L'orage Revisité

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Je me souviens encore aujourd'hui du sourire qui illuminait son visage à cet instant.

Etrange journée de ma vie, je renais pour avoir franchi le conduit vaginal maternel. Cela me laisse une impression étrange qu'il me faut digérer, j'ai peu de goût pour le jeu autant qu'à la rencontre entre amis. Je dois digérer ce phénomène qui me tombe sur les épaules que je sens frêles en l'occurrence. Ma mère m'observe de loin, inquiète, sans doute pleine de remord, elle fait semblant de s'intéresser à son travail mais le cœur n'y est pas. Une gène s'est installée entre nous, nous avons fait un pas de trop l'un vers l'autre, un pas qui est notre secret commun. Elle a préparé un goûter spécial comme seule une mère peut faire : elle a confectionné un gâteau, elle m'en coupe une part, je la mange avec plaisir et gourmandise pendant qu'elle me regarde. Elle veut me dire quelque chose c'est évident mais comment aborder son fils quand celui-ci est aussi son amant depuis la dernière nuit. « L'orage s'éloigne » dit elle. « Cela te rassure, tu n'auras pas peur cette nuit ». « Si » souffle-t-elle doucement, « j'ai peur tous les soirs ». Je ne dis rien, j'attends une suite qui doit nécessairement suivre. « J'ai peur toutes les nuits, l'orage était un prétexte, j'ai besoin de quelqu'un vois tu? ». Je hoche lentement la tète, oui, je comprends qu'elle me parle de sa solitude, de mon père rarement présent, de sa vie de femme qui file au long des jours. « Je suis là ». Je viens de murmurer ces mots, c'est presque inaudible mais je l'ai dit. Maman me sourit : « As tu bien saisi ce que je viens de te dire? ». Je hoche la tète affirmativement. « Si nous couchons ensemble, nous recommencerons comme la nuit dernière ». Je la regarde dans les yeux, « Ce sera notre secret ». Elle a un rire de dérision, « Crois tu que l'on puisse vivre avec un si lourd secret? ». Je lui souris à mon tour, « Essayons ». J'ai dit cela avec un enthousiasme qui la fait franchement sourire. « Crois tu que les choses soient si simples? », « A nous de ne pas les compliquer » lui ai-je répondu aussitôt, avec spontanéité. Elle baisse la tète et semble réfléchir, « C'est compliqué à vivre cette histoire » me dit-elle, soudain grave. « A nous de la vivre simplement » dis je, étonné encore par le sérieux de ma réplique, « Nous pouvons essayer ». Elle se redresse : « Et si cela ne marche pas? pourrons nous faire marche arrière? ». « Pourquoi veux tu que cela ne marche pas? nous ne sommes pas étrangers quand même! ». « Cela va changer beaucoup de choses entre nous ». « Que veux tu que ça change puisque de toute façon nous nous aimons ». Elle me regarde soudain surprise de ma dernière phrase. « Oui, nous nous aimons mais j'ai peur d'établir d'autres relations avec toi, des relations qui ne sont pas de simple relations mère-fils ».

Je me lève alors et contourne la table pour la prendre par le cou, « Maman je t'aime de toute façon, peu importe la manière ». Je l'embrasse fougueusement sur la joue, elle me serre entre ses bras et nous restons là, enlacés l'un à l'autre, ni mère ni fils ni amants, deux êtres au monde.

C'est ma seconde nuit dans le lit de maman, je l'ai voulue encore plus fougueuse que la précédente qui m'avait pris au dépourvu. Je vais user de ma connaissance embryonnaire pour lui procurer encore plus de plaisir que la nuit d'avant. La nuit d'avant, la nuit où je renaissais des cendres de mon enfance. Maintenant j'avais goûté ce fruit hautement défendu, j'avais franchi ce fleuve que l'on ne franchi pas, j'étais sur la berge interdite, mais libre de mes mouvements, prêt à donner libre cours à cette perverse fantaisie qui allait me saisir.

