Lisa & Lori - La Pente Glissante

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Je fais une rencontre vicieuse dans un train.
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Lisa & Lori - La pente glissante - Chapitre 01 : Le TGV.

Clac, les portes de mon wagon se referment bruyamment. Quelle misère, partir skier seule, comme une gourde...

Je le retiens, le François.

T'inquiètes, j'ai tout organisé. Départ 20h30, on se retrouve à 20h00 tapantes devant l'entrée de La Part Dieu.

T'inquiètes, t'inquiètes, en attendant il m'a lâchement abandonnée, ce couillon.

Pourtant, ça paraissait un bon plan ; un aller-retour en TGV pour la montagne ; un gîte au pied des pistes ; un prince charmant, pas mal en plus ; et une semaine complète à s'éclater sur les skis ; et ailleurs...

Ravalant ma déception, je prends place sur ma banquette. Plus que cinq minutes avant le départ.

Bon, il faut que j'arrête de me plaindre. Après tout, ce n'est pas de sa faute s'il s'est cassé le poignet en jouant au c... avec ses potes.

Hormis, deux jeunes gens assis en face de moi, dans l'autre rangée, ma voiture est pratiquement vide.

Le type est plutôt pas mal ; complètement coincé, mais séduisant. Genre jeune cadre dynamique, avec son attaché-case, son costume cravate et ses lunettes. Dans les vingt-cinq ans.

Il me jette sans arrêt des regards en coin et détourne les yeux à chaque fois que nos regards se croisent. Un sacré timide.

La fille, quant à elle, l'ignore complètement, visiblement il n'est pas son type.

Prenant mes aises, je me cale contre la vitre et étends mes snow-boots sur la banquette en face de moi. Les grosses bottes fourrées ne se marient pas si bien avec ma petite jupe et mon collant, mais désolée pour les amateurs, c'étaient les escarpins qui prenaient le moins de place dans mes bagages.

Enfin, le train se met à rouler. Il était temps, parce que la SNCF n'a pas lésiné sur le chauffage, et je n'en peux plus dans mes Moon-boots. Le trajet va durer un peu plus de trois heures, autant me mettre tout de suite à l'aise.

En jetant un petit coup d'œil à "Monsieur Coincé", je m'en débarrasse et les glisse sous mon siège. Ouf, le trajet a été éprouvant et les effluves que dégagent mes pieds en témoignent.

Tiens, le jeune homme a fixé son regard sur mes pieds, comme hypnotisé.

Amusée, je fais jouer mes orteils à travers le nylon fumé de mon collant, inspectant mes ongles fraîchement pédicurés, tout en le surveillant du coin de l'œil.

Brusquement, il semble revenir sur terre et rougit comme une tomate, détournant son regard pour fixer un point imaginaire droit devant lui.

Au même moment, je remarque le sourire amusé de la jolie brune. Elle doit avoir à peu près du même âge que moi.

Manifestement, elle n'a rien perdu du manège de "Monsieur Coincé".

Je lui souris et elle me renvoie mon sourire en me demandant si elle peut s'asseoir à côté de moi. J'accepte avec plaisir, guettant discrètement si "Monsieur Coincé" va enfin se décider à desserrer son nœud de cravate.

Elle est aussi brune que je suis blonde... Lui, imperturbable, persiste à garder les yeux dans le vague.

« Salut, moi c'est Lori » Déclare-t-elle en s'asseyant.

« Enchantée, moi c'est Lisa. Tu vas où? »

« Tignes, j'ai une semaine de location là-bas. »

« Non? Tu parles d'une coïncidence, c'est là que je vais moi aussi. »

Toutes à notre découverte, nous nous mettons à papoter comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Le monde est vraiment petit. Nous nous apercevons rapidement que nous serons logées dans le même gîte.

Lori a tôt fait de se serrer contre moi et d'allonger ses pieds à côté des miens.

Elle porte de jolis escarpins rouges qui tranchent avec son jean, lui dessinant des jambes de mannequin.

« Dis donc, tu sens drôlement des pieds! » Me déclare-t-elle de but en blanc.

« Tu parles, je viens de me farcir une heure de route avec mes bottes de ski. J'avais l'impression d'être dans un sauna. » Lui réponds-je en attrapant mon pied droit pour le porter à mes narines.

« Fais voir! » Renchérit-elle en se penchant sur mon pied. « Pouah! Qu'est-ce que tu sens fort! »

Sa franchise m'étonne, et je ne peux m'empêcher de jeter un regard vers "Monsieur Coincé". Stupéfaite, je constate alors qu'une bosse monumentale déforme sa braguette...

Son front luit de transpiration et ses joues sont plus rouges que jamais.

« Ah oui, tu trouves? Moi, j'aime bien cette odeur. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais ça m'émoustille à chaque fois. »

« Ben dis-donc, tu es une petite vicieuse, toi... » Lance Lori en éclatant de rire.

« J'avoue. Et toi? Tu sens des pieds? »

« Ça dépend. Quand je marche beaucoup c'est une horreur. Tu veux vérifier? » Renchérit-elle en me faisant un clin d'œil.

