Ma mère Martine 07

Informations sur Récit
Ma mère sur le trottoir – 3ème partie.
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1

Partie 7 de la série de 11 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 10/19/2016
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Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d'année par un certain Gabrieldutour. Mes remerciements à cet auteur.

Avertissement : Ce récit n'est qu'une fiction sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes assez « hard », gang-bang et prostitution.

Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

************************************************

Ne sachant que faire suite à la disparition de maman, je décide de retourner au studio et me résoudre à prévenir la police. Ma mère est partie depuis une bonne vingtaine de minutes maintenant et avec trois parfaits inconnus qui pourraient s'avérer être les plus pervers qui soient.

Je vous rappelle qu'elle était ivre et faisait la pute complètement à poil dans une rue mal famée que je ne nommerai pas. J'imagine les sévices et les horreurs dont elle pourrait être victime et je pense même au pire. Je chasse cette pensée de mon esprit et rentre donc demander de l'aide.

Au bout de cinq minutes de marche, j'entends une voiture derrière moi. Une grosse Volvo freine d'un seul coup en arrivant à mon niveau. La vitre se baisse et un homme m'interpelle :

- Dis, on te prend en stop, ta mère est avec nous!

En regardant à l'arrière du véhicule, je vois une femme nue, à très forte poitrine, encadrée de deux hommes qui ont les mains plutôt baladeuses. Elle me fait signe de rentrer. Cette femme, vous l'avez deviné n'est autre que ma mère. Soulagé mais pas tranquille, je monte dans le véhicule à l'avant.

Je reconnais les trois hommes de tout à l'heure. Ma mère me sourit et me dit :

- Excuse-moi mon chéri, mais on a mis un peu plus de temps que prévu avec ces messieurs.

A peine finit-elle sa phrase que l'un des gars à côté d'elle l'embrasse à pleine bouche. La voiture démarre. Dans le rétro intérieur, je peux voir ma mère se faire peloter. Elle est assise au milieu de la banquette arrière, toujours à poil et encadrée par deux gars d'environ trente-cinq ans.

Elle a les bras autour d'eux et se fait rouler un langoureux patin bien baveux. Celui qui l'embrasse lui farfouille le sexe de ses doigts experts. De son coté, elle écarte bien les jambes afin de se laisser tripoter et doigter son vagin.

Son copain s'occupe de ses énormes seins qu'il pétrit avec envie.

La scène est bien perverse et me fout une gaule de folie. Je suis heureux de voir ma propre mère, cette bourgeoise puritaine, se laisser aller complètement à ce genre de luxure. Rien à voir avec la femme qui m'a donné naissance, élevé et enseigné les bonnes manières. Elle avec qui je ne parlais jamais de sexe, autrefois. Elle qui était hautaine et méprisante envers les femmes faciles, la voici devenue pute, non bien plus qu'une pute car elle vend son corps pour son plaisir et se laisse aller aux pires dépravations devant moi, son propre fils.

Je suis en extase devant ses gros seins aux larges auréoles brunes qui m'ont allaité et qui maintenant servent de jouets à ces hommes dépravés que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam. La poitrine de maman est vraiment énorme et croyez-moi, les deux gars en profitent bien pour la peloter. Les mains des hommes prennent un plaisir à malaxer ces énormes protubérances mammaires si provocantes et qui ballottent à la moindre petite secousse du véhicule.

La voir se faire peloter me fait penser à un gros fantasme que j'ai eu vis à vis d'elle. J'ai souvent rêvé de la voir en actrice porno (chose d'ailleurs qu'elle pourrait facilement faire). En effet, quel fils n'a jamais rêvé de voir sa propre mère tourner dans un film X et devenir ainsi l'égérie d'une foule de mâle heureux de pouvoir se branler à la vue de ce corps si plantureux.

Au bout de dix minutes de route, la voiture s'arrête.

- On est arrivé ma salope! Dit l'homme au volant.

Je ne reconnais pas l'endroit. Il s'agit d'une cité sordide. Ma mère aussi semble surprise :

- Vous aviez promis de nous ramener mon fils et moi dans son studio?

Le conducteur se retourne et sourit :

- Oui, mais on a fait une promesse à d'autres copains.

