Lucie, piégée ! Ch. 04

Enfin, non sans anxiété, elle se dirigea vers le placard pour s'habiller. Elle trouva une tenue qui ne l'inspirait guère plus que la veille.

Encore une fois elle trouva un string en V, de sorte qu'il soit visible au dessus de ses hanches, il était en coton et de couleur blanche. Aucun soutien-gorge ou armature ne venait de pair avec le string. Visiblement elle aurait les seins nus sous son t-shirt. Toujours dans le même genre que la veille celui-ci était bleu marine et s'arrêtait au dessus du nombril, l'inscription mentionnait " Good Girl does this face down, ass up! " Venait compléter sa tenue du jour un simple short en jean qui remontait sur les côtés jusqu'à mi-hanche. Lucile y voyait là plus une sorte de culotte en jean qu'un short. De plus ses fesses étaient pour un bon quart visibles avec la coupe du short.

Une fois habillée, Elle se regarda dans la glace de la salle de bain. Elle se trouvait plus déshabillée que la veille. Heureusement au vu du temps il semblait faire bon dehors.

Elle alla au salon et profita donc de son autorisation pour passer un coup de fil à ses parents. Cela lui fit du bien moralement. Bien-sûr elle eclipsa les évènements des dernières vingt-quatre heures. Consciente du peu de temps qu'elle allait avoir la semaine suivante, elle prévint que pour des raisons de travail attendue pour la rentrée elle aurait du mal à les appeler dans la semaine.

Elle raccrocha, en ayant prie note qu'il était tout de même déjà quinze heure. Elle remit le téléphone en place sans en profiter davantage et se dirigea près de la porte où une paire de spartiate mi-mollet l'attendait. Cela ne l'habillait guère plus. Elle ferma à clés et partie en direction de chez elle avec la plus grande appréhension de marcher ainsi dans la rue.

Le trajet se fit bien-sûr sous de nombreux regards qui en disait long. Elle pu entendre plusieurs sifflements et eu droit à une remarque en lien avec le slogan de son t-shirt en croisant un jeune homme qui la vit arriver de loin.

"Moi je te la mets quand tu veux à quatre pattes ma bonne fille, regardes-toi le cul à l'air, un beau vernis de salope!" Lui fit-il remarquer de dos, l'interrompant la main sur une épaule.

" Laissez-moi s'il vous plaît! " Lui répondit Lucie se retournant.

" Bah et ma proposition cocotte?? " Insista l'homme.

" Vous êtes mignon et c'est sûr que je dois faire très aguicheuse mais là je n'ai pas le temps. Je dois me faire prendre le cul par mon petit ami d'ici sous peu. " Lui répondit-elle espérant bien le choqué pour être tranquille.

Se fut le cas et l'homme resta sans voix à regarder Lucie s'éloigner.

Arrivée en bas de chez elle, n'ayant pas les clés, elle sonna. Elle vit par la même occasion la Jaguar garée sur une des places de Parking qui étaient en bas de l'appartement.

" Oui? " Fit Patrice à l'interphone.

" C'est moi, je viens vous rejoindre. " Répondit-elle.

" Houla, ma cocotte, tu vas me reformuler ça convenablement tu veux! " Insista Patrice.

" Mais.. On pourrait m'entendre ici... dans la rue! Les gens..." Hésita Lucie.

" Oui, ta famille pourrait aussi te voir te branler sur un coin de table réclamant un gode pour allez profondément dans ton cul. À toi de voir... " Continua Patrice.

"Euh.. Pardon! Pardon Maître! Votre petite chienne vous demande de l'excuser... Et... Souhaiterais vous rejoindre en haut pour la suite des événements que vous avez prévus. " Paniqua Lucie.

" Et bah tu vois, quand tu veux! Allez montes nous avons effectivement à faire aujourd'hui! " Lui répondit-il.

Elle monta les escaliers, ce bâtiment n'ayant pas d'ascenseur et par miracle ne croisa aucun de ses voisins. Elle arriva en haut et vit plusieurs cartons dans le couloir qui la menait au seul appartement présent sous les combles, une seconde porte dont elle n'eu jamais su sur quoi elle debouchait était présente face à elle en haut de l'escalier. Se dirigeant donc vers sa porte, elle reconnue certains des cartons de la commande de la veille.

