Ma Logeuse Ch. 10

Informations sur Récit
La vie à trois commence.
4.4k mots
4.25
26.5k
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Partie 10 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/06/2013
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Le vendredi, Hélène rentra vers 6h30, me réveillant sur la banquette.

« Bonjour Pascal, je file prendre une douche et me changer. »

Je me levai pour préparer le petit-déjeuner. Une demi heure plus tard, elle redescendit prête à partir. Elle semblait fatiguée et avait des cernes sous les yeux.

« La soirée s'est bien passée avec Carole? »

« Oui, très bien »

Je n'avais qu'une envie, c'était de lui demander en retour comment s'était passée la sienne mais ça me parut déplacé. Elle était absente, perdue dans ses pensées, je ne l'avais encore jamais vu comme ça

« Il y a quelque chose qui ne va pas? »

« Non, non...tout va bien. »

Revenant à la réalité, elle me demanda de lui raconter ma soirée...mais tandis que je racontais l'essentiel, et bien qu'elle semblait m'écouter attentivement, je la sentais préoccupée. Carole arriva fort à propos pour casser cette atmosphère pesante. Elle était à nouveau gaie comme un pinson et son entrain communicatif parvint à sortir Hélène de ses rêveries.

Au moment de partir, Carole me fit la bise et me murmura à l'oreille :

« Si tu veux travailler sur le bureau, ne te gêne pas »

Dans l'après midi, en rentrant de l'école, je montais dans la chambre de Carole pour travailler. En entrant, je vis immédiatement la culotte de satin noire étalée au milieu du lit. Je tâchai de ne pas y attacher d'importance et m'installai sur le bureau...mais le germe était semé et il faisait son chemin dans mon esprit.

Au bout d'un moment, je n'y tins plus, il fallait que je sache. Je pris la culotte et la portai à mon nez. C'était de toute évidence une culotte qu'elle avait portée et je respirai l'odeur que son sexe y avait laissé. Elle était différente de celle d'Hélène, plus marine...presque iodée, mais elle m'excita tout autant et je ressentis une forte douleur dans le bas ventre...je rêvais de me caresser mais cela m'était impossible, alors au comble de l'excitation, je me mis à lécher cette bande de coton souillée...le goût était légèrement salé et au fur et à mesure que je léchais, ma salive humidifiant les sécrétions séchées, ma langue s'engluait d'une légère aigreur.

Je posais ma main sur mon sexe pour essayer de d'amoindrir la douleur vive qui me taraudait. Je continuais à lécher un moment, jusqu'à ce que le coton de l'entrejambe soit imprégné de ma salive.

Il me fallut longtemps pour que mon érection cesse et que je puisse me remettre à mon travail...mais l'esprit n'y était plus, emporté par les sensations incroyables de respirer l'intimité d'une femme en secret, et par la saveur acidulée de ses sécrétions dans ma bouche. Laissant mes affaires sur le bureau, je redescendis dans le salon.

Les femmes rentrèrent en papotant vers 19h. Elles semblaient très gaies toutes les deux, Carole portait une sacoche à la main.

« Bonjour Pascal, tu nous sers un verre de vin blanc en guise d'apéritif s'il te plaît »

Carole ajouta.

« Je monte mes affaires et j'arrive »

Elle redescendit quelque minutes plus tard, avec un sourire entendu sur les lèvres

Pendant que nous prenions l'apéritif, Carole m'interpella :

« Pascal, tu es monté travailler dans ma chambre cet après-midi »

Je me sentis rougir

« Euh,...oui Carole, comme vous me l'aviez proposé »

« Tu as bien travaillé? »

« Oui, pas mal »

« Alors, explique moi comment ça se fait que j'ai retrouvé ma petite culotte trempée »

Je ne savais plus où me mettre, je jetai un regard perdu à Hélène qui arborait un grand sourire

« Déshabille toi! »

« Pardon? »

« J'ai dit déshabille toi »

Obéissant pour la première fois à un ordre de Carole, je retirais mes vêtements et me retrouvais à nouveau nu en face de ces deux femmes habillée, Hélène paraissait s'amuser beaucoup de la situation tandis que Carole faisait mine d'être en colère. Elle sortit quelque chose de derrière son dos et me le tendis

« Vas-y, montre nous ce que tu fais avec mes culottes sales »

J'étais rouge de honte...à peine moins que quand je m'étais fais prendre par Hélène.

