Ma Mere et Moi 01

BÊTA PUBLIQUE

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-J'ai ouvert la fenêtre, j'espère que cela ne te dérange pas?

-Oui, tu as bien fait, il fait encore chaud, répondis-je complètement désintéressé par le sujet.

-Tu préfère la clim?

-Moi non, si on peut éviter!

-Qu'attends-tu, viens t'allonger! Si nous pouvions partir de bonne heure demain...!

-Tu voudras voir quoi?

-Tu m'as parlé d'une promenade en bateau ...!

-Dans ce cas il faut retourner en ville!

-Allonge-toi mon chéri, tu ne vas pas passer la nuit debout??

Dans ma tête je dessine le corps de ma mère caché par le drap, je ne sais plus comment faire pour la toucher. Je m'assieds en remontant l'oreiller et je heurte sa main. Maman saisit la mienne et la garde dans la sienne. Ma mère à son tour s'assied le dos contre le mur. En se remontant, je vois qu'elle à une chemise de nuit. De mon autre main je baisse lentement le drap pour tester sa réaction. La seule qu'elle ait, est de continuer à le baisser avec ses jambes. Mon imagination se met en route. Je cherche toujours le moyen de me servir de mes mains.

-Il commence à faire chaud me dit ma mère! Tu ne dors qu'avec ton caleçon?

-Je ne vais pas mettre de pyjama, je reste comme çà!

Je me recule un peu pour poser ma tête en haut de ses cuisses. Maman caresse mon visage et mes cheveux tout en regardant la télé. Je retrousse sa courte chemise de nuit sous ma joue et caresse négligemment ses genoux. Petit à petit, puisque maman ne réagit pas, je remonte ma main et la balade le long de ses cuisses. Toujours aussi indifférente elle continue ses massages sur ma tête et descendant cette fois-ci vers mon épaule et mon bras puis mes côtes. Imperturbable elle laisse ma main remonter imperceptiblement sous sa chemise vers l'aine où, là, je frôle sa lingerie. Le contact est déstabilisant, Je me décale pour laisser le champ libre à ma main et je continue en toute impunité en la posant à plat sur son bas-ventre juste en dessous de l'élastique, puis de là, pars à la conquête de sa poitrine, qu'avec étonnement je ressens sous un soutien-gorge. Mon avant bras, prisonnier volontaire sous sa chemise, laisse se dévoiler le ventre de maman. A ce moment, réaction de sa part. Je m'attendais à un regard réprobateur...et en fait c'est un très léger sourire plein de charme et de tendresse dont elle me gratifie; puis retourne la tête en direction du téléviseur.

Je retire ma main de sa chemise, passe mon autre bras derrière son cou et de cette main libre, descends un bride de la chemise pour embrasser la rondeur de son épaule toute chaude. De mon pouce je fais tomber l'autre bride, pour, avec un index faire glisser délicatement le tissu sur son soutien gorge. Maman m'aide en se décollant du mur pour que tombe sa chemise que je boudine sur son ventre .Je remonte la partie basse que maman laisse se dégager en se dandinant sur une fesse et l'autre et je l'amasse en dessous de son nombril juste au-dessus de son slip en ne faisant de cette chemise plus qu'un anneau autour de son ventre. Je peux caresser à mon gré presque tout le corps de maman. Je laisse aller ma main plus bas pour passer trois doigts dans sa petite culotte. A peine je touche ses poils que maman retiens ma main:

-Pas encore, mon chéri!

Je reviens plus haut et fais tomber les brides de son soutien gorge l'une après l'autre. Maman passe alors une main derrière ma nuque et dirige ma tête dans la vallée de sa poitrine en baissant ses dentelles. Je suis sous le charme j'embrasse sa peau et ses seins, dessus dessous de partout où me conduit ma passion. Ma mère se laisse glisser de son oreiller pour être allongée sur le lit. Je reprends ses seins dans ma bouche et je tète doucement ses pointes qui commencent à réagir. Puis abreuvé de sensation; d'une main je tente de baisser sa petite culotte.

Ma mère tourne son regard vers moi :

-Tu peux l'ôter? demande-t-elle en désignant mon caleçon.

-Maintenant? Je pensais que...?

-Je vais enlever la mienne!

Ma mère me fait voir sa culotte en la brandissant au bout de sa main. A mon tour je m'exécute mais je reste caché sous le drap. Elle s'empare, alors, d'une de mes mains et la pose sur un endroit de son anatomie judicieusement choisit par elle. Et violemment vire le drap me mettant à nu sur le lit. J'ai à peine le temps de faire connaissance avec sa féminité qu'elle saisit ma jambe derrière mon mollet et la pose sur son ventre en s'ouvrant un peu, donc je l'assure davantage entre mes jambes. Puis maman me tire par le bras dont je pose la main près de son épaule. Me posant une main sur une hanche et parvenant à passer l'autre entre le lit et mon corps elle m'invite en me tirant sur elle, tout en ouvrant davantage ses cuisses entre lesquelles je pose mes deux genoux.

