L'invasion Ch. 02

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Arno perd son maillot dans la piscine.
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Partie 2 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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Lorsque je termine mon petit déjeuner le lendemain matin, je sors sur la terrasse et respire un peu d'air frais. Il fait déjà chaud, après une nuit de fantasme, je ne me suis endormi que très tard. Personne pour me réveiller et donc il est plus de dix heures quand je sors sur la terrasse.

— Arno?

Je me tourne vers la voix. Marta est de l'autre côté de la clôture. Notre jardin est mitoyen, et il y a des haies qui cachent la vue, sauf à un endroit vers le fond du jardin.

— Bonjour, tu peux venir, si tu veux.

J'approche de notre clôture. Elle n'est pas très haute. Elle doit faire un bon mètre. Marta pourrait l'enjamber très facilement, son entrejambe est plus haut que la clôture. Incroyable. Je ne parviens pas encore à imaginer qu'elle soit si grande.

Elle se recule un peu et je saute pour la rejoindre. Elle me rattrape et me prend la main. Quelle sensation! Sa main est énorme bien sûr, elle se referme sur moi. Elle me sourit.

Nous arrivons au bord de sa piscine.

— Tu veux te baigner? Comme promis, ma piscine est à ta disposition.

— Oui, je suis content, cela fait longtemps que je n'ai plus nagé.

— Alors qu'il y a une piscine juste à côté de chez toi. Tu aurais pu venir me le demander.

— Je suis allé me baigner dans la mer, réponds-je bêtement.

Il n'y a pas à dire, cette femme m'intimide. Mais elle me procure un plaisir immense. Je ne sais pas, je brûle de l'intérieur.

— Voilà, tu peux nager.

Je retire mes sandales et mon T-shirt puis vais tremper mon pied dans l'eau. Elle est bonne.

— Prends d'abord une douche, me demande Marta derrière moi.

Je retourne au même endroit qu'hier. Je viens juste de faire ma toilette chez moi, mais je ne veux pas la froisser. Alors que je vais plonger, elle m'arrête.

— Tu n'as que ce short? Tu n'as pas de maillot?

— J'ai un maillot à la maison.

— Je préfère que tu te baignes en maillot.

— Je vais aller le chercher.

Après avoir pris mes affaires, je retourne chez moi par la clôture. Je vais dans ma chambre et trouve mon maillot. Mon sexe commence déjà à grossir. Je n'ai pas de maillot-bermuda, Nathalie ne m'avait acheté que des slips de bain. Je prends mon slip bleu et l'enfile. Je cours pour tenter de calmer mon érection. Lorsque je suis de retour chez Marta, je prends une autre douche pour laver mes pieds.

— C'est mieux comme ça, me dit Marta, je préfère que tu portes un slip de bain plutôt qu'un short.

Je plonge et nage quelques longueurs de mon meilleur crawl. Marta me regarde en souriant. Après avoir ainsi nagé une bonne dizaine de minutes, je me dirige vers le bord où elle se trouve.

— Tu nages très bien, me complimente-t-elle en me montrant une serviette de bain.

Je sors de l'eau et la rejoins pour me sécher avec la serviette. Je me sens si excité en face de cette belle femme. Elle me semble encore plus belle et impressionnante qu'hier. Heureusement, la serviette est assez large et je m'enroule quelque peu pour cacher mon érection. Mon slip de bain ne peut pas vraiment la contenir.

— Viens t'asseoir.

Nous allons nous installer dans les divans de teck sur la terrasse. Cette fois, je suis sur la serviette, je ne risque pas de mouiller les coussins. Marta m'offre un verre de thé glacé dont le pot est sur la table.

— J'aime beaucoup votre jardin, dis-je.

— Merci. Dis-moi, tu vis tout seul?

— Pendant quelques jours. Ma tutrice est partie. Je vais bientôt avoir seize ans, je peux me débrouiller tout seul.

— C'est vrai, tu es devenu un beau garçon. Je me souviens de toi il y a quelques années, tu étais très prometteur.

— Vous me connaissiez avant?

— Oui, j'habite ici depuis 5 ans. Tu en avais 10 ou 11.

— C'est l'époque où tout le monde a commencé à déménager. Il ne reste que moi dans le quartier.

— J'étais une des premières, et des amies sont venues par la suite. C'est un très bel endroit, nous nous y plaisons beaucoup.

— Comment avez-vous fait pour acheter toutes ces maisons?