Ma main sur son corps a remonté la chemise de nuit soyeuse jusqu'à dénuder son pubis, ma main part en exploration entre ses cuisses avec la brutalité et l'impatience de mon inexpérience. La respiration de maman est désordonnée, je prends son trouble pour un encouragement et fourrage entre ses cuisses qui s'ouvrent presque sans résistance. Sa fente est chaude et humide comme la nuit précédente, mes doigts s'y promènent et caressent sans vergogne et sans attention particulière. Son souffle est précipité, elle ne dit rien mais son trouble grandissant est une invitation à poursuivre. Je suis dur dans mon pyjama, je défais la cordelette qui le retient à mes hanches et le glisse jusqu'à m'en défaire. Mon sexe brandit sa gloire au bas de mon ventre, j'enjambe maman et lui monte dessus. Sa peau est douce contre la mienne, nos ventres refont connaissance pendant que mes genoux forcent ses cuisses. Elle s'ouvre et je glisse entre ses jambes ouvertes. Nous sommes sexe contre sexe, je ne m'embarrasse pas de caresses, je pousse mon gland contre la fente. Ses lèvres s'ouvrent, presque sans résistance, je suis déjà profondément en elle et commence mes vas et viens. Mon sexe est dur à me faire mal tandis que je la besogne. Je la sens humide comme hier soir, ma bite plonge en son vagin en grandes secousses, écartant chair et sécrétion dans un clapotis obscène. Floc, floc, floc, au rythme de mes reins déchaînés le son que font nos sexes confrontés retentit à mes oreilles comme une musique dépravée et qui me réjouit. Je redouble mes coups de queues et pistonne vigoureusement le vagin maternel, mon vis y plonge librement avec la férocité du soudard sevré de baise depuis des lustres.

Quand les premiers spasmes de la jouissance arrivent, je ne fais rien pour me retenir, je sais que je rebanderai bientôt, plus glorieux et endurant, libéré de ma première charge. Aussi je laisse le flot qui s'annonce monter et envahir le réceptacle profond et humide où je me répands en saccades longues et apaisantes, libératrices et porteuses de félicité. Maman a poussé un « ho » de surprise car elle n'attendait pas mon flot de sperme si tôt. Je l'inonde de liqueur blanchâtre jusqu'à ce que la semence trop abondante ne finisse par couler hors de sa chatte. Comme hier soir, j'imagine l'épaisse substance qui envahit peu à peu ses poils pubiens et coule lentement entre le sexe et l'anus.

Comme hier, elle me rejette avec force, bondissant du lit elle ramasse autour d'elle sa chemise de nuit en désordre et s'enfuit vers la salle de bains.

Comme hier, l'eau coule en abondance, je le sens au bruit émit par la tuyauterie débitant litre après litre le torrent qu'elle recueille dans la vasque du lavabos. J'entends des frottements énergiques, des bruits plus ou moins identifiés d'eau que l'on pompe et que l'on chasse avec un instrument. Elle se saisit de la serviette sur son support, je peux suivre maintenant ses gestes, elle se frotte l'entrecuisse avec énergie et repose la serviette à nouveau. Elle éteint la lumière et ses pas la ramène vers moi, elle est là et se glisse dans le lit, à me toucher.

Je suis déjà dur et prêt à recommencer. Maman s'en rend compte quand je me frotte à elle, ma bite contre sa hanche. « Tu as encore envie de moi? » sa question m'atteint comme un projectile : comment parler d'envie? et sa question suppose une soumission que je ne soupçonnais pas encore. « Oui » ai-je répondu simplement, déjà je relève sa chemise de nuit, cette fois bien plus haut que son ventre, au delà de ses seins que je découvre et par dessus sa tête pour la lui ôter complètement. Maman est nue contre moi. Je me défais de ma veste de pyjamas et me blottis contre elle. Sa peau est tendre et douce, je la caresse de mes mains qui vont de son ventre à ses seins. Je prends un des globes dans ma main et le masse doucement, je sens le téton qui durcit contre ma paume, il m'intrigue, je me saisis du bouton de chair entre deux doigts et le palpe avec vigueur. Maman soupire et pousse de petits cris au point que je crois lui faire mal. Je m'en inquiète, lui demande si elle souffre, « non » répond elle avant de soupirer « c'est si bon! » Je comprends que ma caresse l'excite au plus haut degré et renouvelle ma pression sur son téton. Elle émet de longs râles de plaisir et me tend sa poitrine que je pétris de plus belle. J'avance ma bouche pour me saisir de l'autre bouton de chair et me mets à le sucer avidement. Les cris de ma mère se font plus sonores et plus rauques, il me semble qu'elle perd toute raison et me livre ses seins pour mes massages profonds et prolongés sur les bouts de chair durs qui les couronnent. Ses cris se prolongent pour ne devenir qu'une plainte infinie et animale cependant que son corps est secoué de longs frissons et de ruades désordonnées. Vaguement inquiet, je lâche mes caresses pour la regarder. Elle se calme peu à peu, je viens de faire jouir ma mère par mes caresses, mais je ne le devine pas encore. D'ailleurs, je n'imagine pas tout ce que je pourrai plus tard obtenir d'elle rien qu'en touchant ses seins d'une sensibilité extrême.

