Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 03 bis

Informations sur Récit
Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
6.5k mots
4.44
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1

Partie 5 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/22/2020
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cinolas
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Chapitre 3 bis - Les joies de la campagne -

Acte 1 - Un dîner sans espoir!

Le début de la semaine est très chaotique, tout le monde est énervé pour un rien. Les collègues sont irascibles, je suis pour ma part irritable au plus haut point et les envoie souvent balader, même les clients y mettent du leur pour plomber l'ambiance! J'ai beau aller faire du sport tous les soirs, histoire de bien me vider la tête, rien n'y fait, au réveil ma mauvaise humeur revient au galop avec souvent en prime l'estomac noué.

La soirée de samedi m'obsède et pollue mes pensées. Je pensai qu'il voulait juste me baiser, cela n'aurait pas été agréable, mais supportable, cependant après cette exhibition je crains le pire pour la suite et n'ose m'imaginer ce qu'il sera capable de me demander dans quelques semaines. Je ne peux pas laisser cette relation me pourrir la vie. Lui servir de soumise pendant une année entière, même si ce n'est que le samedi, risque de vite tourner au cauchemar. Il faut que je réagisse et que je reprenne les choses en main.

Je ne serai pas gênée de passer pour une salope aux yeux de mes parents, leur jugement sur ce sujet m'importe peu, mais je n'ai aucun doute sur leur réaction. Je serai répugnée, mise à l'écart, traitée en paria! Et cela signifierait une rapide coupe des cordons de la bourse en prime!

Côté taf, après réflexion, je pense que je serai sûrement obligée d'en changer. Là aussi leurs avis m'importent peu, mais certains collègues profiteraient de l'occasion pour tenter de me faire apprécier le confort de leur bureau ... lors d'une baise! Sans façon vue les énergumènes auxquels je pense! Et là bonjour les petits boulots de merde en mode survie et adieu le doux confort de mon train de vie!

J'ai invité une amie à dîner ce soir, elle est avocate. Enfin pas encore complètement, mais c'est en bonne voix, elle vient de passer son CAP d'Avocat et a démarré son stage de deux ans dans un gros cabinet de la ville. Elle pourra, j'espère, m'aider un peu sur ma situation, même si je n'envisage pas pour l'instant de la lui détailler. J'ai juste prévu de l'orienter discrètement sur son boulot, elle en est passionnée, et d'aborder la notion du chantage pour voir les solutions envisageables.

J'attaque dès le début de repas sur le sujet, impatiente que je suis d'apercevoir un peu de lumière dans le tunnel où je me suis engagée.

-- Alors tu as quelques affaires en cours intéressantes en ce moment?

-- Tu sais en tant que stagiaire on est plutôt relégué dans un premier temps aux basses besognes! Mais je commence à assister parfois certains collègues pour préparer les dossiers de leurs affaires.

-- Tu as déjà vu une affaire de chantage? Je suis tombée sur une émission là-dessus l'autre jour, cela a vraiment l'air compliqué à chaque fois de s'en sortir sans bobo, voire parfois de le prouver!

-- Non pas encore, mais c'est marrant que tu me dises ça, au début de mon stage j'ai étudié plusieurs affaires récentes qui avaient été traitées pas le cabinet et l'une d'elles avait retenu mon attention.

-- Laquelle?

-- Une histoire autour d'un chantage qui s'effectuait à plusieurs niveaux, dont un sexuel qui n'avait pas été affiché clairement au départ, la cliente ayant été sûrement gênée de le préciser! Tu t'imagines aller raconter aux flics les détails de tes galipettes? Même si elles te sont imposées cela doit être chaud.

-- Oui j'imagine, lui confirmé-je, d'autant plus dans mon cas pensé-je!!

-- Je peux t'en parler le verdict a été donné il y a quelques semaines. Et bien figure-toi que ... et puis non je vais te faire languir un peu et d'abord te raconter toute l'histoire avant de te donner la décision du jury.

Mais non, dis-moi direct ce que le tribunal a décidé là-dessus! Bon je me calme, je dois faire preuve de patience si je ne veux pas éveiller un tant soit peu ses soupçons. Et elle part dans l'explication du dossier, me donnant moult détails, commentaires, appréciations sur les faits et le déroulement de l'affaire. Passionnant si je n'avais pas été au centre de la même problématique!