— En proposant le bon prix. Tout s'achète.

— Et la mienne? Vous ne l'avez pas achetée.

— C'est la seule qui n'était pas à vendre. Il paraît que tu dois absolument habiter cette maison jusqu'à ta majorité. Il est interdit de vendre cette maison. Mais ce n'est pas grave, tu as bien vu dans le quartier, nous avons assez de maisons maintenant. Nous pouvons en faire une entité indépendante, gérée au mieux.

— Comment cela?

— Il y a assez de ressources ici pour vivre en autarcie, sans avoir besoin de l'extérieur. Nous pouvons créer une meilleure communauté.

Elle me ressert un verre. Je bois le bon thé glacé pendant qu'elle me regarde. Je ne sais pas vraiment quoi dire.

— Votre thé est excellent, trouvé-je à dire. Je n'en avais jamais bu de si bon.

Cette belle femme, très grande et autoritaire, plantureuse, très noire de peau, m'intimide et m'excite. Elle est vraiment belle, elle a des traits fins, et une magnifique chevelure. Les filles noires que j'ai connues avait de courts cheveux crépus. Marta a des cheveux qui semblent européens sur un visage si foncé. Elle est en plus maquillée avec goût, presque comme une star. Aujourd'hui, sa robe est encore plus belle qu'hier, et son décolleté semble plus sexy, cette fois, je vois mieux et je tente de ne pas trop regarder cette poitrine fabuleuse.

De toute façon, je suis trop jeune pour elle. Quel âge peut-elle bien avoir? Quarante ans? Je ne suis qu'un adolescent. Je ne pourrai que fantasmer sur elle.

— Tu n'as rien de spécial à faire aujourd'hui? Me demande-t-elle.

— Non Marta.

— Pas d'ami?

— Il n'y a plus personne dans le quartier, tout le monde est parti, tout le monde est comme vous dans les environs.

— C'est vrai. Dans ce cas, tu peux rester avec moi.

— Oui, merci.

— Cela ne te dérange pas?

— Oh non, pas du tout. Je vous trouve très gentille.

Elle se lève.

— Dans ce cas, restons ensemble. Je vais préparer à manger. Je te garde toute la journée.

Elle entre dans sa maison en me laissant seul sur la terrasse. J'entends un peu de bruit derrière moi et me retourne. Une autre géante noire arrive, très sexy, vêtue d'une manière pareille à Marta. Le claquement de ses escarpins l'a annoncée.

— Bonjour, me dit la belle femme noire, je cherche Marta.

Je suis impressionné, elle est aussi grande que ma nouvelle amie. Assis dans ce fauteuil en face d'elle, je lui arrive sous les cuisses.

— Elle est dans la maison.

— Et toi, qui es-tu?

— J'habite à côté, Marta m'a demandé de passer la journée avec elle.

— Ah oui, tu es Arno.

— Oui madame. Vous me connaissez?

Evidemment qu'elle doit me connaître, je suis le seul garçon qui reste dans le quartier. Marta sort de la maison.

— Oh, Sarah, tu es venue. Je vois que tu as fait connaissance avec Arno. Je l'ai invité à passer la journée ici.

— Excellente idée, rien de tel qu'un beau garçon sexy pour passer la journée.

Sexy? Sarah me trouve sexy? C'est génial. Je me sens transporté, et excité aussi. Deux belles femmes noires pour moi tout seul. Je me lève maladroitement en me couvrant le mieux que je peux de la serviette pour cacher mon érection. Je me retrouve face à ces deux femmes, je me sens tout petit, en leur arrivant juste un peu plus haut que la taille.

— Euh, je vais aller me baigner, annoncé-je.

— Je t'en prie, amuse-toi.

Je marche rapidement vers la piscine, et me débarrasse de la serviette, puis je plonge. Mon maillot de bain est assez petit, et il se retrouve sur mes chevilles. Rapidement je l'attrape et je tente de le replacer très vite. Mon sexe. Il a grandi, grossi. Je ne l'avais jamais vu si grand. Lorsque je remets mon maillot, il est pratiquement dehors. Heureusement que c'est un tissu élastique, et je parviens à en faire une sorte de chapiteau. Lorsque je regarde vers la terrasse, je constate que les deux femmes me regardent. Elles ont dû me voir tout nu. Plutôt que de me gêner, je me sens excité comme jamais, et je regrette presque d'avoir remis mon maillot si vite. Quelle sensation délicieuse! Il faudrait que je recommence, que je plonge et perde mon maillot sur mes chevilles, puis nage longuement sans m'en rendre compte, je serais ainsi complètement nu devant ces femmes.

