Ma Collaboratrice 02

Informations sur Récit
Une collaboratrice persévérante.
3k mots
4.3
16k
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 10/27/2014
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Une fois arrivé dans la voiture, je lui demandais donc d'ouvrir sa robe, mais aussi de descendre au niveau des genoux sa culotte. Pour renforcer son inconfort physiques et surtout psychique, je lui ordonnai d'écarter les jambes afin de tendre le string, qui cinq minutes plus tard marquait déjà sa peau. Enfin cette position me permettait d'accéder aisément à son intimité.

Gênée, cela se lisait clairement sur son visage mais elle acceptait mes requêtes. Je sortis donc la voiture du parking direction son domicile. Pendant le trajet, je ne manquais pas d'insinuer mes doigts dans son intimité. Ses lèvres étaient mouillées malgré son embarras, et pour accentuer son excitation je tirais sur ces lèvres puis frotter vigoureusement son clitoris.

Hélène commençait à haleter indiquant clairement un plaisir grandissant. Je stoppais sur le champ cette masturbation, la laissant sur sa faim.

— Mais tu prends du plaisir. Tu nous fais la sainte nitouche, mais à peine on te caresse tu es la pire des garces dis moi!

— Tes doigts m'excitent mais c'est vrai que la situation m'embarrasse. Si quelqu'un me voit que va—t—il penser?

— Que tu es une salope, une fille facile, une bonne chienne soumise. Mais tel est le type de femme que je veux, alors si tu n'aimes pas cela il est encore temps d'en rester là.

Sur ces mots, je freinai et j'arrêtai la voiture au niveau d'un arrêt de bus. Cela eut son effet car après quelques secondes de silence, elle me répondit :

— Non, j'aimerais être cette femme pour que vous me désiriez comme je vous désire. Mais on ne m'a jamais demandé à être aussi impudique.

— Mais cela ne me dérange pas tu sais.

— Quoi? Je ne te comprends pas, tu veux que je devienne une femme dépravée mais tu veux en même temps que sois offusquée, que j'ai honte de ce que je fais ... Pourquoi?

— Pourquoi ... Parce que j'aime les femmes qui se soumettent à mes désirs les plus obscènes tout en conservant dans leur esprit une part de respectabilité, une conscience de la normalité. Ainsi lorsqu'elles répondent à mes attentes, leurs gestes sont hésitants, leurs regards apeurés, leur stress au sommet. Et c'est à ce moment là qu'elles sont véritablement soumises, dépendantes des directives de leurs maîtres. Tu comprends?

— Oui je crois comprendre ce que tu veux dire, répondit—elle d'une voix gênée d'admettre que c'est ce qu'elle ressentait.

— Alors pour vérifier sur le champ ce que nous venons d'évoquer, tu vas immédiatement sortir de voiture avec ta culotte au niveau des genoux et une fois dehors tu enlèveras ta robe avant de remonter ton string pour ensuite rentre dans la voiture. Ah, pour la culotte, je veux que tu la remontes le plus haut possible afin qu'elle disparaisse dans ta raie des fesses et rentre dans tes lèvres. Allez, au boulot salope!

Le regard perdu, je voyais sa respiration saccadée dévoilant le trouble et le flou présent dans son cerveau entre respecter la norme ou se lâcher telle la première dépravée que l'on avait si ouvertement critiquée au collège.

Et puis le déclic, elle saisit la poignée de porte et lentement ouvrit la porte tout en me lançant un œil implorant.

Une vaine clémence, que je ne lui octroyais pas. Non j'avais le sourire et lui montrais que j'allais immortaliser cette scène en prenant des photos avec mon mobile.

Elle se leva donc, sa culotte tendue quarante centimètres en dessous de son sexe. Puis elle ôta son vêtement exhibant du coup une femme en porte— jarretelles avec bas coutures complété par un soutien gorge noir dentelle, mais sans rien pour cacher son pubis. C'est donc un beau triangle noir qu'elle montrait pour la première fois de sa vie dans une rue passante. Mélange d'une peau blanchâtre lézardée du noir de ses sous—vêtements en dentelle renforçant plus l'exhibition que cachant l'intimité d'Hélène.

Sa honte fût totale quand elle s'aperçut que deux hommes, ayant la soixantaine et discutant aux abords de l'arrêt de bus, fixaient avec incrédulité et envie cette femme impudique. Je sentis qu'elle voulait vite terminer l'expérience et rentrer dans la voiture. Derechef, elle se mit de face et remonta d'un coup sec en signe de défi je pense sa culotte le plus haut qu'elle pût. Son string bien se distendit et s'enficha entre ses lèvres. Je lui demandais aussitôt de se retourner pour apprécier cette ficelle qui disparaissait dans la raie de ses fesses. C'était si vulgaire que mon pantalon ne cachait rien de mon érection.