Pour le moment je suis là contre elle, elle est haletante de sa fièvre et moi j'ai la bite enflée à nouveau, prête à plonger à nouveau en son vagin. J'en ai envie, je m'enhardis et ne lui demande pas si je peux. Ma main caresse à nouveau sa fente encore humide de ses récentes ablutions, mes doigts forcent ses lèvres épaisses qui s'ouvrent et plongent dans son intimité visqueuse et chaude. Je n'en peux plus d'attendre, je remonte sur son ventre, ma queue darde entre ses cuisses. Mes reins la poussent contre son entre jambes, je trouve sa fente, mon gland se fraie son chemin entre les lèvres poilues de son sexe, les bords s'écartent et je suis à nouveau en elle, en terrain de connaissance maintenant. Déjà je la pilonne de coups de reins furieux, ma bite fait son chemin jusqu'au fond du vagin au fur et à mesure des coups de glands qui ouvrent ses chairs.

Elle est surprise par la vigueur de mon attaque, elle pousse des « ho » de surprise à chacune de mes poussées et ses petits cris ont pour effet de multiplier ma rage de sexe. Je baise comme un furieux, battant violemment la fente de ma mère qui s 'échauffe sous le frottement rapide de ma queue. Ma bite gonfle de façon démesurée et je ne me retiens plus, un flot continu de sperme s'échappe du gland surchauffé de ma tige pour se perdre au fond de son vagin. Je jouis comme un forcené, donnant des coups de queue furieux pendant que la semence en spasmes rapides et drus jaillit et envahit à nouveau la cavité humide du sexe maternel.

Dans un dernier grognement je me suis propulsé en elle au plus loin que me permette ma bite, mais je n'ai pas le loisir de m'y complaire, déjà elle m'a basculé sur le coté et elle s'est enfui. A nouveau le bruit de l'eau si caractéristique qui coule, abondante dans la vasque de notre salle de bains. C'est comme un nouveau mystère, pourquoi cette précipitation? se laver certes, mais pourquoi si vite, pourquoi me repousser avec tant de brusquerie. J'en suis navré et presque frustré, je préférerais qu'elle reste là près de moi et que nous ayons une complicité tendre. Au lieu de cela elle se rue dans cette salle de bains où elle finit de m'échapper.

J'en suis là de mes réflexions lorsqu'elle se glisse à mes cotés. Elle est fraîche et humide de sa récente toilette. Elle se rapproche et prend ma tête dans le creux de son bras, nous sommes bien tous les deux.

« Sais tu que c'est formellement interdit de faire l'amour à sa mère? »

Sa question me touche en pleine félicité, je me redresse et la regarde, stupéfait. « Quoi? »

« Oui tu m'as bien compris, ce que nous venons de faire est illégal, voir même criminel »

« Criminel! » répétais je abasourdis.« Je pourrais demain aller en prison si cela arrivait à se savoir »

« Personne ne le saura!! » J'ai presque crié ma réponse, « personne, personne, jamais! » et je la regarde, à la fois effrayé et sincère. « Comment puis-je en être sur? » me demande-t-elle en me regardant dans les yeux. « Je te jure maman que personne ne saura jamais, ce sera notre secret ». Elle me sourit, « Et comment allons nous faire avec ton père quand il sera là? ». Ah oui, mon père, comment faire, il faudra le lui cacher, et puis, je ne pourrai pas dormir dans le lit de maman quand il sera là. Je hausse le épaules, « Je retournerai dans mon lit quand il sera la maison ». J'ai dit cela avec une infinie tristesse mais je sens bien que c'est la seule solution, d'ailleurs il va falloir commencer à y songer car il arrive la semaine prochaine et pour son mois de congé. Je suis triste tout à coup à la pensée de devoir quitter, ne serait-ce que momentanément le lit de maman. Elle prend conscience ma tristesse, sa main vient caresser mes cheveux, « Ne t'en fait pas, cela ne durera qu'un temps ».

