Ma mère Martine 11

Informations sur Récit
La fin de l’histoire – dernière partie.
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2

Partie 11 de la série de 11 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 10/19/2016
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Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d'année par un certain Gabrieldutour. Mes remerciements à cet auteur.

Avertissement : Ce récit n'est qu'une fiction sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes assez « hard », gang-bang et prostitution.

Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

*************************************************

La peur commence à envahir ma mère lorsqu'elle entend les pas se rapprocher. Elle sent sa gorge se nouer, ses entrailles lui faire mal. Je rappelle qu'elle est dans une espèce de hangar et qu'elle ne peut bouger. Elle se retrouve totalement nue, maquillée comme la dernière des prostituées et est empaquetée par du film comme un poulet sous vide que l'on trouve dans un rayon de super marché. Elle peut respirer grâce à deux trous au niveau de ses narines. Son corps voluptueux est allongé, les bras le long du corps sur un socle de polystyrène qui épouse parfaitement ses formes comme s'il était prévu pour elle et depuis très longtemps. Sur sa grosse poitrine compressée par le film transparent, au niveau de son téton droit, on peut voir une étiquette avec écrit dessus : Colis à livrer pour trois heures quarante-cinq. Ma mère ressemble donc à un produit emballé destiné à être consommé. Elle n'arrive pas à se dégager car le film est tendu au maximum. Ses efforts sont vains et elle sent les battements de son cœur s'accélérer.

Les pas se rapprochent. Sa respiration se fait de plus en plus rapide. Son ventre se soulève de plus en plus rapidement car la pression du film et ses gros seins gênent sa respiration et la force à avoir une respiration abdominale. La sueur envahit son corps et elle a envie de crier à l'aide. Mais elle sait au fond d'elle même que cela ne sert à rien.

D'ailleurs, il est beaucoup trop tard. Les personnes sont dans le hangar maintenant. Ma mère s'affole et tente de s'extirper du colis mais rien à faire. Elle est belle et bien prisonnière. Résignée, elle attend son sort. Les personnes sont des hommes au son de leur voix. Elle ne peut les voir car sa tête est allongée et immobilisée.

Une forte odeur de tabac envahit la pièce et elle se sent hissée par ses ravisseurs. Ils sont deux, l'un à l'avant et l'autre à l'arrière. Ma mère se sent transportée par ces deux salauds qui en profitent pour faire des commentaires salaces à haute voix sur elle :

-Eh ben, ils ont fait fort. Je me demande où ils sont allés chercher cette pute. T'as vu ses nibards un peu. Je n'ai jamais vu ça.

L'autre :

-Ouais, en plus il paraît qu'elle est avec son fils.

-Quoi? Elle est mariée?

-Ouais et même que c'est une bourge. Regarde, cette salope n'a même pas enlevé son alliance.

L'homme qui la transporte a un regard à la fois méprisant et pervers.

-Eh ben, tu peux être fière de toi sale pute. Cocufier ton mari comme ça! Faire la pute alors que t'es une bourgeoise plein de fric!

-Bah, après tout, c'est bien qu'elle fasse la pute. Avec cette paire de nichons, elle a du faire plus d'un heureux ça c'est sûr.

-Et son fils?

-Alors lui c'est un sacré pervers! il paraît que c'est lui qui a mis sa propre mère sur le trottoir en la faisant boire. Visiblement, quand maman boit trop, elle se lâche, hein?

-Mettre sa propre mère sur le trottoir, je n'ai jamais vu ça mais à mon avis elle devait être consentante.

-Ça tu peux le dire. Elle est même allée racoler complètement à poil.

Ma mère ne réagit pas et se laisse transporter vers la fourgonnette de tout à l'heure. Sa peur s'amenuise peu à peu et laisse place à de la curiosité. Elle se demande ce que l'on va faire d'elle. Une fois dans le fourgon, les hommes ferment les deux battants et démarre le véhicule. Ils conduisent prudemment et ma mère n'est pas malmenée. Visiblement, ils sont au petit soin avec leur marchandise.

Au bout de vingt minutes, le véhicule s'arrête. Les deux hommes sortent maman empaquetée et pénètrent dans une espèce de tunnel humide qui ressemble à une cave. Les parois sont tapissées de toiles d'araignée. Il y règne une odeur de pourriture et de renfermé. Ma mère ne comprend pas trop ce qui se passe mais elle sent que l'on se rapproche de la destination car il y'a de la chaleur et elle distingue des reflets de lumière sur le plafond poisseux.