Mais pour accroître son embarras, je pris son sac et le jetai hors du véhicule. Sa mine était défaite mais elle comprit ce que j'exigeais, et qu'il n'y avait pas d'alternative. Elle abandonna donc la protection de la portière et s'avança en direction de sac.

Le moment était venu de ramasser les affaires éparpillées au sol. C'est ce quelle fit en s'accroupissant. Je me délectais une nouvelle fois de la vue de son sexe coupé par la dentelle du string, de ses jambes gainées et de ses seins aux tétons pointus que le soutien gorge ne sait cacher.

Pour cette performance, elle eut droit à des coups de klaxons de quelques conducteurs chanceux.

Quand aux deux vieux ils s'étaient approchés pour se régaler du spectacle volontairement offert. Ils agrémentèrent leur observation d'une remarque « si vous avez besoin d'aide pour satisfaire votre femme, on est partant». Je leur répondis un « pourquoi pas », qui se traduisait par un large sourire de leur côté, mais de l'effroi du côté d'Hélène.

Nous repartimes ensuite pour se retrouver dans sa maison. Arrivée devant son portail, je l'autorisais à remettre sa robe mais elle ne devait refermer que deux boutons. Elle sortit donc pour ouvrir la barrière. La brise fit le reste en dévoilant de temps à autres ses blanches cuisses, les attaches de son porte—jarretelles, ou encore ses seins. Car en échange de sa robe elle avait bien dû enlever quelque chose, c'était donc le soutif qui avait disparu.

Pour qu'elle ait bien honte j'avais aussi pris la liberté de l'éclairer légèrement pour que l'on puisse l'observer facilement. En clair j'étais plein phare.

Il était temps de rentrer chez elle pour dîner. Je la sentis soulagée une fois chez elle. Il ne fallait surtout pas qu'elle croît que sa soumission venait de prendre fin à la fermeture de cette porte.

C'est pourquoi ....

Mais je crois que cela mérite un épisode à part entière. A vous de me dire si cela vous intéresse.

Arrivée chez elle, je repris donc les commandes afin de ne pas perdre la mainmise sur Delphine, et ainsi poursuivre son initiation à la soumission.

Pour ce faire j'exigeai qu'elle passe commande auprès d'un traiteur japonais afin que nous passions au plat de résistance, en d'autres termes s'occuper d'elle.

— Avant que notre dîner n'arrive, je voudrais que tu te prépares.

— D'accord, mais je présume que tu veux que je m'habille de manière osée. Non?

— Regarde la tenue dans laquelle tu es. Le plus simple c'est que tu te foutes à poil tout simplement.

— Mais je ne vais pas accueillir le livreur comme cela tout de même?

— Non bien sûr que non. C'est trop naturel et pas assez pervers je te l'accorde. As—tu un tablier dans la cuisine?

— Oui.

— Alors tu vas enlever tous tes vêtements, même ton porte—jarretelles, mais conserver tes bas. Tu mettras par—dessus le tablier.

— Mais les bas vont tomber s'ils ne sont pas maintenus.

— C'est tout l'intérêt. Mais ne t'inquiète pas ce n'est pas la seule préoccupation que tu auras.

— Pourquoi vous dites cela?

— Tu vois ce miroir, je vais le placer en face de la porte. Ainsi le livreur aura d'un coup d'œil le recto et le verso de la garce que tu es.

— Mais si je le connais, quelle image vais—je avoir dans le quartier?

— Celui d'une femme dépravée. Mais rappelle—toi que c'est le type de femme que je recherche, alors acceptes—tu ou non de poursuivre, tel est la principale question?

— Oui, ... , oui je le ferais.

Elle commença alors à se dévêtir, n'osant lever la tête de peur de croiser mon regard et mon large sourire barrant mon visage. J'exprimai la joie de voir que la femme banale, que je côtoyais au bureau et que j'avais baisé le temps d'un séminaire, pourrait peut être s'avérer être la femme que je recherchais. Certes, elle n'était pas un mannequin, mais du haut de son mètre soixante cinq, avec ses seins en forme de poire, et ses fesses rondes et légèrement marquées par la cellulite, je commençais à ressentir une excitation profonde et diffuse.

Je percevais l'envie de pincer ses tétons ou de lui claquer ses « petites » fesses afin de la pousser à réaliser mes fantasmes les plus pervers. Et je ne sais trop pourquoi, je réalisai qu'elle n'attendait que cela. Certes elle avait peur, peur de le faire mais aussi peur de goûter au plaisir de s'avilir ainsi devant moi.

Ces méditations passées, elle était désormais vêtue si l'on put dire de ses bas et s'apprêtait à aller chercher ledit tablier. Je revins à la charge.

