L'ouvrière Soumise Ch. 03

Informations sur Récit
Première sodomie.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 04/06/2022
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Première sodomie.

Samedi, je me rends chez une esthéticienne, dans un quartier que je ne fréquente pas pour me faire épiler. Depuis que je me suis fait épiler mes parties intimes. Je découvre le plaisir d'être nue sous une robe, de sentir le vent caresser ma croupe et ma grotte, ce qui met en un tel état d'excitation que je ne soupçonnais pas. Il ne ce passe pas une heure sans que je repense au plaisir que m'a donné Marcel.

Dimanche je reste nue sous mon peignoir toute la matinée sans que Jacques réagisse.

Il a passé son temps dans le garage à faire de la mécanique sur une vielle voiture.

Si Jacques m'avais fait l'amour, je lui aurais peut-être parlé du chantage me fait Marcel.

Il ne ce passe pas un jour de la semaine sans que je croise dans l'atelier. Marcel qui m'a glissé un petit mot pour me rappeler que je dois venir vendredi après midi dans sa maison qu'il a hérité de ses parents, qu'il laissera la grange ouverte pour que je rentre ma voiture à l'abri des regards.

Aujourd'hui vendredi après midi, je m'habille d'une robe légère sans rien en dessous à la demande de Marcel. Puis je me rends chez lui comme convenu, j'angoisse comme la première fois, je sais qu'il va me prendre comme une pute que l'on ne paye pas.

La grange est ouverte, il est là, souriant, je rentre en voiture, il referme les portes, je descends du véhicule.

-Tu es belle dans cette robe, allons voir si tu as suivi mes instructions. Dit il en s'avançant vers moi, il déboutonne le haut de ma robe, regarde mes seins libres qu'il empoigne à deux mains, puis gratte avec ses ongles mes tétons qui se dressent sous le grattage après il finit de déboutonner ma robe, écarte les deux pans en sifflant d'admiration.

Je rougis de confusion sans réagir, je suis sous sa domination, ce que je ne déteste pas.

-Allez vient, je te montre le chemin, ce n'est pas la peine de refermer ta robe, tu sais pourquoi.

Nous traversons la grange pour entrée dans la maison, puis Marcel me fait pénétrer dans une chambre ou trône un lit cage métallique. Le drap est propre, il y a un sac est sur le pied du lit? Je vois qu'il y a un caméscope posé sur une étagère, il est là pour immortaliser cette séance de soumission, il va avoir de quoi faire une vidéothèque et augmenter son emprise sur moi.

Je n'ai pas le temps de me retourner qu'il me pousse en avant en agrippant ma robe qu'il m'enlève en la tirant par derrière.

Il me fait me retourner, par réflexe, je cache ma poitrine avec mes bras, un sentiment de honte me tétanise. En m'écartant les bras, il me dit.

-Ah non, je veux voir tes beaux seins, tu devras t'habituer à être toujours nue en ma présence.

Il me regarde un instant mes seins, se penche sur ma poitrine, ses lèvres s'emparent d'un de mes mamelons pour le sucé sans vergogne pendant qu'une main malaxe l'autre en prenant le téton entre ses doigts, qu'il roule et tire.

Mes seins durcissent, mes tétons se dressent d'excitation sous ce traitement, il se retourne pour aller fouiller dans le sac, pour en sortir deux pinces reliées par une chaîne.

-C'est quoi ces trucs? C'est pour quoi faire?

Dans ses mains, il a des pinces. Je le regarde affoler, je regarde les pinces. Il ouvre une pince saisie mon téton droit, pose la pince et la laisse se refermer sur mon téton tendu. Dieu! Quelle douleur!

La pince écrase ma chair. La douleur irradie depuis la pointe de mon sein jusque dans mon ventre. Mon cœur s'arrête. Mes oreilles bourdonnent. C'est violent, je suis en train de perdre pied. Je recule cependant trop tard, je fais un geste pour la retirer, je reçois une grande claque sur la joue qui me fait vaciller.

