Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Une rougeur d'écolière devant son 1er rdv m'envahit, j ai chaud, je me sens gênée par tous ses regards me détaillant de la tête au pied. Ma tenue est très sobre mais sexy laissant deviner mes atouts et en supposer d'autres, seules les chaussures pouvaient marquer un côté salope.

Nous prenons place au fond du bar, je fais face au comptoir et croise le regard vicieux de patron, même de loin je devine un peu de bave sortir de la commissure de ses lèvres! La vue générale de ce petit comité m'attriste.

Paul me commande une bière sans me demander mon avis. Le patron prend son temps en les amenant, les yeux rivés sur ma poitrine.

La bière est fade et j'interpelle Paul d'un ton moqueur en le remerciant de me faire découvrir la pisse d'âne que l'on sert dans son patelin. Je la repousse négligemment et décide de la bouder.

- Tu auras bientôt l'occasion de l'apprécier à sa juste valeur. Rappelles moi ce que tu es.

Quelques secondes de flou et les termes du contrat me reviennent.

- Votre soumise Mr - répondis-je tout bas - Je dois faire tout ce que vous me demanderez, quel que soit le lieu ou le moment, sans jugement ni discussion.

Je sers les dents en finissant ma phrase, évitant de la clôturer par un Mr ducon.

- Dans ce cas tu ne verras pas d'inconvénient à te faire baiser par un des clients du bar dans les chiottes?

Sa demande me parait surréaliste, comment pourrai-je me faire baiser par un des ploucs de ce troquet insalubre!!! Je n'ai pas le temps de réagir qu'il enchaîne.

- Tu peux le sucer pour le mettre en forme mais il doit te baiser, il peut bien sur te tripoter ou t'embrasser. Ce bistrot comporte des toilettes extérieures, tu vas aller au bar demander au patron où elles sont et proposer à un des deux clients du bar de t'y accompagner car tu as peur de te perdre.

Comme tu le vois, tu as encore le choix. Et n'oublies pas de me ramener la capote pleine de foutre!

Je le regarde, incrédule. Déjà là je passe pour une blonde, mais en regardant les deux paysans au bar un haut le cœur m'envahit. Ces deux petits gros, le front bas, les yeux un peu vitreux laissent supposer qu'ils sont loin d'être à leur premier verre de vin. Ils me semblent soutenus par le bar!

- Alors femelle lequel choisis-tu?

Je ne réagis pas perdue dans mes pensées.

- Femelle! - le ton plus appuyé fait détourner le regard d'un de nos voisins et me fais revenir à la table.

Qui je choisis??? Comme si on pouvait choisir entre la peste et le choléra, je n'avais pas envie de choisir, pas la, pas comme ça, pas avec eux.

Et même s'il m'avait demandé de choisir parmi tous les clients du bar le choix serait resté invraisemblable inimaginable, inconcevable, (et je manque de superlatif là!). Je cherche à toute vitesse une solution, une excuse valable qui ne le vexera pas et ne fera pas subir de punition en rentrant.

- Je ne suis pas prête là - plaidai-je - je ne suis pas assez excitée.

- Ouvres ton sac.

J'y découvre une petite dizaine de préservatifs et un petit tube de lubrifiant, touchée, ce salaud a pensé à tout.

- C'est ta 1ere sortie aussi je prends soin de toi mais une bonne femelle doit savoir être prête à tout moment et doit savoir se préparer, aujourd'hui je t'autorise cet artifice. Dépêches toi de choisir ou notre accord peut prendre l'eau.

Je me décide sur celui de gauche semblant de loin le moins atteint des deux.

Paul me regarde et le sourire qui apparaît sur son visage alors que je me lève semble me dire « bonne bite » ... Je le hais de tout mon corps, je lui retourne un regard de tueuse.

J'ai encore un peu de mal avec les talons hauts et mon démarrage vers le bar a failli se terminer en un magnifique vautrage à 4 pattes, je le rejoins finalement d'une démarche lente et peu assurée.

En arrivant au bar je demande d'une petite vois les toilettes au patron.

- A les chiottes - dit-il d'un ton puissant afin que tout le monde l'entende - Au fond de la cour, tu prends la porte là et fais attention aux poubelles.

