L'invasion Ch. 08

Informations sur Récit
Arno est subjugué par Marta vêtue en cuir noir.
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Partie 8 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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7

Je me réveille reposé. Je pense que ma dernière action d'hier m'a apaisé et je me sens en pleine forme. Mon sexe n'est pas dressé comme hier. Je me lève donc serein et descends. Je vois Ayesha dans le living, vêtue d'une jupe anthracite et d'un chemisier blanc fort ajusté. Automatiquement mon sexe se lève. Elle vient vers moi et me prend dans ses bras. Elle aime me soulever pour me serrer contre elle et m'embrasser. Mon sexe déjà dur palpite contre son ventre et le bout touche le bas de sa grosse poitrine. Je me sens presque étouffer.

— Tu as bien dormi?

— Oui, réponds-je du mieux que je peux.

— Viens manger, ensuite j'ai une ou deux petites choses à te faire faire, et après, tu peux aller chez Marta.

— D'accord.

Elle a déjà mangé car je déjeune seul. Quand j'ai fini, je fais la vaisselle et range la cuisine. Ayesha revient alors et m'emmène au garage dont elle ouvre tout de suite la porte qui donne sur l'extérieur.

— Tu vas aller porter ces sacs dans le coffre de la voiture.

— Mais... Ayesha, elle est dehors.

— Je le sais bien, obéis! Ajoute-t-elle sèchement.

Heureusement la voiture est juste devant l'entrée. Je prends un sac, relativement lourd et l'emmène à la limite de l'allée. Personne à gauche ni à droite. Personne dans les maisons d'en face. Prestement je vais ouvrir la porte du coffre. Elle est fermée. Je dois courir et retourner chez Ayesha.

— Le coffre est fermé.

Elle prend une télécommande et appuie sur un bouton.

— Voilà, et ne traine pas!

Cette fois c'est bon. Le coffre s'ouvre. C'est assez pénible de soulever les sacs à hauteur du coffre, qui m'arrive à la poitrine. Je dépose donc le sac et retourne chercher les autres. Il y en a six en tout. Le dernier ne me permet pas de fermer le coffre. Heureusement, il n'y a toujours personne. Je suis obligé de me hisser dans le coffre pour pouvoir mieux répartir les sacs. Au moment de sortir, une voiture passe et une femme noire me fait signe.

Je ferme le coffre. Deux femmes sortent de la maison d'en face. Vite je retourne dans le garage et rejoins Ayesha.

— J'ai fini.

— Merci. Viens, allons te laver.

Quand je suis propre, elle me tient toujours la main et nous allons sur la terrasse.

— Tu auras d'autres choses à faire, mais ce sera pour une autre fois. Va chez Marta, tu l'as bien mérité. Je te rejoins bientôt.

Elle me tape les fesses.

Je suis toujours nu. Je sors dans le jardin avec un peu d'appréhension pour rejoindre l'ouverture dans les haies du fond de nos jardins. Je saute au dessus et rejoins la terrasse. J'appelle Marta.

Ma voisine arrive, superbe, toujours vêtue d'un tailleur de cuir noir qui semble légèrement différent de celui de la veille. Elle porte une large ceinture qui lui couvre tout le devant jusqu'à la poitrine. Quel effet! Au lieu de bottes, ce matin elle a des escarpins.

— Wow, Marta vous êtes toujours aussi belle. Vous devez partir?

Je me sens déçu. Je ne pourrai pas profiter de la piscine et surtout de cette belle femme avec une telle tenue. Je deviens fou, cette matière sur le corps des femmes me semble encore diminuer ma faculté de penser correctement.

— Non, enfin oui, je dois juste aller voir quelqu'un cinq minutes. Si tu veux, tu peux venir avec moi, ce ne sera pas long.

— C'est que... je vous avais promis de rester tout nu, je n'ai pas de vêtement.

— Cela n'a pas d'importance, tu seras dans la voiture.

— Bon d'accord, approuvé-je fébrilement.

— Très bien. Viens.

Elle me prend la main et entre dans sa maison pour en ressortir devant chez elle. Encore un sale coup, me dis-je. Je suis nu dehors. Je n'ai pas vraiment pensé. Je suis tout nu dehors en totale érection, tenu par la main par une femme noire géante vêtue de cuir noir.

— Allons, n'aie pas peur, je ne vais pas te manger;

— Mais c'est que... je suis tout nu et...

— Je le sais bien que tu es tout nu, tu as promis de rester tout nu avec moi toute la journée.