Un cas de chantage somme toute assez classique, une bourgeoise, la quarantaine, femme de notable respectée et mère de famille au foyer qui prend un amant dans un moment d'égarement pour casser un peu sa routine, son ennui et son désœuvrement. Comme quoi la quarantaine même chez les femmes! Il ne faut pas jeter la pierre à la femme adultère comme le chantait Brassens, mais elle peut être découverte et cet écart de conduite exploité brillamment par un goujat. Après l'extorsion de quelques menues monnaies en échange de son silence, le bougre est passé à la vitesse supérieure en réclamant à l'infidèle un accès total à ses charmes!

Il n'a même pas nié cet aspect de la relation lors du procès, rapportant qu'il avait effectivement plusieurs fois invité la dame au restaurant et que la soirée s'était souvent terminée par une partie de jambe en l'air entre adultes consentants!

Tous les échanges se sont déroulés à l'oral, les dons effectués en liquide, aucune preuve tangible n'a pu être apporté et il a été relaxé! Certes la plaignante n'allait plus le subir, mais à quel prix! Tout le monde connaît maintenant l'histoire dans sa grosse bourgade de province! Dur à encaisser et à supporter!

Mon contrat pourrait peut-être suffire à prouver le chantage? Argument vite rejeté votre honneur il est cosigné et décrit très clairement des jeux là aussi entre adulte consentant! Rien à espérer de ce côté-là. Mes portes de sortie sont en train de se fermer l'une après l'autre et mes pistes se réduisent à vue d'œil.

Après avoir abordé tous les aspects d'un chantage, sur lequel mon amie à une parfaite maîtrise de la question, nous avons terminé la soirée des sujets plus joyeux, une petite histoire de meurtre au style comparable à celle d'un Dupont de Ligonnès, et une de viol devant un sexe shop, plus classique, mais tout aussi dramatique, sur laquelle elle travaille en ce moment. L'accusé ayant prétexté qu'il avait cru voir une chatte en chaleur, il va prendre cher, on ne plaisante pas avec la souffrance animale en France! Il faut être motivé pour faire ce taf!

Le lendemain midi le message de Paul me précise de venir avec la même tenue que la semaine précédente, il l'a appréciée et souhaite en faire profiter ses invités! Cela ne présage rien de bon, mais je vais me plier à son caprice, je n'ai pas de nouveaux achats à effectuer c'est déjà ça!

Mais alors que j'avais laissé mon esprit divaguer sur les possibles invités suggérés, provoquant une angoisse et une tension palpable en sonnant à sa porte, l'après-midi a été étonnement tranquille. Après une première demi-heure passée à m'exposer, nue comme un ver, les mains écartant de manière exagérée les lèvres de mon sexe, jambes bien espacées, je n'ai été obligée que de le sucer trois fois jusqu'au repas du soir! Chaque avalage de foutre reste une véritable épreuve pour moi, mais à part ce désagrément que j'ai réussi à gérer, rien de terrible à l'horizon!

Et à l'approche de la collation, je suis agréablement surprise, convaincue de passer cette journée sans encombre! Cette fois cela ressemble plutôt à un pique-nique, pas de doux et savoureux effluves ni de préparation mitonné, seules quelques salades colorées se partagent l'espace de la table basse du salon qui va nous servir de mangeoire. Nous nous restaurons en silence, moi à genou devant la table, lui confortablement installé dans son canapé (!), seul un petit fond de jazz à la Count Basie rempli le salon.

Une fois ce frugal repas terminé, il me demande de me rhabiller. À regret, j'avais espéré finir la soirée bien au chaud, je remets la tenue avec laquelle je suis arrivée en début d'après-midi, quelques boutons en haut de ma robe en moins, laissant une plongée vertigineuse sur mes seins et dotée d'une nouvelle paire de chaussures au pied.

