Lucie, piégée ! Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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" Maître, j'ai suivie à la lettre vos directives! Me voici toute en beauté, votre superbe plug dans le cul. Afin de bien satisfaire la clientèle j'ai besoin que vous me donniez mes nouveaux habits que je suis impatiente de porter! Mon trou du cul et ma chatte sont bien huilés. Encore merci de prendre si bien soin de moi! " Inventa t'elle d'un ton faussement enjoué, maintenant devenu habituel.

" Très bien ma chatte! Tu t'es donc autoenculée avec ce plug! Parfait. Je vais te donner tes affaires qui j'en suis sûr te satisferons grandement. Je vais aussi me donner une récompense! La dureté de la tâche commence à rentrer dans ta petite tête de conne, je vais donc m'occtroyer le droit de te fessée à mon tour! Viens ici cambrer ce cul de rêve et réclamer tes deux fessées ma chatte! Ne cesse pas d'être suppliante surtout. Allez viens!" Lui donna comme seule récompense Patrice hilare.

Lucie se déplaça donc juste au devant du canapé, tournant son cul vers Patrice le levant aussi haut que possible tout en tenant sa cambrure et le menton au sol, la tête entre les bras reprit de plus belle :

" Maître ce cul mérite d'être fessée par vos soins pour vous remercier de vous donner tant de mal à m'éduquer. Veuillez s'il vous plaît faire claquer chacune de mes fesses dans l'ordre qui vous plaira. Je promet de maintenir ce cul flasque comme j'ai essayée de le faire depuis notre arrivée. Je vous le répète, fessez ce cul qui vous appartient!" Supplia t'elle toute résignée qu'elle était.

CLAAAC! Un énorme gifle sur la fesse gauche vint mettre fin à sa supplique. Elle tint le cap sur ce premier coup en laissant l'onde de choc se propager sur son fessier sans se contracter mais si on avait pu la voir on aurait alors vu la tête d'une jeune femme serrant les dents pour ne pas crier.

Elle formula dans la difficulté un "Merci maître, l'autre fesse maintenant, j'en ai besoin! "

Immédiatement un second "CLAC" se fit sentir sur la droite. Un peu moins fort mais tout autant jouissif si on en croyait les yeux de Patrice.

Lucie souffla et conclua par "Merci maître, cela m'avais manquée. Je suis heureuse que vous aimiez tant vous occuper de ce cul! Il est tout à vous bien-sûr! Merci maître!"

Elle se leva, prie le second sac et repartie en direction de la salle de bain. Ses huiles la sollicitant toujours plus.

Arrivée dans la pièce, elle regarda enfin son futur accoutrement au bar. Elle ne pu s'empêcher de crier un " Putain! " En voyant la tenue. Un serre tête avec des oreilles blanches de lapine, une combinaison résille noire "comme les filles en portaient tout à l'heure" se dit-elle. Une sorte de maillot de bain de velours blanc que l'on enfilait en V depuis la chatte jusqu'au épaules avec un trou au niveau du cul "pour le plug sans doute" se dit-elle. Lucie aurait ainsi seule son sexe et ses tétons de cachés avec ce maillot en V. Ses fesses restaient bien entendues à la vue de tous. Venaient clôre le déguisement un noeud papillon ainsi que deux manchettes blanches a mettre au niveau des poignets. Pour ses pieds une paire de talons compensés blanche et fermée au niveau des orteils, venaient bien-sûr compléter la tenue de la parfaite petite servante. Ce coup-ci aucun masque ne viendrait à la rendre anonyme. Elle s'habilla donc se regarda dans la glace mis à disposition dans la petite pièce.

" Mon dieu! J'ai réellement l'air d'une actrice porno! Merde! Que vais-je faire?? Merde!" S'écria t'elle.

Elle sortit et vit Carlotta debout. Elle semblait épuisée de ce qu'elle venait de subir mais un sourire s'esquisait de son visage marqué bien que très joli. "La satisfaction de passer à autre chose sans doute" se dit pour elle Lucie. Victor et Patrice étaient là.

"Te voilà bien en beauté pour aller servir des bières et cocktails ma chatte! Carlotta et toi, allez vous embrassez langoureusement. Je veux que tu lui récupères son chewing-gum en bouche! Allez les filles faites connaissance!" Exiga Patrice.

