L'ouvrière Soumise Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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J' entends ensuite le zip de la fermeture éclair, aussitôt suivi par le chaud contact de sa verge se posant sur mon sillon. Quelques vas et vient du bassin font coulisser le sexe entre mes fesses en décalottant le gland à chaque passage, ce qui le lubrifie pour la suite des festivités.

Je suis concentré sur le couloir avec cette peur indescriptible de voir surgir mon homme d'un moment à l'autre et qu'il me découvre ainsi dans cette position de femme offerte tout en me délectant de la perversité de la scène.

Comment puis-je tenter de lui faire avaler que l'homme qui se vautre contre mes fesses nues, la bite à l'air ne fait rien de mal?

Que c'est un malentendu, que le fait qu'il veuille me prendre ainsi en levrette est tout à fait normal pour un invité et que mon chéri doit être compréhensif, dites moi comment?

Rien que d'y penser cela décuple mon excitation, finalement je crois que j'adorerais que mon mec débarque juste au moment ou Jean m'enfonce sa grosse bite dans la chatte, qu'il constate que j'adore qu'on me prenne comme une petite salope et que j'aime le faire cocu.

J'aimerais que mon mari reste là a nous regardez pendant que Jean continue à me baiser et que je glousse de plaisir à chaque coup de queue tout en le regardant dans les yeux. Oh, oui j'aimerais çà, ça m'excite vraiment.

Je divague encore dans mes fantasmes quant je sens la queue me pénétrer centimètre par centimètre sur toute sa longueur pour venir buter contre mon utérus, il me tient fermement par les anches, il commence à ce branler lentement en moi.

La scène est irréelle, je me fais prendre par Jean le voisin de Marcel, chez moi dans ma cuisine, alors que mon homme est dans la pièce d'à coté.

Je ferme les yeux pour me concentrer sur la colonne de chair qui m'écartèle la chatte. J'apprécie chaque aller retour qui me ramone le conduit en espérant que cela dure le plus longtemps possible.

- Vous êtes merveilleuse, c'est tellement jouissif de vous baiser au nez et à la barbe de votre mari, ça décuple mon érection. Aimez vous çà, au moins?

- Hum ! Je vous en prie ! Taisez vous ! Baisez moi, vite !

- Pourquoi vite, vous avez peur?

- Oui ! Ils peuvent revenir ?

Il accélère la cadence comme pour me rassurer, vient claquer contre mes fesses à chaque coup de reins, ce qui raisonne dans la pièce.

- Mais... Vous êtes, fou ? MMM, ils vont entendre ?

- Alors puis-je vous enculer?

- HUMM ! Tout ce que vous voulez ? Mais vite !

Je suis en transe au bord de la jouissance, lorsqu'il enfonce d'un coup son membre dans mon anus le dilatant sauvagement, malgré l'importante lubrification, cela déclenche immédiatement une première jouissance qui me laboure l'épine dorsale jusqu'à la nuque.

Plusieurs aller retour puissants agrippé à mes hanches, je le sens se déverser en moi, à chaque soubresaut de sa queue je prends une giclée de liquide chaud dans les boyaux, cela me fait de nouveau jouir à en agripper les bords du meuble pour que nous ne tombons pas au sol.

Il s'appuie sur moi de tout son poids, sa bite encore planté entre mes fesses, il m'embrasse et me lèche dans le coup.

- Vous êtes fantastique et méritante.

L'excitation retombe vite, je me rajuste tant bien que mal, nous sortons rapidement le repas du traiteur, je suis encore toute perturbé avec ses émotions lorsque j'entends des rires venant du couloir.

Nous avons échappé au pire, car même si cela me fait fantasmer je ne veux pas faire subir cet outrage à mon époux, c'est bien ainsi.

- A je vois que tout est prêt alors passons à table mes amis, tient chérie assis toi là juste entre nos invités vous avez tellement de choses à vous dire.

Marcel décale ma chaise pour que je m'assoie, par galanterie mais aussi pour pouvoir me frôler les fesses discrètement, puis il s'assoit à ma gauche et Jean à droite tous deux mon regardez avec un sourire qui en dit long.

- Vous nous gâter mon ami, nous avons votre épouse rien que pour nous, vous ne pouviez pas nous faire plus plaisir.

- Du moment que vous n'en abusé pas je vous la prête pour la soirée, mais sous ma surveillance il va de soit.

Ils rient tous ensemble trinquant de nouveau au champagne après avoir remplis également mon verre.

