Ludmila et le Slenderman

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Une rencontre terrifiante avec un être mystérieux...
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L'air frais du soir faisait du bien à Ludmila. La jolie brune à la chevelure épaisse marchait sereinement sur le petit chemin de terre battu qui passait entre deux champs de maïs. Comme prévu, venir passer deux semaines chez ses grands-parents l'avait revigoré. Bon d'accord, quand papi et mamie se couchent à 22h, on se sent un peu seule pour s'occuper, mais en cette soirée d'été, il faisait bon dehors. La température, redescendue à un niveau acceptable par rapport à celle du jour, l'aidait à se sentir bien.

Ses grands-parents vivaient à la campagne, dans une maison isolée, à près de dix kilomètres du village le plus proche. Quant aux rares voisins restant étaient des petits vieux adorables qui recevaient parfois la visite de leurs petits enfants mais pas un n'habitaient à moins de deux kilomètres de chez elle et ses grands-parents.

Depuis son adolescence, Ludmila avait pris l'habitude de se promener dans les champs le soir avec sa grand-mère, ou son grand-père. Malheureusement, tous deux n'étaient plus tout jeunes et elle devait maintenant souvent marcher seule. Mais du haut de ses 18 ans, elle n'avait pas peur, le coin était très calme, parfois trop à son goût.

Ce soir-là, elle n'était partie qu'avec ses sandales d'été et une petite robe blanche légère au-dessus de sa petite culotte en dentelle blanche également. La robe d'été laissait deviner sans peine les courbes voluptueuses de la jeune fille, marquant parfaitement sa taille et ses hanches, et glissant sur ses fesses rebondies. Son décolleté s'ouvrait largement sur sa poitrine opulente, Ludmila n'avait pas mis de soutien-gorge, il faisait trop chaud pour qu'elle le supporte, et ses seins généreux rebondissaient doucement à chacun de ses pas, les tétons pointant légèrement sous le fin tissu. Mais après tout elle ne croisait jamais personne. D'ailleurs Ludmila n'avait même pas pris son téléphone pour être tranquille, ni de lampe pour s'éclairer, la pleine lune suffisant largement à éclairer son chemin.

Quelque chose fit néanmoins sortir la jeune fille dans son cocon de sérénité. D'un seul coup, tous les grillons et autres petites bêtes de la nuit s'étaient arrêtés de chanter et un grand silence s'était abattu sur la campagne. Ça n'arrivait jamais, et Ludmila se sentit soudain mal à l'aise. Elle cherche du regard une raison qui aurait pu expliquer ce silence soudain, puis elle aperçut quelque chose, une lueur qui brillait doucement au milieu d'un grand champ de maïs situé à la lisière de la forêt. Elle hésita un instant à aller voir mais la curiosité la titillait. Et puis, pour une fois qu'il se passait un truc inhabituel dans ce coin perdu.

Malgré une certaine appréhension, la jeune fille quitta le chemin de terre pour se diriger vers cette source de la lumière. Son cœur battait de plus en plus fort dans sa poitrine tandis qu'elle se frayait un chemin au travers des épis de maïs. Elle faisait beaucoup de bruit et avait du mal à avancer avec ses petites sandalettes d'été. La curiosité grandissante de Ludmila la poussait à avancer mais elle se sentait aussi un peu apeurée, car le boucan de son avancée dans le champ restait le seul bruit que l'on pouvait entendre, et elle avait l'impression que ça résonnait à des lieux à la ronde.

Elle finit quand même par atteindre le centre du champ et le dépassa même. Ludmila comprit alors que la source de lumière ne venait pas du centre du champ mais de son autre extrémité, et qu'elle semblait provenir de deux faisceaux. Redoublant d'efforts, la jeune fille finit de traverser et découvrit que la lumière provenait des phares d'une voiture.

C'était un modèle un peu vieillot, le genre de voiture que les jeunes venant d'avoir le permis achetaient d'occasion pour étrenner leur papier rose. Le moteur était éteint mais les phares été restés allumés et une des portières était ouverte. Le véhicule semblait avoir suivi un sentier de terre qui cheminait entre le champ et la forêt avant de faire un écart et d'être allé se bloquer dans un fossé.