— Oui, mais nous sommes dehors.

— Où que nous soyons Arno, tu m'as promis de rester nu toute la journée. Il n'y a personne, viens.

Nous arrivons à la voiture et elle m'ouvre. Je m'assieds à l'arrière et elle démarre. Nous roulons vers le sud-est, là où il y a le petit port de l'île.

Encore un endroit qui a beaucoup changé. Avant il y avait de nombreux voiliers et petits yachts de plaisance amarrés dans la marina, et de petits chalutiers de pèche. Il ne reste qu'une vingtaine de yachts, tous très grands, qui donc doivent convenir à ces femmes noires de 2m50, et également des navires de garde-côtes. Il n'y avait jamais de tels bateaux avant. Hier, j'ai vu le premier et aujourd'hui, j'en vois une petite flottille. A la forme, je les devine furtifs.

Marta s'arrête sur le petit parking en face de la capitainerie. C'était un petit bureau il y a encore quelques mois. Aujourd'hui, c'est un bâtiment moderne, neuf, très grand et qui abrite également un bureau de police.

— Voilà, attends-moi ici, je ne serai pas longue.

Marta sort de l'auto et va dans le bâtiment. Je me couche un peu pour qu'on ne me voie pas. Marta est partie et je commence à m'apercevoir de l'incongruité de la situation. Je suis complètement nu dans une voiture devant un bureau de police. Je vois plein de grandes femmes noires passer. Heureusement, elles ne font pas attention à moi. Elles entrent et sortent de la capitainerie. J'ai peur. Et si l'une d'elles me voit? On n'a pas le droit d'être tout nu en public.

Marta revient une bonne demi-heure plus tard. Elle s'assied en me surprenant. Je ne l'avais pas vu arriver et le bruit de la porte m'a fait sursauter et paniquer. Heureusement, elle démarre tout de suite et je me rassieds.

— Voilà, j'ai fini. Je suis désolée, cela a duré plus longtemps que prévu. Nous pouvons rentrer et je peux me consacrer entièrement à toi.

Elle s'arrête dans l'allée de son garage et me fait sortir. Cette fois, je ne suis pas sur la voie publique, je me sens mieux. Elle me prend la main pour entrer chez elle.

J'adore ses hauts talons qui claquent sur le sol. Dès que nous sommes à l'intérieur, elle me prend dans ses bras et me serre contre elle.

— Je suis si contente, tu es ici toute la journée. J'adore ta présence.

— Moi aussi j'aime être avec vous, réponds-je sincèrement.

Je commence à bien m'habituer à elle et j'adore me retrouver tout nu. Mon sexe est tendu contre son tailleur de cuir noir et c'est encore plus excitant.

— Et bien, tu as l'air tendu.

— C'est votre tenue, j'adore, et quand cela me touche, c'est spécial.

— Ah, tu aimes le cuir? Moi aussi.

Elle me porte toujours jusqu'à son salon. Elle me laisse alors et va chercher à boire.

Alors que j'ai un peu bu, on sonne à la porte.

— C'est Ayesha, me dit-elle, veux-tu aller ouvrir?

Je vais à la porte, ouvre... et tombe sur Sarah.

— Bonjour mon chéri, tu es déjà là? Et en tenue...

Elle entre.

— Super contente de te voir.

— Arno m'a promis hier de rester tout nu toute la journée. Il est venu tout nu, intervient Marta en voyant son amie.

— Quelle charmante idée. J'adore. Tu devras faire la même chose chez moi. Promis?

— Euh...

— Allons, si tu le fais pour Marta, tu peux le faire pour moi.

— Bon, d'accord, réponds-je en tremblant.

— Merci. Alors, raconte ta journée à la plage.

— C'était très bien, nous sommes allés au cap nord, il y avait du vent et des vagues. Un bateau des garde-côtes est arrivé, il parait qu'on ne peut plus nager au-delà de la crique, je ne le savais pas.

— Oui, il faut faire attention. Les garde-côtes sont nouvelles et surtout là pour empêcher les gens de venir trop près de nos côtes. Nous voulons rester entre nous.

— Ensuite, nous avons pique-niqué, et nous avons fait une promenade.

— Et tu n'as pas perdu ton maillot cette fois?

— Non, Ayesha a dit que cela ne servait à rien de mettre un maillot, nous n'étions que tous les deux.

— Ah? Tu as passé toute la journée tout nu?

— Oui, admets-je avec embarras.