Je prends une grande bouffée et me lance. Je demande d'un ton mal assuré au paysan choisi s'il veut bien me montrer le chemin invoquant ma peur de me perdre en route.

Après un moment assez long où l'on peut imaginer la question atteindre son cerveau, faire le tri des infos, peser les différentes réponses, non je blague ça respire le vide cérébral là.

Un « avec plaisir mlle » sort enfin de sa bouche, suivi d'une odeur de vinasse appuyée qui me fait détourner la tête.

- Je vous suis alors.

Il se met en branle et même sans talon son démarrage ressemble au mien quelques instants auparavant. Nous atteignons une arrière-cour, sombre, aux relents d'ordures et aux allures de dépotoir.

Les gogues trônent au fond de la cour. Arrivée à destination le paysan commence à faire demi-tour, je l'arrête, j'ai chaud, je n'arrive pas à lui demander d'aller plus loin, m'imaginer le sentir contre moi me dégoûte.

Mais la pensé d'un retour au bar la capote vide ne laisse aucun doute à mon futur. Il en cuirait forcément à mon cul ou mes avantages.

Je prends mon courage à deux mains (avant de prendre sa queue me dis-je, cette pensée me fait sourire malgré la situation désespérée et dénote de mon stress) et lui demande de m'accompagner jusque dans les toilettes des fois qu'elles ne ferment pas.

Je suis surprise en les ouvrant, je m'attendais à un endroit aussi glauque que le reste puant la pisse, voir pire, dans un état délabré. Mais là elles sont nickels, propres, grandes, bien mises, avec même un lavabo et on y tenait à deux sans problème. Ils ont mis tout le fric dans leurs toilettes!!

La proximité du paysan devient dur à soutenir, une odeur de vin, la transpiration et autres effluves indéterminées remplissent vite les toilettes. Je dois faire vite sinon je vais finir par être asphyxiée. Je lui propose sans ambages de me baiser. Il y a urgence là sinon je vais craquer.

Il baisse son pantalon et son caleçon pour découvrir une bite de taille honorable accompagnée d'une odeur d'urine assez forte. Je commence à le caresser en tournant la tête, il faut qu'il bande je n'arriverai pas à le sucer sans vomir.

Je déboutonne le reste du haut de ma robe pour découvrir totalement mes seins qu'il s'empresse de malaxer. Ça marche, l'effet est immédiat et sa queue devient assez dure pour lui enfiler le préservatif.

Je me prépare avec un peu de gel, mon sexe a la sécheresse du désert de Gobi. Je suis loin d'avoir envie d'une partie de jambe en l'air. Je me mets à 4 pattes au-dessus de la cuvette et lui offre mon sexe en l'invitant à venir.

Il me pénètre d'un grand coup, un minimum de préliminaire semble être le cadet de ses soucis et malgré le lubrifiant une brûlure envahit ma chatte. Il me laboure à grand coup désordonnés, j'espère juste qu'il pourra finir très vite.

Mon vœu est exaucé! Moi qui pensais ne plus être croyante! Quelques aller - retour ont suffi à le faire juter.

Aucun plaisir, aucune excitation, j'ai juste l'impression d'avoir joué la poupée gonflable de service pour arriéré. Je récupère la capote la ferme et la remet dans mon sac, mon paysan s'esbigne rapidement après avoir remis ses hardes.

Je reste assise sur les cuvettes la tête dans les mains des larmes de rages dans les yeux. Je profite du lavabo pour me refaire une beauté, reprends mes esprits et rejoins la table où Paul m'attend en sirotant sa bière.

- Alors comment s'est passé ta nouvelle fonction de salope?

Sans répondre je m'assoie, prends la bière et la vide d'un trait, ce qui me fait tourner la tête quelques instants.

Paul en profite pour en commander une autre.

- Alors vous avez bien trouvé les chiottes? - s'inquiète le patron en venant nous servir.

- Oui merci - répondis-je, une bouffée de chaleur m'envahit en voyant dans son regard qu'il sait ce que j'y avais fait.

15 mn après Paul me demande si je n'ai pas une petite envie d'aller aux toilettes, la bière peux parfois provoquer des besoins naturels. Il ne faut pas que je me retienne maintenant que je sais où elles se trouvent!

