M.A.K. My Life.... Ou Presque 05

Informations sur Récit
Chroniques d'une vie de soumis.
5.4k mots
4.54
6.7k
0

Partie 6 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/04/2021
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FATALISME V

J'ouvre les yeux. Pendant un bref instant je ne sais pas où je suis. La veilleuse du chevet est allumée. Il y a des Mickey sur l'abat-jour. Margot est assise sur le lit à côté de moi. Elle me tient la main. Je me sens calme. J'arrive à respirer. Ma femme à des perles brillantes aux yeux quand elle réalise que je suis éveillé. Je bredouille:

- Qu'est ce qui s'est passé?

- C'est rien mon Chéri. Tu as eu un malaise. Ça va aller maintenant.

J'ai la gorge comme du papier. Du mal à avaler ma salive.

- J'ai soif.

Elle se lève immédiatement et sort en courant de la chambre.

Quand elle revient, Mathieu et avec elle. J'ai un mouvement de recul. Peur viscérale.

- Calme-toi André... Calme-toi... C'est rien. Ca va aller.

Je me calme. Il me prend le pouls. Semble satisfait. Mathieu m'aide à m'asseoir sur le lit. Dos contre le mur. Il tient le verre. J'avale avidement quelques gorgées.

- Bois doucement. Juste un peu. Tu risques de vomir. C'est normal au bout de 72 heures.

- 72 Heures?????

- Oui Chéri. Trios jours que tu dors. J'ai failli devenir folle.

Mathieu me prend le verre des mains.

- Stop! Margot prépare lui du lait chaud et fait fondre dedans des biscuits des enfants.

Elle lui obéit en se précipitant.

- J'ai envie d'aller aux toilettes.

- Je vais t'aider.

Lui aussi s'est transformé en toubib. En nounou même. Il reste près de moi et me raccompagne au lit. Je n'arrive pas à tenir debout. Margot est là avec un bol d'une mixture chaude qu'elle entreprend de me faire avaler à la une petite cuillère.

Elle me nourrit devant Mathieu. Je mange à peine.

- Force-toi Didou.

- Non Margot laisse le.

Il prépare une piqûre. Je réalise que je suis nu.

- Kemb a été obligé de te droguer à fond pour calmer la crise. C'est pour ça que tu as dormi trois jours. Je vais juste te faire un décontractant. Rien d'autre. Tu te sentiras bien après. C'est rien André, tu as eu un gros coup de fatigue et avec cette chaleur.

Je ne sens même pas la piqûre.

- Voilà repose-toi un peu.

Il part. Margot reste près de moi ; me regarde tendrement.

- Ils se sont relayés sans relâche. Ils ne voulaient pas te laisser seul. Tu m'as fait une de ses peurs Didou. Kemb dit que tu fais une dépression. Repose-toi mon Ange.

Elle se lève.

- Margot! Ne me laisse pas seul. Ne me laisse pas. Pars pas.

Elle revient m'embrasser sur le front

- Non chéri, je ne te laisse pas. Jamais de la vie. Je ne te laisserais jamais. Tu m'entends? Jamais! Nous deux c'est à la vie.

Elle se couche à côté de moi dans le petit lit de notre ainé.

Je me sens bien. Reposé. Je plane sans voir le temps passer.

oooOOOooo

Kemb me tire de ma rêverie:

- Alors réveillé!... C'est bien...

Margot n'est plus là. Kemb sort son matériel et m'ausculte sous toutes les coutures. Il a des petites griffures sur le front, les joues, les mains. Je le laisse faire. J'ai du mal à tenir debout.

- T'as mangé?

- J'ai pas faim.

Je regarde toutes ses écorchures.

- Excuse-moi.

Les mots ont du mal à sortir.

- Pour?

Je lui montre les cicatrices d'un mouvement de tête.

- Ah!. C'est rien j'en ai vu d'autre. Il faut que tu manges. Habille-toi. Tu peux marcher?

Il m'aide un peu pour le slip, le pantalon, et descendre l'escalier. Margot m'accueille avec des petits cris de joie. Mathieu est là aussi. La table est mise. On mange. J'ai faim, très faim. Ça va mieux. Je me sens euphorique.

Au milieu du repas Kemb me donne deux comprimés.

- Cela va t'aider à retrouver la forme. Tu en prendras six par jour matin midi et soir. Il me tend des plaquettes sans emballage juste un code dessus

- C'est quoi???

- Un traitement. Pendant trois mois minimum.

Je ne mets pas en doute ses compétences. J'avale les comprimés.