— Mais c'est merveilleux. Elle en a de la chance Ayesha.

Je rougis.

— Allons, ce n'est rien, c'est très bien.

On sonne encore. Marta m'envoie et j'ouvre à Ayesha.

— Viens, me dit-elle, il faut prendre un sac dans ma voiture.

Elle me fait sortir tout nu dehors. Mais la voiture est en face de chez nous, la maison d'à côté. Je suis terrorisé. Elle me tient la main.

— Nous sommes dans la rue, je suis tout nu.

— Je le sais, mais c'est toi qui a voulu être tout nu toute la journée, il faut en subir les conséquences! Allons, regarde, il n'y a personne.

Nous arrivons à la voiture, elle ouvre la porte et je prends le sac qu'elle me désigne sur le siège passager. Lorsque je referme la porte, une voiture passe en klaxonnant et deux femmes noires nous font signe en souriant joyeusement. Mort de honte, je porte le sac. Ayesha n'est même plus là, elle est en face de la maison de Marta et m'attend.

— Allons, dépêche-toi!

Une voiture silencieuse s'arrête à mes côtés. Deux femmes noires encore, et elles ont ouvert la vitre.

— Il fait beau pour se promener, tu as trop chaud?

Je n'ose répondre, je me sens si ridicule tout nu sur le trottoir.

— Tu as perdu ta langue? Reprend la femme.

Elle roule à ma hauteur et j'arrive au niveau d'Ayesha.

— Arno, quand quelqu'un te parle, tu réponds. Qu'est-ce que c'est que ces manières?

Je me sens tout bête tout nu ainsi, et en plus réprimandé.

— Excusez-le, dit Ayesha aux occupantes de la voiture, il est parfois timide.

— C'est lui Arno. J'aurais dû m'en douter. Pourquoi est-il tout nu?

— Il a promis à mon amie Marta de rester nu toute la journée, et comme il devait sortir chercher un sac dans la voiture, et bien, il n'a pas eu d'autre choix.

— Quelle belle promesse, il faudra qu'il vienne chez nous en promettant la même chose.

— Vous habitez le quartier?

— Oui, au coin, notre maison donne aussi sur le parc intérieur.

— Nous organiserons bientôt une petite fête pour que tous les gens du quartier se rencontrent.

— Excellente nouvelle, nous viendrons.

La voiture démarre. Je veux entrer dans l'allée mais Ayesha m'arrête.

— Arno, je n'ai pas envie de me fâcher aujourd'hui, mais j'exige que tu montres le plus profond respect aux femmes. Ne pas répondre à une femme qui te pose gentiment une question est très mal.

— Oui Ayesha, mais... j'étais honteux d'être nu sur la route.

— Il n'y a pas d'excuse, je veux que tu sois bien élevé.

— Oui Ayesha.

Nous sonnons chez Marta qui vient nous ouvrir la porte. Elle me fait déposer le sac dans un petit bureau que je n'avais pas encore vu.

— Et voilà, et maintenant, place aux réjouissances.

Marta porte toujours son tailleur de cuir noir. Je ne peux m'empêcher de la regarder de la tête aux pieds.

Nous allons sur la terrasse.

— Tu peux aller te baigner, me dit Sarah.

— Il est subjugué par ma tenue, leur raconte Marta pour ma plus grande honte. Il adore le cuir noir. Aujourd'hui, il était complètement gaga, il est arrivé, il m'a vue, je lui ai dit que je devais m'absenter un moment, et il a voulu venir tout nu avec moi, dans la voiture, il a attendu une demi-heure tout nu dans la voiture devant la capitainerie.

— C'est vrai? Me demande Ayesha, tu aimes les tenues de cuir?

— Euh oui, avoué-je en tremblant de honte.

— C'est bon à savoir, donc si Marta te demande maintenant de l'accompagner en ville, tu y vas, juste parce qu'elle est vêtue de cuir noir?

— Non, s'il vous plait, non, réponds-je effrayé.

— Ne sois pas timide, me dit Ayesha, moi aussi j'adore m'habiller en cuir noir, j'ai d'ailleurs beaucoup de tenues dans cette matière.

— Ah? Fais-je en m'étranglant.

En quelques instants, j'imagine Ayesha vêtue aussi en cuir noir, et si c'était encore possible, mon excitation augmente encore. Existe-t-il un paroxysme à l'excitation? Peut-on l'atteindre? Je n'en peux plus, même après ce que je me suis fait tout seul la nuit dernière.