Enfin, ils arrivent dans une pièce éclairée et ils déposent maman à plat sur une table. C'est à ce moment que ce salaud de proxénète entre. Je suis avec eux et tenu par l'épaule par le hooligan.

-Bon, asseyez le fils sur la chaise là et attachez-le. Il faut qu'il voie tout! Consigne de vous savez qui.

Les hommes acquiescent. Une forte pression me force à m'asseoir et l'on me ligote à la chaise orientée sur la table où maman est allongée. Il y'a un grand miroir sans teint sur le mur avec je suppose derrière, plein de pervers qui ont dû payer pour voir ma mère. On entend une voix rauque et déformée à travers un micro :

-Le paquet devait être là à trois heures quarante-cinq et il est bientôt quatre heures du matin.

Le proxénète semble embarrassé et s'excuse. Deux hommes en blouse blanche et avec des masques de médecin surgissent avec leur mallette en cuir et une balance qu'ils posent sur la table. Ils semblent de véritables médecins et ils ont un air sérieux. La voix rauque dit :

-Défaites le paquet maintenant.

Le basané et le hooligan se ruent sur le colis et déchirent le film. Ils dégagent ma mère de sa prison et l'assoient sur le rebord de la table. Elle semble rassurée que je sois là. Les médecins commencent à se rapprocher d'elle et l'examinent en palpant son corps et surtout ses énormes seins. Ensuite, ils lui ouvrent grand la bouche et à l'aide d'un miroir, constatent sa dentition parfaite. Ils semblent satisfaits de ces belles dents blanches entretenues et restent longtemps à mater le fond de sa gorge. Ils soulèvent ses lèvres pulpeuses au beau rouge à lèvre écarlate. Elle a dû se faire injecter du collagène pour rendre sa bouche plus attrayante. On lui regarde ses oreilles parfaitement propres. On la met debout et on la mesure. Elle fait 1m64. Elle est pesée également. Un médecin prend un stéthoscope et le pose sur son gros sein gauche. Il écoute son cœur qui bat la chamade à cause de la peur ou peut-être de l'excitation provoqué par la situation : allez savoir. Le stéthoscope est posé sur son dos et on la force à respirer fort. Elle sent le contact froid de l'appareil et elle trouve cela désagréable. Ensuite, on lui tâte le pouls puis prend sa tension. Cela semble très satisfaisant et les médecins se retournent vers le miroir. On la fait se pencher et chacun de ses nichons est pesé sur une petite balance. Je ne peux voir le résultat mais ils semblent vraiment abasourdis du poids faramineux de cette énorme paire de loche.

Un tapis est posé par terre et ma mère est mise à quatre pattes, position qu'elle adopte de plus en plus souvent d'ailleurs. Là, le médecin sort un gode qu'il lui met dans la bouche. Il fait des va et vient dans la bouche de ma mère qui instinctivement pompe l'objet avec ses lèvres charnues. Le médecin prend des notes, plein de notes : on dirait qu'il mesure la capacité de maman à faire des fellations. Il sort un deuxième gode qu'il met de côté. Ils tournent maman vers le miroir et là, lui écartent les cuisses pour voir son sexe bien entretenue. Il est rasé en triangle. Ils écartent largement les lèvres en exhibant le clitoris. Ils le regardent longuement et prennent des notes. Puis ils exhibent le sexe de ma mère vers le miroir avec un air satisfait. L'un écarte le plus possible les cuisses de maman tandis que l'autre lui tend les lèvres. Ma mère coopère largement à cette séance perverse. Elle écarte les cuisses le plus possible. Elle est remise à quatre pattes, sa position préférée. Son cul se retrouve en face du miroir maintenant. Là, à deux, ils commencent à regarder cet anus de femme facile. Ils tirent sur ses deux fesses et échangent quelques paroles. Ils regardent son trou du cul pendant cinq bonnes minutes. Ils l'exhibent à nouveau vers le miroir en écartant bien les fesses.