— Attends!

— J'allais chercher le tablier.

— Avant tu vas me faire faire un tour de ta maison. J'ai envie d'un tour original je dirais même.

— Pourquoi cela?

— Tu vas mettre les mains dans le dos. Je veux que tu gigotes tes nichons à droite ou à gauche avant de m'expliquer ce qui se trouve derrière la porte. De plus, chaque endroit où tu as fait l'amour tu devras me l'indiquer en me faisant une petite gâterie. Tu as compris?

— Oui

— C'est bien, mais je n'ai pas fini. J'ai une autre volonté.

— Laquelle, Fabrice?

— Arrivés à la salle de bain, tu te raseras la chatte.

— Oh non, pardon mais

— Mais quoi?

— C'est que si je rase mon sexe les poils vont repousser et ...

— Et quoi? Si tu préfères tu peux t'épiler.

— Ce n'est pas le problème, c'est ...

— De toute façon ce n'est pas négociable sauf si ...

— Non, non ...je me raserai ... je me raserai.

— Le mieux ce sera de t'épiler définitivement au laser, mais nous verrons cela plus tard.

Je la sentis rougir comme une pivoine, signe d'une abdication humiliante mais totale.

Les mains dans le dos donc, elle s'évertua à me désigner la droite ou la gauche chaque salle. Je me faisais un malin plaisir au début à paraître excéder par le manque de clarté de ses indications. Je pris alors chacun de ses tétons et les étira d'un côté et de l'autre, pour lui souligner que lorsqu'elle désignait un côté ses seins devaient assurément et ostentatoirement se balancer dans cette direction. Elle se pinça les lèvres mais ne cria point. Bien au contraire elle poursuivit la visite bringuebalant sa poitrine de manière obscène afin de répondre à mes désirs.

Quant aux fellations elle ne m'en procura qu'à deux endroits qui étaient la chambre, bien sûr, et le salon. Je lui fis remarquer ma déception qu'une chienne comme elle ne se soit fait prendre qu'en deux endroits de sa maison. Sur ce, je rajoutais que les choses allaient bien changer sur ce point avec moi, et que la chambre ne serait qu'un endroit parmi tant d'autres.

La honte se lisait sur son visage. J'en profitais pour passer ma main dans son entrecuisse afin de vérifier si j'avais engendré uniquement la peur en elle, ou si une excitation perverse naissait en elle. Je ne fus pas dessus de percevoir la moiteur de son sexe. Elle venait de se trahir.

Il était temps désormais de passer à la déforestation de sa toison bien fournie. Nous revinmes sur nos pas pour aller dans la salle de bain. Silencieusement, je lui ordonnai de s'asseoir sur le rebord de la baignoire, puis lui tendis le rasoir. Lentement, espérant subrepticement une grâce que je refusais d'un rictus désapprobateur, elle fit mousser son pubis avant de passer le rasoir. Je commençais à trouver le temps long. Pour accélérer le rythme je lui soulignai que le livreur allait bientôt arriver. Et bien évidemment si elle n'en avait pas finit avec son minou, c'est sans tablier qu'elle allait l'accueillir.

Le rythme accéléra immédiatement. La lame du rasoir se fit précise et rapide, révélant à chaque passage un peu plus de sa peau blanchâtre. Sans faillir, elle poursuivit autour de ses lèvres, mais elle n'osa tout de même pas prolonger cette séance entre ses fesses.

Je la laissais faire mais au moment où elle allait reposer le rasoir je lui demandai de se retourner et de se pencher en s'appuyant sur le rebord de sa baignoire. J'écartais ses fesses et rasais les derniers poils de son entre—jambe. Elle passa ensuite une crème d'hydratation qu'elle utilisait à la base pour le visage afin d'atténuer le feu du rasoir sur sa peau fragile.

De retour, dans le salon et avant qu'elle mette le tablier je lui fis admirer son nouveau bas ventre imberbe. Elle eut une secousse de se voir ainsi, mais sÛûrement pensait—elle déjà à la suite et à ce que je projetais pour elle.

Nous attendimes encore quelques minutes le livreur. Je profitai de ces quelques instants pour m'asseoir et demander à ma soumise de se présenter face à moi jambes légèrement écartées. Je passai ma main sous le tablier pour titiller ses lèvres et son clitoris. Elle était véritablement allumée, ce que je ne manquai pas de lui souligner pour confortais ma pensée :

— Tu es une belle salope tu sais.

— Ne dîtes pas cela ... je vous en prie.

— Mais si tu en es une. Je te rase, t'oblige à montrer ton cul à un inconnu et madame, comment croyez—vous qu'elle réagisse? Pleure t'elle, proteste t'elle? Non elle écarte les cuisses et livre son sexe tout mouillé à mes mains.