— Tu passes de bonnes vacances? Me demande Marta, comme tu l'espérais?

— Oui, réponds-je ravi de changer de sujet.

— Tant mieux, il faut que sois heureux, nous le voulons toutes. Ce ne doit pas être évident pour un garçon de rester tout le temps avec des femmes comme nous.

— Oh non, tout au contraire, je préfère passer tout mon temps avec vous.

— Vraiment? Pourquoi?

— Je ne sais pas, je me sens bien avec vous, réponds-je très enthousiaste.

— Tant mieux, répond Ayesha avec l'approbation des autres. Je vais te confier que nous adorons toutes ta présence. Moi en particulier, je suis ravie d'être venue m'occuper de toi. Tu as un énorme potentiel.

— Tu verras, ce seront tes meilleures vacances, intervient Sarah.

— Qu'est-ce qui te plait en nous? Demande Marta. Nous sommes si différents, tu es petit, tu nous arrives à la taille... hein?

— Justement, j'ai découvert que c'était génial que vous soyez si grandes. Vous êtes tout le temps là pour moi. Et vous tenez à moi, je ne sais pas pourquoi.

— Et le fait que nous soyons noires, et toi tout blanc?

— Je vous apprécie comme vous êtes, je vous l'ai déjà dit.

— Et comme tutrice, tu préfères Ayesha à Nathalie? Me demande Sarah.

— Oui, réponds-je trop vite.

C'est vrai, mais j'aime beaucoup Nathalie aussi. Je ne veux pas la dénigrer.

Ayesha me prend dans ses bras et m'embrasse.

— Viens, allons marcher un peu.

Elle me prend la main et m'emmène au bout du jardin.

— Nous allons sortir dans le parc, me dit-elle.

— Mais Ayesha, je... enfin, il y a des gens qui vont me voir.

— C'est possible, mais tu as décidé d'être nu toute la journée, donc quoique nous fassions, tu restes nu. Ou alors tu veux que Marta t'emmène? Elle porte encore son tailleur de cuir noir.

Je me sens rouge de honte. Ayesha passe le portique et nous sommes dans le parc. Je n'ose rien dire. Elle me tient la main.

— Tu dis que tu aimes être avec moi, mais tu devrais être plus reconnaissant, tu sembles rouspéter chaque fois que je te dis de faire quelque chose.

— Je suis désolé... Fais-je gêné. C'est sans doute le stress, tenté-je. Ce n'est pas évident.

— C'est toi qui as décidé de rester tout nu, tu dois en assumer les conséquences. Tu m'as dit que tu aimais cela.

— Oui mais... enfin ici on va me voir.

— Tu dois t'y habituer. Mais je sais ce que je vais faire.

Elle ne dit plus rien. Nous ne marchons plus beaucoup et ne rencontrons personne. Sans m'en apercevoir, nous sommes à nouveau devant le jardin de Marta et nous y entrons. Alors que nous approchons de la terrasse, Ayesha me montre nos amies. Marta nous fait signe.

— Regardez qui est là. Nala et Mirna sont venues nous rendre visite.

Il me semble reconnaître les deux géantes noires rencontrées avant-hier en rentrant chez nous. Encore... Je n'en peux plus. Je me rappelle qu'Ayesha les avait invitées. Et moi qui suis tout nu, que vont-elles penser.

— J'espère que tu vas bien te comporter, me souffle Ayesha en tirant sur mon bras. N'oublie pas que je suis ta tutrice. Si tu te conduis mal, c'est mon déshonneur.

Nous approchons de la table.

— Arno est tout nu? Demande Mirna.

— Oui, répond Ayesha à ma place, il est venu tout nu ce matin. Il a promis à Marta de rester toute la journée tout nu. Ce n'est pas plus mal, je vais en profiter pour faire la lessive de toutes ses affaires, si j'ai le temps.

— C'est adorable. Un beau garçon blanc qui ose rester tout nu. C'est très bien, conclut Nala en me souriant.

Les deux femmes me regardent, m'admirent. Dire que je suis totalement nu au milieu de cinq géantes noires.

Elles sont assises et même ainsi elles me dominent de leur taille imposante.

— Quel beau garçon, s'exclame encore Nala. Et en plus il vit tout nu.

— Et il adore cela, répond Marta.

— Il nous le propose tout le temps, il se déshabille sans arrêt, intervient encore Sarah. Il est venu chez moi et a voulu m'aider en travaillant tout nu.