- Laisse la sinon je t'en mets une autre. Dit il en levant la main au-dessus de ma joue meurtrie.

Je lève le bras sur mon visage pour me protéger, il en profite pour accrocher l'autre pince à mon deuxième téton, je pousse un hurlement de douleur.

Le sang afflux dans le bout de mes seins meurtris, on dirait que l'on me les arrache tellement la douleur est forte, elle se diffuse dans mes seins maintenant. J'ai du mal à respirer

je cherche de l'air bouche grande ouverte.

Il recule en me tenant les avant-bras. Mes tétons emprisonnés dans les pinces me font souffrir. Marcel me passe la main sur la joue, remonte vers mon front et empoigne mes cheveux. Il me tire la tête en arrière. Sa bouche se colle à la mienne dans un baiser fougueux, nos langues ce mélange pendant que des perles de larmes roulent sur mes joues.

Collé à moi, il me caresse le dos, les fesses, je m'abandonne à son baiser jusqu'à la fin.

Je regarde mes seins qui tombent sous le poids de ses pinces.

Il me pousse vers le lit ou je m'assois, mes seins ballottent ce qui ravive la douleur

Marcel s'accroupit devant moi, fourre sa tête entre mes cuisses, entreprend d'ouvrir ma grotte avec sa langue en écartant mes grandes lèvres, il remonte sur mon bouton d'amour

qu'il gobe en l'aspirant, ses lèvres le pince, sa langue le fouette, il se durcit sort de son capuchon, j'écarte les cuisses de plaisir, il a trouvé un de mes points sensible.

Une nouvelle sensation inconnue, la douleur s'est remplacée par une douce chaleur qui envahie mes seins, ça devient agréable, très agréable.

Marcel me pousse doucement sur le lit, je me laisse choir en me reculant le plus possible. Je sens la douleur revenir dans mes seins ballottés dans le mouvement à cause de la chaîne qui pend. Je retiens mon souffle quand je vois Marcel se pencher sur ma vulve. Je gémis quand sa bouche se colle dessus et que sa langue s'insinue dans ma grotte et tourbillonne dedans. Sa langue dans ma chatte me donne des frissons dans tout mon corps, je sens ma jouissance monter du fond de mon vagin.

Soudain je sens un objet froid et dur s'introduire entre les lèvres de mon sexe humide

C'est un gode qu'il enfonce complètement à l'intérieur de moi, l'objet se met à vibrer doucement tandis qu'il l'enfonce puis le retire d'un geste lent et continuel de ma grotte

Ses lèvres pincent en aspirant mon clito qui gonfle de désir, je sens le plaisir monter dans mon ventre malgré moi.

Marcel accélère sa cadence avec le gode qui se met à vibrer dans mon ventre. Je ne sais plus où j'en suis, je perds pied au moment où un orgasme déferle dans le bas de mon ventre pour remonter jusqu'à mes seins, j'inonde la main et le gode qui me font jouir.

Il y a bien longtemps, que je n'avais plus eu un orgasme semblable.

-Met toi à quatre pattes. Me dit il en retirant le gode de ma grotte ruisselante de cyprine.

Dans un état second, je me retourne, il plonge un doigt dans ma chatte baveuse, puis vient masser mon petit trou, la caresse est agréable, surtout que d'autres doigts s'agitent dans ma chatte et entretiennent le plaisir, le doigt qui me masse plonge entre les plis de ma corolle

il le fait tourner comme pour écarter l'entrée, un deuxième rejoint le premier ça devient moins agréable, là je devine le but qu'il souhaite atteindre.

-Non pas par là Marcel... Je veux pas!