- Maintenant va te coucher. Tu en as encore besoin. Le sommeil est le meilleur des remèdes et laisse ta porte ouverte.

Margot m'accompagne. M'aide à me dévêtir et me borde tendrement.

- Je ne suis pas loin. Repose-toi mon cœur.

Elle m'embrasse le front:

- Dors bien chéri... Tu m'as fait tellement peur Didou.

oooOOOooo

Je somnole. Kemb est à côté de moi:

- Ça va?

Il me tend deux cachets:

- Prends ça. Avec ce que tu as déjà dormi, tu risques d'avoir du mal à passer une bonne nuit.

J'avale sans rechigner.

Je suis dans le noir. Le sommeil ne vient pas.....

Je les entends dans notre chambre à coucher. Le mur est mitoyen.

- Tu vois ma Gazelle, il va mieux.

- Cet idiot m'a fait une de ces peurs.

- Ne t'inquiète pas Margot. On est là.

- Merci les garçons. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans vous?

- Comme tout le monde. T'aurais appelé le SAMU

- Et il l'aurait amené chez nous.

- En tout cas merci. Je ne pourrais pas vivre sans lui. C'est impossible.

- Ça on le sait, hein Kemb?

- Ouais, malheureusement.

- J'ai eu tellement peur. Merci beaucoup.

- C'est tout?

- ......

- Tu pourrais peut être nous remercier autrement ma Gazelle.

- Tu crois que c'est le moment Kemb.

- Il va bien je te dis. Allez lève ta jupe.

- Kemb tu sais je n'ai pas trop la tête à ce genre de chose pour le moment. Demain si tu veux.

- Fous-toi à poil Margot! Et en vitesse! Je n'ai pas dit demain quand il a fallu s'occuper de ton mec.

....

- Oui enlève ton sous-tif et ta jupe maintenant. Pourquoi t'as mis une culotte? Tu sais bien que j'aime pas quand je suis avec toi. C'est pas grave. On va faire avec.

-.....

- Garde ton slip et rentre-le dans tes fesses.

Les voix sont de plus en plus rauques et tendues; je comprends clairement les paroles.

- Cambre-toi... Mieux... Montre-nous ton cul. Fais ta salope ma Gazelle. Et maintenant baisse ton slip et marche devant nous.

- Y a pas à dire, elle a un beau cul ta Margot!

- Ouvre tes jambes et penche toi bien ma Gazelle. On veut voir tes deux trous. C'est bien... Écarte tes fesses lentement. Mieux que ça.

- Putain qu'elle vue!

- Oui. Tu as raison Mathieu. Elle est sublime.

Je commence a m'assoupir. Du mal à garder les yeux ouverts dans le noir.

- Caresse-toi devant nous. Aller fais le. Ce soir je te veux complètement impudique. Rien que pour nous. Pour nous remercier tu vas faire la pute. Enfonce bien tes doigts dans ta moule. Oui. Caresse-toi bien le clito. Ce soir ma douce tu vas être très gentille avec Mathieu. Mon pote le mérite non?

- Oui Kemb...

- Mets-toi à genoux devant le lit. Écarte bien tes jambes. Mieux. Je te veux offerte. Moule à l'air. Comme ça c'est bien. T'es superbe. Couche ton torse sur le lit. Ne bouge plus. Ouvre tes fesses avec tes deux mains. Vas-y Margot. Je veux que tu demandes à Mathieu de t'enculer. Je veux que tu lui offres ton cul. De toi même. C'est sa récompense.

- Non Kemb... Pas ce soir.

- Tais-toi Margot! Il mérite un truc exceptionnel. Alors?

- .....

- J'ai rien entendu mon amour.

- Encule-moi Mathieu... Encule-moi.

- Demande lui encore

- Encule-moi s'il te plaît Mathieu... Encule-moi.

- Vas-y Mathieu. Son garage est à toi ce soir.

J'entends Margot couiner de douleur... Puis d'autres petits cris.

-Aie. Aie.

- Doucement Mathieu. Doucement. Prends ton temps et savoure le cul de ma maitresse.

- Elle est serrée. C'est bon.

- Mathieu prends du gel s'il te plaît, tu me fais mal.

- Non ma Gazelle. Laisse toi faire ; Juste de la salive. Vas-y Mathieu ne te prive pas.

Je sais que t'aimes y aller en force. Ce soir le cul de Margot t'appartient.

Mélange de cris, de gémissements. Les bruits du lit qui cogne contre le mur. Cris de douleur de plus en plus forts. Voix haletante, crispée

- Kemb il me fait mal. Doucement. Ohhh! Doucement.