Les deux gars à l'arrière sortent du véhicule et ma mère commence à se rebiffer :

- Vous allez nous ramener sur le champ sinon...

Le conducteur la coupe :

- Sinon quoi salope? Tu iras aux flics expliquer que tu racolais sur le trottoir à poil avec ton fils! Et en plus tu n'as même pas la décence d'enlever ton alliance! Ce serait dommage que cette histoire arrive aux oreilles de ton mari.

Ma mère est surprise et des larmes perlent à ses yeux. Les hommes tirent ma mère hors du véhicule et la tiennent fermement.

- On va te montrer que ce n'est pas bien de faire de la concurrence à ses copines, hein la nouvelle? Dit le conducteur.

- Que voulez-vous dire? Je ne comprends pas! S'étonne maman.

L'homme poursuit :

- Tu ne comprends pas? Ce n'est pourtant pas bien compliqué. Tout à l'heure, il y avait des filles qui bossaient pour nous dans le bar et elles n'ont pratiquement rien ramené comme fric. A cause de toi, on les a dérouillées et elles ont tout balancé. On a attendu la fermeture du bar et on t'a suivi.

Ma mère est effrayée :

- Mais c'est horrible, vous n'avez pas le droit de faire ça.

Le conducteur s'énerve :

- Fallait pas te ramener, toi et tes gros seins de pute. Les bourgeoises en manque, elles peuvent se payer de jeunes puceaux ou des amants. Ici, les femmes ne font pas ça pour le plaisir, elles bossent.

Ma mère pleurniche et demande ce qu'ils comptent faire de nous. L'homme lui répond :

- Ton fils ne craint rien s'il se tient peinard mais il va regarder toute la scène.

Surpris, je demande:

- Mais...et ma mère, qu'allez-vous lui faire?

Les hommes se regardent avec un air vicieux et me disent :

- Tu sais, ici les jeunes sont..., disons, malheureux, désœuvrés. Un peu de sexe ne leur fera pas de mal. Ça leur évitera de s'attaquer sauvagement à des pauvres filles de leur quartier. Par contre, j'ai hâte de voir leur réaction quand je leur dirai que ta chère maman est une bourgeoise. A mon avis, ils ne vont pas la louper.

Ma mère commence à se débattre en hurlant mais les hommes sont trop forts, et moi, je ne fais pas le poids face à ces brutes. Que faire? Ma pauvre mère va se faire violer dans une cave toute la nuit.

Je pourrais tenter de m'enfuir pour prévenir les flics mais ce serait dangereux pour maman. L'un des hommes bâillonne ma mère qui est en larmes.

- Je ne vois pas pourquoi tu chiales, ma salope. Vu ce que t'as fait ce soir complétement à poil, je ne crois pas que te faire baiser à la chaîne te traumatise tant que ça.

Il est vrai que finalement ma mère est en partie responsable de ce qu'il lui arrive. Oser faire le trottoir sans le moindre vêtement n'est pas sans risque, surtout avec un corps aussi plantureux que le sien.

Certes, l'alcool n'est pas étranger à son comportement mais il faut reconnaître qu'elle a vraiment abusé.

- Bon, on y va, mais va falloir la décrasser un peu. Elle est recouverte de sperme séché et de saleté. Regarde tes gros seins, ils sont enduits de foutre. Je connais des toilettes municipales dans le coin. On va y faire un tour et on va te refaire une beauté.

Maman tente de résister une fois de plus mais en vain. Moi, je suis le petit groupe. Le conducteur passe un coup de fil à une de ses filles pour lui apporter rouge à lèvre, maquillage et d'autres petits trucs, histoire de rendre ma mère désirable.

La fille en question nous rejoint au bout de quelques minutes et laisse les affaires. C'est vrai qu'elle est jolie et plus jeune que maman mais au niveau atouts sexuels, elle ne rivalise pas et de loin. De toute façon, les proxénètes le savent bien puisqu'il la renvoie.

Ils ôtent le bâillon de maman et lui ordonnent de se décrasser. Ma mère est donc forcée de se laver et les proxénètes veillent à ce qu'elle le fasse bien. Ils assistent à sa toilette en la reluquant avec un air concupiscent et surtout lorsqu'elle lave son opulente poitrine souillée de foutre et de sueur mélangée.