Je saisis la culotte, l'ouvris à deux mains, c'était encore une culotte noire assez large, avec de la dentelle sur le pubis. Je la retournai et contemplait l'entrejambe. J'avais le cœur qui battait à l'idée de ce que j'allais faire devant les deux femmes. Je portai la culotte à mon nez, retrouvant son odeur un peu aigre. Je sentais, à la douleur habituelle, que j'essayais vainement de bander et que je devais leur donner un spectacle obscène.

Je fermai les yeux et commençai à lécher lentement la bande de coton. Je gouttai à nouveau une saveur salée et sentis sur ma langue la viscosité de ses sécrétions. Je suçai ainsi cette culotte un moment. La douleur vive me faisait me courber un peu dans l'espoir illusoire de faire baisser la tension dans mon membre.

Je rouvris enfin les yeux pour contempler mon sexe rouge, comprimé à l'extrême dans sa cage et le filament transparent qui en pendait. Je reposai la culotte sur la table basse et levai les yeux vers Carole. Elle avait le souffle court et était sans-doute aussi rouge que moi. En me tournant vers Hélène, je vis que celle-ci avait passée une main par le haut de sa jupe et qu'elle était en train, de se caresser impudiquement.

Il y eut un moment de silence. Puis Carole se leva et, s'approchant de moi, vint récolter d'un doigt le liquide visqueux qui pendait de ma cage qu'elle essuya sur mes cheveux.

« J'en conclus que tu veux jouer avec nous »

C'était Hélène qui avait tiré cette conclusion évidente. Carole était toujours aussi empourprée.

« Oui...enfin je veux bien essayer...mais à ma façon »

« On joue tous à notre façon... Il n'est pas question qu'on t'impose quoi que ce soit, tu fais comme tu le sens sur le moment »

« Hélène, je crois qu'on devrait punir petit-puceau pour ce qu'il a fait »

Entendre Carole m'appeler ainsi me fit un choc, elle prenait possession de moi comme Hélène l'avait fait, et évidemment avec le consentement de celle-ci. Mais, entre Hélène et moi, il n'avait jamais été question de punition.

« Oui, tu as raison...il va falloir qu'on réfléchisse à une punition...bon, finissons notre apéritif »

J'étais un peu inquiet de la tournure que prenaient les événements et me demandais ce qu'elles entendaient par 'punition' mais je faisais entièrement confiance à Hélène.

Nous passâmes une soirée détendue, moi à nouveau nu et les deux femmes bavardant de bonne humeur. Il fut décidé que dorénavant, je resterai nu, les deux femmes voulant me voir bander, enfin essayer, et que je continuerai pour le moment à dormir sur la banquette jusqu'à ce qu'elles aient statué sur mon cas. Je n'eus pas la voix au chapitre.

Le lendemain samedi, je fus réveillé le premier par mon érection matinale. Je préparais le petit-déjeuner quand j'entendis le bruit d'une douche. Quelques minutes plus tard, Carole faisait son apparition, vêtue d'une jupe et d'un chemisier à col Mao qui, avec sa coupe au carré, lui donnait un air un peu stricte mais qui, pas contraste, mettait en valeur sa poitrine. Elle vint vers moi pour me faire la bise

« Bonjour Pascal, bien dormis? »

Elle en avait profité pour passer une main sous mes bourses et je restai un peu médusé par son changement d'attitude.

« Euh ...oui, très bien Carole, merci »

Elle me susurra à l'oreille.

« J'aime bien quand tu m'appelles Madame »

« D'accord, je m'en souviendrai »

« Aujourd'hui, on sort faire du shopping avec Hélène, ça ne te gêne pas qu'on te laisse seul »

« Non, pas de problème, de toutes façons, j'ai des révisions à faire...à ce propos, je voulais vous demander, ...ça ne vous gêne pas si je travaille dans votre chambre? »

Elle me fixa avec un regard espiègle.

« Si tu veux, mais je te préviens, toute mes culottes sont au lavage »

Je me sentis rougir à l'allusion à ce qui s'était passé la veille et je baissais la tête.