Je vous passe les pelotages sous la nappe que mes deux compères, me font subir faisant remonter cette excitation malsaine en moi. Chacun son tour, voir parfois les deux en même temps, ils me caressent, me doigtent devant mon époux qui incroyablement ne voit toujours rien.

Le repas dure plus d'une heure, j'ai la tête qui tourne et la chatte en feu à force d'être malmené sous la table, le champagne coule toujours à flot, cependant mon mari semble se fatiguer ralentissant ses phrases avec parfois des pertes de rythmes dans le discours.

Pour ma part je sens que mes deux lascars se sentent de plus en plus à l'aise devant mon homme, ils cachent moins leurs mouvements, lorsqu'ils passent leurs mains sous la nappe pour me caresser, hors ce n'est peut être qu'une impression de ma part, il faut dire que coté sensations je suis au maximum.

Mon mari parle de moins en moins et semble vraiment fatigué, quant à moi j'ai vraiment trop bu car maintenant je ris ouvertement alors que Marcel vient d'ouvrir mon décolleté pour sortir mes seins à l'air libre.

- Messieurs ? Voyons cela ne se fait pas ! Mon mari regarde.

Je n'y crois pas, je me laisse abuser là à moins d'un mètre de mon mari et lui il regarde sans réagir, c'est comme dans mes fantasmes les plus fous.

Les deux hommes poursuivent ma débauche, Marcel m'embrasse sur la bouche pendant que l'autre me suce les tétons.

- Vous êtes complètement fous ? Il ne faut pas, MMMM !

Chacun plonge une main entre mes cuisses pour les saisir et les écarter au maximum, passant mes jambes par-dessus les leurs de façon à me bloquer dans cette position indécente.

Ma robe est complètement remontée, Marcel me la retire, je reste là uniquement en porte jarretelles, les cuisses ouvertes entre deux pervers qui me pelotent sans vergogne devant mon homme.

Comme dans mon fantasme je me laisse partir entre leurs mains.

- Ho ! Chérie ! Regarde ? Ce qu'ils font ! MMM ! Messieurs, ce n'ai pas bien ? Je suis une!MMUU ! Femme mariée.

Leurs doigts sont déjà dans ma chatte depuis un moment à m'ouvrir et me doigter pour faire sortir mon jus, mes tétons pointés sont mordillées et pincés. Je sens des baisés dans le coup, sur ma bouche et mes oreilles, le plaisir vient de partout en même temps.

Soudain Marcel se relève, il pousse tout ce qui se trouve sur la table, il me prend dans ses bras et me dépose couché sur celle-ci, ma tête se retrouve juste à hauteur de la braguette de Jean qui s'est aussi levé

Marcel pousse ensuite sa chaise pour s'asseoir jute devant mes jambes qui pendent dans le vide, il agrippe mes cuisses pour les relever bien haut ouvrant ma moule juste devant ses yeux.

Je sens immédiatement sa bouche se poser sur ma chatte, sa langue humide me pourfend la raie sur toute sa longueur pendant que l'autre a sorti sa queue en me la présentant devant le visage.

Sous cet angle sa bite est énorme, elle sent encore de m'avoir baisé les entrailles, cependant je ne peux pas m'empêcher d'ouvrir la bouche en grand pour l'engloutir.

Il m'agrippe les cheveux pour aider ma bouche à coulisser sur sa tige selon ses coups de reins pendant que Marcel me butine les muqueuses, léche la peau sensible de ma fente, il me mordille le bouton pour le faire grossir.

Sous le coup d'une première vague de plaisir qui me tortille dans tous les sens, je tends mon bras vers mon homme comme pour m'assurer qu'il est encore là, ma main prend la sienne en la serrant fort pendant que je jouis sous la langue experte de Marcel.

Il ne réagit toujours pas, mais regarde la scène les yeux grand ouvert, est t-il consentant?

Peut être qu'il aime çà, me voir offerte à deux mâles en rut, moi en tout cas je m'éclate sous tous les angles suçant cette grosse tige qui m'a si bien ramoné et ondulant du cul sous le léchage de mon Marcel.

- Marcel, baise moi ? Je t'en prie ? Prend moi !

Il se tourne vers son Jean.

- Tu la veux encore?

- Je t'en prie Marcel, faite toi plaisir.

Il n'a pas fini sa phrase que la bite de Marcel entre déjà dans mon puits d'amour.