- Je suis désolé ma Gazelle. Mathieu il adore comme ça. Tu peux crier ma gazelle, ton cocu dort profondément. Dommage d'ailleurs, je lui aurais bien fait prendre mon biberon en vous regardant. Ne gicle pas tout de suite Mathieu. Laisse-moi ta place on va se la faire en relais elle va adorer se faire casser le cul. Son mari nous casse assez les couilles pour qu'on se prive pas de casser l'oignon de sa femme mon pote.

Malgré les cris de ma femme en train de se faire enculer, je sombre dans un sommeil de plomb.

oooOOOooo

Derniers jours de Juillet.

Les calmants me font du bien. Je suis un peu dans les vap; mais plus d'angoisse ni de stress. Par contre je n'ai aucune volonté ni force. Je traîne dans la maison comme un zombi. Goût à rien. Pas de force pour révolter.

Ils sont de repos les deux. Il fait très chaud. C'est l'après-midi. Margot a décidé d'aller à la piscine pour se rafraîchir. Kemb et Mathieu regardent Eurosport. Moi je repasse. Ils m'appellent.

- Alors ça va mieux?

- Oui ça va bien... Mieux... Merci

- Tu sais tu as des problèmes.

- Le chômage.

- Non pas uniquement ce problème.

- Je sais.

- Tu as des problèmes d'identité. Je vais te faire ta visite et après on parlera les trois. Mathieu et moi nous sommes tenus au secret professionnel. Tout ce qui se dira entre nous restera secret. Même pour ta femme. Déshabille-toi entièrement. Tu gardes juste ton slip.

Les médicaments que je prends annihilent ma perception des choses et réduisent ma volonté. Je le sais pour avoir entendu en cachette Kemb l'expliquer à ma femme. Ils agissent aussi sur ma libido. Je ne bande plus.

Je me mets en slip debout entre les deux. Ils commencent à m'ausculter minutieusement.

- Tu ne sais plus où t'en es avec ta femme. Ni avec nous. Ouvre la bouche et tire la langue. Tu te sens prisonnier de ton éducation. Tousse. Encore... C'est parfait.. Ne bouge pas on n'a pas fini. Je ne veux pas prendre de risque... Tourne-toi... Respire profondément... Encore une fois... C'est bien assieds-toi.

J'obéis. Ils sont faces à moi et n'ont plus leur éternel regard narquois, humiliant ou autre. Loin de là. Ils sont avenants attentifs, compatissants. C'est Kemb qui parle:

- T'es en train de faire une dépression. Assez grave. Mais cela se soigne bien. Déjà avec les comprimés que tu prends. Mais la meilleure voie de guérison, c'est toi. Tu sais, aux urgences on voit de tout. Et souvent des gens qui ont perdu leurs repères ou leur identité. C'est ton cas. T'es en train de subir, une série de stress. Tu ne sais plus comment les gérer et à la longue tu ne peux pas résister. Tu ne sais plus où tu en es.... Ta femme te trompe. Son amant vit chez vous avec ton consentement. Son pote vient souvent et ils se partagent ton épouse. T'es au chômage. Tu as le sentiment, de ne servir à rien etc... etc... Mais tu te trompes.

Il se tait un instant. Je réalise que je suis toujours uniquement vêtu de mon slip. Il vient de finir de me prendre ma tension.

- Trop basse encore. Les médications que tu prends ont pour but de dissiper tes angoisses, de te décontracter. Ils doivent t'aider à appréhender la réalité et surtout à l'accepter. Nous t'aiderons. Nous te fournirons les soins nécessaires. Nous comprenons que cette réalité est difficile pour toi. Elle te semble insurmontable. Mais tu verras tu iras mieux. Tout dépend de toi.

J'ai envie de lui dire que je suis d'accord avec lui mais que mon problème c'est eux justement.

- Tu es en train de te dire que tout est la faute de ta femme. De nous. Que si on foutait le camp, tout rentrera dans l'ordre. Mais en es-tu sur?... Es-tu sûr que c'est ce que Margot veut? Qu'elle sera contente de ne plus nous voir. Tu crois qu'elle voudra de toi si on part?

Je le regarde complètement désemparé. Il a raison. Que veut Margot? Il reprend d'une voix douce.

- As-tu le choix? Margot t'aime tu le sais ça. Trop à mon goût. Mais moi non plus je n'ai pas le choix. Je dois faire avec... Mathieu et moi allons tout faire pour te sortir de là. Pour faire plaisir à Margot. Et parce qu'on est toubib. C'est notre job de réparer les dégâts de la vie. Mais toi que veux-tu? Réponds... Essaye de formuler ce que tu ressens... Essaye de nous parler...