— C'est intéressant, si je t'invite, tu viendras aussi te déshabiller chez moi? Demande Mirna.

— Euh... Je ne sais pas, réponds-je embarrassé.

— Nous verrons, répond encore Ayesha. Arno, ne reste pas à ne rien faire, demande à Marta de te montrer comment servir l'apéritif, ensuite tu dresseras la table. Mets-toi à son service.

— Oui Ayesha, réponds-je.

Marta se lève, elle porte toujours sa tenue de cuir noir. Je la rejoins et la suis à l'intérieur au moment où Ayesha parle encore de moi.

— Il est subjugué lorsque nous portons du cuir noir, entends-je. Il devient très obéissant.

— Ne traine pas, me dit Marta.

Nous allons au salon et elle regarde ses bouteilles.

— Oh non, je n'ai plus de champagne. Nous allons devoir aller en acheter.

— Moi aussi? M'étranglé-je.

— Bien sûr, viens.

Nous retournons sur la terrasse.

— Je n'ai plus de champagne, annonce-t-elle aux autres. Je prends Arno pour aller en acheter.

— Vous aller à l'épicerie?

— Oui.

— Sinon, déclare Mirna, chez moi j'ai des bouteilles. Si vous passez par le parc, vous y êtes rapidement.

— Excellente idée, lui répond Marta, viens Arno!

Je n'ose rien dire, subjugué par la tenue de cuir noir. Marta me prend la main et nous allons dans le parc.

— Je n'aimerais pas devoir te faire des remarques, me dit-elle rapidement. Je veux que tu te comportes bien. Promis?

— Oui Marta, réponds-je tout bas, anxieux de ce qui va se passer.

Marta marche d'un bon pas sur un petit sentier qui traverse le parc. Nous ne voyons personne, sauf lorsque nous arrivons au bout et que nous allons entrer dans un jardin.

— Marta?

Nous nous retournons sur une autre grande noire. Elle sourit. Celle-ci est vêtue d'un survêtement gris et semble revenir d'une promenade ou un jogging.

— Bonjour Lena, Cela faisait longtemps.

— Je vois que tu as un charmant compagnon. Que fait-il tout nu?

— Il m'a demandé à rester tout nu aujourd'hui. Je n'ai plus de champagne et Mirna m'a proposé le sien.

— Vous avez une fête?

— Non, juste un petit repas, mais viens, tu es la bienvenue.

— Et ce charmant jeune homme sera présent?

— Bien sûr, c'est même lui qui va faire tout le service.

— Je ne peux manquer cela alors, je prends une douche et je vous rejoins.

— Prends ton maillot, nous irons aussi nager.

Je n'en reviens pas, une sixième géante noire va nous rejoindre, comme si les cinq n'étaient pas suffisantes. Nous entrons dans le jardin et Marta connaît le chemin pour entrer par la cuisine et me désigner le frigo.

— Prends trois bouteilles, tu vas les porter pour rentrer.

Je tiens les trois bouteilles froides dans mes bras et nous retournons au parc.

— Toujours content de tes vacances? Me demande Marta.

— Oui, réponds-je.

— Même pendant les vacances il faut travailler un peu. Ayesha pense que tu dois rendre service. Cela ne te dérange pas?

— Non, réponds-je sincère.

La situation est assez excitante finalement. Cette femme noire géante vêtue de cuir noir me fait perdre toute volonté. Nous arrivons chez elle.

— J'ai invité Lena, annonce-t-elle. Arno, va m'attendre dans la cuisine.

Je suis obligé de les laisser. Marta vient me rejoindre un quart d'heure plus tard.

— Alors, tu prends un plateau et le seau, tu le remplis de glaçon. Regarde bien comment faire, je ne veux pas me répéter, et tu feras souvent le service.

— Oui Marta.

Quand tout est prêt, nous allons chercher les verres et je porte le tout à la terrasse. Lena est venue se joindre à ses amies, et j'ai six géantes noires en face de moi. Marta m'instruit comment servir le champagne et je m'applique. Ayesha me donne beaucoup d'ordre. Je dois aller mettre la table et servir les plats, elles discutent entre elles, je suis devenu une sorte de domestique nu, à leur service. Elles ne font que me donner des ordres, de plus en plus secs. Ayesha surtout. Et Marta. Elles ont l'air de s'amuser pendant que je trime sans arrêt. Mais je me rends compte que ce n'est pas si désagréable. Il y a quelque chose d'érotique à servir ces grandes femmes.

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