

« Je te laisse choisir la dernière activité. Tu vois je suis gentille. » « Merci marraine » Elle sourit gentiment me prenant par le bras et me faisant un gros bisou affectueux.

Je regardais autour de moi quelle activité pourrait ma laisser tranquille. J'avais beau réfléchir, tous les manèges pouvaient en fait me mettre plus ou moins en difficulté. Je me décidais enfin pour une attraction qui me paraissait anodine « On pourrait essayer le tir à la carabine? » « T'étais doué quand t'étais garçon? » « Heu, pas trop, mais j'aimais bien » « ok, on y va. Mais avant, faut que j'aille faire pipi. Viens avec moi, on va trouver un petit coin tranquille »

Je la suivis derrière les manèges dans un endroit sombre et discret. Nous relevâmes nos jupes et, accroupies, fîmes nos petits besoins. Au moment où je me relevais, elle me dit à brule pourpoint « J'ai une super idée. Comme le tir ne comporte aucun danger pour ta pudeur, tu vas enlever ta culotte » « QUOI? mais non marraine... » « Mais si ma petite chérie. C'est moi qui commande. Tu risques rien. Personne ne le saura. » « S'il te plait marraine, me demande pas ça. Je ferai tout ce que tu voudras mais pas ça. » « Tu ne crains rien. Personne ne verra rien. De toutes façons, inutile de discuter, c'est décidé. Allez, quitte ta culotte et mets-la dans ton sac à main. Dépêche-toi. » il ne me restait qu'à obéir.

Lentement je fis glisser la petite chose rose que tout le monde avait vue et en pleurnichant je la glissais dans mon sac. J'espérais encore un contrordre, que ce soit juste pour me faire peur. Mais non, déjà Geneviève repartait en direction des manèges.

Marcher au milieu de tout ce monde en robe relativement courte sans rien dessous était une sensation horrible. Je sentais l'air passer entre mes jambes, je sentais mon sexe, mes fesses nues. J'avais l'impression que tout le monde savait. Que tout le monde voyait. Je craignais tellement un coup de vent que je tenais mes mains sur ma jupe entre mes jambes. Mais je compris bien vite que je ne faisais qu'attirer davantage les regards sur moi donc je finis par lâcher.

Ma tortionnaire semblait chercher parmi la foule et changea soudain de direction. Nous passâmes juste à côté du groupe de garçons que je cherchais absolument à éviter et quand nous fumes à un mètre d'eux, elle dit tout fort « Allez Virginie, on va voir si tu es forte au tir à la carabine ». Elle avait volontairement parlé très fort pour que mes ''amis'' entendent et cela fonctionna car ils nous suivirent. « Pourquoi tu fais ça marraine? Tu es méchante. » Elle rit « T'inquiète... ils vont pas te violer. Tu risques rien. Il faut vivre dangereusement. »

Nous arrivâmes devant le stand et Geneviève paya immédiatement ma première partie.

« Vous avez déjà tirer? » demanda le jeune homme du stand. Je répondis que oui. Il me donna la carabine qu'il venait de charger. Les garçons étaient derrière moi à deux ou trois mètres mais je les sentais, les entendais.

Je me dépêchais de viser et tirer pour partir au plus vite. Evidemment, totalement déconcentrée, mes balles arrivèrent loin, très loin de la cible. Le garçon rechargea mon fusil et nouvel échec. « Je vais t'aider ». Hervé était maintenant collé à moi « Non, non, ça va aller. C'est pas grave si je rate. » Quand mon fusil fut rechargé, Hervé se plaça derrière moi, plaça ses mains au-dessus des miennes et se colla à moi sous prétexte de m'aider à viser. Je sentais son bas ventre contre mes fesses. « T'as pas la bonne position » Et il posa sa main sur mon ventre pour me tirer en arrière. Je sentis nettement son sexe gonflé sur ma raie fessière.

C'était abominable.

Je voulais hurler, partir en courant. Je soufflais « Laisse-moi » « On va y arriver, tu vas voir. Vise bien. Là vas-y appuie sur la gâchette » Le coup partit. Toujours raté. « J'en ai assez, allons-y marraine, peu importe si je gagne rien. » Patrick avait aussi pris un fusil et tirait à côté de moi. Geneviève ne disait rien. Le fusil était à nouveau rechargé. Hervé me colla encore plus. Sa bite semblait vouloir entrer dans mes fesses. Mes fesses nues sous la robe si légère. Sa bouche était tout près de moi, je sentais son souffle dans mon cou. Il visait avec moi mais moi je ne visais pas du tout. Je voulais partir. C'est lui qui appuya sur la gâchette et fit mouche. Une seule touche en 4 tirs, je n'avais gagné que le droit de rejouer.

Je voulais partir. Mais il me serrait et je dus à nouveau subir ce viol. Il m'attrapait maintenant carrément à deux mains pour mettre en bonne position, sa tige profondément et discrètement enfoncé dans mon derrière. Je tirai très vite la dernière balle pour me débarrasser et je m'extirpais de sa prise.

« T'es trop nulle. Tu vas trop vite. Ça commençait à venir. » Et il me tapa sur les fesses. Je commençais à lever la main pour le gifler mais me ravisait. Si ça tournait à la bagarre je ne pourrais peut-être pas tout contrôler, me retrouver au sol et ma robe pourrait bien se soulever. « Laisse-moi tranquille, j'en ai marre de toi. » « Oh pauvre chochotte » et il m'attrapait le bas de la jupe que je retins à temps. Marraine finit par intervenir.

« Allez, on arrête, les enfants. On va rentrer Virginie ».

« Et essuie tes yeux. Tu as un mouchoir dans ton sac. » Dans mon sac... Oui, j'avais un petit mouchoir, mais pas que cela. Je fusillais ma reine du regard pour lui rappeler mais à son sourire je compris qu'elle avait tout calculé. Je dus donc entrouvrir mon petit sac et fouiller à tâtons pour y dénicher mon mouchoir sans dévoiler le tissu rose odorant. J'étais persuadée que tout le monde regardait l'intérieur de mon sac. « Allez, dépêche-toi, on va pas y passer la nuit ». Mes larmes redoublaient alors que mes mains tremblaient. Je finis par trouver l'objet recherché et tout doucement le sortis mais la culotte y restait accrochée et je dus d'une main retenir la tissu rose du blanc et enfin parvenir à sortir le mouchoir. Je craignais qu'à tout moment, Hervé ne s'exclame « c'est quoi là, rose? on dirait ta culotte. Fais voir... » Mais non, aucun drame.

Ouf, j'étais enfin sauvée. Mais Patrick avait pendant ce temps gagné une jolie poupée qu'il m'offrit affectueusement « Pour excuser les mauvaises manières de mon vilain copain » J'avais encore les larmes aux yeux et voulais m'enfuir. « Remercie ce jeune homme quand même » dit Géneviève. Et je dus encore faire la bise au gentil Patrick avant de pouvoir enfin m'éloigner du petit groupe qui s'était formé autour de notre début d'esclandre.

A peine éloignées du monde, Geneviève exigea que je remette ma culotte. « Mais on peut encore me voir, on n'est pas assez loin. » « Dépêche-toi de faire ce que je te dis ». Je dus ouvrir mon sac à main, sortir le frêle tissu et tout en regardant autour de moi le faire remonter le long de mes jambes, soulever ma robe pour remettre tout en place et enfin rabaisser mes jupes le plus rapidement possible. J'étais en sueur, tremblante et en larmes.

C'était la pire soirée de ma vie... Jusqu'à présent...

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