Impossible d'articuler. D'avoir une pensée cohérente. J'ai des larmes silencieuses.

- Ne te formalise pas. Cela va sortir. Un jour tout ressortira. Nous sommes là pour t'aider. Parce que Margot nous a suppliés de le faire. Et ne t'inquiètes pas trop des larmes qui coulent sans savoir pourquoi. C'est une des symptômes de ton état.

Grand silence. On s'est tout dit. Ils se lèvent. Moi aussi...

Curieusement la discussion ou plutôt le monologue de Kemb m'a fait du bien.

Nous regardons la télé. Je me lève pour aller chercher à boire. Je reste en slip. A mon retour je les trouve debout les deux. Mathieu qui me toise curieusement. Fini le regard du toubib :

- T'es pas mal foutu pour ton âge. Bon ce que t'as entre les jambes ne te sert pas trop. Mais t'as su faire des mômes. Et il paraît que tu suces comme un pro. Ou une pro.

A nouveau les angoisses et la gorge serrée. Je baisse la tête honteux.

- C'est aussi un de tes problèmes d'identité Pt'i mâle. Tu ne sais pas si tu es un mari, un cocu ou plus.

Kemb a posé ses mains sur mes fesses. Je sens la chaleur à travers le tissu du slip.

- D'après toi t'es un Pt'i mâle ou une Pt'ite femelle?...

Je perds toute capacité de révolte. Il me semble qu'il ne sert à rien de refuser. Aucune envie de révolte ou de refus. J'ai juste envi que Margot soit là.

- Tu vois les cachets te font du bien. Et en plus comme t'as rien dans la culotte. Tu ne sens pas ton manque de libido.

Kemb me claque doucement les fesses. Mathieu enchaîne

- J'ai enculé ta femme. A donf. Elle est serrée. C'était sa façon à elle de me remercier. C'est elle qui m'a demandé de l'enfiler. Je lui ai ramoné le cul à sec. Au début elle a eu un peu mal. Mais après elle en redemandait.

Kemb a baissé mon slip sous mes fesses. Les claques sont plus viriles me faisant sursauter. Une de ses mains se pose sur ma nuque.

- Mathieu a raison. Ta femme lui a offert son cul à ma demande. Peut-être que tu pourrais le remercier toi aussi. A ta façon.

La main pousse ma tête. Les coups claquent sur mes fesses. Je me penche devant Mathieu. La main de Kemb me serre la nuque.

- Bien sûr, Margot a eu un peu de mal à marcher, mais elle a aimé. Ta femme est faite pour le sexe. Je ne comprends pas pourquoi elle veut rester avec toi. Ça me fait chier.

J'ai le visage à dix centimètres du short de Mathieu. Je vois la bosse. Kemb se met à ma droite, une main serre ma nuque et l'autre claque mes fesses nues en cadence.

- Demande à mon pote l'autorisation de le sucer. Demande-lui. Tu te sentiras mieux après. Crois-moi. Il faut que les mots sortent de ta bouche de cocu.

Je ne dis rien. Les coups sur mes fesses me chauffent de plus en plus. Kemb reprend en serrant plus fort ma nuque:

- Vas-y dis à mon pote que tu es une suceuse de bittes.

- Je ... Je suis une....

Un claque plus violente.

- Je suis une suceuse de bittes.

- Répète.

Une autre claque encore plus forte

- Je suis une suceuse de bitte.

- Et la suite.

Une série de claque. J'ai le slip autour des chevilles. J'ai à peine mal aux fesses. Je m'en fous.

- Je veux sucer Mathieu.

- Pas comme ça.

Mathieu baisse son short. Il ne porte pas de slip. Son sexe me saute au visage.

- Mathieu, j'ai envie de te sucer.

Il me bloque la tête entre ses mains

- Répète.

Il relève ma tête pour voir mon visage

- Allez le cocu, répète.

- J'ai envie de te sucer la bitte.

- C'est bien. Tu vois quand tu veux. Tu commences à comprendre ce que tu es vraiment. Ouvre la bouche le cocu.

- Obéis à Mathieu. Tu sais que tu es un mari qui a perdu sa femme et qui accepte de servir son amant pour rester avec elle. Que tu es incapable de te défendre pour garder ton bien. Tu es devenu un cocu au service de l'amant. Admets-le et suce bien mon pote.

Mathieu me pilonne la bouche. Varie les rythmes. Pousse son gland au max . Kemb continue de jouer avec mes fesses.