Les filles ébétées se rapprochèrent l'une de l'autre.

"Enchanté Carlotta!" "Enchanté Lucie!" Dirent-elles en cœur en se calinant puis elles entamèrent un long baisé. La blonde aux yeux claires, sans doute toujours sous la peur de la désobéissance entama le baisé langoureux en envahissant littéralement la bouche de Lucie et en y laissant son chewing-gum. Aucune des deux n'osait clôre le baiser de peur de la réprimande. C'est Victor qui après près de deux minutes de bouffage de bouche fit signe à Carlotta de revenir.

"Carlotta, il suffit, ramènes ton délicieux cul ici. Nous avons une anale à travailler je te rappelle."

"Oui mon roi! " S'enquit-elle en repartant vers Victor.

Lucie se dirigea, chewing-gum en bouche, vers Patrice. Face à lui elle s'obligea : "Cette tenue vous convient-elle maître?"

"Parfaite, toute en beauté! Une question?" Demanda Patrice voyant un certain embarras dans le regard de Lucie.

"Oui... Je.." hésita t'elle.

" Dis moi! Tu ne seras pas punie!" Renchérit-il.

" Bien, je ne suis pas du tout anonyme avec ce déguisement. Un masque est-il possible maître?" Tenta t'elle.

" Non! L'avantage d'être au service au bar c'est que, bien que ce ne soit pas le cas pour toi, tu vas pouvoir faire passer cela pour un job étudiant si besoin. Une réponse toute trouvée! Ne t'inquiètes pas pour tes collègues de la fac, du temps libre tu ne vas quasiment plus en passer avec eux dans les temps a venir et puis vu ta nouvelle garde robes, tu est finalement à ta juste place dans cette tenue à faire ce travail. Et puis concernant la fac... Tu verras dans trois jours, un certain monsieur Radja que tu as vue deux fois aujourd'hui, et bien c'est ton futur employeur étudiant. Tu viens de signer un contrat de secrétaire sur le temps du mardi après-midi pour ses affaires courantes à gérer. Tu verras cela en temps voulu bien-sûr. Un charmant monsieur ce Radja! " Lui fit-il savoir.

Lucie crûe défaillir, elle venait de se faire avoir en beauté et avait signée un papier dans l'empressement sans en lire un mot.

" Allez en route pépette! Direction le bar! " Reprit-il se levant et entraînant Lucie par la main.

Ils passèrent dans la boutique où était présent toujours une dizaine d'hommes qui se faisait masturber par les trois pauvres choses qui était recouverte de sperme. Une fois de plus Lucie ne pu voir le visage de la jeune femme nue aux cheuveux court car ils passèrent derrière elle, mais à la vue des deux autres femmes la tâche semblait devenir difficile, elles ne souriaient plus et donnaient l'air d'être au bord du chaos. "Mon dieu les pauvres, quelle horreur ce truc!" Se dit-elle.

" Tu sais si un jour tu t'obstines trop dans la désobéissance il sera clair que tu auras droit au même sort ma grande, j'ai plusieurs amis qui seraient heureux de te faire subir quelques tourmants de ce genre." Lui dit Patrice en sortant du stand et prenant la direction du fond de la salle.

" Oui maître, je comprend, j'essaie... d'être la plus obéissante... possible." Dit-elle comme seule réponse. Elle commençait à sérieusement mouillée.

Avec ses talons roses compensées et les sensations sur ses parties intimes, elle avait une démarche véritablement provocante, Lucie ondulait du cul de manière exagérée, balançant de gauche à droite comme si elle était en équilibre sur une barre. Elle était extrêmement gênée de se déplacer de la sorte mais c'était sa seule solution pour ne pas sentir plus encore les sensations dans cul et son vagin.

Ils traversèrent les stands, elle pu constater qu'elle ne passait pas inaperçue un grand nombre de mains aux fesses vinrent le lui rappeler.

Enfin il se trouvèrent face au bar, "Le dominant". Celui-ci disposait d'un énorme comptoir d'une dizaine de mètres. Sa terrasse comprenait un panel de dix fois quinze tables de couleurs différentes au milieu desquels trônaient à chaque fois un mini podium avec une barre. Neuf filles accoutrées comme Lucie étaient chacune à s'occuper d'une série de tables de la même couleur. Cinq barmans étaient derrière le comptoir habillés eux de manière très classique costumes/cravates.