« Je suis désolé, Madame »

Elle éclata de son rire de gorge habituel

« Tu peux...si tu n'es pas capable de résister au premier piège que je te tends, tu vas aller de punition en punition »

Je rougis encore d'avantage à l'aveu de son complot, mais j'en profitais pour éclaircir un point qui me dérangeait.

« À ce propos, quand vous parlez de punition, qu'est-ce-que vous envisagez? »

« Rassure toi petit-puceau, je n'ai absolument pas envie de te faire du mal, et Hélène ne me laisserait sûrement pas faire...non..nous allons trouver quelque chose de plus subtil...de plus cruel...de plus féminin quoi »

Hélène arriva sur ces entre-faits. À partir de ce moment, la conversation fût presque exclusivement consacrée à ce qu'elles allaient faire de leur journée.

Elles partirent vers 10h, pendant que je commençais le ménage. Elles rentrèrent à 17h une peu grises, Hélène regarda sa montre :

« Bon, ça va, on a le temps...Pascal, va t'allonger sur mon lit »

Je restais allongé un bon moment, sans que rien ne se passe, j'entendais leurs rires dans le salon et commençais à me demander ce que je faisais là. Puis j'entendis des talons hauts dans l'escalier, et Hélène et Carole rentrèrent dans la chambre, un apéritif en main. Hélène pris les menottes dans sa table de nuit et m'attacha au lit, tandis que Carole, adossée au mur, regardait en silence en sirotant son verre. Une fois attaché, Hélène enleva ma cage, et me caressa un peu jusqu'à ce que je bande complètement. Je pensais en moi-même que c'était la première fois que Carole me voyait sans ma cage.

« C'est le jour de l'épilation petit-puceau »

Elle étala de la crème dépilatoire sur mon pubis et prenant Carole par les épaules, quitta la pièce :

« Bon, on a vingt minutes, viens ma chéri, on va s'en resservir un »

Carole n'avait pas prononcé un mot.

Au bout des vingt minutes qui me parurent bien longues, elles revinrent dans la chambre, bras dessus, bras dessous, en riant comme des gamines.

« Bon, allez...à la douche » Hélène me détacha les mains pendant que Carole me détachait les pieds, puis elles me conduisirent toutes deux dans la salle de bains pour que j'enlève la crème et, avec elle, les maigres poils qui avaient poussé. Hélène ayant quitté la salle de bains, ce fut Carole qui m'essuya. Il y a une semaine, j'aurais sans doute été mort de honte, mais ce jour là, sans dire que ça ne me gênait pas, je me laissais faire sans trop d'émotion.

Quand nous revînmes dans la chambre, Hélène nous attendait.

« Approche »

Elle me mit une culotte en dentelle dans la bouche et la scella avec une bande de scotch. Je me demandais intérieurement si c'était une culotte à elle ou à Carole, sans parvenir à le déterminer. Puis elle me passa un bandeau sur les yeux et le serra fortement derrière ma tête.

« Rallonge toi petit-puceau »

Une main me guida vers le lit ou je m'étendis à nouveau

Sitôt que je fus allongé, les deux femmes me menottèrent aux montants du lit.

C'était la première fois que j'étais ainsi aveuglé et je me sentais plus vulnérable que jamais.

Je sentis que quelqu'un s'asseyait à côté de moi sur le lit et, posant une main chaude sur mon sexe, commençait de lents mouvements de va-et-vient. Je fus en érection très vite, et très vite aussi, je sentis le plaisir monter en moi, malgré le rythme trop lent de la masturbation. Puis ce rythme accéléra et je sus que j'allais jouir d'un instant à l'autre, et au dernier moment, alors que je sentais déjà les prémices du plaisir, la main me lâcha, je tentais instinctivement de donner des coups de reins pour trouver l'ultime stimulation qui me ferai exploser, mais en vain et le plaisir annoncé reflua doucement, me laissant pantelant de désir.

Alors que les battements de mon cœur commençaient à rependre un rythme plus régulier, une main se posa à nouveau sur moi et recommença son branle, je faillis à nouveau jouir, et à nouveau elle arrêta juste à dernier moment , et cela recommença, et encore, et encore... j'étais dans une sorte d'état second, n'aspirant plus qu'à une chose, jouir enfin. Je sentis ma tourmentrice céder sa place, mais la suivante était aussi douée pour m'amener à l'extrême bord de la jouissance et m'y laisser. Je cru devenir fou, je me contorsionnais dans mes liens, blessant mes poignets, enfouissant ma tête dans la tiédeur des oreillers. Je me sentais couvert de sueur et c'est tout mon corps, maintenant qui cherchait la moindre caresse pour parvenir enfin à l'extase.