Sans attendre ma réponse, elle ôte son escarpin gauche et replie la jambe pour me présenter son pied.

Sans réserve, je plonge mon nez entre ses orteils. L'odeur est affolante. Emportée par l'ivresse de ce moment troublant, je hume avec délice les effluves qui se dégagent à travers son collant légèrement humide de transpiration.

Surveillant "Monsieur Coincé" du coin de l'œil, j'écarte légèrement mes cuisses.

Il nous contemple sans vergogne.

Non content d'être coincé, ce type est aussi un voyeur. J'écarte un peu plus mes genoux et glisse ma main entre mes jambes.

Les trépidations du train me taquinent les ovaires et je sens une humidité poisseuse envahir mon intimité.

Lori pousse de petits gloussements et décide de changer de place. Elle s'assoit en face de moi et me tend aussitôt son pied.

« Vas-y plus doucement, tu me chatouilles! »

Je regrette mon collant, mes doigts glissent sur le nylon et le rempart de tissu m'empêche d'entreprendre mon entrecuisse comme je le souhaite.

Lori m'observe attentivement, et son sourire m'en dit long sur ses sentiments.

Soudain, elle se penche vers moi et m'attrape une main pour la placer entre ses propres cuisses.

Prise d'une inspiration subite, je l'interromps.

« Tu me suis? Je vais me refaire une beauté. »

« Ok. »

Elle se redresse, renfile son escarpin et s'empare de son sac à dos, tandis que je remets mes Moon-boots.

Elle s'avance dans la travée, tandis que je m'approche du jeune homme.

Les yeux exorbités, il me regarde craintivement. Ce type doit avoir un vrai problème avec les filles.

« Bonjour, ça vous dérange de surveiller mes affaires pendant que je m'absente? »

« Ooou... Oui... Ppp... Pas de... Ppp... Problème. »

Mince, c'est un bègue ou quoi?

« Merci beaucoup, Monsieur C... Heu... À tout de suite. »

Je me hâte de rejoindre Lori, redoutant que son handicap me fasse sourire.

Elle m'attend, appuyée nonchalamment sur le dossier d'une banquette.

En coup de vent, je la dépasse et lui attrape la main pour l'entraîner vers les toilettes du compartiment.

Nous nous serrons l'une contre l'autre pour refermer la porte.

« Ça me donne envie de faire pipi, ça ne te dérange pas? » Demande-t-elle en criant pour couvrir le bruit du train.

« Pas du tout, d'ailleurs moi aussi j'ai envie. »

Rapidement, je baisse mon collant et me débarrasse de ma culotte. Au même moment, Lori écarte largement les cuisses, m'offrant une vue imprenable sur son sexe entièrement glabre. Son jet d'urine se fracasse bruyamment sur le fond de la cuvette.

« Et c'est toi qui me traitais de vicieuse? » Lui dit-je en baissant les yeux vers le spectacle obscène qu'elle exhibe sans aucune pudeur.

Avec un sourire irrésistible, elle avance de façon provocante son bassin vers moi, projetant par la même occasion quelques gouttes d'urine sur mes pieds.

« Petite cochonne, tu aimes ça les jeux d'eau? »

« J'adore » me répond-elle quittant sa culotte et en renfilant son collant sans même s'essuyer.

Je prends place à mon tour tandis qu'elle farfouille dans son sac et y range son pantalon.

« Qu'est-ce que tu en penses? Tu crois que ça va plaire à ton ami? » Me demande-t-elle en enfilant une mini-jupe qui lui arrive à peine à mi-cuisse.

« J'adore. S'il ne dégrafe pas sa cravate, il va mourir d'apoplexie. »

Nous éclatons de rire en imaginant sa tête.

Je tends la main vers le rouleau de papier toilette, lorsqu'elle interrompt mon geste et s'accroupit entre mes cuisses.

« Laisse. Moi, c'est ça qui m'excite. »

Et sans me laisser le temps de réagir, elle m'écarte fermement les genoux et plonge sa tête entre mes cuisses.

Sa langue s'applique délicatement au bas de mon sexe et remonte lentement le long de ma fente jusqu'à mon clitoris.

Un frisson de plaisir me crispe le ventre.

« Arrête-toi, tu vas me faire jouir. Gardons en pour notre ami. » Lui dis-je en la repoussant gentiment.

« Et qu'est-ce qui te fait croire que j'ai envie de partager? »

De retour dans le compartiment, nous constatons que le nœud de cravate de "Monsieur Voyeur" est toujours aussi bien noué. Par contre, celui qui trônait fièrement entre ses jambes s'est caché.

Je me mets au défi de lui redonner vie dans les plus brefs délais.

Pourtant, c'est Lori qui monopolise son attention. Il faut dire que sa minijupe met parfaitement en valeur ses jambes au galbe parfait.

D'autorité, elle s'assoit à ma place s'installe, jambes écartées, offrant à "Monsieur Voyeur" une vue imprenable sur sa petite chatte glabre.

