L'été de mes 18 ans 23

Informations sur Récit
L'éducation de Philippe.
1.4k mots
3.91
13k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 23 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Joséphine était partante pour dévergonder Philippe. Nous mîmes au point un plan avec la complicité de Clotilde. Elle devait rendre visite à sa mère un week-end, laissant Philippe seul. Nous lui avions recommandé de se refuser à lui pendant deux semaines avant son départ pour qu'il ait très envie.

Philippe, qui ne savait pas trop cuisiner, aimait aller diner dans une pizzeria juste à côté de leur logement. Comme par hasard, j'entrai dans la pizzeria alors qu'il commençait son repas. Je portais une robe très courte qui dévoilait mes jambes nues. Il me regarda approcher, une lueur dans le regard. Connaissant sa timidité, je lui demandai carrément si je pouvais m'asseoir à sa table. Il accepta l'air un peu gêné. Nous dimâmes en devisant de choses et d'autres. Je profitai qu'il regardait la carte des desserts pour mettre un peu de liquide dans son verre : il s'agissait d'un aphrodisiaque puissant que Joséphine s'était procuré auprès d'un sexologue qu'elle connaissait. Après le café, je vis dans son regard que l'effet commençait à se faire sentir. Effectivement, lorsque nous nous levâmes, je vis une grosse bosse déformer son pantalon. Comme il était très gêné, je fis mine de n'(avoir rien remarqué.

Comme par hasard, je me heurtai à Joséphine en sortant de la pizzéria.

« Ben alors, me dit-elle, quelle chance de te revoir. Cela fait au moins un an que je ne t'ai pas vue. »

Nous nous mîmes à papoter tout en marchant et arrivâmes bientôt devant l'immeuble où se trouvait l'appartement de Philippe et Clotilde.

« Heu, cela vous dérange si Joséphine monte un moment? Il y a si longtemps que je ne l'ai pas vue! »

« Non, pas du tout », dit Philippe qui trouvait manifestement Joséphine encore plus à son goût que moi.

Arrivés dans l'appartement, nous allâmes nous asseoir dans le canapé, tandis que Philippe allait chercher des verres et une bouteille à la cuisine. En bavardant autour d'un verre, Joséphine s'arrangea pour verser une deuxième dose de l'aphrodisiaque dans le verre de Philippe. Celui-ci avait manifestement de plus en plus chaud. Je fis un clin d'œil à Joséphine qui se rapprocha de moi et posa sa main sur ma cuisse. Puis elle approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa. En même temps, sa main remontait sur ma cuisse, entrainant le tissu de la robe. Je n'avais pas mis de culotte. Du coin de l'œil, je vis que Philippe ne perdait pas une miette de notre manège et de la vue que je lui offrais sur mon sexe.

Prétextant une envie urgente, j'abandonnai Joséphine et Philippe. En fait, je n'allai pas jusqu'aux toilettes, mais restai dans le couloir pour assister aux manœuvres de Joséphine. Celle-ci, qui portait comme toujours un pantalon et un t-shirt, eut tôt fait de faire glisser ce dernier par-dessus sa tête. Puis elle s'approcha de Philippe. Celui-ci, les yeux exorbités, resta sans réactions lorsqu'elle posa sa main sur la bosse qui déformait son pantalon. Elle se mit à l'embrasser tout en faisant glisser le zip du pantalon. Puis elle glissa sa main dans son caleçon et sortit son sexe et je n'en crus pas mes yeux : il était vraiment énorme, Philippe était un vrai étalon. Elle se mit à le branler doucement, puis sentant qu'il ne pourrait se retenir longtemps, elle prit le gland dans sa bouche et le suça. Philippe se mit à râler et déchargea. Joséphine avala la copieuse éjaculation. C'est le moment que je choisis pour revenir. Joséphine me dit :

« Je n'ai pas pu m'empêcher, excuse-moi! mais rassure-toi, il a des ressources! »

Effectivement, Joséphine continuait à le branler doucement et Philippe ne débandait pratiquement pas. Elle me dit :

« Tu le veux en toi? Alors mets-toi à quatre pattes et je vais te préparer car il est très gros. »

Je lui obéis et me mis à quatre pattes. Tout en continuant à branler Philippe doucement, elle se mit à me lécher les fesses, puis le sillon et enfin le minet. Puis elle glissa deux doigts, puis trois en moi qu'elle fit aller et venir. Sentant mon envie, elle approcha le sexe de Philippe de ma croupe et fit glisser le gland le long de ma fente avant de le mettre en position. Philippe me prit les hanches et poussa fermement. Je me mis à gémir en sentant son sexe distendre ma chatte, je poussai même quelques cris, mais cela ne l'empêcha pas de m'enfiler son engin tout au fond. C'était une sensation totalement différente de celle que j'avais ressenti avec Charles qui avait un sexe plutôt mince et pas très long. Là, je me sentais vraiment remplie et possédée entièrement. Il se mit à aller et venir de plus en plus vite, ce qui m'arracha plusieurs râles de plaisir.