La scène saisit la jeune femme, on l'aurait cru sortie d'un film d'épouvante. Un peu effrayée, Ludmila observa les alentours mais ne vit personne.

« Hey! Y a quelqu'un? » S'hasarda-t-elle à crier.

Personne ne répondit. En fait, il n'y avait toujours strictement aucun bruit et elle commençait à frissonner. Ludmila réalisa soudain qu'il semblait faire plus froid qu'avant. Ramenant ses bras vers sa poitrine, la jeune femme essayait de maîtriser la sensation de panique qui tentait de se frayer un chemin en elle. Ludmila se mit à se dire que partir en courant prévenir la police serait une bonne idée quand un appel à l'aide retentit dans les bois. Sursautant, la jeune femme se ressaisit et cria en réponse :

« Hey! Vous m'entendez? Où êtes-vous? »

Le cri retentit à nouveaux à travers le sous-bois et Ludmila comprit que quelqu'un, une femme à en juger par la voix, était en danger.

Oubliant sa peur, Ludmila s'enfonça dans les bois en criant :

« Hey! Où êtes-vous? J'arrive! »

Les cris de la femme continuaient de résonner mais, bizarrement, ils semblaient de plus en plus lointains alors Ludmila s'enfonçait dans la forêt. La jeune fille se mit à courir sans réfléchir et en continuant de crier. Elle courut et avança un peu au hasard pendant de longues minutes jusqu'à ce qu'elle s'entrave les pieds dans une racine et s'étale de tout son long en avant. En voulant se redresser, elle sentit de quelque chose s'accrocher à sa robe. La jeune jura à voix basse en se rendant compte qu'elle avait accroché un plan de ronces, et elle tenta de se dégager en douceur. Ludmila poussa un juron nettement plus sonore lorsqu'elle entendit le tissu qui craquait et se déchirait. Les épines avaient déchiré sa robe sur tout un côté, la fendant du bas du volant jusqu'à son flanc gauche et arrachant la bretelle droite, découvrant le haut de son sein presque jusqu'au mamelon.

L'espace d'un instant, l'esprit de Ludmila fut préoccupé par le fait d'avoir abimé l'une de ses robes d'été préférées. Mais aussitôt, elle voulut repartir à la recherche de la femme qui appelait à l'aide.

« Hey! Où êtes-vous? » Demanda-t-elle une nouvelle fois.

Personne ne répondait plus. Il n'y avait plus un bruit dans les bois et, à vrai dire, elle n'était plus sure de quand elle avait entendu les appels à l'aide pour la dernière fois. Ludmila regarda tout autour d'elle et réalisa à quel point elle s'était enfoncée dans la forêt. En fait, elle avait déjà parcouru ce bois avec son grand-père, mais dans la nuit, elle n'avait aucune idée de l'endroit où elle se trouvait. Elle regretta de ne pas avoir fait le choix plus raisonnable de partir prévenir la police. La jeune fille frissonna et sentit l'inquiétude la saisir.

La lune pleine l'aidait à y voir clair quand elle marchait dans les champs, mais ici sa lueur peinait à percer le feuillage des arbres et tout n'était que formes sombres et confuses. Elle n'avait plus eu peur des fantômes et des monstres depuis son enfance, mais là, seule et perdue, dans une forêt sombre?

Soudain, il y a eu un craquement, le bruit d'une brindille qu'on écrasait et qui résonna comme un coup de tonnerre dans le silence qui pesait jusqu'à maintenant. Ludmila sursauta en poussant un petit cri et se retourna vivement. La jeune fille aperçut une grande silhouette qui se tenait immobile, à quelques mètres derrière elle.

La créature était arrivée là sans émettre le moindre bruit malgré sa taille elle n'en émettait pas davantage maintenant que la jeune fille la dévisageait. Alors qu'elle découvrait ce qui lui faisait face, les jambes de Ludmila se mirent à trembler et un cri s'étrangla dans sa gorge. L'être qui se tenait devant elle devait approcher les trois mètres de haut, vêtu d'un costume noir, d'une chemise blanche et d'une cravate rouge. Mais surtout, ce qui glaçait le sang de la jeune fille, c'était son visage, pâle et émaciée mais absolument lisse, sans yeux, ni nez, ni bouche. Et qui tendait un bras démesurément long dans sa direction.