Je frémis à cet instant, décontenancé, intimidé aussi, je ne sais plus ce que je dois faire.

Je reste immobile sur les coudes. Maman impassible, de son sourire tendre et maternel s'empare de mon objet et d'un mouvement de ventre l'épouse complètement. J'ai disparu à l'endroit d'où je suis venu. La sensation de bien-être dans laquelle je me trouve fait place peu à peu à une autre réalité: Je suis sur maman, que je convoite depuis longtemps, je réalise l'impossible. Ses mouvements de bassin me rappellent à l'ordre; maman me demande quelque chose que je dois lui donner. Complètement abandonnée maman se laisse faire à partir du moment où j'entre en action. Elle est détendue, souriante et son corps est remué de ma cadence. Ce moment de bonheur doit durer et les mouvements que j'imprime sont lents mais de fortes amplitudes. Ses yeux se ferment régulièrement dans une sorte de béatitude. Sa respiration est profonde, calme pour ne pas rompre son état je me pose sur un bras pour prendre dans ma main ; ses seins dont je serre légèrement les pointes en cadence avec les coups portés dans son ventre. Maman tire ma tête vers sa bouche et caresse mes lèvres avec les siennes. Puis de sa langue fait le pourtour de ma bouche pour finalement me donner un baiser passionné. Je m'enflamme un peu et rompt la vitesse de mon pistonnage. Maman m'incite à me reprendre et me fait accélérer ma vitesse. Je me passionne à la voir secouée par mon sexe dans le sien, son calme perd un petit peu de son aplomb et se laisse aller en entrainant sa respiration qui devient confuse. Sa bouche entrouverte, maman se maitrise moins. Je rejette au loin l'idée de plaisir pour moi, tant il est bon de voir maman me subir et me porter sur son ventre, avec sa respiration qui devient très, très courte. Nous passons par des stades de passion et de relâchements, j'alterne avec régularité dans son sexe, puis me calme, et quand je la vois s'apaiser je la surprends à nouveau avec un rythme plus élevé, et à chaque fois elle émet un léger gémissement qui me ravit de plus en plus! J'aime la voir ainsi totalement à moi, dirigeant la réaction de son corps. J'espère faire du bien à maman assez longtemps, elle me semble être bien comme çà, dans un autre monde...Une petite douleur me sort des nues, maman plante ses ongles en commençant à jouir doucement, j'essaie de mettre en pratique le peu que je sache et prodigue à maman les soins requis pour qu'elle se lâche:

-Détends toi, ma petite maman, abuse de moi, je suis à toi, fais-moi faire ce que tu veux; si tu veux crier, fais-le, nous sommes seuls, je vais faire plus vite et plus profond pour que tu me sentes bien dans ton petit ventre, accroche-toi au lit, si tu veux, je vais essayer de te faire hurler, J'aime beaucoup te tenir écartée, je t'aime maman! Prend-moi tout entier dans ton joli sexe!

Une fois son hurlement achevé maman me dégage un peu!

Tiens-toi sur tes bras, chéri, il faut que je respire!

Maman, toujours pénétrée refait surface et me câline abondement, m'embrassant de partout. Puis elle caresse mon visage en me souriant, ses yeux sont clairs et brillants, elle referme ses paupières quelques secondes en poussant un profond soupir, soulagée, visiblement contente d'elle-même!

-Je ne t'ai pas entendu?

-Tu sais maman mon plaisir était dedans, à te regarder, à te sentir, à t'entendre!

-J'ai fais du bruit je crois?

-Non, pas trop!

-Tu m'as laissé quelque chose?

-Non pas encore maman, mais j'espère bien!

-D'accord! Si tu peux m'excuser un instant?! Tu ne glissais pas trop?

-Juste un peu, mais c'est mieux çà me retarde!

-Tu m'attends?

-J'ai une idée, maman, on peut aller boire un café pour reprendre des forces!

-Mais il faut que je me rhabille!!

-Non reste nue sous ta robe!

-Je ne vais pas descendre comme çà?

-Cà ne se voit pas et personne ne le sait!

-Je n'ai jamais fais une chose pareille?

-Justement, çà me fait envie de te savoir nue sous ta robe, fais un effort maman!!

-Mais alors nous nous mettons dans un coin où il n'y à personne!

-Merci maman!

-Tu as de ces idées farfelues!

-Non, je n'y vais pas;... regarde tout ce monde!

- Uniquement toi et moi, savons que tu es à poil!

-Passes devant dans ce cas!

-Tu vois tu es assise et personne n'a rien remarqué .Tu veux vraiment un café ou autre chose?

-Un café!