Elle frappa et Patrice lui ouvrit. Elle écarquilla les yeux de stupeur. Son petit appartement n'avait plus aucun des meubles qui était là, la veille.

" Alors surprise cocotte? Depuis ce matin 8h j'ai fais un vide maison avec certaines de tes affaires, vêtements inclus. On va tout réaménager ça! On va se mettre bien quand on passera se divertir dans ton nouveau chez toi! " Ria Patrice.

Lucie était totalement ébéttée. Elle resta figée à contempler l'ampleur de la merde dans laquelle elle s'était fourrée avec ce chantage. Une claque au cul la ramena sur terre. " CLAAC! ".

"Hey! Tu oublies tes directives ou quoi? J'ai à te parler de la suite." Lui rappela alors Patrice.

" Mais maître cette tenue, je pensais qu.." tenta t'elle.

" Non, cette tenue c'était bien pour le voyage. Donc respectes tes engagements tu veux. Ne penses pas quand je parle, Fais! Capiche ma chatte? Ton cul face à moi!" lui dit-il gentillement.

" Bien maître! " Soupira Lucie commençant à dénouer ses spartiates.

Elle se mit donc nue et en position de soumise le cul en l'air sur le damier froid qui recouvrait la petite pièce principale.

"Bien, c'est mieux ma chatte. Donc ce matin j'ai revendu tout ce dont je souhaitais te débarrasser. Tout tes meubles de cette pièce sont partis, il reste ton bureau qui est dans la chambre, ta table de chevet et bien-sûr ton lit, dans lequel je vais t'enculer. Certains de tes vêtements ont été vendus aussi, les autres seront donnés aux associations. Il te reste quelques sous-vêtements, deux trois t-shirt, un maillot bain et les quelques robes que tu as. Tu decouvriras tes nouvelles fringues avec le temps. Concernant le mobilier dans le coin où tu te trouves nous mettrons un canapé d'angle qui sera livré bientôt avec une table basse designet surprenant, enfin tu verras, et à ma place une jolie barre de Pôle Dance. On va pouvoir faire des travaux facilement car ton loyer, c'est dorénavant à moi que tu le paiera. J'ai vu avec ton proprio il est partant pour vendre et la semaine prochaine se sera chose faite. Je vais racheter l'immeuble je pense. À voir selon la qualité de l'investissement. Bref cela ne te regarde pas! Revenons à nos moutons. Dans la cuisine je mettrai un frigo à l'Américaine histoire de profiter à fond quand tu danseras sur la barre pour moi. Demain soir tu feras ton premier cours de Pôle Dance-Striptease. Ce sera ton activité du lundi soir, d'autant plus que je ne suis pas disponible les lundi soirs donc ça tombe très bien. C'est aussi une pote qui tient un club. Dernière chose, tout tes cours de fac sont sur ton bureau, je ne souhaite pas t'empêcher de réussir à la fac. Voilà ma petite conne! "

Lucie n'en revenait pas de ce qu'elle venait d'entendre, à quelle point il la contrôlait et le pouvoir qu'il avait, au point de se permettre de racheter un immeuble. Il lui fallait pourtant s'obliger à remercier Patrice.

"Oh maître, je.. je.. je ne trouve pas les mots pour vous montrer ma reconnaissance. Je suis contente de bientôt danser rien que pour vous et me trémousser, comme la chienne que je suis, sur une barre de striptease. Je vous remercie d'avoir refait ma garde robe. J'ai hâte de voir mes nouvelles fringues. J'aime autant que l'argent de mon loyer aille dans votre poche. Je suis aussi contente de savoir que c'est ici chez moi et dans mon lit que vous comptez prendre ce cul qui est tout à vous. Enfin je suis très heureuse et reconnaissante que vous me laissiez continuer mes études! " Répondit-elle docilement, son cul nu toujours en l'air.

" Qu'est que tu es Lucie? " Enchaîna Patrice.

"Un salope Monsieur! Un cul à votre entier service. Je vous suis dévouée corps et âme." Lui répondit-elle.

" Très bien ma chienne, tu vas te le réécouter chaque jour, jusqu'à ce que tu connaisses l'enregistrement par cœur et que tu acceptes ce que j'y dis! Capiche? "

" Oui maître, merci maître! " Répondit Lucie.

" Bien, très bien ma petite. Tu as sucée le gode avec réservoir et tu t'es filmée? " Continua t'il.