Je sors de l'eau pendant qu'elles regardent autre part. Mon sexe pousse vraiment mon maillot trop fort, de même que mes testicules. Ils sont gonflés également. Je prends vite ma serviette et me camoufle en m'essuyant puis en la gardant sur moi. Je rejoins les deux femmes assises dans les sofas.

— Dis-moi Arno, tu as quelque chose de prévu pendant les vacances?

— Je ne crois pas, non. Ma tutrice voudrait partir, mais c'est dans un endroit que je n'aime pas, chez sa soeur.

— Tu préfères rester ici?

— Oh oui.

— Si tu veux, nous pouvons lui proposer de te garder.

— Vraiment? Ce serait super. Mais je ne voudrais pas vous causer d'embarras.

— Penses-tu! Ce sera un plaisir.

— Alors oui, je préfère rester ici avec vous.

Au début, j'aurais aimé partir avec Nathalie, aller voir sa sœur qui habite Nice, mais maintenant, rien ne peut être mieux que de rester ici avec ces grandes femmes noires.

— Quand est-ce que ta tutrice revient?

— Demain dans la journée.

— Et bien j'irai lui parler. A la rigueur, je connais quelqu'un dont c'est le métier, elle pourra venir s'installer avec toi.

— Une femme comme vous?

— Comment cela, une femme comme moi?

— Une femme qui vous ressemble.

— Oui, si tu veux dire une femme noire, grande, de mon âge, oui, alors c'est une femme comme nous.

Génial, me dis-je, une femme exactement comme Marta qui serait en permanence avec moi. Quelles belles vacances!

— Tu aimes les femmes noires? Me demande Sarah en plaçant sa grande main sur ma cuisse.

— Oui, réponds-je en bredouillant un peu. Je ne sais pas pourquoi. J'adore être en votre compagnie.

— Tu préfèrerais avoir une tutrice noire?

— Oui. Pas que je n'aime pas la mienne, mais je préfèrerais que ma tutrice soit une femme noire comme vous, je ne sais pas dire pourquoi.

— Nous pourrions arranger cela. Je vais en parler à quelques amies. Mais sache que si tu le veux vraiment, nous pouvons le faire, mais ce sera irréversible.

— Oui, je comprends.

Je me demande ce que ce serait. J'imagine une femme comme Marta qui serait ma tutrice, avec qui je vivrais tout le temps.... Je me rends compte que cela m'excite encore plus et que mon sexe va sortir de mon maillot. Je me penche vers l'avant pour cacher cela, peine perdue, mon sexe sort complètement de mon slip. Je ne sais pas si elles le voient, elles ne disent en tout cas rien. Je parviens à vite cacher cela au moyen de la serviette.

— Tu dois être ravi, me dit Sarah, il n'y a plus que cela dans le quartier, des femmes noires. Tu es le seul garçon.

— Oui, m'entends-je répondre. Je ne savais pas. Enfin, tous mes amis sont partis. Il n'y a vraiment plus que des femmes noires?

— Absolument.

Marta retourne dans sa maison.

— Et toi, poursuit Sarah, tu n'as pas de problème avec cela?

— Pas du tout, poursuis-je.

Marta revient avec des plats et les dépose sur la table. Nous nous levons pour aller la rejoindre et nous nous asseyons. Nous mangeons quelques sandwiches et salades. Je parviens tout juste à me calmer alors que nous continuons notre conversation.

Sarah me questionne beaucoup, elle veut tout savoir de moi, je lui raconte des faits de mon enfance, et la disparition de mes amis, puis la vie de plus en plus isolée.

— Tu as l'air d'être assez solitaire?

— Oui, sans doute. Mais je ne trouve pas beaucoup de monde avec lequel je m'entends. Avant, j'avais plein d'amis et d'amies dans le quartier, mais tout le monde est parti. Alors, je n'ai plus personne. Enfin, maintenant, je vous connais, c'est bien. Nous pouvons passer du temps ensemble.

— Vraiment? Nous sommes flattées, un jeune garçon qui préfère notre compagnie à celle de jeunes de son âge... J'espère que nous pourrons passer de bonnes vacances ensemble, ajoute encore Marta. C'est vraiment très agréable de t'avoir parmi nous.