« Si nous reprenions notre discussion là où nous l'avons laissée. » Me dit-elle avec un petit sourire malicieux.

Elle me tend son pied droit.

Cette fois-ci, c'est moi qui me sens gênée. Pourtant le fourmillement qui sévit au fond de mon ventre ne cesse de croître.

Je lui ôte son escarpin. À nouveau le parfum âpre envahit mes narines.

Envoûtée, je glisse mes doigts contre ma chatte brûlante. L'empiècement de mon collant est trempé.

« Mets-toi à genoux s'il te plaît. »

Submergée par mon excitation, je m'exécute immédiatement

« Sers-toi de ta langue. »

Son ton est devenu plus directif.

Sans réfléchir, je me mets à lécher la plante de ses pieds et à sucer ses orteils.

« Remonte le long de mes jambes. »

Docilement, je fais progresser ma bouche sur ses mollets. Son petit jeu me mets dans tous mes états.

« Plus haut. »

Ses ordres se succèdent. Je m'avilis, je me vautre dans ce stupre qu'elle m'impose avec ce naturel qui me fait mouiller comme une folle.

Lorsque, enfin, j'atteins sa chatte, une forte odeur de pipi achève de me faire tourner la tête.

Je perds la notion du temps.

« Bien, ma chérie. Maintenant j'ai une petite surprise pour toi. Retourne-toi. »

Je prends alors conscience de la présence d'une silhouette derrière moi.

"Monsieur Coincé" se tient debout contre moi. Sa braguette est ouverte et son sexe impressionnant se trouve à hauteur de mon visage.

« Je suis sûre que tu aimes les sucettes. Pas vrai ma belle? »

Comme dans un rêve, j'embouche aussitôt le membre turgescent du garçon timide qui a si bien su m'émouvoir. J'ai rarement vu une bite aussi impressionnante. Ses mains s'emmêlent dans mes cheveux blonds.

« Non! Pas touche. Elle est à moi. Si tu veux qu'elle continue, mets plutôt tes mains dans ton dos. »

Toute à ma tâche, je ne m'offusque même pas du fait que cette fille que je ne connais qu'à peine se permette de me mener par le bout du nez.

Complètement obnubilée par la queue qui repousse ma langue je me contente de pomper avec l'énergie du désespoir.

"Monsieur Grosse-bite" à du obéir à mon amie, car je ne sens plus ses mains.

Lori s'est calée contre l'angle de la fenêtre. Elle s'amuse à agacer les couilles du jeune homme avec le bout de son pied.

Je l'entends souffler avec force. Il pousse de petits gémissements chaque fois que j'agace son gland avec le bout de ma langue.

« Surtout, garde bien tout dans la bouche, ma chérie. » Murmure sa petite voix espiègle dans mon oreille.

La perversité de cette fille me fait frissonner.

« Allez, mon grand. C'est le moment, vide-toi bien les couilles dans la bouche de ma copine. »

Elle a dû lire la montée de son plaisir sur son visage car au même instant, un torrent de sperme gicle au fond de ma gorge, tandis qu'il se met à souffler comme un bœuf.

« C'est bien, continue. Donne-lui tout. Regarde comme elle adore ça. »

Je fais mon possible pour ne rien laisser échapper. Petit à petit, la source se tarit, je sens son pénis se détendre légèrement et je veille à ne rien avaler.

Du bout du pied, Lori le repousse vers la banquette, sur laquelle il s'écroule comme un pantin.

« Fais voir, ma chérie. Montre le bon lolo à maman! »

Jamais aucun de mes partenaires ne m'a traitée comme ça, mais aucun d'entre eux ne m'a procuré une telle excitation.

Je pivote sur mes genoux et m'avance entre ses cuisses, pour lui permettre d'inspecter le contenu de ma bouche.

« Waow! Tu imagines le nombre de spermatozoïdes qu'il doit y avoir là-dedans. Ça doit être drôlement nourrissant. »

Je ne me reconnais plus, moi qui ai l'habitude de mener mes ébats, je me retrouve complètement subjuguée par cette jolie brune qui m'impose ses quatre volontés.

« Occupe-toi de moi maintenant. » Dit-elle en attirant ma tête entre ses cuisses. « J'ai envie de sentir ce foutre bien chaud dans ma chatte. »

Et elle me plaque la bouche contre son sexe.

« Voilà! C'est ça. Lèche bien. »

Comme dans un rêve, je plaque mes lèvres hermétiquement contre sa chatte et je glisse ma langue dans son vagin.

Au même moment, le haut-parleur annonce la prochaine entrée de notre train en gare de Bourg-Saint-Maurice.

« Prends ton temps, ma chérie. Tu as largement le temps de finir ce que tu as commencé. » Souffle-t-elle en crispant ses doigts dans mes cheveux et en m'écrasant le nez contre son pubis.

Mes doigts s'agitent comme des fous entre mes jambes. Mon plaisir culmine au même moment que le sien, et j'avale. J'avale tout ce que ma bouche contient ; plus ce qu'elle y a déposé.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Voilà un auteur bien nommé ! Vive les voyages en train

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