Quand il sort ses phalanges de mes entrailles, je crois que c'est fini, mais je me trompe. Sa main qui me masse le sexe recueille de la cyprine pour badigeonner la petite porte de mon jardin secret et son gland. Il y a quelques secondes de silence puis il présente son gland devant ma petite porte pour visiter mon jardin secret. Je me répète, qu'il ne va pas le faire, il ne va pas me sodomiser.

Une de ses mains descend entre mes seins, attrape la chaîne qui relie les pinces et tire doucement en arrière. La douleur me fait reculer sur son gland.

Je cramponne mes ongles dans le matelas et j'essaye d'expirer quand il pousse la petite porte de son gland. Il passe le seuil. J'ai l'impression qu'il me déchire.

Une douleur fulgurante me traverse le cerveau. J'ai les yeux écarquillés et le souffle coupé.

- J'ai enfoncé la moitié d'un coup. Tu dois avoir un peu mal. Mais ne t'inquiète pas, tu aimeras. Toutes les femmes aiment.

Il me caresse le dos lentement, en me parlant doucement.

- Calme, calme, détends-toi, ça va aller, je vais bien m'occuper de toi. Tiens, suce ça.

Il me présente ses doigts à sucer.

Après quelques instants, je commence à me détendre. Il le sent, il commence à reculer doucement sa bite, avant de me l'enfoncer à nouveau avec force, mais sans violence. Je le laisse me pénétrer comme je ne l'ai jamais été. Je me sens... envahi.

J'ai quelque chose de chaud, vibrant et puissant qui prend possession de mon fondement. Il lâche la chaîne qui relie les pinces de mes seins. Ses mains rassurantes me retiennent par les hanches. Un homme s'occupe de moi. Il prend quelques instants pour me flatter la nuque, où caresser mes flancs.

Il joue quelques secondes avec mes seins. Mon souffle revient. Il devient chaud et profond... Je soupire, par contre, dans un râle, il plonge entièrement en moi en m'attirant à lui.

- Voilà, tu es à moi!

Ses lourds testicules recouvrent mon périnée. Son bassin collé au mien témoigne de sa domination. Son ventre poilu qui écrase à présent mes reins, ses jambes qui contrôlent les miennes, ses mains m'assurent de la présence d'un homme qui fait ce que tout homme doit faire, utiliser sa supériorité.

Marcel glisse une main entre mes cuisses, et très doucement, il commence à me caresser, au début seule la douleur est présente, il faut un bon laps de temps avant que je ressente les bienfaits de ses doigts sur mon clitoris, petit à petit j'ai moins mal, je sens une douce chaleur m'envahir.

Sous l'effet magique de ses doigts, je me mets à gémir, onduler d'avant en arrière, mon anus se dilate de plus en plus, lui ne bouge pas, c'est moi qui me sodomise sur sa queue dure comme du bois, puis l'orgasme clitoridien m'emporte, mes mouvements deviennent de moins en moins coordonnés. Petit à petit mes gémissements s'estompent, laissant place à des plaintes plus rauques venant du fond de ma gorge, qui d'évidence ne sont pas dues à la douleur.

Marcel se met en mouvement lentement, prenant soin de toujours se renfoncer totalement pour assouplir mon boyau récalcitrant. D'ailleurs mon anus reste ouvert même quand la bite de Marcel ressort et la pénétration devient de plus en plus aisée ne rencontrant plus aucun obstacle. Marcel reprend l'initiative, il fait ressortir entièrement sa queue pour la replonger immédiatement. Il recommence la manœuvre plusieurs fois, me provoquent des râles. Je sens quelque chose monter profondément de mon ventre, toucher mon sexe avant d'atteindre à mon cerveau, c'est un orgasme naissant que j'essaye de refouler.

