Ma Déchéance

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Mon histoire de petit poussin.
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Rainett
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Mes origines sont asiatiques. Ma famille, principalement chinoise, est aisée et respectée. Dans mon adolescence, j'ai fait de mauvaises rencontres. J'ai été confronté à la violence des mauvais garçons qui descendent des quartiers nord. Parce que je suis petit et chétif, les garçons à la peau foncée croient que je suis une proie facile. Je suis peureux, facilement intimidable, et j'ai gardé de cette époque une secrète excitation lorsque je suis confronté aux voyous, aux gens sales, aux pauvres, et plus généralement aux personnes autoritaires.

Quand je me suis aperçu que j'étais attiré par les histoires de domination, d'humiliation, de violences sexuelles, j'ai commencé à chercher des textes, des photos, des vidéos d'histoires vraies ou réalistes pour pouvoir assouvir mes fantasmes. Ce qui m'excite le plus, ce sont les documents qui racontent les aventures de personnes faibles, soumises par des tyrans à la peau sombre, en salopes prêtes à tout pour plaire à leurs tourmenteurs.

Ce qui m'a rendu ainsi, ce sont les agressions dont j'ai été victime dans mon enfance. J'étais trop faible et trop peureux pour me défendre, et des voyous à la peau sombre ont profité de ma faiblesse. Une fois, un vagabond très bronzé m'a intimidé en palpant sans cérémonie mes parties génitales, tout en me regardant avec arrogance, un sourire narquois sur le visage. Je me sentais tellement liquéfié et humilié. Il m'a traité comme si j'étais sa propriété, son jouet.

Immédiatement, j'ai ressenti les sensations électrisantes de la chair de poule partout en moi. Mon petit sexe grandissait et se raidissait progressivement lorsqu'il jouait avec, le tripotant avec ses doigts rugueux. J'étais en colère contre lui, contre la dégradation et l'humiliation qu'il me faisait subir. Mais, je ressentais des sensations contradictoires d'excitation et d'émoi, juste pour le laisser me trifouiller.

Je voulais me révolter, mais j'avais aussi peur de sa riposte. Mais je ne voulais pas le laisser continuer.

Qu'adviendrait-il de moi, de ma pudeur et de ma dignité? Vais-je finir comme sa chienne? J'ai rassemblé tout mon courage pour lui résister. Je lui ai donné un coup de poing au visage, mais il a répondu avec la force brutale qui caractérise ce genre d'individu. Je suis tombé inconscient, le laissant libre de faire de moi tout ce qu'il voulait.

Une autre fois, je marchais dans un parc, et j'ai été subitement entouré par une bande de voyous. Ils me pelotaient sur tout le corps, vraisemblablement pour me voler. J'avais peur de leur résister, peur d'être blessé. Ils riaient et ils dansaient autour de moi, faisant croire aux gens que c'était juste une bande de jeunes qui chahutaient.

Heureusement, une vieille dame les a chassés. Sans elle, je me demande ce qu'ils auraient fait de moi. Leur esclave sexuel, participant à des tournantes dans les caves des bidonvilles?

J'ai également été malmené dans les transports en commun. Le type assis à côté de moi me bloquait le passage, m'empêchant de descendre à l'arrêt. Sa main parcourait mon corps, de ma poitrine jusqu'à ma cuisse, en me caressant ou me pinçant cruellement. J'avais peur de réagir en provoquant un scandale. Je suis resté stoïque et silencieux, résistant à ses sollicitations et faisant semblant de ne pas les remarquer.

Les attouchements ont continué, la main est devenue plus effrontée, m'excitant progressivement, mais sans réaction visible de ma part. Le mec semblait connaître mon inconfort et s'amusait de me voir souffrir du sentiment conflictuel de maintenir ma dignité sans céder à la tentation. Finalement, il est descendu, et j'ai été libéré de ce sadique.

Une fois, je suis allé seul au cinéma, un mercredi après-midi. Le billet d'entrée était vraiment économique. Je pensais avoir fait une bonne affaire, mais j'ai rapidement réalisé que c'était un endroit sale et médiocre. Ça sentait le sperme et la crasse. J'ai choisi un siège où je pensais être en sécurité. À peine installé, un type crasseux s'est assis à côté de moi.

Il était sale et repoussant, mais je n'ai pas cru que ce pouvait être un pervers, alors je l'ai ignoré. Quand la séance a commencé, il a posé sa main sur mon entrejambe. J'ai eu peur, mais j'ai réalisé que ma petit quéquette s'émoustillait.