Il me tend une nouvelle boite qui contient quantité de rouge à lèvres, aux multiples teintes de rouge, qui attendent avec impatience pour s'étaler sur les lèvres d'une bouche charnue. Mon dévolu s'arrête sur un rouge très sombre reflétant mon état d'esprit du moment. Paul me remet un petit sac à main, simple et élégant, que je n'ai pas le droit d'ouvrir, une surprise pour plus tard.

Acte 2 - un bar de campagne

Un court trajet en voiture nous amène face à un bar de son village. La rue est sombre, isolée, presque morbide et cette devanture terne à la peinture écaillée et aux vitres sales n'invite pas à franchir la porte.

-- Pourquoi m'emmenez-vous dans ce bar sordide alors que nous ne sommes qu'à quelques encablures du centre-ville qui propose des bars bien plus chic.

-- Tu ne trouveras jamais dans tes bars à bobo toute la richesse de la campagne.

Il sort de la voiture et vient m'ouvrir la portière. Quel plouc, il me parle de richesse alors que le dernier coup de peinture que ce gouge a reçu remonte à sa construction.

Le bar est sombre, au ton jaune pisseux, il se compose seulement d'une dizaine de tables en formica d'un grenat marbré des années 50 et d'un bar aussi kitch orné d'une magnifique enseigne lumineuse « Ricard ».

Je m'attends à découvrir quelques posters de filles à poil sur les murs issus de quelques « Lui » traînant dans les toilettes. Même pas, la décoration est campagnarde alternant les tableaux et puzzles aux scènes de chasse diverses, une pendule « Cinzano », un grand calendrier « Orangina » et quelques cartes postales épinglées sur un coin de mur complètent la scène. Bienvenue chez les ploucs!!

Quelques bouseux composent l'assemblée, deux paysans accoudés au bar discutent le bout de gras avec le patron, la cinquantaine, le front dégarni et luisant, un mégot douteux au coin de la bouche.

À peine entré dans le bar que nous sommes, enfin nous (je peux faire ma prétentieuse ici!), que je suis l'objet d'intérêt de toutes les paires d'yeux présentes, même un aviné avachi sort de sa torpeur pour lorgner sans vergogne sur mon décolleté.

Une rougeur d'écolière devant son 1er rendez-vous m'envahit, j ai chaud, je me sens gênée par tous ses regards me détaillant de la tête au pied. Ma tenue est très sobre, mais sexy laissant deviner mes atouts et en supposer d'autres, seules les chaussures pouvaient marquer un côté salope.

Nous prenons place au fond du bar, je fais face au comptoir et croise le regard vicieux de patron, même de loin je devine un peu de bave sortir de la commissure de ses lèvres! La vue générale de ce petit comité m'attriste.

Paul me commande une bière sans me demander mon avis. Le patron prend son temps en les amenant, les yeux rivés sur ma poitrine. La bière est fade et j'interpelle Paul d'un ton moqueur en le remerciant de me faire découvrir la pisse d'âne que l'on sert dans son patelin. Je la repousse négligemment et décide de la bouder.

-- Tu auras bientôt l'occasion de l'apprécier à sa juste valeur. Rappelle-moi ce que tu es.

Quelques secondes de flou et les termes du contrat me reviennent.

-- Votre soumise Mr, réponds-je tout bas, je dois faire tout ce que vous me demanderez, quel que soit le lieu ou le moment, sans jugement ni discussion.

Je serre les dents en finissant ma phrase, évitant de la clôturer par un Mr ducon.

-- Dans ce cas tu ne verras pas d'inconvénient à te faire baiser par un des clients du bar dans les chiottes?

Sa demande me parait surréaliste, comment pourrai-je me faire baiser par un des ploucs de ce troquet insalubre!!! Je n'ai pas le temps de réagir qu'il enchaîne.

-- Tu peux le sucer pour le mettre en forme, mais il doit te baiser, il peut bien sûr te tripoter ou t'embrasser. Ce bistrot comporte des toilettes extérieures, tu vas aller au bar demander au patron où elles sont et proposer à un des deux clients du bar de t'y accompagner, car tu as peur de te perdre.

Comme tu le vois, tu as encore le choix. Et n'oublie pas de me ramener la capote pleine de foutre!