- Eh bien tu vois Pt'i mâle. Tu vois que tu aimes la bitte. On a déjà régler un de tes problèmes d'identité. C'est un bon début.

Ils rigolent. Fini les médecins. Voilà les jeunes loups.

Je suis à genoux. Les deux bittes sont devant moi. Je suce sans rien dire. Une après l'autre en alternant et de plus en plus vite.

- C'est vrai qu'il suce bien.

- J'te l'ai dit mec. On a à notre disposition un bon cocu suceur. Applique-toi bien... Vas tout au fond. C'est bien.

Ils m'obligent à lécher sur toute la longueur. Mon nez s'enfouit dans leurs poils. Ils sentent la sueur. Dès que je donne un signe d'essoufflement, ils me bloquent le visage et me pilonnent jusqu'au fond de ma gorge. Les deux sexes se relaient. J'en branle un et je suce l'autre; j'ai mal aux mâchoires. Les cadences s'accélèrent. Mathieu bloque ma tête. Son gland bouge dans ma bouche. Un liquide crémeux fuse. Je veux reculer

- Bouge pas le cocu, ce n'est pas fini. Tu dois boire la semence de tes cocufieurs.

Ma bouche est inondée. J'ai du mal à tout avaler. Mathieu me lâche brusquement. Mais Kemb investit mon palais.

- A mon tour de te faire boire tes vitamines. T'en as bien besoin.

A nouveau des giclées épaisses tout au fond de ma gorge qui me font tousser et coulent sur mon torse. Je bois de plus en plus vite pour ne pas m'étouffer.

Ils me lâchent. Kemb triomphant :

- C'est bien. Tu vois quand tu veux. - On dirait que t'aimes ça la pipe. Tu sais déjà que t'es un bon suceur. Ce n'est déjà pas si mal. On a bien avancé.

Rires et une dernière claque sur mes fesses.

- Vas préparer le repas. T'inquiètes pas on dira rien à Margot. Secret médical...

Ils éclatent de rire pendant que je remonte mon slip et me sauve à la cuisine.

Bien sûr ils ont tout raconté à ma femme. Elle semblait contente. Nous avons fait une partie à quatre, moi dans le rôle de suceur de queues et du lécheur de chatte. J'étais comme une marionnette sous l'effet des drogues que je prenais docilement.

A la fin de la semaine, c'était devenu un rite. Je les suçais et nettoyais la chatte inondée de ma femme.

oooOOooo

AOUT 2003

La canicule est là. Je vais mieux. En fait je ne sais pas comment je vais. Je ne vois la vie ni en rose, ni en gris, ni en noir. Je ne la vois tout simplement pas passer. Pour Kemb cet état est normal à cause des cachets. Je dors beaucoup, je ne participe à aucune discussion, je fais ce que l'on me demande et je ne bande plus.

Quand Margot s'inquiète, ils lui répondent que tout va bientôt rentrer dans l'ordre.

Eux ont beaucoup de travail. Beaucoup plus que les mois d'Août précédents. C'est donc plus simple pour Mathieu de venir coucher à la maison. Ils rentrent sales et exténués. Mathieu et moi dormons dans les chambres des enfants. Kemb dort avec Margot dans notre chambre à coucher. La nuit la chaleur est infernale.

Des fois ils baisent à deux ou trois. Sans moi. Quelques fois je dois les rejoindre pour les sucer avant qu'ils ne prennent Margot ou pour maintenir l'excitation de l'un pendant que l'autre joui avec ma femme. Mais Kemb un soir m'a tendue sa queue luisante de leurs sécrétions intimes mêlées.

J'ai eu un bref mouvement de répulsion. Mathieu et Kemb ont insisté. Je ne voulais pas. Mathieu m'a saisi par les cheveux pour tirer mon visage vers le sexe de Kemb. Margot est intervenue:

- Doucement les garçons; il va le faire. Vas-y mon chéri tu connais mon intimité non... Allez fais le pour moi.

Les comprimés calment toute révolte sérieuse de ma part. Alors je l'ai fait. Ce n'était pas mauvais. L'odeur de ma femme m'a chaviré et excité.

- Nettoie bien Pt'i mâle.

- Tu sais que ton mari va bientôt sucer mieux que toi Margot.

Elle a rigolé gentiment en me caressant les cheveux. Je m'en foutais complètement de ces moqueries perpétuelles.

oooOOOooo

Une nuit, ils ont déboulé dans ma chambre en rigolant et m'ont réveillé brusquement. Ils étaient nus et leurs bittes bien dures se balançaient devant mon visage bouffi de sommeil.

- Eh le cocu. Viens la nettoyer.

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