- Je ne pourrai pas le refaire Mr.

- Si, bien sur, tu as tous les accessoires pour être une bonne salope ce soir non?

J'enrage, je ne suis pas une salope et ne le serai jamais. Je retiens une folle envie de le gifler.

- Regardes, je crois que son collègue est jaloux de son copain, tu ne voudrais pas qu'il s'engueule à cause de toi quand même?

- Comme si mon 1er choix avait servi quelques chose - lui dis-je manquant dans mon ton du respect souhaité.

- Cela m'a permis de voir quelle était ton type d'homme, tu n'es pas si difficile que ça finalement! Dépêches toi il s'impatiente.

Je me lève et me rends en mode zombie au bar pour inviter l'autre paysan à m'accompagner aux cagoinces. J'invoque cette fois la noirceur de la cour comme excuse, sous le regard en coin et le sourire du patron.

Il m'y accompagne sans se faire prier, m'indiquant aux mieux les écueils du trajet. Les toilettes s'emplissent très vite à nouveau d'odeurs nauséabondes. Malgré mes efforts son sexe reste au plus bas, et l'idée de le sucer m'écœure mais la je n'ai plus de solution.

Je m'agenouille pour le prendre en bouche, une forte odeur d'urine me remplit rapidement la bouche provoquant une vive envie de vomir. Il ne se lave jamais à la campagne???

La capote enfin en place, je commence à me mettre en levrette, cette position me permet au moins de ne pas les voir. Mais il veut que je m'allonge le dos sur la cuvette. Rien ne me sera épargné. En relevant mes jambes pour me pénétrer il m'écrase les seins.

Il me pistonne avec lenteur, s'occupe de mes seins, les malaxes généreusement et m'offre de nombreuse pelles baveuses et avinées. J'ai beau essayer d'y échapper, il s'avère plus vif que son état me le laissait supposer et arrive très souvent à ses fins. Chacune d'elles suscite un début de nausée que j'ai de plus en plus de mal à contenir.

Il est plus endurant que son collègue et un râle de bête à l'agonie m'annonce la fin de mon calvaire. Alors que mon « amant » d'un soir va rejoindre son fief, le comptoir, d'une démarche fière et satisfaite de l'homme aux couilles vides, je m'agenouille devant la cuvette et me vide la boyasse.

Malgré un long rinçage de bouche, le goût du vin 3 étoiles reste incrusté et à peine assise à la table je m'empresse de vider ma bière espérant un effet salvateur.

- Tu vois que tu l'apprécies ta bière finalement - ironise Paul.

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Paul sent les efforts fournis par Lucie pour accepter de se faire baiser par ces hommes peu agréables, surtout pour une femme de son âge. Il ressent les conflits émergeant dans ses pensés, entre le risque d'une nouvelle punition, celle de photos envoyées à sa famille, et les barrières mentales qu'elle doit franchir pour accepter ses accouplements contre nature.

Cela lui plaît, surtout qu'elle n'y semble prendre aucun plaisir pour l'instant, il se dit que de nombreuse autres barrières devront être vaincues pour l'amener à en jouir, cela augure un apprentissage des plus pimenté.

Il apprécie ses violentes envolées au vocabulaire peu châtié quand il lui donne ses directives, il la veut active, vivante, énergique, bataillant de tout son être avec sa morale, ses convictions, ses repères.

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Le 3eme est un jeune homme dans mes âges, grand, musclé, qui avait rejoint le bar quelques minutes auparavant, remarquant sûrement mon manège. Sa tête est par contre toute petite au regard de sa carrure. J'avais espéré, par son allure plus plaisante et sa jeunesse, un peu plus de compassion mais un « tu baises? » à peine arrivée au bar ne me laisse plus aucun doute, c'est bien l'idiot du village!

Il est bien membré et bande déjà comme un porc à peine arrivé aux wc, Il me prend debout contre le mur, j'enroule mes jambes autours de ses hanches pour mon petit confort. Il me bourre sans ménagement me soulevant un peu à chaque coup de rein, et me laissant retomber lourdement le long de sa verge.