Là Patrice emmena Lucie tout à droite du comptoir. Il passa derrière. Il y prit une enveloppe où était marqué le nom "Lucie, chienne de Restam" et en sortit un badge. Il le mit sans perdre de temps à hauteur de la poitrine de Lucie sur le maillot en V. Elle pu y lire son nouveau pseudo le temps du service : "Lapine Embouche". Elle fut indignée du jeu de mot ridicule.

Patrice s'expliqua : "Bien, que je t'explique, il est 18h30. Jusqu'a 21h30 tu es de service sur les quinze tables bleues. Plusieurs choses ici. Aucune des employées ne parle avec une autre, seulement aux barmans pour les commandes. Tu les vouvoie et les nommes "Monsieur", baisses la tête pour t'adresser à eux. Ils te tutoieront et t'appelerons "Lapine Embouche". Tu ne t'occupe pas des tables voisines seulement des quinze bleues. Toutes les demies heures, quand la cloche sonne, chacune de vous va danser sur son podium le temps d'une chanson pour attirer le client. Je me fou de ce que tu danses. De toutes façons vu ta démarche avec le produit aucun doute que tu sois bien vulgaire. Te biles pas tu vas finir trempée cocotte, le produit ne commence seulement qu'à agir. Je te voulais chaude pour faire ça! Bien. Les clients sont de vrais rois ici, ils ont tout les droits sur vous si ce n'est celui de vous déshabiller et de vous pénétrer. Moi je continue mon tour des stands. Après tes fringues, on va refaire ta déco! De belles surprises encore! Allez embrasse-moi langoureusement et remercie-moi, comme tu sais le faire maintenant, pour ce superbe job! Hahahahaha!"

Lucie, rouge de honte et d'indignation, se rapprocha de Patrice et l'embrassa comme demandé ne faisant que peu d'effort pour ouvrir sa bouche. Du moins jusqu'a qu'il lui titille les tétons. Surprise elle l'ouvra davantage et il pu mieux y mettre sa langue. Elle crûe s'étouffer, la bouche pleine. Patrice la tint dans cette situation de dominant, une bonne minute, continuant de lui caresser des tétons devenus bien durs. Cela excita, une fois de plus, malgré elle, Lucie. Patrice cassa le baisé d'un coup comme pour provoquer un manque chez elle. Elle se trouva bête, la langue dehors bouche mi-ouverte.

Elle remercia ensuite comme convenu Patrice pour le travail : "Merci Maître de m'avoir proposée comme remplaçante pour ce travail. Je suis heureuse de servir les clients dans une si jolie tenue et contente de pouvoir danser toute les demies heures. J'espère que du monde sera présent sur mes tables! "

"Très bien ma cocotte, deux, trois dernières choses te concernant plus personnellement. Tu réponds à toutes leurs questions personnelles, tu les remercies pour leurs compliments. Et bien sûr tu refuses tout pourboires. Dernière chose si tu jouis sur scène, ce que je ne t'accordes pas, j'ai laissé une directive à suivre pour les serveurs qui te la remettrons. Capiche? "

"Oui Maître..." Souffla Lucie mise à rude épreuve sur le plan psychologique et physique avec maintenant en plus des tétons durs réagissant au velours du maillot.

Patrice parti sans plus de mots dans les allées du salon, laissant Lucie face à ses tables.

Rapidement trois hommes quarantenaires vinrent s'asseoir. Elle commença donc son ultime humiliation dans ce salon.

Faussement enjouée elle commença : "Bonsoir messieurs, je suis votre serveuse, que puis-je vous servir?"

"Bonsoir ma belle, très en beauté, tu nous mettra trois demi s'il te plaît." Fit l'un lui mettant une tape sur les fesses alors que tout trois l'a déshabillait du regard.

"Merci de votre compliment. C'est noté." Répondit-elle gênée, se dirigeant au comptoir, son cul ondulant toujours autant.

"Quel cul elle a celle-là. Vivement la danse tiens!" Fit l'un des trois compères.

"Monsieur, il me faut trois demi s'il vous plaît." Dit elle à un serveur tête baissée.

"Très bien Lapine Embouche attends là en silence!" Lui fit un serveur.