Et puis, j'entendis la voix d'Hélène.

« Bon, je crois que ça va pour cette fois... »

Je les entendis quitter la chambre et descendre l'escalier. Je mis longtemps à sortir de l'espèce de transe qui m'avait emportée et à reprendre une respiration normale.

Elles revinrent enfin et Carole dit, d'une voix étonnée :

« Il bande encore »

« Oui, c'est embêtant, attends, j'ai une idée »

Hélène descendit pour remonter quelques secondes plus tard.

J'entendis un bruit de craquement, sans trop savoir ce que c'était, et puis soudain, une brûlure gelée sur mon bas ventre. La douleur était difficilement supportable et le froid semblait envahir tout mon corps, me faisant grelotter après la chaleur torride que j'avais ressentis.

Enfin, le contact glacé se retira.

« Voilà, c'est mieux comme ça »

On remit mon sexe frigorifié dans sa cage, et Hélène m'enleva mon bandeau des yeux. Je les vis toutes deux, Hélène assise sur le lit, Carole debout derrière elle, toutes deux les joues rouges et les yeux brillants. Hélène arracha rapidement mon bâillon improvisé.

« Tu as pleuré petit-puceau! »

Je ne savais quoi répondre, et je me contentais de la regarder fixement.

« Ce n'est qu'une partie de ta punition... mais je vois que celle-ci a été efficace »

Je ne pus m'empêcher de réagir.

« Mais pourquoi? »

C'est Carole qui me répondit.

« Pour t'apprendre à demander avant de prendre les culottes des dames »

Je savais qu'elle l'avait fait exprès, et je me pris à penser que, sous ses airs de Sainte-Nitouche, Carole était peut-être encore plus sadique qu'Hélène.

« Bon, allez, va te doucher, tu es trempé de sueur »

Elles me détachèrent et descendirent, tandis que je m'installais sous une douche chaude, qui me permit de reprendre complètement mes esprits.

Le reste de la soirée se passa normalement, Hélène avait préparé le repas, et le dîner se passa comme d'habitude, alimenté par la conversation des deux femmes. Je me sentais totalement épuisé et n'avait qu'une seule envie: me coucher. Après avoir débarrassé, je m'en ouvrais à Hélène.

« Madame...excusez moi mais je suis très fatigué »

« D'accord, tu peux aller te coucher dans ma chambre ce soir »

Je fus secrètement ravi à l'idée de voir a nouveau le corps voluptueux d'Hélène qui me manquait et, après avoir fait la bise à Carole et à Hélène, je montais m'allonger sur le tapis...las, je m'endormis presque aussitôt et je n'entendis pas Hélène se coucher.

Le lendemain dimanche, je m'éveillais avant Hélène. J'entendais son souffle profond et régulier dans son sommeil. J'étais heureux de me retrouver là, dans cette chambre, avec elle et je me rendais compte combien cette intimité étrange m'avait manqué. Je descendis sans bruit dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. Carole descendit quelques minutes après. Elle portait une robe de chambre qui camouflait mal ses formes épanouies et vint me faire des bises sur les joues comme si rien ne s'était passé :

« Bonjour Pascal, tu as bien dormis? »

« Oui, Carole, très bien, et vous »

« Oui, j'ai eu un peu de mal à m'endormir »

Elle s'approcha de moi pendant que je préparais des pancakes dont raffolait Hélène et posa ses mains sur mes fesses. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque mais je continuais ma cuisine comme si de rien n'était. Elle murmura à mon oreille d'une voie rauque.

« Tu as aimé ce qu'on a fait hier? »

« Oui, et non, c'était terriblement frustrant »

« En tous cas, moi j'ai beaucoup aimé... »

Hélène arriva à ce moment.

« Bonjour vous deux, je vois que vous ne perdez pas de temps »

Carole s'éloigna de moi. Je me retournai pour contempler les deux femmes, Carole avait légèrement rougi, Hélène affichait un large sourire, elle était, elle aussi, en robe de chambre. Je fus content de voir Hélène rayonnante.