" Bien sûr vos ordres ont été suivis. Merci de m'avoir laissée passer un coup de fil à mes proches. " Répondit-elle docilement.

" Je t'en prie c'est normal, ton comportement plutôt bon hier méritait une récompense. Bien. Parle-moi de ton moment de débauche hier sur la table basse. As tu appréciée? Utilises bien un vocabulaire sexuel. " Questionna encore Patrice.

" Oui maître. Les huiles me démangeais principalement le trou du cul et le colon, je suppose que vous l'avez bien vu. M'enculer comme la salope que je suis en me doigtant comme une folle, le clitoris gonflé, m'ont littéralement fait perdre le sens des réalités au point de m'insulter ce que je déteste. Enfin l'éjaculation m'a surprise énormément ja... jamais cela ne m'étais arrivée avant je peux vous l'assurer! Bien que cela fut très bestiale et assez honteux pour moi, jouir de la sorte m'a énormément soulagée les démangeaisons dûes aux huiles étalées par Rose. Cela à donc, oui, été appréciable, fortement... À mon grand désarroi si je peux me permettre maître. " Répondit Lucie.

" Je comprends mais il va falloir t'y habituer. Tu vas te caresser et te baiser à mon bon souhait régulièrement cocotte. La barre de striptease ne sera pas là pour rien. Tu le feras avec et sans huile comme tout de suite par exemple! Allez doigtes-toi! " Ria Patrice.

Lucie ne dit rien et glissa une de ses mains, situées devant sa tête, entre ses jambes et commença en pleine vue de Patrice par écarter ses lèvres. Elle se massa ainsi quelques minutes pour faire monter la ciprine. Cela mit un certain temps, la gène n'aidant pas.

Afin de rendre cela plus attrayant pour lui Patrice exigea que de son autre main Lucie se fesse elle-même.

Pendant encore cinq bonnes minutes on vit donc Lucie se caresser sans grand succès et se fessée mollement. Patrice décida d'intervenir plus durement par la parole.

" Écoutes petite conne, tu es là nue à quatre pattes comme une bête. On est chez toi mais tu n'as plus de clés, plus de mobilier, plus de fringues et plus de téléphone. Je vais être ton nouveau proprio et tu as signée un papier notifiant que tu étais ni plus ni moins ma chose. Tu t'es mise dans une merde incommensurable et le seul moyen d'améliorer ta situation c'est de répondre à mes ordres et sollicitations sexuelles qui sont sommes toute assez acceptable si l'on regarde de quoi notre ami Victor est capable, alors ma cocotte soit tu te doigtes à jouir en te fessant avec un joli bruit de claque, soit je peux passer un petit coup de fil et te faire voyager jusque chez Victor bâillonnée, cagoule sur la gueule, dans une valise et dans le coffre de la voiture, pour un petit temps d'éducation à la rude. Et au besoin nous commencerons par mettre quelques un de tes copains au courant de nos vidéos. Je crois que plus d'un viendrait te voir pour une séance personnelle de sexe bestiale. Qu'en penses tu? Tu crois que tu vas pouvoir te doigter pour moi? "

" Oui! Oui! Je peux le faire maître! Bien-sûr! Je... Je vais me doigter à jouir pour vous et me fesser sèchement pour votre bon plaisir! Je peux faire ces efforts. Je me baiserai autant que nécessaire mais je vous en prie ne montrez rien à mes amis et ma famille! Et n'appelez pas Victor!! Je me doigte, je me doigte regardez! " Répondit paniquée Lucie se callant deux doigts dans la chatte.

Elle commença donc plus rigoureusement l'exercice en se doigtant de manière régulière et se caressant gentillement le clitoris. Un premier " Clac! ", petit mais sec se fit entendre par la main gauche de Lucie claquant sa fesse du même côté.

Elle continua sur ce rythme dix minutes et commença à gémir les lèvres gonflées et commençant à prendre le pli des sollicitations continues. Elle se fessa encore deux fois pendant ce temps.

Patrice compris qu'elle allait jouir lorsqu'il vit son trou du cul commencer à battre au rythme de ses gémissements.

"Une belle dilatation naturelle, on pourrait y mettre deux doigts entiers sans gêne." Se dit-il tout sourire.