Trente seconde plus tard un plateau avec trois demi, leurs dessous de verres et un petit écriteau est posé face à Lucie.

"Tiens, amène-le à nos invités Servante!" Lui dit le serveur.

Lucie malgré son agacement de la situation, ne pu que répondre un simple " Je vous remercie... Mon...sieur". Une montée de chaleur venant de son cul venait de la rappeler à l'ordre. Elle gémit doucement et se ressaisie.

Elle partie en direction des trois hommes qui ne l'avaient pas lâchée du regard.

" Voici vos bières messieurs." Leur dit elle en mettant les dessous de verres et la bière sur la table. Elle prit la petite carte et la posa sur la table. On pouvait y lire :

" En tant que premiers clients profitez de la mise à disposition de la petite chose qui vient de vous servir. Elle est tout à vous. Pas de nue et pas de pénétration. Amusez-vous bien! "

Lucie en prie connaissance en même temps que les hommes. L'un d'eux enchaîna donc de suite.

"Bien ma jolie, prends toi une chaise mets toi à genoux dessus de dos. Tu t'accoudes au dossier et tu cambres bien ton cul qu'on est une bonne vu dessus. Dépêche!"

" Bien dit!" Rajouta un autre.

Sans un mot Lucie s'exécuta et se retrouva donc dos aux trois hommes attablés avec le cul face à leurs visages. Ils firent comme-ci elle n'était pas là et commencèrent une discussion sur le football. Elle n'écouta pas et regarda les autres filles. Certaines faisaient leur travail de simples serveuses. Une était, comme elle, sollicitée par sa seule table avec clients. Elle était assise sur les genoux d'un des hommes. Elle ne semblait pas à l'aise ce qui rassura un peu Lucie. Elle se sentait moins seule dans son malheur.

Un des hommes l'interpella par une main qui vint lui palper le cul. "Mais dis-donc petite cochonne tu as un plug dans le cul!"

"Oui Monsieur." Répondit-elle piteusement.

"Bien tu aimes donc te faire enculer je présume, tu te fais souvent sodomiser salope? Je veux que tu sois bien crue dans ta réponse. Sois une bonne grosse salope sinon on se met à te fesser tout les trois ma grande!" Lui lança l'homme à sa gauche qui lui palpait l'autre fesse.

" Je ne me suis jamais fait sodomiser messieurs, jusqu'à aujourd'hui ce délicieux cul que vous palpez est restée vierge de toute queue. J'ai été pluguer en préparation à ma première anale. Mon... Maître compte bien me prendre le cul dans les heures a venir et je suppose qu'avec vingt bon centimètres entre les fesses je ne devrais plus être pucelle de ce côté. Concernant la sodomie je me suis souvent fait doigter le cul et j'ai toujours appréciée ça. Je ne connais le plaisir du plug anal que depuis ce midi messieurs. Vous pouvez voir que j'apprécie cela car j'ai la chatte trempée. J'espère que ma réponse vous ira sinon mon cul est bien là pour accueillir vos fessées!" Dit elle en se cambrant encore davantage son cul s'offrant sur la table.

"C'est pas mal ma belle! J'apprécie ce discours de salope! Avec les gars on va te demander autre chose vu que ça va pas tarder, On veut que tu danses en te frottant la chatte bien collée contre la barre pour ta danse. Tu nous regardera bien dans les yeux surtout."

Lucie fit des yeux dépités et répondit assez froidement "Bien je danserai donc face à vous la chatte collée a la barre!"

Ils rirent continuèrent de lui palper le cul tout en discutant. Puis la cloche vint.

Lucile et les autres filles se dirigèrent donc vers leur podium respectif.

Lucie littéralement outrée mais pourtant dans un état physique qui donnait l'impression qu'elle était à sa juste place, se mit en place face aux trois hommes qui se rapprochèrent de la petite scène. Elle se colla à la barre jambes écartées et attendit la chanson.

Un air de chanson en Espagnol pour boite de nuit se fit entendre. Lucie commença très doucement à bouger en essayant de trouver un rythme.

"T'emmerdes pas à te dandiner connasse, tu colles littéralement ta chatte sur la barre et tu montes tu descends. Tu vas voir tu vas aimer on en est sûr!"