« Bonjour Carole »

« Bonjour, Hélène, tu as passé une bonne nuit? »

« Oui, pas mauvaise, mais j'ai eu du mal à m'endormir »

« Ah oui, toi aussi »

Les deux femmes se dévisagèrent un moment avec un sourire complice. Hélène préféra changer de conversation.

« Ça sent rudement bon ce que tu nous fais là Pascal »

« Je vous préparé des pancakes, asseyez-vous, tout est sur la table. J'en fait encore un ou deux et j'arrive »

Je sentis le corps chaud d'Hélène se coller contre moi comme Carole venait de le faire et elle me fit une bise dans le cou

« Merci Pascal »

Nous déjeunâmes ensembles de manière très détendue. Les femmes appréciaient de pouvoir prendre leur temps et discutaient de choses et d'autres, m'impliquant souvent dans la conversation. Il fut convenu que nous irions faire une ballade dans les bois ce matin, après le footing de Carole.

Vers 11h, nous étions sur le pas de la porte, prêt à partir, quand Hélène sembla se rappeler quelque chose qu'elle avait oublié. Elle partit dans la cuisine et revint quelques instants après, avec un sac en plastique qu'elle me tendit

« Tiens Pascal, prends ça, ça peut nous être utile...qu'on ne fasse pas comme la dernière fois »

J'ouvris le sac pour y voir le goulot d'une bouteille d'eau, coupée en son milieu, formant une sorte de large entonnoir. J'eus un tressaillement en comprenant ce qu'elle voulait en faire.

Nous commençâmes notre ballade en papotant gaiement. Nous nous promenions depuis une bonne heure quand Hélène me prit par la main et m'emmena dans les fourrés. Je savais à quoi m'attendre et j'étais à la fois repoussé et excitée par cette idée.

« Allonge toi là et prends l'entonnoir »

Je m'allongeai sur le sol et saisissant l'entonnoir improvisé, en plaçai le goulot dans ma bouche Hélène s'accroupit sur moi, écartant sa culotte d'une main et tenant le bord découpé de la bouteille de l'autre. Il y eut un instant de silence, puis un mince filet coula des lèvres de son sexe, suivi immédiatement par un jet puissant qui vint frapper le bord de la bouteille. Ma bouche fut immédiatement remplie de la chaude aigreur salée de son urine, j'avalais une première gorgée, puis une autre. Hélène s'était déplacée de manière à ce que le jet arrive directement dans ma bouche et j'avalais gorgée après gorgée le liquide acre...enfin le jet se tarit. Hélène resta un moment sans bouger, me laissant finir d'absorber sa miction. Puis elle écarta l'entonnoir et se baissant, posa sa chatte directement sur ma bouche. Je léchais docilement les gouttes restées accrochées sur ses lèvres. Elle lâcha sa culotte qui reprit sa place normale et se releva. J'allais faire de même quand j'aperçus Carole, adossée à un arbre, qui nous fixait en se caressant, une main passée dans la ceinture de son jean. Hélène l'avait vu elle aussi.

« Tu veux en profiter? la place est chaude »

Carole répondit d'une voix enrouée.

« Non, merci, pas cette fois »

Nous finîmes notre ballade comme trois amis qui profitent de la forêt au début du printemps mais je gardais dans la bouche la saveur âpre si particulière de l'urine.

L'après midi fut calme. J'avais du travail à faire et Carole m'avait prêté sa chambre, et le bureau qui allait avec. J'entendais vaguement les deux femmes discuter au rez-de-chaussée tandis que je me penchais sur les méandres de la géométrie riemannienne.

Vers 19h, Carole entra dans sa chambre.

« Je vais me changer pour mettre quelque chose de plus confortable »

« Je vais vous laisser »

« Non, non, tu peux rester, tu ne me déranges pas »

Je ne pus m'empêcher de jeter des coups d'œil à la dérobée pour essayer d'apercevoir ce corps que je n'avais fait que deviner jusque là. Carole me tournait le dos. Je la vis enlever son tee-shirt, puis son jean. Je ne pouvais voir sa poitrine mais je me régalais de ses fesses mal contenues dans sa culotte de satin. Puis elle défit son soutien-gorge qu'elle posa avec les autres vêtements sur le lit. Dans son mouvement, j'entre aperçu la forme ronde d'un sein.

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