Il est rude, ses assauts sont violents, sans relâche et je sens ma chatte trempée réagir à cette brute. Si je jouis ce simplet ne s'apercevra de rien et n'ira pas s'en vanter auprès des autres. Je vais m'autoriser ce plaisir, me détendre au mieux, espérant qu'il ne vienne pas avant moi, ce serait trop horrible et frustrant.

Mon plaisir monte, s'enfle, devient intense, je suis au bord de l'explosion. Je ferme alors les yeux pour oublier l'endroit sordide qui m'entoure, la tête de l'hydrocéphale qui me baise et profiter pleinement de ma jouissance.

Elle m'envahit, me submerge, traverse tout mon corps pour venir raisonner dans ma tête à la manière d'une grosse cloche. Je serre les dents pour ne rien laisser sortir, car même si je ne suis pas une grande crieuse je ne veux rien laisser paraître de mon plaisir.

Je me sens bientôt toute molle, encore secouée par ses coups de rein réguliers. Il n'a pas bronché, rien remarqué et continu sa besogne au même rythme.

J'ai maintenant envie qu'il en termine au plus vite, le retour à la réalité est affreuse. Ça lui prend encore un long moment avant se de se bloquer au plus profond de ma chatte pour tout lâcher dans la capote.

Il se rhabille et sort sans un mot me laissant assise sur les chiottes une capote à mes pieds. Je n'existe déjà plus à ses yeux, j'enrage, même pas le moindre petit mot pour me remercier.

Je suis encore en sueur en arrivant à la table, Paul me regarde, constate la longueur du rapport, m'interroge, je lui note l'endurance du jeune homme en omettant mon plaisir. Une 3eme bière m'est servi, celle-là me désaltère.

J'attends avec anxiété et n'ose regarder Paul de peur d'être renvoyer dans les toilettes, je suis vidée de la journée après la séance de l'après midi. Mais rien ne vient et j'aperçois enfin le bout de ce calvaire.

Alors que je finis mon verre, le patron commence à fermer son troquet, seul encore 4 clients prennent leur temps profitant de ma présence je suppose. Il ferme les volets, boucle la porte et tire le rideau. Je ne comprends pas.

- Peut-on y aller Mr Paul je suis crevée, j'ai fait tout ce que vous m'avez demandé, j'ai même réussi à ramener les capotes.

- Ouvres ton sac et dit moi combien de capote vierge te reste-t-il.

- J'en ai encore 5 Mr.

- Ce serait dommage de ne pas les remplir non?

Je parcours la salle du regard et ne vois que les 4 clients restant. Deux paysans et deux à l'allure plutôt ouvrière, entre 40 et 50 ans, pas des plus attirants mais de loin plus engageant que les deux premiers qui m'ont baisé.

Et puis le patron traverse mon esprit, accompagné d'un énorme beurk mental, j'avais espéré que Paul soit le 5ème, mais la silhouette du patron en train de nous rejoindre ne me laisse plus aucun doute, je vais être obligée de me le taper.

Je fulmine, explique à Paul que j'avais respecté ses conditions, que je ne voulais plus me faire sauter, m'emporte, .... Mais je sens bien que mes requêtes sont vaines une fois de plus. Il me laisse m'exprimer, me vider de ma colère, de mon énervement, et quand il me sent à bout d'argument enchaîne.

- Ecoutes moi bien petite femelle, il ne s'agit pas de venir jouer avec une ou deux bites et de repartir chez toi bien au chaud, tranquillement, après avoir pris ton pied. Tu es là pour être la salope du bar ce soir et je veux que tu fasses ta salope, ne m'obliges pas à te rappeler tes obligations.

Tu vas être le petit trou à bite des derniers clients, est ce clair?

- Oui Mr - lui répondis-je d'une petite voix, en m'effondrant sur ma chaise.

- J'aime bien quand tu te mets en colère, l'embrasement de tes joues fait ressortir ton rouge à lèvre. Il te va bien ce petit surnom ce soir, tu aimes? Ou préfères-tu « sac à foutre »? Allez cette fois je ne te laisse pas le choix j'ai un petit faible pour le 1er, rappelles moi ce que tu es déjà?