Elle prend son temps pour se laver les seins car elle est fière de sa poitrine. Et puis la voilà donc prête : propre et bandante comme jamais. Elle a recoiffé au carré sa chevelure teinte en noir.

De visage, on peut dire qu'il y'a une petite ressemblance avec la présentatrice Evelyne T. Ses lèvres pulpeuses sont colorées en rouge vif et ses yeux noisette sont mis en valeur par un maquillage vert au niveau des sourcils. Son corps, lavé de toutes les souillures de la soirée, est recouvert de parfum et elle ne porte comme seul vêtement, des sandales noires.

De tout façon, à quoi bon porter des vêtements au point où elle en est. Ses énormes seins laiteux sont à l'air et ne manquent pas d'attirer les regards. En la voyant ainsi, ce n'est plus ma mère que j'ai devant moi mais belle et bien une superbe salope dépravée et prête à se faire sauter par n'importe qui.

L'un des hommes tend une fiole remplie d'alcool à maman.

- Bois, ça va te décoincer!

Ma mère, hésitante, s'empare de la petite bouteille et boit plusieurs gorgées. Elle sait que ce soir, elle va subir les pires sévices et qu'elle n'y pourra rien.

Les deux hommes la saisissent et nous voilà parti vers un H.L.M. totalement vétuste. Impossible de faire marche arrière, ma mère va devoir assumer ses dépravations de ce soir et de la pire manière qu'il soit.

Nous pénétrons dans une cave poisseuse, immonde et sentant l'urine. Visiblement, personne ne semble se préoccuper de l'entretien ici. D'ailleurs, l'endroit semble désert. Du moins pour l'instant, car il y'a des traces qui témoignent du passage de personnes aux mœurs bien particuliers.

Il y'a des canettes de bières vide, des mégots de cigarettes, des vieux préservatifs et bien d'autres détritus en tous genre. Au centre de la pièce, trône un grand matelas dégueulasse. On peut y voir de larges auréoles jaunes et il y'a au-dessus, une couverture dont la propreté laisse sérieusement à désirer.

On peut voir également une grande table recouverte de bouteilles d'alcools vides, de cendriers contenant des mégots écrasés qui ne sont pas seulement des mégots de cigarettes. Il y'a sur cette même table, des revues porno exposés à la vue de tous.

Le plafond est délabré et on notera la présence d'anneaux en fer.

Le conducteur sort son portable et appelle une de ses connaissances :

- Bon, elle est là. N'oubliez pas le matos, il faut pas qu'elle oublie de sitôt cette soirée. Ça lui évitera de recommencer à cette salope.

Ma mère ferme les yeux et baisse la tête. Elle est résignée et se fait à l'idée de subir les pires humiliations.

Une fois le coup de fil passé, Le conducteur ramasse son portable et lorgne la poitrine de ma mère. Il plaque lentement ses deux mains sur les gros seins chauds et laiteux et se décide à les pétrir avec délectation. Il marmonne tout en les malaxant :

- humm ma salope, on peut dire qu'ils sont vraiment gros, bordel, vraiment gros. Une pute avec des seins comme les tiens peut rapporter un max de blé. Ton fils a vraiment de la veine d'avoir une mère comme toi, prête à vendre son cul et ses gros nichons.

On peut voir qu'il aime beaucoup malaxer les seins de ma mère qui commence à ne pas être indifférente aux sensations procurées. Il lui pince les tétons qui durcissent immédiatement. Ses mains soupèsent et malaxent la lourde paire de nichons de cette femme nue et à sa merci.

Il s'agenouille et commence à les téter un à un comme un véritable bébé.

Maman commence à gémir de plaisir. Cela lui rappelle sa maternité et les sensations de plaisir induites par ma sœur et moi lorsqu'elle nous donnait le sein. Ma mère a parfaitement bien joué son rôle de maman et a insisté pour un allaitement maternel. Elle aurait pu nous trouver une nourrice ou nous donner des produits lactés de substitution. Mais elle s'y est refusée du fait de son éducation bourgeoise. Selon elle, c'était un devoir pour une mère digne de ce nom de donner le sein à ses enfants et elle s'y est tenue.