— Arrêtez de me dire cela j'ai déjà suffisamment honte.

— Je ne savais pas que l'avilissement procurait tant de plaisir.

— Je ne sais pas pourquoi mais je prends du plaisir.

— Je vois cela, allez prépare—toi, on sonne à la porte.

Elle remonta ses bas avec le secret espoir qu'il ne tombe pas trop vite. Ce fut, malheureusement pour elle vain, car à peine bougea—t—elle que l'une des deux s'affaissa. La lisière du bas n'était désormais plus protégée par le tablier.

Le livreur, heureusement pour Delphine, lui était inconnu. Il lui remit les plateaux repas. Ce n'est qu'au moment de récupérer l'argent qu'il vit coup sur coup le bas subrepticement tombé, et le miroir lui offrant une vue splendide sur le dos et les fesses de ma soumise.

Le changement fut soudain, d'un échange froid et mercantile entre deux inconnus, le regard du livreur devint celui d'un animal prédateur venant de repérer sa proie. En face, Delphine telle une frêle gazelle dont la seule protection est de se dissimuler, comprit qu'elle venait d'être découverte par les yeux brillants de cet homme. Sûr de lui et sans se préoccuper de ma présence, il prit un malin plaisir à prendre son temps pour rendre la monnaie et ainsi poursuivre son observation libertine.

A cet instant, il aurait pu exiger un extra de la part de Delphine, qu'elle le lui aurait procuré tellement je la sentais faible et démunie face à cet homme. Il n'en fit rien et repartit heureux de cette scène inattendue.

Tremblante elle revint vers moi et s'assit dans le canapé. Après deux trois minutes pour que son visage livide reprit des couleurs, je touchais à nouveau son abricot lisse puis insérais mes doigts dans son vagin. Elle était dans tous ses états.

— Hormis le choc tu as véritablement pris du plaisir, dis—moi!

— Euh, oui mais cela fait bizarre. J'étais embarrassée et attisée.

— Pour ne pas dire au bord de la jouissance. Bon je crois que tu aimes cela, n'est ce pas?

— Pourquoi pas,

— Tu sais quoi, je vais te prendre des photos pour t'exhiber sur le net.

— Non s'il te plaît, ... si on me reconnaît?

— Si on te reconnaît cela veut dire que les personnes sont suffisamment perverses pour aller sur certains sites dédiés à cela, et puis on commencera par cacher ton visage. Je suis sûr que tu viendras à demander d'exposer ton visage de bourgeoise soumise tôt ou tard.

J'allais chercher dans la cuisine une carotte de bonne taille. J'exigeai alors à Delphine de se masturber avec celle—ci puis de la sucer avidement. Toujours vêtue de son tablier et de ses bas, elle se mit à jouer avec la caméra afin de

réaliser des photos de plus en plus obscènes. Elle était déchaînée, bien loin de la personne coincée que je côtoyais au travail.

Je remplaçai la carotte par mon sexe raidi par tout ce spectacle. Delphine à quatre pattes, je la pénétrai fermement. Sans ménagement je coulissai dans son sexe tout en lui administrant des claques sur ses fesses rebondies. L'excitation que ses halètements se transformèrent en gémissements prémisses d'une jouissance intense quelques secondes plus tard.

J'approchai alors mon sexe aux abords de sa bouche. Elle ne se fit pas prier et avala goulûment mon sexe. Mais sentant que j'allais exploser, elle l'en sortit pour que j'éjacule sur ses seins. Après un bref moment de récupération, je lui fis remarquer que la prochaine fois c'était dans sa bouche que je voulais prendre mon plaisir. Elle acquiesça, tel un enfant qui sait ce qu'il doit désormais faire pour ne pas se faire gronder.

Nous poursuivimes notre soirée par un repas bien mérité et par la vision des photos prises juste auparavant. Delphine était émoustillée et gênée de s'être offerte ainsi à l'objectif de l'appareil. Je crois qu'il y avait une appréhension de

voir figurer ces photos sur Internet, mais aussi des commentaires que nous allions sûrement recevoir.

merci par avance pour vos commentaires cest ce qui donne le piment d"ecrire A bientôt.

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6 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a plus de 2 ans

Hélène, Delphine... Un problème de dédoublement de personnalité? LOL

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Je suis vos histoires depuis des années, la première série, qui suis-je vraiment ?, était un véritable régal, celle ci prend le même chemin, vivement la suite de la nouvelle vie de Delphine...

Merci à vous.

Laurent

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Pourquoi a la moitié du texte ça parle de Delphine et plus d'Hélène ?

chdecrivainchdecrivainil y a plus de 2 ans

Superbe histoire dans la lignée de la série précédente. Exhibitions et humiliations contraintes, j'adore. Continuez surtout !

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