Puis, l'un des deux médecins ramasse le gode et l'introduit dans l'anus de la femme. Ma mère gémit. Ils commencent à la ramoner. Le gode pourtant énorme est rentré avec une facilité déconcertante dans cet anus si souvent sollicité. Ma mère ondule du cul et gémit de bonheur. L'homme accélère le mouvement et le gode rentre et sort comme chez lui. La conclusion est que l'anus de cette femme a été ramoné un nombre incalculable de fois et par bien des hommes. La taille du gode qui fait une bonne dizaine de centimètres de diamètre est rentré beaucoup trop facilement. Ils n'en croient pas leurs yeux. Là, celui qui prend des notes n'en peut plus et cède, malgré tout son professionnalisme. Il sort sa queue et se masturbe fébrilement devant cette femme vraiment trop salope. Pourtant, il en a vu des clientes se déshabiller devant lui. Même si cela n'était nécessaire, il trouvait toujours un prétexte pour les mettre nue. Ce salopard utilisait le risque du cancer du sein pour dépoitrailler ses clientes et les peloter, souvent pour le plus grand plaisir de celles-ci. Cela s'est même terminé par des séances spéciales de baise avec des clientes échauffées par ce massage mammaire.

Mais là, cette femme le dépasse et il ne peut que se branler lamentablement. La vue de cette femme aux seins énormes l'excite au plus haut point. Trop pute et bien trop salope pour qu'il puisse se retenir, il éjacule sur sa mallette inondant de foutre tout son matériel. Les deux médecins remballent tout en laissant ma mère à quatre pattes en train de se goder le cul en gémissant. Ma mère semble très en forme selon leur diagnostic. De toute façon le moindre de ses orifices a été exploré minutieusement (sa bouche, ses oreilles, ses narines, son anus et son vagin) et son corps n'a plus de secret pour eux. Ils mettent de côté leur mallette et sortent pour chercher quelque chose. Ma mère continue à se goder toujours avec ardeur. Ses énormes seins pendent lourdement et ballottent car elle est à quatre pattes. Elle n'arrête pas de faire des va et vient avec cet objet.

Le basané et le hooligan luttent pour ne pas se jeter sur cette femme en chaleur qui est ma propre mère. Le hooligan qui depuis le début se focalise sur l'opulente poitrine de maman, est sans doute le plus frustré. Il ne peut que reluquer avec envie les énormes mamelles qui bougent.

Les médecins sont de retour avec une nouvelle mallette noire. Ma mère est relevée puis allongée sur la table. Elle se laisse manipuler très facilement et semble coopérer avec plaisir à cette mascarade. Je n'avais pas remarqué qu'il y'avait des espèces de lanières. Ses mains et ses pieds sont ligotés par les deux médecins. Ma mère se retrouve donc nue, allongée et attachée sur cette table les bras et les jambes en croix. Ses cuisses sont écartées et attachées de telle façon que son sexe soit exhibé le plus facilement possible.

Là, trois hommes avec des caméras rentrent dans la pièce. Ils se posent tranquillement autour de cette femme nue, à gros seins et à leur merci. L'un se place au niveau de son sexe, l'autre entre ses seins et sa tête. Enfin le dernier se décale un peu pour avoir une vue d'ensemble de tout son corps.

Ma mère ne peut bouger et son corps est donc à la merci de ces pervers qui ne vont pas hésiter à filmer le moindre de ses supplices. La table est bien sûr orientée vers le miroir derrière lequel il doit y avoir une belle brochette de pervers. La voix déformée dit :

-A présent il va falloir punir cette femme dépravée qui a osé cocufier son mari avec la complicité de son fils.

Maman et moi nous regardons un peu paniqué. Un médecin sort un martinet et le tend au proxénète. Celui-ci s'en empare avec une joie non dissimulée et fait le tour de la table où est attachée ma mère. Puis il dit :

-Alors, salope! On m 'a raconté une certaine soirée sur Nantes. On fait la pute dans mon dos et dans sa propre maison en plus.

Ma mère est stupéfaite. Comment peut-il être au courant. Il rajoute :

-Eh oui, je suis au courant de tout. Tu me prends pour un con mais ça, tu vas le regretter.

Il commence par lui fouetter les pieds. Ses coups sont calculés pour ne pas provoquer la moindre blessure. Martine gémit de douleur. D'abord son pied gauche, puis le droit. La douleur est forte surtout au niveau de ses orteils.