Je suis aussi content et flatté. Ces femmes adultes m'aiment bien et me trouvent sexy. Cette fois, il faut que j'essaye. Il faut que je sache comment c'est de me retrouver nu en face d'elles. J'aurais voulu qu'il n'y ait que Marta, mais je ne sais quand cette opportunité pourra se retrouver.

— J'ai chaud, est-ce que je peux encore aller nager?

— Mais bien sûr, me répond Marta.

Elles me regardent me lever et marcher vers la piscine. Je laisse la serviette près du sofa et m'éloigne un peu en ne leur montrant que le dos. Mon sexe vient de sortir de mon maillot, ce sera plus facile pour ce que je veux faire. Je m'éloigne un peu sur la largeur pour courir et plonger. Cette fois, j'ai bien calculé mon coup, je sens mon slip se retirer complètement et même descendre sous les genoux. Je prétends ne pas m'en rendre compte et continue à nager un beau crawl en bougeant tout mon corps. J'effectue une bonne vingtaine de longueurs. Ce n'est pas tellement car la piscine ne fait pas 15 mètres de long. Et à chaque fois je fais un beau cumulet contre le mur pour me propulser, comme en compétition. Je me sens bien. Je vais vers le bord là où elles sont.

— Tu nages bien, me dit Sarah.

— Merci. Vous ne voulez pas vous baigner?

— Bien sûr, dit Sarah en se levant, c'est une excellente idée.

Je regarde vers le bas. Mon slip n'est plus du tout accroché à ma cheville, je suis entièrement nu. Je regarde autour de moi. Je ne vois rien. Rien du tout. Je passe ma tête sous l'eau et scrute partout, je ne vois rien. C'est un slip bleu clair, difficile à localiser dans la piscine. J'aurais dû mettre mon slip rouge, je l'aurais vu plus vite. D'excité, je deviens paniqué. Je nage vers l'autre bord, la tête sous l'eau à la recherche de mon slip. Un remous, je tourne la tête et aperçois Sarah qui vient de plonger et qui me rejoint. Elle arrive à ma hauteur et s'accroche à moi.

— Tu as raison, elle est bien bonne. Mais? Qu'est-ce que tu as?

Un autre plouf, et Marta se retrouve derrière moi, elle vient aussi se placer mais dans mon dos. Pris en sandwich tout nu entre les deux géantes noires.

— J'ai perdu mon maillot, dis-je.

Elles regardent et voient que je suis totalement nu.

— Ce n'est pas grave, tu peux nager comme cela.

— C'est gênant.

— Mais non, ne t'en fais pas, cela ne nous dérange absolument pas.

Comme elles sont presque contre moi, je ne parviens pas à bouger. Je continue de regarder.

— S'il vous plait, laissez-moi retrouver mon maillot.

Elles sont debout sur le fond de l'eau, je dois flotter car je suis plus petit. Elles s'éloignent un peu et je nage pour trouver mon maillot. Elles doivent voir mes fesses qui sortent de l'eau. Je trouve cela très sexy finalement. Je cherche sans doute du mauvais côté, mais je ne le trouve pas. Elles cherchent avec moi.

— Ton maillot n'est pas dans la piscine. Comment l'as-tu perdu?

— Mais je ne sais pas, sans doute en plongeant, il a dû tomber de ma taille et comme je ne l'ai pas senti, il est parti. Je viens juste de m'en apercevoir.

— Il a sans doute été aspiré par le filtre, sentence Marta.

Elle nage jusqu'à une grille et regarde à l'intérieur.

— Je ne pourrai pas le voir, il est sans doute dans le filtre.

Elle sort de l'eau, superbe dans un maillot une pièce très sexy, tout noir brillant. Marta va plus loin et ouvre une trappe et descend dans un passage. J'attends. Sarah est près de moi et me soutient dans ses bras.

— Ne t'en fais pas, ce n'est pas grave.

— Si, réponds-je. Je n'ai rien à me mettre. J'avais laissé tout le reste chez moi.

— Allons, ce n'est pas si grave.

Elle me serre un peu plus contre elle. Je sens ses gros seins dans mon dos à travers le tissu élastique de son maillot. C'est trop fort. Je tremble de plaisir.

— Tu as froid? S'étonne-t-elle.

— Non.

— Mais tu trembles.

— Je sais, mais je n'ai pas froid, je ne sais pas.