Lucie finit par lâcher prise après une dernière fessée. Et elle se rabaissa à même le sol enfonçant aussi profondément que possible trois de ses doigts son pouce enfonçant son clitoris, durcit par l'exercice. Elle se mit à crier s'efforçant de plaire à Patrice par des suppliques.

" OoOoOoOoOoOoh OoOoOoOoOouiiiiiii!!! Merci de vos avertissements maître, je jOouUiiss grâce à vous. Je ne suis rien d'autrEeEeEeEeEeEe que vOoOoOoOtre chienne! FEeEeEeEeEessée ce cul est un bOoOoOoOoOonheur sans nom! Merci!! "

" Et bien ma grande, si il faut te punir de temps en temps pour en venir à nos fins, je le ferais. C'est bien tu es une bonne salope ma grande. Si tu as soif y'a de l'eau dans ton frigo. " Commenta Patrice.

Après deux minutes étendue au sol, Lucie se releva et alla boire à la bouteille un peu d'eau. Patrice la rejoignit et la choppa par le menton levant sa tête et l'embrassa langoureusement, une main lui bloquant les mains dans le dos, l'autre empoignant un de ses seins. Il lui tira dessus pour la mettre mal à l'aise sur la pointe des pieds. Il s'embrassèrent ainsi trois minutes. Une fois de plus il cassa le baiser brusquement laissant Lucie la bouche ouverte langue dehors.

" Bien ma petite chatte. Tu vas maintenant te mettre à quatre pattes et filer cambrer ce délicieux cul en vu de sa sodomie. Je veux t'entendre me supplier de te faire le cul. Aller files sur ton lit! " Lui indiqua Patrice poitant du doigt la pièce voisine.

Lucie surprise que l'évènement arrive finalement si tôt se mit donc à quatre pattes et nue, si ce n'est son collier, alla dans la chambre et se mit sur lit le cul en l'air. Patrice attendit une petite minute, pris le temps de boire de l'eau avant de la rejoindre. Arrivant dans la pièce il entendit alors la supplique de sa délicieuse soumise.

" Maître, ce cul qui été bien fessé, palpé et plugué hier mérite enfin une vraie queue. Je vous implore, fesses en l'air et bras tendus de bien vouloir me sodomiser maintenant. Ce cul est tout à vous et la belle quantité de centimètres de sexe que vous portez mérite cette première entrée dans mon cul, quand à lui, vierge de toute "vraie" bite. Enculez-moi maintenant! Votre salope est toute ouïe pour se plier à vos directives qui accompagneront ce moment! Merci maître." S'enquit Lucie espérant un peu de douceur si sa supplique plaisait.

" Bien ma chatte, je vais effectivement pimenter la chose. C'est toi qui va réclamer ma queue, de vingt-cinq centimètres au passage ma douce. Tu vas te doigter le trou du cul jusqu'à avoir deux doigts entier dedans, après tu vas demander mon sexe. Ça c'est la première partie. Une fois que je vais commencer à t'enculer je te veux bien plus vulgaire encore que jusque-là. Debrouilles-toi pour trouver des idées mais je vais y insérer tout le membre, saches-le. Je ne t'autorise pas à mordre le drap où l'oreiller. Je veux t'entendre à chaque instant de ce moment que tu gueules où que tu parles. C'est ta première sodomie donc pas touche au clito et au vagin cette fois. Uniquement du cul et rien que ton cul. Enfin à chaque fois que tu ne tiendras plus ton cambrage de chienne tu auras une fessée bien sèche et douloureuse sur ton magnifique cul. Bien! Lances-toi et doigte-moi ton cul connasse! "

" Bien maître, tout sera fait selon vos souhaits! Ce cul est tout à vous! Merci. " Répondit Lucie.

Lucie donc, concentrée comme jamais dans une relation sexuelle leva sa main droite qu'elle porta à sa bouche pour bien tremper son index et son majeur puis les porta par dessus son dos vers son anus.

Trois minutes passèrent, où Patrice vit donc Lucie se masser le rectum et gentillement y insérer son index en entier sans difficulté particulière. Elle passa les quatre suivantes à d'abord délicatement pointer le bout de son majeur puis l'insérer à mesure que son trou du cul se dilatait. Puis trois minutes de vas et viens à deux doigts dans le cul vinrent terminer cette entrée en matière, toujours sans gémissements de Lucie.