Je le regarde, incrédule. Déjà là je passe pour une blonde, mais en observant les deux paysans au bar un haut-le-cœur m'envahit. Ces deux petits gros, le front bas, les yeux un peu vitreux laissent supposer qu'ils sont loin d'être à leur premier verre de vin. Ils me semblent soutenus par le bar!

-- Alors femelle lequel choisis-tu?

Je ne réagis pas, perdue dans mes pensées.

-- Femelle!

Le ton plus appuyé fait détourner le regard d'un de nos voisins et me fait revenir à la table. Qui je choisis??? Comme si on pouvait choisir entre la peste et le choléra, je n'avais pas envie de choisir, pas la, pas comme ça, pas avec eux.

Et même s'il m'avait demandé de choisir parmi tous les clients du bar le choix serait resté invraisemblable inimaginable, inconcevable (et je manque de superlatif là!). Je cherche à toute vitesse une solution, une excuse valable qui ne le vexera pas et ne fera pas subir de punition en rentrant.

-- Je ne suis pas prête là, plaidé-je, je ne suis pas assez excitée.

-- Ouvre ton sac.

J'y découvre une petite dizaine de préservatifs et un petit tube de lubrifiant, touché, ce salaud a pensé à tout.

-- C'est ta 1ere sortie aussi je prends soin de toi, mais une bonne femelle doit savoir être prête à tout moment et doit savoir se préparer, aujourd'hui je t'autorise cet artifice. Dépêche-toi de choisir ou notre accord peut prendre l'eau.

Je me décide sur celui de gauche estimant qu'il est de loin le moins atteint des deux. Paul me regarde et le sourire qui apparaît sur son visage alors que je me lève semble me dire « bonne bite » ... Je le hais de tout mon corps, je lui retourne un regard de tueuse.

J'ai encore un peu de mal avec les talons hauts et mon démarrage vers le bar a failli se terminer en un magnifique vautrage à 4 pattes, je le rejoins finalement d'une démarche lente et peu assurée. En arrivant au bar je demande d'une petite voix les toilettes au patron.

-- A les chiottes, dit-il d'un ton puissant afin que tout le monde l'entende, au fond de la cour, tu prends la porte là et fais attention aux poubelles.

Je prends une grande bouffée et me lance. Je demande d'un ton mal assuré au paysan choisi s'il veut bien me montrer le chemin invoquant ma peur de me perdre en route. Après un moment assez long où l'on peut imaginer la question atteindre son cerveau, faire le tri des infos, peser les différentes réponses, non je blague ça respire le vide cérébral là. Un « avec plaisir Mlle » sort enfin de sa bouche, suivi d'une odeur de vinasse appuyée qui me fait détourner la tête.

-- Je vous suis alors.

Il se met en branle et même sans talon son démarrage ressemble au mien quelques instants auparavant. Nous atteignons une arrière-cour, sombre, aux relents d'ordures et aux allures de dépotoir. Les gogues trônent au fond de la cour. Arrivé à destination le paysan commence à faire demi-tour, je l'arrête, j'ai chaud, je n'arrive pas à lui demander d'aller plus loin, m'imaginer le sentir contre moi me dégoûte.

Mais la pensé d'un retour au bar la capote vide ne laisse aucun doute à mon futur. Il en cuirait forcément à mon cul ou mes avantages. Je prends mon courage à deux mains (avant de prendre sa queue me dis-je, cette pensée me fait sourire malgré la situation désespérée et dénote de mon stress) et lui demande de m'accompagner jusque dans les toilettes des fois qu'elles ne ferment pas.

Je suis surprise en les ouvrant, je m'attendais à un endroit aussi glauque que le reste puant la pisse, voire pire, dans un état délabré. Mais là elles sont nickels, propres, grandes, bien mises, avec même un lavabo et on y tenait à deux sans problème. Ils ont mis tout le fric dans leurs toilettes!!

La proximité du paysan devient dure à soutenir, une odeur de vin, la transpiration et autres effluves indéterminés remplissent vite les toilettes. Je dois faire vite sinon je vais finir par être asphyxiée. Je lui propose sans ambages de me baiser. Il y a urgence là sinon je vais craquer. Il baisse son pantalon et son caleçon pour découvrir une bite de taille honorable accompagnée d'une odeur d'urine assez forte. Je commence à le caresser en tournant la tête, il faut qu'il bande je n'arriverai pas à le sucer sans vomir.