-Ton calvaire n'est pas terminé et tu n'es pas au bout de tes surprises, salope!

Là, il lui fouette les cuisses. Ma pauvre mère ne peut s'empêcher de contenir sa douleur et des larmes perlent à ses yeux.

-C'est une honte de voir une femme se comporter comme toi. Tu es vraiment la honte de la gente féminine. Tu ne penses pas à celles qui sont obligées de faire cela pour survivre.

Un proxénète qui fait la morale, on aura tout vu. Là, le proxénète lui fouette les aisselles et les bras tout en faisant le tour de la table. Tout est calculé chez lui. Il ne force pas mais procure une certaine douleur.

-Ce soir est un nouveau jour pour toi. Tu vas devenir encore plus qu'une putain.

Cette fois, il se met à lui fouetter ses énormes seins et au niveau des tétons. Il se sert des auréoles brunes comme cible. Ma mère, sensible des seins, ne peut s'empêcher d'hurler tout en pleurant. La séance reprend du début et le proxénète s'applique à bien la fouetter sans la marquer. Ce salopard prend du plaisir à torturer cette femme à sa merci. Visiblement, il préfère ça que de la baiser : un vrai pervers psychopathe. La séance de fouet se poursuit pendant cinq bonnes minutes. Ses pieds, ses cuisses, son ventre, ses bras et même sa grosse poitrine n'échappent pas aux fines lanières. D'ailleurs, il s'acharne bien sur cette dernière car il s'est aperçu qu'elle était sensible des seins. La poitrine martyrisée, ma mère ne peut s'empêcher de retenir des larmes. Ses seins si énormes et qui lui procurent tant de plaisir (et à ses innombrables partenaires) la font souffrir horriblement. Elle aimerait tant les recouvrir de ses mains pour calmer la douleur mais elle ne peut pas. Elle est obligée de subir la morsure de ces coups sans qu'elle ne puisse rien faire.

Moi, je suis écœuré de voir ce salaud fouetter cette poitrine qui m'a jadis allaité. Elle se tortille de douleur mais elle sait que ce n'est pas fini et qu'il lui faudra endurer peut-être bien pire. Ce salopard de pervers connaît le truc et de temps en temps, il jette un œil au grand miroir. Il continue à fouetter ces gros nichons comme pour punir cette femme de les avoir si gros. Un des médecins a préparé un rasoir et de la mousse. Comme la dernière fois, Le proxénète va lui raser la chatte pour humilier cette femme bourgeoise qui ose faire la pute pour son plaisir.

Des bougies sont sorties. Une fois chaude, il verse la cire sur les seins de ma mère qui gémit de douleur. Les bougies sont ensuite installées sur chacun de ses tétons et se consument peu à peu tandis que le médecin pervers rase la chatte de la femme. Le proxénète n'interrompt pas son fouettement vicieux et vu que les gros nibards de ma mère sont occupés par les bougies, il se rabat vers ses cuisses. La cire finit par lui couler sur les tétons et envahit ses larges auréoles brunes. Le liquide chaud coule sur les énormes globes mammaires et ma mère ne peut s'empêcher de gémir à nouveau.

Les trois hommes filment toujours et semblent subjugués par tant de sadisme. Le proxénète se dirige entre les cuisses de ma mère et lui enfourne le manche de son martinet dans le vagin. Puis il fait des allers retours. Heureusement qu'elle a eu énormément de relation et, au lieu de lui faire mal, cela lui procure du plaisir. Elle éprouve à la fois de la douleur et du plaisir. Le proxénète s'amuse avec son martinet pendant trente secondes et voyant ma mère prendre son pied, il décide de poursuivre.

Une fois les petites bougies consumées, nouvelle séance de fouet et en particulier sur les seins et les cuisses. La voix déformée ordonne :

-Fouettez-lui le cul à cette salope. Puis godez là à nouveau.

Ma mère est détachée et retournée, heureuse de passer à autre chose car la douleur au niveau de ses seins devenait insupportable. Elle est à plat ventre sur la table maintenant, son cul bien exposé. On a l'impression qu'elle est allongée sur deux ballons de baudruche tant ses seins sont énormes. Le proxénète lui fouette les fesses tandis qu'un médecin prépare le gode. Il l'insère dans son anus tandis que le proxénète lui enfourne à nouveau le martinet dans la chatte en disant :

-Allez, maintenant tu vas marcher à quatre pattes comme cela.