- AAARRR ! Salope ! Tu es une trop bonne cette pute

Il accélère en me donnant de puissant coups de bite qui claquent contre mes fesses en libérant des flots de mouille a chaque pénétration, il doit me retenir par les reins car à chaque coup de bite mon corps avance sur la table.

Je tiens toujours la main de mon homme pendant que Jean cadence les vas et vient dans ma bouche sur les coups de bite que Marcel me prodigue.

HAN ! HAN ! HUM ! Ils gémissent en duo, redoublant d'efforts pour me défoncer chacun de leur coté, je ressens les pines entrer et ressortir en cadence libérant des ondes de plaisir de plus en plus fortes.

- HO ! Jean je vais l'enculer?

- Va y ! C'est une pure merveille

Ces deux salauds me considèrent comme leur objet sexuel, tout leur est maintenant permis, sans même demander ma permission, ni celle de mon mari qui semble toujours absent malgré son regard pointé sur nous.

Sans prévenir, Marcel m'embroche le cul jusqu'aux couilles avec un grand cri.

- HAAAFFFF ! Putain de salope, je t'encule encore !

Ce salaud vient de m'enculer, comme s'il ne l'a jamais fait, comme s'il vient enfin d'obtenir ce qu'il désire le plus au monde.

- Oui : RROOH ! Enculez moi ! Oui ! Plus fort ! OUIII ! Notre excitation à tous est tellement forte que nos corps se sont mis à trembler en cœur, nos cris de plaisir s'entremêlent en résonnant dans la pièce, mes hommes me liment de plus en plus vite, un dans ma gorge, l'autre dans mon cul.

- HAAAARRRFFFF !

Ils craquent ensemble déversant leur semence en moi, je déglutis tout le liquide possible, mais la quantité est trop importante. Le sperme coule hors de ma bouche malgré qu'il me tient fortement la tête à deux mains avec sa queue toujours au fond de ma gorge.

Marc lui déverse encore des flots de foutre dans mon cul à chaque contraction de sa bite, je sens le liquide chaud et poisseux couler dans mes intestins.

Vous ne me croirez peut être pas mais je suis fière d'avoir fait jouir deux hommes en même temps avec mon corps, quelle expérience extraordinaire pour une femme, jamais je n'aurais imaginé jouir autant.

C'est toute courbaturé que je me relève, assise sur le bord de la table.

J'attache mes cheveux en chignon, je reprends doucement mes esprits, je regarde mon mari qui est toujours là sans rien dire.

- Ne vous inquiétez pas, il va bien mais il ne se rend compte de rien.

- Comment ça, mais il a tout vu.

- Oui, mais demain il ne se souviendra de rien, vous verrez.

- Comment est-ce possible ? Il à l'air parfaitement conscient.

- Ça c'est notre petit secret, on ne peut pas tout vous dire, allez viens allons le coucher car seule tu n'y arrivera pas.

Une fois mon mari au lit, Marcel et son ami me remercie pour cette agréable soirée en me promettant de me revoir très vite, ce dont je ne doute pas. Là je suis totalement rassuré, mon aventure va pouvoir se poursuivre, car à présent c'est moi qui en ai envie de cette débauche.

Mon mari et moi avons donc passé le week end à nous reposer et nous câliner tendrement. nous prenons Nous prenons le petit déjeuné ensemble, je le regarde en repensant à cette soirée de samedi.

Étonnamment je n'ai aucun remords juste le regret de lui mentir et de lui cacher les choses.

Je continue mes galipettes avec Marcel qui ne se gêne pas pour y faire participer Jean et

d'autres intervenants.

J'ai bien contesté la première fois, mais avec toute les orgasmes que je subis, je ne refuse

plus rien, même pas les chiens.

Marcel m'a fait devenir une ? Restons polis, accro au sexe en tous genre, du moment que

je jouis intensément.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Le plus important, c'est que son mari ait pu resté ignorant de ses frasques sexuelles, et que son ménage n'ai pas volé en éclat.

OlivX

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

J’adore vos histoires surtout quand les héroïnes initialement prudes se révèlent être de véritable perverses avides de sexe. À bientôt pour de nouvelles aventures toujours plus lubriques..,

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Ils avaient donc drogué le mari pour baiser tranquillement sa femme sous ses yeux

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Voilà une jolie fin à cette histoire qui évite le cliché du candaulisme et voit éclore la nouvelle personnalité de l’héroine. Elle ne traîne pas non plus en longueur, évitant ainsi de devenir un catalogue de situations convenues. Bravo!

Edgar.

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