Mais ici, il n'est point question de maternité même si l'homme cherche peut être à retrouver une certaine chaleur maternelle. D'ailleurs, la scène me fait bander peu à peu.

Aurai-je imaginé un seul jour, que je verrais ma propre mère, nue, se faisant peloter les seins par un proxénète pervers. Bien sûr que non.

Il n'en finit pas de s'amuser à les tripoter et à les lécher comme s'il tenait à profiter de chaque seconde. Il lui suce tellement fort les seins que l'on peut voir la marque des succions autour des auréoles.

Les deux autres hommes commencent à s'exciter et les mains qui serraient les bras de maman, préfère explorer son corps et en particulier ses fesses puisque ses gros seins sont déjà pris.

L'effet de l'alcool a un peu détendu maman qui semble se prendre au jeu de son propre viol.

D'ailleurs peut-on appeler cela un viol?

Instinctivement, le conducteur la fait s'agenouiller et défait sa braguette. Il en sort un sexe en érection dont la taille semble impressionner maman. Elle s'en empare de sa main droite et commence à entamer une magnifique fellation.

Elle engouffre le gros mandrin dans sa bouche et effectue des va et vient tout en malaxant les grosses testicules remplies. L'homme saisit maman par les cheveux et grogne :

- Toi, t'es vraiment une salope de première. On ne va pas te lâcher comme ça. Crois-moi que non!

Ma mère ne fait pas attention à ses paroles pourtant si explicites. Elle se contente de pomper de sa bouche avide et maintenant experte. Elle suce l'homme avec un enthousiasme déconcertant : une véritable chienne en manque de queue et pourtant les lecteurs savent qu'elle n'en a pas manquée cette soirée.

Sa bouche se referme délicatement sur le gland de l'homme et sa langue le titille afin de bien le stimuler. Le conducteur est sur le point de se lâcher mais il se reprend et gifle ma mère :

- Grosse pute, tu crois que t'allais m'avoir comme ça mais je te réserve une petite surprise que tu n'es pas prête d'oublier.

Ma mère ne comprend pas et l'homme la gifle à nouveau et la tire par les cheveux. Le visage de maman se crispe sous la douleur mais elle n'ose pas crier. A ce moment-là, on entend des ricanements et d'un seul coup une quinzaine d'hommes de tout âge et de toute race pénètrent dans la cave putride. Ce sont des amis du conducteur.

- T'as commencé sans nous! Montre-nous ton jouet?

Avec un sourire carnassier, le proxénète soulève maman par les cheveux et l'exhibe devant l'assemblée plutôt satisfaite et surprise. Tous ont les yeux rivés sur les énormes loches de ma mère.

- Quelle paire de nibards, ce n'est pas croyable! Tu l'as trouvé où cette pute? Elle est actrice de porno ou quoi?

Le conducteur lui répond :

- Cette pute de bourgeoise faisait le trottoir avec son fils pour le plaisir. Regarde, elle est tellement salope qu'elle n'a même pas enlevée son alliance.

Les hommes la regardent d'un air méprisant. L'un d'eux dit :

- Et ton mari? Il ne te baise pas assez on dirait. Pourtant, si j'avais une femme comme toi, j'en profiterais.

Je n'ose pas dire que mon père est un bourreau de travail qui passe son temps à la boite dans laquelle il travaille.

- Faut lui montrer que ce n'est pas bien de faire cocu son mari et que ce n'est pas bon de traîner dans les quartiers chauds.

Les hommes ont ramené des sacs avec eux. L'un d'eux sort une caméra numérique tandis que d'autres extirpent une paire de chaînes avec des bracelets au bout. Ils attachent les chaînes aux anneaux en fer fixés au plafond.

Ma mère comprend tout de suite et tente de s'enfuir mais trois hommes l'en empêchent. Elle se débat en hurlant mais cela se termine par une bonne paire de gifles.

Sans ménagement et filmée par un des nouveaux, elle est hissée par deux solides gaillards qui enserrent solidement ses poignets.

Ma mère est donc attachée et suspendue au plafond, les bras en croix et bien écartés. Elle hurle de douleur car elle n'a pas l'habitude d'être pendue de la sorte. Le conducteur la claque à nouveau et clame sûr de lui :

- Tu peux gueuler ma salope, personne ne t'entendra ici.