C'est déjà une promesse de maîtresse à son amant, je ne suis pas consolé pour autant, ce mois d'Août va me sembler long!

Le mois d'Août est long en effet! J'ai accueilli mon père avec plus de curiosité que de joie. Pour la première fois de ma vie je le regarde différemment, presque comme un rival. Je ne vois plus le protecteur mais un intrus qui vient s'immiscer dans une intimité où il n'est pas convié.

Néanmoins il me faut patienter. Comme mon père est toujours loin de chez lui , il apprécie sa maison et il n'est pas question de voyage pendant son congé. Je dois donc me morfondre dans notre appartement pendant que les copains sont loin, je suis seul dans la ville.

Pendant tout ce temps c'est lui occupe la place dans le lit de ma mère. J'y pense la nuit, tout en me masturbant en pensant à elle : son corps que j'ai caressé abondamment, son sexe, ses seins si sensibles. Parfois je l'entends qui se lève pour courir à pas menus vers la salle de bains et je comprends alors qu'ils viennent de faire l'amour. La salle de bains est contiguë à ma chambre, les bruits des ablutions maternelles sont encore plus présents. L'eau coule et cela est aussi audible que si c'était dans la chambre même. Je perçois même des bruits que je ne connaissais pas, comme des succions qu'auraient fait un objet, une poire en caoutchouc par exemple

Un jour que mes parents sont sortis, je me suis mis à fouiller le meuble de la salle de bains à la recherche de cet objet que je soupçonne de produire ce bruit. Il ne me fut pas difficile de le mettre à jour. Il s'agit effectivement d'une poire de caoutchouc dans le style des anciens klaxons des automobiles d'autrefois. Mais cette poire est prolongée d'un tube noir en plastique d'une quinzaine de centimètres de long et d'un diamètre d'un centimètre environ. Il est enfermé dans une boite de couleur verte sur laquelle est écrit « Douche Marel ». A l'intérieur du couvercle de la boite, un mode d'emploi illustré que j'apprends rapidement : après avoir rempli la poire avec de l'eau, on doit ajuster le tube dessus, puis introduire le tube dans le vagin et chasser l'eau en pressant la poire. L'eau envahit la chatte et coule entraînant les sécrétions hors de la cavité. Il est conseiller de reproduire l'opération plusieurs fois, de plus en relâchant la poire, on produit une aspiration qui finit d'absorber les restes qui auraient pu stagner au fond du vagin.

Je remets en place l'appareil, je commence à mieux comprendre pourquoi ma mère court ainsi vers la salle de bains une fois que j'ai joui en elle. C'est son mode de contraception, il est vrai qu'on ne parle pas encore de pilule dans mes années de jeunesse.

J'imagine mieux ce qui se passe alors dans la salle de bains, l'eau qu'elle fait couler pour remplir sa poire, le tube qu'elle ajuste et, écartant les cuisses au dessus du bidet, elle presse la poire pour se laver le vagin du sperme qui vient de l'envahir. Maman prend ses précautions pour ne pas subir une grossesse. Je l'avais entendu plus d'une fois proclamer que jamais plus elle ne voulait cela car elle était issue d'une famille nombreuse et elle en avait souffert. Elle a cette hantise de se retrouver enceinte, et la façon dont elle me bouscule pour courir vers sa poire purificatrice et salvatrice en dit long sur cette angoisse.

Cependant elle ne peut se refuser à son homme sevré depuis longtemps d'amour et qui veut sa part de baise quand il revient à la maison, privé depuis trop longtemps du fourreau du sexe féminin et qui y déverse sa liqueur sans penser un instant aux conséquences de ses coups de bite dérisoires.

