L'été de mes 18 ans 21

Informations sur Récit
Claire étudiante.
1.8k mots
4.27
15.5k
2
0
Récit n'a pas de balises

Partie 21 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

L'été de mes 18 ans (21)

Le baccalauréat en poche, je décidai de m'inscrire en Lettres modernes à l'université. Je ne souhaitais pas rentrer tous les soirs chez papa et maman afin de bénéficier de davantage de liberté et de pouvoir m'en donner à cœur joie. Je choisis donc la ville de D**** qui se situait à plus de 400 km. J'expliquai à mes parents que la faculté de Lettres était très réputée et que cela était mieux pour mon avenir. Etant donné les revenus de mes parents, je n'étais pas prioritaire pour obtenir une chambre en résidence universitaire. Je me mis donc à la recherche d'une chambre chez des particuliers. Je dénichai assez rapidement une chambre dans une maison bourgeoise de la banlieue chic. Dès ma première visite, je sus que c'était un bon choix : Philippe et Clotilde Klein étaient des bourgeois d'environ 40 ans, plutôt sympathiques. De plus, je trouvai tout de suite Clotilde à mon goût et je me dis que cela mettrait aussi un peu de piment dans leur vie de couple. En effet, ils avaient l'air de deux cathos plutôt coincés. Je m'installai rapidement car la rentrée approchait.

Les premières semaines passèrent rapidement. Nous n'avions jusqu'alors échangé que des banalités, Clotilde et moi lorsqu'un après-midi, je décidai de prendre une douche en rentrant de la fac. Un peu tête en l'air, j'oubliai de mettre la targette à la porte de la salle de bains. Je retirai ma culotte lorsque la porte s'ouvrit et que Clotilde entra. Elle sursauta en me voyant nue et rougit :

« Oh excusez-moi, je croyais que c'était libre! »

« Il n'y a pas de mal », dis-je, « et je suis fautive ; j'ai oublié de mettre la targette. »

Je vis qu'elle me regardait des pieds à la tête et que cette vision la troublait. Il faut dire que je n'avais rien fait pour cacher ma féminité et qu'elle avait sous les yeux mes seins qui avaient pris du volume ces derniers mois ainsi que mon minou toujours aussi dénué de pilosité. Au bout de quelques instants, elle quitta la pièce. Je me dis que c'était à moi à provoquer un peu les choses.

Je savais qu'elle prenait toujours une douche le matin très tôt, dès que son mari était parti au travail. Deux jours après qu'elle m'eut vue nue, je l'entendis entrer dans la salle de bains. J'entrouvris ma porte de chambre et je n'entendis pas le bruit de la targette. Saisissant l'occasion, j'attendis quelques instants puis me dirigeai vers la salle de bains, vêtue de ma petite nuisette très courte et un peu transparente. J'ouvris la porte : Clotilde, entièrement nue, enjambait justement la baignoire. Elle sursauta et resta comme tétanisée. Cela me laissa le temps de détailler son corps superbe. Elle avait une poitrine opulente, des seins en poire comme je les aimais et un minou brun très fourni.

« Oh je suis vraiment désolée! Je ne savais pas que vous étiez là. »

« Eh bien moi aussi, j'ai oublié de mettre le verrou », dit-elle en rosissant.

« Vous avez vraiment un corps superbe, vous ne faites pas du tout votre âge! »

« Merci, mais vous exagérez! »

Elle prit un sein dans sa main et le souleva en disant :

« Je trouve qu'ils commencent à s'incliner ... et ils sont moins fermes », soupira-t-elle.

« Si vous voulez l'essayer, j'ai une crème raffermissante dans ma chambre! »

Je tournai alors les talons et retournai dans ma chambre. Je me demandai si Clotilde viendrait. Je commençai à perdre espoir lorsque l'on toqua à ma porte.