Elle me serre un peu plus fort et m'embrasse sur la joue.

C'est comme une décharge électrique. Je suis nu dans une piscine et une belle femme de 45 ans m'embrasse. Elle me tient dans ses bras, et puis je vois apparaitre Marta qui sort du souterrain. Elle porte un petit truc en main. Après avoir fermé la porte elle vient vers la piscine.

— Je crains que ton maillot ne soit fichu, me dit elle en montrant des morceaux de tissu sales et déchirés. Mais ne t'en fais pas. Quand tu veux sortir de l'eau, tu me le dis.

Je suis embarrassé, et en même temps, c'est une sensation géniale, je suis tout nu avec deux belles grandes femmes noires. Après tout, je l'ai bien cherché. Je l'ai voulu, et maintenant je l'ai. Sarah me lache et je nage un peu. Marta plonge dans l'eau et vient me rejoindre.

— Tu n'es pas trop triste? Ta tutrice ne va pas être fâchée?

— Elle n'aime pas que j'abîme mes affaires. Si je lui dis ce qu'il s'est passé, elle va être furieuse.

— Elle ne le saura pas. Ecoute, demain elle rentre, elle ne va pas te demander tout de suite où est ton maillot. Tu m'as dit qu'elle partait en vacances. Elle en aura pour plusieurs semaines, sur ce temps-là, nous aurons trouvé une solution, je pourrai te trouver un maillot identique.

— Merci Marta, dis-je. Vous êtes très gentille.

Sa cuisse touche mon sexe. Quelle sensation, même sous l'eau. Elle ne doit pas s'en rendre vraiment contre car elle reste ainsi contre moi. Elle est debout dans le fond et je me fais flotter par des mouvements de pieds et de bras qui me portent tout le temps sur elle. Sarah vient nous rejoindre et elle se place derrière moi. Elle me ceinture à la taille et me tient contre elle. Mon sexe est tellement grand qu'il touche sans arrêt ses poignets. C'en est trop, je ne parviens plus à respirer tellement je suis excité. Je ne perçois plus rien. Où cela va-t-il se terminer?

— Et bien, tu en fait une tête, me dit Marta en me regardant de tout près. Tu n'es pas bien?

— Ca va, réponds-je d'un drôle de voix, en m'étranglant presque.

— Allons, ne t'en fais pas, la perte d'un slip n'est pas si grave.

Je n'ose pas lui répondre que ce n'est pas ça. Que c'est elle qui m'excite en me prenant ainsi dans ses bras. Que mon sexe touche les poignets de son amie, que ses gros seins sont écrasés dans mon dos. Elle s'approche encore, me prend dans ses bras et m'embrasse sur les joues.

— Ne t'en fait pas, tout s'arrangera.

Elle me prend des bras de Sarah, je me retrouve dans les seins, elle me soutient par les fesses, un peu sur le côté. Alors, elle me porte de l'autre côté de la piscine, à l'endroit qui fait face à la terrasse. Sarah sort de l'eau et elle me pousse vers elle. Puis, elle sort. je suis tout nu dehors entre les deux femmes. Elles me mènent aux sièges et Marta me donne une serviette. Je la ceins rapidement à la taille. je ne sais pas si je me sens mieux, mais un peu soulagé.

Les deux femmes se sèchent et enfilent un peignoir en éponge. Puis, elles me mènent à la table et m'offrent un verre de limonade.

— Tiens, remets-toi de tes émotions.

— Merci.

Je m'étrangle pratiquement. Incapable d'avaler correctement. Sarah me frappe un peu dans le dos puis me masse la cage thoracique. Je me sens mieux.

— Ne vas pas trop vite. Tu as tout ton temps.

Je reviens un peu à moi. De me retrouver caché par la serviette me fait reprendre du poil de la bête. Je repense à tout ce temps tout nu, dans leurs bras, des caresses, des seins... Je regrette. J'aimerais retrouver les sensations. Je m'assieds et desserre légèrement la serviette, pour sentir un rien plus ma sensation de nudité totale dans la piscine.

— Tu devras venir chez moi, me propose Sarah, tu sais j'ai un jacuzzi.

— Oh? Je n'ai jamais fait cela.

— Il faudra que tu essaies. Tu pourras venir demain matin?

— Oui, avec plaisir. Où est votre maison?

— Au numéro cinq. C'est deux maisons après celle de Marta.

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