- Le ..... - ce sobriquet salace a du mal à sortir - « le petit trou à bite » des clients du bar Mr.

- Alors déshabilles toi, tu gardes quand même tes bas et tes chaussures, je ne voudrai pas que tu prennes froid et tu vas leur demander si leur « petit trou à bite » leur fait envie.

Je suis atterrée, ce strip au milieu du bar est des plus déplaisant, les 4 derniers clients sont en plus disposés au 4 coins de la pièce histoire de bien rajouter à ma gêne. Je vais devoir arpenter ce bar dans tous les sens.

Je passe les voir, essayant d'un geste stupide et inutile de leur cacher mes seins et mon sexe, pour leur poser la question. Chacun me caresse les seins ou les fesses, un plus téméraire me doigte même, je dois les sucer un peu pour commencer à les mettre en forme.

Je laisse une capote vierge sur la table pour la suite avant de repartir vers un autre. Sans surprise aucune réponse négative sur leur envie de me baiser n'est venu résonner à mes oreilles.

Mon second tour de table est plus actif, il me baise à la hussarde, chacun dans une position différente, les seins écrasés sur le froid du formica avec les bras tirés en arrière par mon partenaire, le bord de la table me rentrant dans les cuisses à chaque coup de queue jusqu'à la plus classique levrette.

Entre deux clients je ramène consciencieusement la capote pleine sur la table de Paul, il en profite pour commenter ma dernière baise, appréciant ci, regrettant ça, soulignant ma performance ou encore déplorant mon manque d'énergie.

Je ne prends même plus la peine de lui répondre, enchaînant les clients pour terminer au plus vite.

Le patron clôture le spectacle, il m'installe au milieu du bistrot allongée sur une table, me rabat les jambes contre mes seins et me demande de garder cette position.

Il rapproche alors mes fesses en bord de table pour un meilleur accès à mon sexe. Je sens sa queue, d'une taille similaire à celle de Paul mais un peu plus épaisse, caresser ma chatte, mon clito, se baladant dans la raie de mes fesses, battant la mesure sur mon vagin. Il s'amuse avec pendant plusieurs minutes.

Et au moment où je m'y attends le moins, il agrippe fermement mes hanches et me pénètre entièrement d'une seule traite me faisant lâcher un petit cri de surprise. Ma chatte était bien préparée à la recevoir après les 4 clients, mais il a la plus grosse et mes lèvres toutes gonflées des précédents rapport lui offre un fourreau plus serré.

Il prend son temps alternant les petits coups rapides et les grandes chevauchées profondes, ses mains quittent parfois mes hanches pour aller titiller mon clito, faisant monter un plaisir que je contrôle de moins en moins.

J'avais déjà lutté lors du dernier rapport pour ne pas jouir sous les coups de boutoir. Je ne voulais pas le faire en public, pas leur donner ce plaisir de me voir prendre mon pied baisée par des ploucs.

Mais là je ne le contrôle plus, il s'invite à la fête, me fait perdre la mesure, m'envahit et comme dans les toilettes je ferme les yeux voulant au mieux m'extraire de ce lieu, surtout que je ne peux cacher ma tête avec mes mains.

Il accélère ne me laissant pas de répit et j'explose sans retenue, les dents une nouvelle fois serrée, une onde me submerge, la chaleur m'envahit et je flotte quelques instants au-dessus de cette table!!

En revenant sur terre, j'ouvre les yeux, croise le regard d'un des clients, tous m'entourent pour mieux profiter du spectacle. Je constate alors seulement que le patron s'est arrêté, sa bite à mi-course dans mon vagin et qu'il m'observe la mine épanouie, son mégot allant d'un coin à l'autre de sa bouche.

Ils sont tous là, figés, suspendus à mes lèvres, même si celles-ci ne parlent pas, jubilant de ma jouissance, savourant mes expressions, observant mes réactions, délivré d'une frustration en me voyant enfin prendre mon pied.

Mon bassin s'active tout seul et délivre des petits coups vers sa bite. Il donne l'impression que ma chatte veut attraper quelques centimètres supplémentaires de sa queue. Une chaleur m'envahit à nouveau mais de honte celle-là. Aucune position ne me permet de me soustraire à leurs regards.