L'homme à la Moto

BÊTA PUBLIQUE

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Maman est embarrassée et honteuse, des larmes se forment dans le coin de ses yeux, puis commencent à couler sur ses joues. Tout le monde les voit, mais personne ne croit vraiment que ce sont des larmes de tristesse.

Ce n'est pas confortable pour ses jambes de pendre dans le vide. Elle voudrait les lever, mais elle a peur que son mari sache qu'elle désire Léon. Heureusement, Léon attrape ses jambes, les lève pour les poser sur ses épaules.

Dans cette position, ses hanches se soulèvent un peu chaque fois qu'elle reçoit un impact. Léon s’efforce de coulisser sur toute sa longueur, pour bien montrer aux autres son engin de concours qui s’enterre bien à fond dans la chatte de maman. Souriant, Léon massacre gentiment les mamelons de maman pour la faire couiner un peu plus.

Le visage du père est cramoisi, apoplectique, mais il se rassied en silence. Léon a l’impression qu’une légère buée stagne sur le front de papa. Assis là, il ne peut plus voir la bite de Léon étirer la chatte de sa femme. Il voudrait se lever, mais il ne veut pas passer pour un voyeur devant tout le monde.

Sandra surprend Léon en se penchant pour mieux voir la pénétration. Léon lui sourit, mais elle ne le regarde pas. Sandra est triste et jalouse. Elle voit bien que sa mère profite et savoure la grosse bite de Léon.

Elle connaît cette sensation si particulière que procure la grosse bite de Léon, les parois de la chatte distendue qui s’accrochent à la bite quand elle ressort, ce sentiment de vide quand il se retire, ce sentiment de plénitude quand il s’enfonce jusqu’au bout.

Peut-être plus tard, quand papa ne sera pas là, entre femmes, elles pourront avoir une conversation, échanger leurs impressions, si maman le veut. Sandra debout pour mieux voir, procure à papa l'excuse dont il a besoin pour se lever. 

Maintenant, il peut distinguer en détail les lèvres de la chatte étirées par cette énorme bite. Il bouillonne d’indignation et de jalousie. L'expression du visage de maman, la façon dont elle se tortille, indique clairement qu’elle apprécie l’instant.

Mais il ne peut pas dire un mot. Pas maintenant, ni plus tard, en vertu des accords passés précédemment. Si on ne peut pas en parler pendant le repas, on ne pourra pas non plus en parler plus tard. C’est la loi familiale.

Donc, les femmes sont tranquilles, si le père se tait maintenant, il ne pourra pas les accuser plus tard. Elles peuvent se faire baiser ouvertement, profiter, c’est la règle qu’il a lui-même établie, elle se retourne contre lui.

Parce qu'il s’est déjà vidé les bourses dans le vagin de Sandra, Léon peut tenir plus longtemps. Il aimerait que maman exulte. Il sent qu'elle en a besoin. Mais elle voit son mari et sa fille debout, qui la regardent. Sa gêne et sa honte l'empêchent d'arriver, malgré le merveilleux pénis qui besogne sa chatte d'une manière qu'elle n'a jamais connue.

La mère est confuse. Pourquoi se lèvent-ils ? Pour avoir une meilleure vue ? Silence total dans la pièce à l'exception des doux gémissements de la mère, et des bruits humides de piston que sa chatte émet. Tout le monde attend pour savoir si maman atteint son point culminant qui précède la douce agonie.

C'est vraiment troublant pour papa, car malgré sa jalousie et sa colère, et son incapacité à faire quoi que ce soit pour empêcher ce salopard de baiser sa fille et sa femme, il a une érection qui enfle son pantalon.

D'une manière ou d'une autre, tout le monde souhaite que maman exulte et que la séance se termine enfin. Léon accélère son mouvement, maman ne retient plus ses cris, papa réajuste son engin à l’étroit dans son pantalon, Sandra glisse sa main entre ses cuisses.

Il y a un air d'attente dans la pièce. Chacun s’agite à sa manière. Se sentant comprise, voire soutenue, maman se laisse aller. Enfin. Ses mains s’accrochent aux poignets de Léon, tandis qu’il triture ses nichons.

Et puis l’instant arrive, ses jambes tremblantes glissent des épaules de Léon. Tout son corps est secoué de soubresauts. Même à cet instant, elle ne perd pas la tête et reste silencieuse. Dans un effort intense, elle soulève ses épaules de la table et attire son amant noir contre elle.

Maman tend ses lèvres à l’homme qui l’a si bien baisée, qui l’a si bien fait jouir. Reconnaissante, elle ne se cache plus pour montrer son bonheur. Devant son mari et sa fille, c’est le meilleur orgasme qu’elle n’ait jamais connu, et il ne peut pas rester caché. Elle le remercie en l’enlaçant fermement contre elle, en l’embrassant à pleine bouche, et avec ses hanches qui s’agitent pour récolter les dernières gouttes de semence de cette bite merveilleuse.

Papa ne dit pas un mot. Il a dicté les règles, il respecte les règles. Pas question de faire la vaisselle ! Léon sourit à maman. Elle le regarde dans les yeux, un regard émerveillé et amoureux.

Sandra comprend ce qui se passe. Le père aussi, mais de manière plus confuse. Il n’a pas l’expérience de Sandra, ne connaît pas les sensations que procurent l’énorme bite de Léon.

Maman gémit à nouveau lorsque Léon se retire. Son pénis est toujours dressé, et papa ne quitte pas des yeux l’énorme et menaçant pénis luisant qui se balance dans le vide, à la recherche d’un orifice à combler.

Tout à coup, un éclair illumine la pièce, accompagné d’un fort coup de tonnerre, et une rafale de vent secoue les vitres. L’orage gronde, il va pleuvoir.

Léon pense : «merde, ma moto» alors il sort le pot de vaseline de sa poche.

Papa, qui ne quitte pas Léon des yeux, se méprend sur son geste et se met à hurler :

«Ça suffit, arrêtez vos conneries, je vais la faire, cette putain de vaisselle !»

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
excellent

tres bien

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Très drôle cette histoire !

Bien apprécié. Merci.

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