Dans les premiers jours, c'est presque tous les soirs que j'entends maman courir vers la salle de bains, à pas légers et rapides, pressée qu'elle est de se débarrasser de cette semence dont elle est pleine et dont elle ne veut pas. J'attends ce moment ou elle fera couler l'eau, je suis au fond de mon lit avec le sexe dur à la main, toute mon imagination tournée vers ce lieu et ce qui s'y trame.

Un soir il me vient une idée, il y a entre ma chambre et la salle de bains, une porte qui fut condamnée et devant laquelle il y a la table où je fais mes devoirs. Hors sur la porte il y a une serrure, et qui dit serrure, dit petite ouverture. L'idée me vient de coller mon œil à la serrure et voir la salle de bains. Je dégage un peu la table de mes livres qui s'y entassent et colle mon œil à la serrure. Pour l'instant je n'y vois goutte, la salle d'eau étant plongée dans le noir, mais je me couche l'oreille en attente.

Peu de temps se passe et j'entends la porte de la chambre de mes parents qui s'ouvre, maman presse le pas vers la salle de bains. Je guète le trou de la serrure, il s'éclaire. Je me glisse hors du lit sans bruit, l'eau s'est mise à couler de l'autre coté de la paroi. Je me penche vers le trou de serrure et y colle mon œil. Maman est de dos, face au lavabo, elle est nue et je vois qu'elle emplit sa poire d'eau froide, puis elle saisit le tube noir et l'ajuste sur la poire et s'en va s'assoir sur le bidet. Elle quitte un peu mon champs de vision et je dois me contorsionner pour la suivre. Le point de vue n'est pas idéal mais elle fait couler l'eau dans le bidet avant de s'y accroupir. De ses doigts, elle écarte sa fente et présente le tube de l'appareil à l'entrée de son vagin. Elle le fait pénétrer en elle au plus profond et appuie sur la poire. Elle se raidit car l'eau est froide, mais elle accentue sa pression sur la poire. Je vois l'eau qui jaillit de son sexe, une eau mêlée à une substance blanchâtre qui fait comme une bave au sortir de sa fente, je suis fasciné par le spectacle du sperme qui suit le chemin inverse qui l'a fait entrer là.

Elle recommence l'opération trois fois, à chaque fois, le spectacle de sa fente bavant le liquide blanchâtre me subjugue.

Après cet épisode, elle prend le gant de toilette et se frotte vigoureusement l'entre jambe pour chasser les traces de sperme qui pourraient y rester encore, mais sa toilette est bien faite et il ne subsiste plus de trace dans le buisson abondant de son pubis noir.

Le spectacle intime de ma mère m'a coupé le souffle mais grossi la queue, je l'ai comme un gourdin lorsque je me recouche pour me masturber avec vigueur. Sans plus attendre je libère un jet puissant de foutre qui va se perdre dans les draps car je n'ai pas eu le temps de me préserver.

C'est maintenant tous les soirs que j'attends ce spectacle intime, frustré les jours ou mes parents ne font pas l'amour. Traitant presque mon père d'impuissance le jour ou je n'ai pas le droit à la toilette du minou maternel. Cependant, l'opération a quand même lieu plusieurs fois par semaine, et les bons jours je peux y assister deux fois dans la même soirée. Cela restera ma grande fierté, jamais papa n'atteindra trois fois comme je le fis certains soirs, mais j'imagine que maman devait y trouver son compte elle aussi car cela tournait pour elle à la corvée de lavage.

Ainsi passait le temps, entre l'espoir et la volupté du voyeurisme, j'apprenais petit à petit le monde des adultes où je progressais à grands pas. Le mois tirait à sa fin et les couleurs de l'été se faisaient plus chaudes et plus dorée, elles préparaient le mois suivant et la venue de l'automne. Un peu de mélancolie s'installa à la maison, mon père devait partir vers d'autres horizons où, qui sait, l'attendaient peut être d'autres aventures et aventurières. En attendant il faisait ses valises à gestes lents, comme à regret. Il demandait à ma mère « Où as tu mis ma chemise, as tu repassé mon pantalon? » des questions de voyageur anxieux

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