Lucie savait qu'elle aimerait cela oui, toujours sous la contrainte des huiles. Elle en était effrayée.

Elle colla donc sa chatte sur la barre et commença ses mouvements de descentes-remontées le long de celle-ci jambes écartées elle s'accroupissait et remontait avec des mouvements de bassins pour bien faire corps avec la barre. Son clitoris gonfla le temps de la chanson cela n'allait pas l'aider pour la suite.

Une fois la chanson finie, elle descendit de la scène devant une clientèle déjà bien plus nombreuses. Elle s'enquit donc de ses tâches de serveuses sans trop être sollicitée physiquement par sa vingtaine de clients. Quelques palpations de son cul vinrent seulement perturber ce cycle.

La deuxième chanson arriva et sur plusieurs table on lui demanda de refaire la même chose à la barre. Elle tenta donc de se contenir au maximum serrant les dents tout au long de la chanson. Toute sa clientèle fut hilare lorsqu'elle redescendit, la zone pubienne trempée avec un énorme camel toe exercé par le gonflement des lèvres de son vagin.

Honteuse comme jamais dans sa vie elle poursuivie son service, elle était trempée, ses zones la chauffait comme un chaudière et elle devait se contenter de servir des commandes. On lui palpa bien plus le cul à partir de ce moment. Toute sa clientèle la prenait pour une véritable nymphomane. Personne n'était plus poli avec elle.

Sa troisième montée sur scène lui remobilsa son excitation tout juste assez pour ne pas la faire jouir comme "une vulgaire danceuse de club de striptease" se dit elle. La demi heure suivante fut tout autant dure pour elle son camel toe ne s'atténuant pas.

Sa quatrième danse fut la plus humiliante on lui demanda de se mettre à quatre pattes et de faire un "Twerk". Non seulement beaucoup de monde lui palpa le cul pendant qu'elle se remua mais surtout un des trois clients du départ lui tira les cheveux de sorte à bloquer son visage face au sien qu'elle le regarde dans les yeux le temps de sa danse.

Elle repris son service, tutoyée de tous et accosté de manière vulgaire pour chacune de ses commandes. Si elle eu un honneur il y bien longtemps qu'il l'avait quittée.

La cinquième cloche vint et on avertit les filles que la chanson était longue de près de dix minutes, qu'elles auraient ainsi le temps de bien répondre aux demandes de la clientèle. Lucie repris donc sa danse de bête en chaleur en se collant à la barre à la demande unanime des clients qui espéraient la voir, une bonne fois pour toutes, jouir devant eux.

Lucie se concentra au maximum, s'épuisant dans la résistance des assaux répétés de son corps alors qu'elle répétait ses gestes de caresses contre la barre, léchant cette dernière pour répondre aux sollicitations. Elle commença à gémir malgré toute sa concentration.

Le coup de grâce vint quand elle descendit d'une traite la barre et en sueur, son anus palpitant comme jamais, son clitoris tendu, ses deux huiles aux paroxysme de leurs effets, elle eu un orgasme fulgurant. Elle ne pu s'empêcher de crier son plaisir accroupie, bouche grande ouverte, bras tendus, tête levée vers le plafond.

"AaAaAaAaAaAaAaAaAAhhhhhh!!!! Ouiiiiiiii!!! Meeeerrrrrdeeeee..... Puuuuuuuuuutain!! OoOoOoOoOoOohh..." Lucie venait de jouir devant sa quarantaine de clients. C'était le meilleur orgasme qu'elle ai eu dans sa vie. Elle s'évanouit.

À son réveil, son public l'applaudit, elle avait due comater durant quelques secondes. Elle ne savait où se mettre. Mais elle n'eu pas le temps de penser à quoi que ce soit qu'un serveur vint lui donner une enveloppe " Si ma soumise à jouie sur scène, à lire avant par un serveur. "

Elle l'ouvrit et lue son contenu, accroupie sur le podium.

" Soumise,

Comme tu as jouie sur scène en public alors que nous nous étions mis d'accord du contraire, tu mérites une petite punition.

Afin de bien finir la journée, tu vas offrir à un client de ta première table une cession privée. Celle-ci aura lieu dans le petit local derrière le bar, amenagé pour ce genre d'événement. Le serveur invitera les autres clients à aller sur les tables des autres filles.