Mais Joséphine avait aussi envie de cet énorme pieu. Elle sortit le sexe de Philippe de ma chatte et, après avoir donné quelques coups de langue au gland violacé, elle me fit allonger sur la moquette, se mit à quatre pattes au-dessus de moi en position inversée et plongea sa tête entre mes cuisses. De la main elle tira Philippe pour qu'il se positionne derrière elle. J'avais sous les yeux le minou de Joséphine et le gland de Philippe qui s'approchait. Je le pris quelques instants dans ma bouche, éberluée qu'un engin pareil ait pu me pénétrer, puis je le positionnai contre le sexe de Joséphine et fit pénétrer le bout du gland, ce qui arracha un cri à Joséphine. Elle était encore plus étroite que moi et je me dis que l'action serait difficile. Mais Philippe se mit à pousser par petits coups, se retirant lorsqu'il sentait trop de résistance et réinvestissant la place ensuite. Il finit par enfoncer les trois quarts de son sexe en elle. Sentant qu'il ne pourrait aller plus loin, il se mit à aller et venir.

C'était un spectacle très excitant de voir le pieu de Philippe s'enfoncer avec de plus en plus de facilité dans le minou béant de Joséphine et d'entendre les bruits de succion. D'une main je me caressai le minou et de l'autre je promenai alternativement mes doigts sur les bourses de Philippe et je titillai le bouton de Joséphine qui gémissait de plus en plus fort. J'entendis Philippe ahaner et je devinai qu'il était en train de se vider dans la chatte de Joséphine. A peine s'était-il retiré que je collai ma bouche sur son minou, l'amenant à l'orgasme tout en dégustant le sperme de Philippe qui avait un gout exquis.

Nous allâmes ensuite nous rafraichir à la salle de bains, Joséphine et moi, tandis que Philippe récupérait un peu. Quand nous revînmes, il était avachi dans le canapé, le sexe encore à demi dressé. Nous nous agenouillâmes devant lui et nous mimes à lécher son gourdin et ses bourses. Il ne tarda pas à reprendre du volume. J'étais à nouveau très excitée devant cette superbe queue. Joséphine s'en rendit compte en passant sa main entre mes cuisses. Elle me dit :

« Tu le veux, hein? vas y, empale-toi sur lui! »

Je n'hésitai pas longtemps et l'enjambai, descendant lentement sur son pieu, tandis que Joséphine le suçait. Je la sentis écarter mes fesses et amener le gland contre ma vulve. Elle le frotta un moment puis le poussa en moi. Je gémis en retrouvant la même sensation de plénitude. Je me mis à le chevaucher laissant son sexe me prendre tout au fond. Puis je sentis Joséphine qui écartait mes fesses et qui glissait un doigt, puis deux dans mon petit trou. Je gémis plus fort. Joséphine continua à doigter mes fesses, puis elle approcha sa bouche de mon oreille qu'elle mordilla en me murmurant :

« Tu veux qu'il te prenne par là? »

« Oh non, il est bien trop gros! »

« Tsss, tu vas voir! »

Elle sortit le sexe de Philippe de ma chatte trempée et le pointa sur ma corolle. Philippe me prit aux hanches me forçant à descendre. Je poussai un grand cri en sentant son gourdin s'immiscer entre mes fesses. La douleur était très forte, mais je n'étais pas en position de résister. Centimètre par centimètre, le sexe de Philippe s'enfonça dans mon anus. Je sentis bientôt ses bourses contre mes fesses, signe qu'il était au fond. Je restai un long moment immobile pour laisser la douleur s'estomper, puis je me redressai doucement avant de redescendre m'empaler. Au bout de quelques va-et-vient, je commençai à y prendre goût, d'autant plus que Joséphine était collée contre mon dos et avait glissé sa main entre mes cuisses. Elle faisait rouler mon bouton entre ses doigts et je gémissais sans discontinuer. Philippe m'avait pris aux hanches et me forçait à la chevaucher de plus en plus vite. Il haletait de plus en plus fort et je sentis bientôt son sperme m'inonder le cul ce qui déclencha aussi mon orgasme.

Nous étions tous les trois exténués et nous endormîmes dans le lit conjugal.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
super

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