J'ai rassemblé mon audace pour lui demander s'il était homosexuel et s'il voulait que je sois sa petite chienne. Il a répondu par l'affirmative et s'est penché sur moi pour m'embrasser. Heureusement, un couple de personnes d'âge mûr s'est assis juste derrière nous, et j'ai pu m'échapper.

J'ai finalement appris à me masturber. Quand il n'y avait personne à la maison, en regardant du porno sur l'ordinateur, où de jeunes éphèbes se faisaient malmener par de brutes à la peau sombre. Je me caressais, d'abord en mettant mon doigt dans mon cul, puis progressivement, des jouets un peu plus gros. Je m'imaginais, poursuivi par des individus louches et mal-intentionnés, me touchant brutalement, me violant à tour de rôle dans des caves sordides. Plus tard, avant de m'endormir, j'ai pris l'habitude de livrer à mes fantasmes favoris en utilisant un godemichet équipé d'une ventouse posée sur le sol. Je m'accroupissais dessus, et je me masturbais en m'enculant sur l'appareil.

L'hiver, il faisait déjà sombre lorsque je rentrais chez moi. Parfois, des voyous me poursuivraient. Souvent, je réussissais à m'échapper, parce que j'étais rapide à la course. Mais une fois, un grand noir a réussi à me frapper violemment derrière la tête, et j'ai perdu connaissance. Je ne sais pas ce qu'il a fait de moi pendant que j'étais inconscient. Quand je me suis réveillé, j'étais tuméfié et blessé dans mon entrée anale.

J'ai essayé d'avoir une vie décente et honorable, mais secrètement, je fantasme sur des histoires d'humiliation et de violence. J'ai rêvé d'être nu et attaché en public, exposé à la concupiscence de voyous à la peau sombre. J'ai rêvé de ma mère, exposée à une humiliation publique. Elle était assise à une table, dans un restaurant. Elle mangeait tranquillement quand un grand noir musclé s'est assis à côté d'elle. Immédiatement, il lui a caressé les jambes, en partant du genou et en remontant jusqu'à l'aine.

À ma grande surprise, au lieu de réagir en se mettant en colère, elle s'est soumise aux caresses du pervers, ouvrant ses cuisses pour offrir sa chatte aux mains noires. Dans mon rêve, j'avais une vision parfaite de ce qui se passait sous les jupes de ma mère, qui ruisselait d'excitation et de désir pour ce sale type. Au réveil, j'ai détesté ce rêve, mais j'ai fait ce rêve après notre aventure dans la camionnette de livraison.

Mon père avait un petit camion pour les livraisons de son entreprise. Il employait un chauffeur, un grand costaud à la peau sombre. Ma mère a demandé au chauffeur de nous conduire en ville en partant faire ses livraisons. Nous étions un peu serrés car la banquette ne convenait pas vraiment pour trois personnes. J'étais assis du côté de la fenêtre. Ma mère était assise au milieu, à côté du chauffeur.

Ma mère semblait en colère, elle grondait le chauffeur en utilisant un sabir que je ne comprenais pas. Le chauffeur n'a pas répondu à ses reproches, il a glissé sa main dans le dos de ma mère, pour lui masser les épaules qui étaient dénudées. Il lui demandé de se détendre et de se taire. Ma mère en colère, c'était une tigresse et tout le monde fuyait devant son courroux. Soudain ma mère s'est transformée en minette soumise! Elle semblait sidérée et domptée. Elle a gardé le silence, apeurée. Elle n'a pas protesté contre le chauffeur en lui reprochant de la toucher de manière inappropriée. C'est comme si elle se soumettait à la volonté du mâle dominateur

J'ai souvent surpris le regard de nos ouvriers quand ma mère traversait l'entrepôt pour rejoindre mon père dans son bureau. J'ai aussi entendu leurs commentaires grivois sur sa féminité. Ma mère faisait semblant de ne rien entendre, mais je l'ai vu rougir plusieurs fois, et elle augmentait le balancement de ses hanches en traversant l'atelier. Je me demandais si quelqu'un avait tenté quelque chose, parce qu'elle semblait très vulnérable dans ces moments-là.