Elle balbutia en reculant maladroitement. En moins de quelques secondes, sa tête s'était soudain mise à tourner et sa vision était devenue floue. Parvenant à se retourner, elle partit en courant à travers le sous-bois. Ludmila courait aussi vite qu'elle pouvait, à perdre haleine. Elle traversa plusieurs buissons, sentant ses vêtements qui s'accrochaient aux ronces et qui se déchiraient.

La jeune fille ne s'arrêta qu'après plusieurs minutes de courses, n'ayant pas entendu la créature la suivre. Ses poumons et ses mollets la brulaient, et elle n'aurait pas pu courir plus longtemps malgré sa peur. Elle se retourna et scruta l'obscurité du bois sans apercevoir la chose qui l'avait effrayé.

Elle voyait à nouveau clair et n'avait plus de vertiges. Ses vêtements avaient encore plus souffert de sa course à travers les broussailles. Elle se rendit compte qu'elle avait perdu ses sandales d'été et que ses pieds étaient en sang. Quant à sa robe, les branches qu'elle avait frappées dans sa fuite avaient fini de mettre le tissu en lambeau, et elle ne couvrait plus qu'à peine son corps et un de ses seins était même entièrement à l'air libre, son mamelon dressé par l'air frais et la peur. Sa chair était zébrée de coupures superficielles faites par ces mêmes branches.

La jeune femme eut le réflexe de tenter de cacher son sein avec ce qu'il restait de sa robe mais rien à faire, il était trop gros et débordait toujours largement de ce qu'il restait du vêtement. La tension et la crainte que ressentaient Ludmila ne diminuaient pas, elle se disait que la créature ne devait pas être bien loin et que le plus tôt elle sortirait de cette forêt, le mieux ça vaudrait.

Ludmila se retourna pour se diriger vers ce qui semblait être la direction de l'orée du bois. En relevant la tête, elle hurla de toutes ses forces, son cri vite étouffer par la végétation. La créature était là, à moins de trois mètres d'elle. Comme lorsqu'elle l'avait vu la première fois, celle-ci ne bougeait pas, se contentant de la fixer avec son étrange visage plat.

Aussitôt, les vertiges et le bruit d'électricité statique firent leur retour. Morte de peur, Ludmila voulut s'enfuir à nouveau mais elle ne fit que quelques pas avant de se prendre les pieds dans une grosse racine et de s'effondrer à nouveau au sol. Rampant comme elle pouvait pour s'éloigner à tout prix de la créature, la jeune femme se mit à pleurer. N'entendant toujours pas de bruits de poursuite, elle tourna la tête pour vérifier où ce que faisait son poursuivant. Il était à à peine deux mètres d'elle.

La jeune fille poussa un hurlement strident à s'en arracher la gorge en l'apercevant. Elle ne l'avait pas entendu bouger. Sa vision se brouilla à nouveau et il lui sembla entendre un grésillement qui augmentait rapidement. Se détournant, elle parvint malgré tout à se redresser pour partir en courant.

A peine avait-elle arrêté de regarder la créature que sa vision était redevenue claire et que le grésillement avait cessé. Mais un bruit sourd résonnait dans ses oreilles, comme un battement de cœur. Elle fit une dizaine de mètres, s'entrava de nouveau sur une souche, et dévala une petite pente, passant au travers d'un buisson. Sa robe déjà à l'agonie ne résista pas et elle entendit le tissu finir de se déchirer. Ludmila se réceptionna sur le dos, lourdement. Sa robe s'ouvrait maintenant largement, ne tenait plus à sa taille que grâce à la ceinture qui l'y maintenait. Ne perdant pas de temps, elle se releva et se retourna pour vérifier où était la créature. Il était là, immobile, deux mètres derrière elle, comme s'il avait toujours été là. La panique finit de la submerger comme une décharge et elle recula maladroitement, l'esprit comme glacé.