Ma mère s'exécute et se met à marcher à quatre pattes avec un gode dans le cul et un manche de martinet dans la chatte. La scène ne la choque pas le moins du monde. Moi, je suis dégoûté par tant de perversité. La voix se fait entendre à nouveau :

-Ça suffit! le temps passe et on a des choses à faire.

Ma mère est relevée et on lui enlève les objets de ses orifices. On lui nettoie soigneusement la poitrine de la cire. Un des médecins sort une bouteille.

-Un rafraîchissement avant de poursuivre.

Ma mère est un peu exténuée et assoiffée après cette séance plus ou moins sado maso. Elle s'empare avidement de la bouteille et boit au goulot. Ma mère dit :

-HHMMhh! Drôle de goût mais c'est délicieux. Il y a de l'alcool mais avec ... on dirait du...

Le médecin la coupe :

-Oui, un cocktail d'alcool fort, de fruit et beaucoup...de sperme!

Ma mère, surprise mais dans le bon sens du terme, porte le goulot à sa bouche et se gorge de ce liquide précieux. Le médecin rajoute :

-Des gens se sont masturbés en sachant que vous le boiriez madame.

Ma mère répond :

-MMh! j'adore cela! désormais vous m'en donnerez deux bouteilles par semaines.

La voix derrière le miroir dit :

-Mais tu es vraiment qu'une salope. Ce n'est pas croyable. Très bien mais il va falloir le gagner ton cocktail de foutre. Tu feras des films de cul.

Ma mère répond sans hésiter :

-Mmh...oui, je ferai ce que vous voudrez du moment que j'ai cette délicieuse boisson

-Tu vas commencer dès maintenant!

L'alcool fait son effet et peu à peu, les inhibitions de ma mère s'estompent. Elle commence à prendre ses deux énormes seins et à les malaxer de façon provocante. La voilà qui demande à se faire baiser ici et sur le champ. Instinctivement, elle se met à quatre pattes et attend honteusement la venue de ses partenaires. Le proxénète, le regard lubrique et vicieux se précipite sur elle :

-Lève ton cul que je le fouette, tu ne mérites que cela.

C'est avec stupéfaction que je vois ma mère, le regard ivre, obéir et offrir ses fesses à ce salopard qui se remet à la fouetter de plus belle. Elle a mal mais semble prendre du plaisir à se faire punir de la sorte. On entend des bruits de pas qui se rapprochent. Ce sont les partenaires volontaires pour s'occuper de ma mère qui ne se rend pas compte qu'elle va devenir la plus dépravée des actrices de porno underground. Les caméras n'ont pas cessé de tourner et chaque dépravation de Martine est enregistrée.

La voix ordonne :

-Relève-toi salope, que ces jeunes te reluquent.

Ma mère obéit, totalement soumise au plus haut point. Elle offre son corps aux regards lubriques de l'assemblée. Il y a une dizaine d'hommes de toutes races qui sont entrés. Ils ont ramené une quantité d'alcool incroyable. La salle devient tout d'un coup très petite. Ils regardent avec envie cette femme mûre et nue.

Mais une petite description de ma mère s'impose. Elle mesure environ 1m64. Elle est coiffée au carré avec des cheveux teints en noir. Ils lui arrivent à la moitié du cou. Ses yeux sont de couleur noisette et ils peuvent voir qu'elle est outrageusement maquillée. Ses lèvres sont pulpeuses recouvertes d'un beau rouge à lèvre. Son visage ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T. Tous se focalisent sur son énorme poitrine aux larges auréoles brunes. Cette même poitrine qui nous a allaitée jadis, ma sœur et moi est maintenant devenue un objet de luxure. Malgré la douleur provoquée par les lanières du martinet, ses tétons pointent dur. Heureuse d'être ainsi désirée, elle se cambre afin que ces hommes puissent profiter de la vue de ses loches. Ils regardent son cul et son sexe rasé. Ses jambes sont superbes et bien entretenues. Cette bourgeoise aux gros seins est vraiment l'incarnation de la salope absolue et ils sont tous heureux d'avoir été invités à pouvoir profiter de ce corps voluptueux.

trouchard
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