Le décès de mon père a laissé ma mère à la tête d'une fortune conséquente, qui devait lui permettre de vivre à l'aise jusqu'à la fin de ses jours. Elle a vendu l'usine, et elle a gardé la grande demeure dans laquelle nous vivions. Pour plus de confort, elle a embauché un domestique, un grand noir, qu'elle appelait son «majordome»

Plus tard, j'ai découvert que ce domestique s'occupait aussi de satisfaire ma mère, en imprégnant sa chatte avec sa grosse bite noire. Rapidement, il ne s'est pas contenté de baiser la mère, il a aussi rejoint ma petite sœur dans sa chambrette, où il l'a déflorée au creux de son lit. J'avais l'intention de m'interposer, sans savoir quoi faire, mais ma petite sœur m'a dit de m'occuper de mes fesses, qu'elle était très heureuse comme ça.

Ce gars-là à quitté la maison un jour, sans laisser d'adresse, avec un gros paquet d'argent qui traînait dans le coffre de ma mère. Un autre gars a aussitôt remplacé le fuyard. Aussi grand, aussi costaud, aussi pervers. Il a pris la place dans le lit et dans la chatte des deux femmes, la mère et la fille. Je suis mis en colère pour lui montrer qui était l'homme de la maison, et j'ai reçu une gifle monumentale qui m'a mis KO. Du coup, j'ai appris à ne défier aucun de ces voyous.

Le suivant a été le pire de tous. Avec lui, toute la famille y est passée, moi compris. Mais moi, il avait pris l'habitude de me fesser jusqu'à ce que mon cul soit écarlate. Il me disait qu'ainsi, je lui rappelais les guenons en chaleur, dans son enfance, en Afrique. S'était-il dépucelé avec une guenon et en gardait-il la nostalgie? Toujours est-il qu'une fois bien fessé, il m'enculait longuement, pour mon plus grand bonheur.

Je me sentais impuissant, dégradé, humilié, mais je ne me plaignais pas. Le soir, seul dans ma chambre, je me remémorais ce qu'il nous faisais subir, et j'étais excité et honteux en me masturbant. L'argent de notre famille a été progressivement dilapidé par ces voyous qui se servaient sans vergogne dans le coffre de ma mère. Je sais que c'est honteux d'être excité par notre déchéance, mais je ne peux pas m'empêcher de repenser à tout ça en me masturbant.

L'actuel «majordome», comme il n'y a plus d'argent dans le coffre, a exigé le titre de propriété de la maison. Quand le foncier a changé de nom, il a dévoilé sa véritable personnalité en nous attribuant à chacun un rôle précis.

Ma mère est trop âgée pour être envoyée au bordel, pas assez rentable, il va la garder comme bonniche. Comme il le dit si bien, après tout, des trois, c'est elle qui suce le mieux.

Ma petite sœur est assez attrayante pour être envoyée dans un bordel, en Afrique du Nord, son cousin qui gère un établissement là-bas lui réserve une place. Il est persuadé qu'elle sera d'un bon rapport.

Quand à moi, il me cherche une destination, probablement la Turquie. Là-bas, il y a d'excellents chirurgiens qui pourraient me féminiser un peu, pour que je sois plus attractif.

Rainett
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4 Commentaires
DavidMC2DavidMC2il y a plus de 3 ans

Wow ! A mon avis en utilisant le masochisme homme-homme comme tu le fait, tu pourrais devenir mon auteur préféré. Je suis tiraillé par le même fétichisme. Je ne suis pas attiré par les hommes mais les scénarios de domination, d'humiliation, de lutte et de prise de pouvoir m'excitent. Le pire c'est qu'étant fils de flic, mes fantasmes sont plus trash et masochistes. Oh combien j'aimerais prélever les empreintes génétiques des condamnés avec ma propre chaire. Ce mélange de répulsion et d'excitation de ruiner mon intimité avec leurs saloperies.

adresseradresseril y a plus de 3 ans
excellent texte sur la honte et le plaisir de l'humiliation

Rejoint mon expérience : quand les traumatismes de l'enfance créent une personnalité masochiste.... Continuez comme ça!

demaledemaleil y a plus de 3 ans
très bon sinopsis pour une série d'histoires

Je trouve le scénario très bon, mais un peu trop rapide, il vaudrait mieux plusieurs épisodes. Je trouve aussi dommage que les fantasmes de féminisation viennent si tard dans le récit, cela devrait être déjà suggéré au début du récit.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
bon

bonne histoire mais trop courte par contre histoire de soumission d une famille asiatique tres bien il serait bien qu il y est une suite ou alors une autre famille asiatique chaque menbre de la famille aurais droit a son chapitre avant de les reunir dans le final

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