Soudain Ludmila sentit une branche faucher ses jambes et elle trébucha. Tentant de se rattraper comme elle pouvait, elle sentit une douleur fulgurante dans sa cheville droite et elle laissa échapper un cri de douleur. La jeune fille tomba sur le côté et se retrouva le dos contre un tronc d'arbre. Relevant les yeux vers son poursuivant, Ludmila sentit sa vision se brouiller de nouveau et un grésillement se fit à nouveau entendre, plus fort que le précédent, comme le bruit statique d'une radio mal réglée. Terminant de relever la tête, le visage inondé de larmes, la jeune fille vit qu'il était juste au-dessus d'elle, penchant légèrement son « visage » comme pour la dévisager avec des yeux absents. La forêt derrière lui semblait onduler et se brouiller tandis que Ludmila se sentait devenir nauséeuse. La jeune fille se dit qu'elle allait mourir ici...

La créature ne bougeait toujours pas, mais Ludmila put voir, horrifiée, des sortes de bras noueux aux multiples articulations jaillir du dos de la créature. La jeune fille voulut supplier mais ses s'étranglèrent dans sa gorge. Les vertiges l'empêchaient de réagir, le bruit et la distorsion de sa vision limitaient son univers au monstre qui lui faisait face. Les membres supplémentaires de la créature la saisirent par la taille, par les bras, par les jambes et par les cuisses, puis elle se sentit soulevée comme si elle ne pesait rien.

Ludmila voulut se débattre mais l'aura de la créature l'enveloppait maintenant avec une telle puissance qu'elle se sentait vidée de ses forces. Par flashs successifs, elle et la créature s'élevèrent lentement dans les airs. Quand la jeune fille parvint à jeter un œil vers le sol, elle poussa un gémissement apeuré. Ils étaient à près d'une dizaine de mètres du sol. Morte de peur, sa respiration saccadée soulevait de plus en plus rapidement sa poitrine alors que sa peau devenait luisante de transpiration malgré le froid.

Ludmila se surprit à prier quand elle sentit ce qu'il restait de sa robe glisser sur sa peau. Le monstre était en train d'achever de la dénuder! La jeune femme glapit et tenta faiblement de retenir ce qui la couvrait encore mais elle était juste trop faible. L'élastique de sa culotte lâcha dans un claquement sec, et elle tomba bientôt vers le sol de la forêt, accompagnée par les lambeaux de sa robe. Elle se trouva alors entièrement nue, suspendue à une douzaine de mètres du sol. Jamais elle ne s'était sentie aussi vulnérable qu'en ce moment, ses cuisses écartées exposaient son sexe lisse exposé à l'air libre et son opulente poitrine offerte à ce monstre.

Puis elle sentit les bras de la créature parcourir son corps. Ils étaient glacés, la peau de la créature avait la consistance d'un bois à l'écorce râpeuse. Ludmila recommença à pleurer tandis que des doigts de bois, semblables à des racines courtes et épaisses, se refermaient douloureusement sur ses seins, tandis que d'autres venaient lui malaxer les cuisses et les fesses, et qu'un bras semblable à une branche tortueuse se frottait sans douceur contre sa vulve.

Il y eut encore un flash, et le monstre apparut ensuite nettement devant. La forêt derrière lui avait disparu, le sol en-dessous également même si elle sentait toujours le vide sous son corps. Ludmila ne pouvait pas détourner le regard du visage de la créature. Son costume sembla se fragmenta et s'ouvrit comme s'il avait été composé de feuille, attirant son regard et révélant le corps de la créature à la jeune fille.

Ce n'était pas un corps d'humain, il semblait n'être qu'un tronc d'arbre pâle, sans écorce, et d'où émergeait les membres noueux comme des branches. Puis elle eut un hoquet de terreur et de dégout, et Ludmila tenta à nouveau de supplier. Entre ce qui servait de cuisses au monstre, il y avait un bout de bois couvert de protubérances, long d'une grosse trentaine de centimètres et épais comme le poing de Ludmila. La jeune fille n'arrivait pas à croire ce qui lui arrivait mais elle comprit qu'elle était sur le point de se faire violer par cette créature monstrueuse.

D'autres flashs, elle sentit les membres du monstre la ramener vers lui. Ludmila voulut le repousser, levant faiblement ses mains tandis qu'il la dominait de toute sa hauteur mais il n'y avait rien à faire. Ses yeux glissèrent à nouveau vers le bas du corps de la créature, et elle vit que la queue de son agresseur s'était maintenant dressée et semblait encore plus grosse qu'un instant auparavant.