J'ai la bouche ouverte, mais muette, devant cette sensation nouvelle et qui bouleverse tous mes sens, sentant monter quelque chose d'inconnu le long de sa colonne, quelque chose que je ne contrôle plus. Les cris rauques recommencent à sortir de mes lèvres, de plus en plus forts au rythme de la cadence et de l'amplitude des mouvements de la bite de Marcel qui ressort de plus en plus loin avant de replonger dans mes profondeurs anales. Il commence à me pilonner de plus en plus violemment, ressortant parfois de mon anus qui forme maintenant un rond d'un diamètre de plus en plus large, puis replonge pour s'enfoncer sans résistance jusqu'au fond de mes riens. Sans pudeur comme une chienne, je frotte mes fesses sur son bas ventre.

Je rentre en transe, je me mets à hurler ma jouissance en me cabrant, un liquide transparent se mis à gicler de ma grotte tandis que mon amant redouble d'ardeur. J'ai le corps couvert de chaire de poule devant tant de jouissance, je crie mon nouveau plaisir, allant au devant du membre qui m'ouvre les fesses de plus en plus profondément.

- Ah, putain, t'aimes ça hein? Regarde, comme tu aimes prendre ma queue...

Moi, je prends un gourdin dans mon jardin qui n'a plus rien de secret pour la queue de Marcel qui imprime sa vitesse, de plus en plus grande, et c'est lui qui retient réellement mon corps de ses mains et ses bras puissants.

Un bruit de succion se fait à présent entendre, entre deux percussions par ses couilles. Mes fesses aussi claquent. Je glisse tellement que sa verge sort plus d'une fois de son fourreau. Elle en retrouve tout aussi naturellement son chemin.

Ses mains se dérobent également, il me prend par la tignasse. Je suis enculé en profondeur et je crie, le visage levé, les yeux fermés. Le plaisir a fini de m'envahir, il a raison, j'adore ça.

J'aime la manière dont il me chevauche. J'aime le sentir entrer, ressortir, prendre possession de moi. J'aime être soumise à son sexe imposant.

Il m'insulte en me baisant, entre deux souffles.

- Ah grosse chienne! Tu voulais pas qu'on t'encule hein! Grosse pute! Mais tu l'aimes ma bite hein? T'en réclames hein? T'en as plus rien à foutre de ton mari maintenant, tout ce que tu désires, c'est le foutre du Marcel, hein salope! T'aimes ça hein?

Mes seins balancent à chaque coup de bite, entraînaient par les pinces, ça dure trop longtemps à mon goût, c'est interminable, il accélère le mouvement, ses mains resserrent mes hanches, il beugle en même temps que je ressens une chaleur envahir mes entailles, il jouit.

Il s'est immobilisé, plaquer à mes fesses, ses mains caressent mon dos puis descendent sur mes seins et retirent les pinces, enfin il sort de mon fondement.

Je me couche sur le côté, mon anus agité de spasmes rejette par saccades des relents de spermes brunâtres sur mes fesses tâchant le drap, je me ressaisis, je suis dégoûtée, frustrée par ce qu'il vient de me faire subir, indépendamment du plaisir que je viens de découvrir.

- Salaud tu m'as violée t'es qu'un obséder, un dégueulasse! Un salaud de maître chanteur

Il sourit en me donnant ma robe, je me rhabille, je marche à petits pas de peur que

mon ventre ne laisse encore s'écouler plus de sperme.

Pendant qu'il ouvre les portes de la grange, je me bourre les fesses de mouchoirs en papier que je prends dans la boite à gant, pour ne pas tacher ma robe et mon siège.

- A vendredi même heure? Me dit il en agitant une main d'un air sévère.

Vendredi? C'est ça, tu peux attendre longtemps, salaud. Que je pense, le cul toujours en feu. Toute la soirée, c'est très dur, je m'en veux énormément, j'ai tellement honte de moi. En plus, il y eut cette sodomie. Tout cela est si sale, si pervers pour moi, bien que j'aie eu un plaisir inattendu et incroyablement fort, je n'arrive pas à me pardonner.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Jusqu’où va-il pouvoir réussir à l’amener sur le chemin de la débauche ?

Il me tarde de lire la suite…

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