Je déboutonne le reste du haut de ma robe pour découvrir totalement mes seins qu'il s'empresse de malaxer. Ça marche, l'effet est immédiat et sa queue devient assez dure pour lui enfiler le préservatif. Je me prépare avec un peu de gel, mon sexe a la sécheresse du désert de Gobi. Je suis loin d'avoir envie d'une partie de jambe en l'air. Je me mets à 4 pattes au-dessus de la cuvette et lui offre mon sexe en l'invitant à venir.

Il me pénètre d'un grand coup, un minimum de préliminaire semble être le cadet de ses soucis et malgré le lubrifiant une brûlure envahit ma chatte. Il me laboure à grand coup désordonnés, j'espère juste qu'il pourra finir très vite. Mon vœu est exaucé! Moi qui pensais ne plus être croyante! Quelques allers-retours ont suffi à le faire juter.

Aucun plaisir, aucune excitation, j'ai juste l'impression d'avoir joué la poupée gonflable de service pour arriéré. Je récupère la capote la ferme et la remet dans mon sac, mon paysan s'esbigne rapidement après avoir remis ses hardes. Je reste assise sur les cuvettes la tête dans les mains des larmes de rages dans les yeux. Je profite du lavabo pour me refaire une beauté, reprends mes esprits et rejoins la table où Paul m'attend en sirotant sa bière.

-- Alors comment s'est passée ta nouvelle fonction de salope?

Sans répondre, je m'assois, prends la bière et la vide d'un trait, ce qui me fait tourner la tête quelques instants. Paul en profite pour en commander une autre.

-- Alors vous avez bien trouvé les chiottes? s'inquiète le patron en venant nous servir.

-- Oui merci, réponds-je sans contrôler cette bouffée de chaleur qui m'envahit en voyant dans son regard qu'il sait ce que j'y avais fait.

15 minutes après Paul me demande si je n'ai pas une petite envie d'aller aux toilettes, la bière peut parfois provoquer des besoins naturels. Il ne faut pas que je me retienne maintenant que je sais où elles se trouvent!

-- Je ne pourrai pas le refaire Mr.

-- Si, bien sûr, tu as tous les accessoires pour être une bonne salope ce soir non?

J'enrage, je ne suis pas une salope et ne le serai jamais. Je retiens une folle envie de le gifler.

-- Regarde, je crois que son collègue est jaloux de son copain, tu ne voudrais pas qu'il s'engueule à cause de toi quand même?

-- Comme si mon 1er choix avait servi quelque chose, lui dis-je manquant dans mon ton du respect souhaité.

-- Cela m'a permis de voir quel était ton type d'homme, tu n'es pas si difficile que ça finalement! Dépêche-toi il s'impatiente.

Je me lève et me rends en mode zombie au bar pour inviter l'autre paysan à m'escorter aux cagoinces. J'invoque cette fois la noirceur de la cour comme excuse, sous le regard en coin et le sourire du patron.

Il m'y accompagne sans se faire prier, m'indiquant aux mieux les écueils du trajet. Les toilettes s'emplissent très vite à nouveau d'odeurs nauséabondes. Malgré mes efforts son sexe reste au plus bas, et l'idée de le sucer m'écœure, mais là je n'ai plus de solution. Je m'agenouille pour le prendre en bouche, une forte odeur d'urine me remplit rapidement la bouche provoquant une vive envie de vomir. Il ne se lave jamais à la campagne???

La capote enfin en place, je commence à me mettre en levrette, cette position me permet au moins de ne pas les voir. Mais il veut que je m'allonge le dos sur la cuvette. Rien ne me sera épargné. En relevant mes jambes pour me pénétrer il m'écrase les seins.

Il me pistonne avec lenteur, s'occupe de mes seins, les malaxes généreusement et m'offre de nombreuses pelles baveuses et avinées. J'ai beau essayer d'y échapper, il s'avère plus vif que son état me le laissait supposer et arrive très souvent à ses fins. Chacune d'elles suscite un début de nausée que j'ai de plus en plus de mal à contenir.

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