Un autre flash, la jeune fille sentit le gland épais appuyer contre l'entrée de sa fente, deux des mains de bois rugueuses saisir ses hanches sans douceur, puis, dans un dernier flash, la créature l'enfonça d'un coup brutal sur son pieu. Ludmila se cabra en arrière et lâcha une longue plainte stridente.

Le sexe de la créature était aussi froid que ses membres, dur comme du bois et râpeux comme de l'écorce. Lorsqu'il glissait pour s'enfoncer en elle, la jeune fille avait l'impression que l'on passait une râpe sur la chair délicate de sa chatte tandis que les protubérances dont cette verge monstrueuse était couverte déformaient son sexe.

Elle n'arrivait plus à se concentrer alors que les flashs se succédaient maintenant avec rapidité. Le monstre s'enfonçait entièrement en elle, utilisant la force brute pour lui faire accepter les derniers centimètres de sa queue difforme. Ludmila commença à haleter frénétiquement tentant d'inhaler un peu d'air alors la douleur lui bloquait presque la respiration.

Indistinctement, il lui sembla sentir que le membre enfoncé dans sa chatte grossissait encore, au point qu'elle eut la sensation que ça allait la faire éclater et fendre son corps en deux. Puis la créature entreprit de la baiser pour de bon.

D'abord lents, ses mouvements se firent de plus en plus rapides, au rythme des flashs qui s'enchainaient comme une lumière stroboscopique. Son corps venait cogner contre celui de Ludmila avec le claquement de la chair contre le bois. La jeune fille n'en pouvait plus, elle était à l'agonie. A chaque que la créature se retirait, elle avait l'impression que ça lui arrachait la chair, et alors qu'à chaque fois qu'elle s'enfonçait de nouveau en elle, elle avait l'impression que ça allait la déchirer. Le sexe de la créature était tellement gros que Ludmila le sentait et même le voyait qui déformait son ventre lorsqu'il la pénétrait à fond, et la douleur était si forte qu'elle espérait mourir.

Les membres du monstre continuaient de maltraiter son corps, semblant chercher le meilleur moyen de lui arracher des cris de souffrance. Par moment, ça venait écraser ses tétons comme entre les mâchoires d'un étau, d'autre fois ça se refermait sur ses seins, ou sur ses fesses, écrasant les globes de chair comme pour les faire éclater, les meurtrissant sans pitié. D'autres fois, les membres la saisissait à la gorge, serrant comme pour l'étrangler, ou alors ils attrapaient ses chevilles pour les ramener jusqu'à niveau du visage de la jeune fille alors que la douleur qui l'envahissait à chaque coup remontait le long de sa colonne. Parfois, c'était tout ça à la fois.

Encore un flash, plus violent que les autres, qui claqua dans ses oreilles. Brutalement, elle se retrouva tournée vers le sol, qui semblait si loin d'elle. Tout aussi soudainement, Ludmila se sentit libre, ne sentant plus les bras qui malmenaient son corps, seulement la queue qui emplissait encore son sexe. Libre, et lâchée dans le vide. Elle hurla instinctivement en agitant les bras, se sentant glisser le long de la queue du monstre.

Alors que c'était presque sorti d'elle et qu'elle s'apprêtait à aller s'écraser dix mètres plus bas, Ludmila sentit qu'on la saisissait par les poignets et par les cheveux. Brutalement, on la tira en arrière et elle vint s'empaler de nouveau sur le sexe monstrueux qui l'avait labouré jusque-là. Puis son violeur se retira derechef, la laissant à nouveau glisser vers le sol, avant de la tirer à nouveau en arrière. La créature semblait prendre plaisir à la faire souffrir.

A un moment, elle lâcha les poignets et la chevelure de la jeune fille, la retenant juste par les chevilles. Ludmila eut comme un électrochoc et s'agita en tous sens, pour tenter d'attraper une branche un arbre, n'importe quoi. La violence des coups qui accompagnaient chaque aller-retour secouait Ludmila comme une poupée de chiffon, avec une telle force qu'ils la sonnaient un peu à chaque fois. Finalement, à moitié inconsciente, la jeune fille finit par se laisser faire mollement alors que le monstre l'empêchait tout juste d'aller s'écraser en contrebas.

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