Le regard attendri de maman est joli à recevoir, j'ai l'impression qu'elle est une petite fille insouciante. Une toute petite chose me gêne un peu devant ces gens qui vont et qui viennent.

-Maman essaie de ne pas trop me caresser si ostensiblement en public!

-C'est vrai, je ne faisais pas attention, je ne sais pas pour qui je vais passer!

-Ce n'est pas çà du tout! Mais il y à un étudiant que je connais avec quelqu'un qui l'accompagne; Je ne l'aime pas, ce type, c'est une vraie commère!

-Pouvons-nous remonter... dans notre chambre! Le voyage et l'exercice de tout à l'heure... Je commence à m'endormir!

-La fenêtre ; elle reste ouverte?

-S'il fait frais durant la nuit, nous la fermerons!

-Tu veux vraiment dormir?

-Si çà ne te fais rien oui! Excuse-moi. Je suis tuée à la première manche...Et, à la deuxième, je n'existerai plus, je ne te parle pas de la belle si tu tiens le coup!

-Il y aurait eu que deux manche, c'est tout, maman! La belle étant déjà là...!

-Tu es gentil mon chéri, si vraiment tu as envie ....?

-Dors maman, tu vas encore rouler demain!

Le matin, j'ouvre un œil... et sans faire de bruit je saisis ma montre sur la table de chevet, il est très tôt. Le jour se lève à peine. Je regarde maman qui dort, le visage serein, reposé. La fraicheur ayant envahie la chambre; je couvre un peu son épaule dénudée, maman dégage une douce chaleur, et sans la toucher, je m'approche le plus près possible. Je devine son corps au travers du drap, et de repenser à cette nuit, tout naturellement je commence à éprouver des sensations. Je passe sous le drap et avance lentement ma main, lorsque je touche le tissu de sa chemise du nuit; à partir de cet instant je fais tout doucement pour m'approcher et effleurer une cuisse, sa peau est chaude et soyeuse. Sa chemise s'est remontée durant la nuit et me permet de toucher, entre ses cuisses, le bas de son ventre protégé par sa lingerie. Certainement importunée par mon contact elle bouge se déplace et se pose sur le dos,

Sa bouche est tout près; très légèrement entrouverte, je me pose sur un coude et lui vole un baiser; maman me chasse violemment comme une mouche, j'esquive de justesse son mouvement. Je m'immobilise de crainte de la réveiller et j'attends un peu pour reprendre mon exploration sous le drap. Ma main est posée à plat sur sa cuisse et je remonte vers sa petite culotte, de mon index je passe sous l'élastique à l'endroit que j'aime particulièrement; vers l'aine, et rencontre son duvet; Mais c'est trop serré et je ne peux pas passer tous mes doigts dans son slip même en forçant et au risque de la réveiller. Sa position ne me laisse pas une grande marge de manœuvre .Je remonte plus haut et tente de passer par le dessus. Là, le caoutchouc est moins tendu et je peux passer l'intégralité de ma main, je redescends vers ses poils que je caresse délicatement dans le bon sens sans appuyer. Ils sont placés parfaitement et à si méprendre; ressemblent à un tapis soyeux mais bizarrement je ne sens pas sous mes doigts la petite faille de son sexe, le tapis de sa pilosité devant être trop dense. Je continue à descendre et arrive entre ses cuisses brûlantes, là, où la peau est immensément douce Sa toison rétrécie à cet endroit est moins fournie je pense, et laisse à supposer sa féminité. En dégageant tout doucement ses poils sur les cotés de son sexe j'arrive où je voulais et en remontant, le chemin s'ouvre tout seul jusqu'en haut à la rencontre du petit pois caché sous sa capuche. Je vibre d'émotion et d'envie par ces attouchements volés à maman. J'appuis un peu sur son bouton et chose étrange, au bout de quelques secondes, il me semble ressentir comme le battement de mon cœur au bout de mon doigt, je viens de faire une découverte. J'insiste et le doute commence à m'envahir; il me semble sentir un battement sur le clito de maman. Puis; pour me conforter dans mon impression, maman a de très, très légères contractions, spasmodiques du ventre. Je crois lui faire envie uniquement en touchant ce minuscule endroit. Je bouge mon doigt et constate qu'en effet ce petit touché la sensibilise. Maman caresse ses jambes en les frottant sur le drap, puis ouvre un peu ses cuisses et replie légèrement ses genoux Quand ses jambes s'ouvrent davantage je retire mes mains coupables .Maman ouvre un œil.

-Tu es déjà réveillé? Me dit-elle d'une voix qui semble manquer d'air

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 12 ans
superbe !

quelle merveilleuse histoire d'amour entre un fils et sa mère ! c'est très bien écrit, le début est un peu long mais ça veux le coup ! une lente montée du désir ...

il semble qu'il se soit déja passé quelques choses entre eux avant, domage que cela ne figure pas, tout comme avec les deux soeurs, peut-être pour un autre récit .... ??

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