Les deux doigts à l'arrêt dans son cul elle réclama donc fatalement le sexe de son partenaire. " Maitre, ce délicieux cul me semble parfaitement dilaté au point de pouvoir accueillir un troisième doigt. Je pense donc qu'il est temps que vous y insériez votre chibre. "

Debout, toujours derrière Lucie, depuis le début de l'opération Patrice qui s'était déshabillé acquiesça. " Effectivement ce trou du cul m'a l'air fin prêt à accueillir mon gland. Lançons-nous ma chatte! "

Il retira donc délicatement les deux doigts de Lucie se callant à genoux derrière son cul. La main de Lucie alla rejoindre sa jumelle pour mieux supporter le cambrage et le gland de Patrice se fit sentir à l'entrée de l'anus.

" Ça y est j'y suis cocotte! " Lui dit Patrice tapotant la rondelle de Lucie avec sa queue.

Lucie comprit de suite le message et s'enquit donc d'une réplique vulgaire.

" Maître, qu'attendez-vous pour enculer le putain de fessier de votre salope personnelle? Il est légèrement dilaté et attend votre jugement! Enculez-moi jusqu'aux couilles je vous en supplie. " Lui dit Lucie s'obligeant d'une voie des plus sensuelles.

Patrice pris donc appuie sur les hanches de sa proie et enfonça sans difficulté son gland et deux centimètres de chibre avec avant de sentir une première pression de l'anus lui annonçant une première difficulté de ce dernier. Il fit alors de petits allers-retours toujours sans aucun bruit de Lucie concentrée, elle, sur le meilleur acceuil possible du sexe, dans son cul, sans douleur.

Après trois minutes d'aller retour, sept centimètres du chibre connaissaient le colon de Lucie. Elle commençait aussi à réagir en serrant ses mains sur le drap et laissant entendre deux-trois " Mmmpfft! " de respiration.

Après dix nouvelles minutes et une douzaine de centimètres en elle, elle lâcha un premier " Aïe! " en lâchant son cambrage pour bomber légèrement le dos.

" CLAAAC! " une claque sèche vint s'écraser sur fesses droite.

" Tu as lâchée ton cambrage et il me semble que je n'entends pas beaucoup de vulgarités sortir de ta bouche de gobeuse de couille! " Lui asséna de manière autoritaire Patrice lui tirant les cheveux par la même occasion et avançant de cinq centimètres d'un coup dans le colon de Lucie.

"AYY! AYYYYY! " Ne pu que répondre Lucie face à l'agrippage de ses cheveux, la fessée et le surprenant enfoncement dans son cul en simultané.

"AY... Aïe! Oui maître. La... chienne de salope que je suis ce concentrait à vous accueillir au mieux dans son cul peu connaisseur de la chose. Je vais faire un effort, Je vous le promet. D'ailleurs je vous invite à vous enfoncer davantage dans mon cul de pute des bas quartiers. Traîtez-moi maintenant comme une chienne jusqu'a ce que vous m'ayez enculer jusqu'au couilles et jouit à en remplir le colon! Je ne suis qu'une conne bonne à remplir de foutre! " Se reprit donc Lucie.

" Aaaah! Voilà qui est mieux. À la bonne heure! " S'enjoua Patrice.

Il continua dix minutes encore à la besogner à un rythme ni trop lent ni trop soutenu. Il lui restait trois centimètres de queue a l'extérieur. Lucie s'était insultée de " catin " " garage à bite " et " sac à foutre " en plusieurs moment pour satisfaire son maître. Mais finalement ce furent surtout les premiers gémissements de Lucie par des " Mmmh " très légers et un semblant de mouvement de va et viens de son bassin qui satisfairent Patrice. La petite étudiante montrait des signes de plaisir avec donc vingt centimètres dans le fion. Il s'en était douté la veille lorsqu'elle fut dans son grand moment de débauche. Mais là sans huile simplement dilaté par ses doigts, quelques soubresauts de contentement étaient là.

" Et bien c'est moi où je ressens un peu de plaisir? " Interrogea Patrice accentuant son rythme.

" Je... Mmmmh.. Oui je dois dire que ce cul de chienne et la salope qui va avec ressentent un certain plaisir mélangé à la douleur, sans doute dû à un bon dépucelage en règle maître. " Lui répondit Lucie concentrée justement sur son ressentie pour accueillir au mieux cette première anale de son maître.