Un des nouveaux enlève sa ceinture et la donne au conducteur qui se poste derrière elle.

- On va commencer par te punir de ton adultère et de ton comportement de mère indigne.

Joignant le geste à la parole, il fouette les fesses dodues de ma mère qui crie. L'homme est habile car il le fait de façon à ne pas la blesser mais simplement à lui infliger le plus de douleur possible.

En larmes, maman supplie mais l'homme reste sourd et continue à lui fouetter le cul pendant cinq bonnes minutes devant l'assemblée satisfaite.

- Voilà, Maintenant tu vas répéter après moi : Désormais, je serais encore plus salope qu'aujourd'hui.

Ma mère s'obstine et l'homme la fouette à nouveau :

- Répète : Désormais, je serais encore plus salope qu'aujourd'hui.

Ma mère pleure de toute les larmes de son corps. Elle balbutie :

- Oui...

Le proxénète la gifle.

- Je vois que tu ne comprends pas, sale putain!

Il ordonne à un de ses complices de sortir une bougie écarlate qu'il allume aussitôt. Là, il attend que la cire fonde et en expert, verse celle-ci sur les tétons de ma mère qui hurle de douleur. Il lui en verse aussi sur ses gros seins. La cire recouvre ses loches et elle durcit en formant une fine pellicule rouge.

La douleur est rude d'autant plus que l'homme continue de la fouetter et ma mère crie de plus en plus fort. Il reprend :

- Bon, tu as compris maintenant? Alors tu répètes : Désormais, je serais encore plus salope qu'aujourd'hui.

Ma mère renifle et désire que son calvaire cesse.

- Dés... désormais, je serais encore plus salope qu'aujourd'hui.

Le conducteur hurle :

- Dis : Je le jure.

Ma mère ferme les yeux et dit en sanglotant :

- Je le jure.

L'homme sourit d'une façon terriblement perverse :

- Je te préviens, ce ne sont pas des paroles en l'air! Et crois-moi, tu vas devoir t'y tenir!

Il lui tire les cheveux et fait un signe à deux de ses comparses :

- Regardez-moi cette putain. Je me demande combien de fois elle s'est faite défoncée le cul.

Devant toute l'assemblée il lui écarte les fesses et expose son trou du cul si souvent ramoné. Il me regarde :

- Regardez-moi ça! Quelle honte! Tu laisses ta propre mère se faire enculer comme ça et tu ne dis rien à ton père! Espèce de pervers! Ta chère maman va devoir payer pour ça, aussi!

Là, l'un des comparses sort un concombre énorme et l'enfourne dans le trou du cul de ma mère. Elle s'en aperçoit et hurle d'horreur. Il l'introduit peu à peu et vu que ma mère a pratiqué énormément la sodomie, le concombre rentre dans son cul comme dans du beurre. Ma mère éclate en sanglot complètement humiliée tandis que le conducteur lui écarte les cuisses et examine sa chatte en faisant des commentaires à haute voix :

- Au moins, elle est bien entretenue mais j'aime pas les poils.

Aussitôt, on lui apporte de la mousse à raser et un rasoir. Et, sous les yeux médusés de ma mère détruite moralement, il lui rase la chatte d'une façon experte et soigneuse. Il prend son temps et s'applique à la tâche. L'assemblée s'amuse de voir cette bourgeoise aux gros seins, attachée et humiliée. Une fois la chatte bien rasée, son tortionnaire écarte les lèvres de son vagin et le montre à son public visiblement convaincu. Ensuite, il sort un énorme gode tout noir qu'il montre bien à ma pauvre mère avant de le lui enfourner dans le vagin. Ma mère se retrouve donc nue, humiliée, attachée, avec un concombre dans le cul et un gode dans la chatte.

- Bon, maintenant qu'on t'a bien punie, va falloir songer à rembourser ce que tu nous a fait perdre ce soir.

Et il ajoute en ricanant :

- Plus les intérêts...

Ma mère ne réagit plus aux commentaires et se laisse détacher. Ceci fait, on la force à se mettre à quatre pattes et à garder les objets introduits dans sa chatte et son cul.

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