« Ah, entrez, je vous en prie! »

Elle entra un peu mal à l'aise et s'assit sur le rebord du lit. Elle portait un peignoir en éponge. Je sortis un pot de crème de mon tiroir et lui montrai :

« La voilà, je l'ai chipé à ma mère! Voulez-vous que je vous en mette un peu? Ce n'est pas pratique à faire toute seule, je trouve. »

Elle hésita un moment, puis elle écarta la ceinture de son peignoir qui s'ouvrit, découvrant ses seins somptueux. Je pris un peu de crème sur mes doigts et la déposai sur son sein gauche que je massai ensuite délicatement. Je fis de même avec son sein droit. Puis des deux mains, je massai ses seins sans négliger de caresser les pointes au passage. Ella avait de larges aréoles et des tétons assez gros. Je sentais qu'elle appréciait ce massage, elle respirait plus vite et je vis plusieurs fois ses yeux ciller. Devinant sa pruderie, il ne fallait surtout pas brûler les étapes, j'arrêtai mon massage.

« Si vous voulez, revenez demain matin, je vous en referai un autre. Il faut compter bien une semaine avant que les résultats soient visibles. »

« Ah Claire, merci beaucoup! C'était très agréable. Nous pourrions nous tutoyer et appelez-moi Clotilde! »

« Bien Clotilde! Je n'osais pas te le demander. »

Elle referma son peignoir et sortit. Je décidai de la faire attendre un peu. Les deux jours suivants, je partis très tôt à la fac et ne rentrai qu'à la nuit tombée. Le troisième jour, je me glissai dans la salle de bains et retirai ma nuisette. Je savais qu'elle ne tarderait pas à arriver. Effectivement, elle entra 2 minutes plus tard.

« Oh Claire, excuse-moi! »

« Oh de rien Clotilde, on est entre femmes! Je te fais couler un bain? »

Sans attendre sa réponse, je me penchai pour ouvrir les robinets. Je savais que, dans cette position, elle aurait une vue imprenable sur ma vallée. Je restais ainsi quelques instants pour ajuster la température de l'eau puis me retournai. Je vis à ses yeux que le spectacle ne l'avait pas laissée indifférente.

« Bon bain, Clotilde, je t'attends dans ma chambre pour le massage! ». Et je quittais la pièce. J'enfilai un T-shirt trop court et une culotte en dentelle ajourée. Je n'eus pas très longtemps à attendre. A peine dix minutes plus tard, Clotilde frappait.

« Entre et assieds-toi! Retire ton peignoir, ce sera plus pratique ».

Elle hésita à peine et l'ôta. Elle ne portait plus qu'une culotte en soie, certes jolie, mais terriblement démodée et pas du tout sexy.

Je m'assis à côté d'elle sur le lit. Mon T-shirt remonta, dévoilant ma culotte qui ne cachait pas grand-chose de mon minet. Je vis qu'elle le regardait et je commençai à enduire ses seins de crème, puis à les masser doucement. Comme la dernière fois, je n'hésitai pas à caresser les aréoles et les pointes qui étaient toutes dures. Elle était plutôt excitée, je le voyais à sa respiration saccadée. Je lui demandai :

« Dis Clotilde, tu veux bien enduire mes seins aussi? »

Je lui tendis le pot de crème et fis passer mon t-shirt par-dessus ma tête. Elle se mit à enduire et masser mes seins très doucement. Je la laissai faire un moment. Puis nous nous mîmes à bavarder de choses assez intimes.

« Dis-moi, tu aimes faire l'amour avec Philippe? »

Elle rougit, puis m'avoua que cela était de plus en plus rare et qu'en général, elle n'en retirait pas beaucoup de plaisir car il était trop brutal et ne la caressait jamais longtemps. Ces derniers temps, il ne lui faisait presque plus l'amour et elle se sentait vieille. Je lui fis à nouveau des compliments sur son corps, puis lui demandais si elle faisait ce qu'il fallait pour exciter un peu son mari. Elle me regarda perplexe.

« Par exemple, mets-tu des dessous un peu coquins? Et puis tu devrais élaguer un peu ton minet, il y a bien trop de végétation! »

« Ah bon, tu crois? »

« Retire ta culotte, Clotilde et je retire la mienne. Nous allons comparer et tu me diras quel minet tu préfères. »

Je fis glisser ma culotte te après un instant d'hésitation, elle fit de même.

« Mon Dieu, Clotilde, regarde-moi cette jungle! », dis-je en passant ma main dans sa toison brune. Puis je lui pris la main et la posai sur mon minet?

« Vas-y, touche! Alors, quel minet préfères-tu?

« Ah Claire, le tien, bien sûr! », dit-elle en soupirant. Je continuais à passer ma main dans sa fourrure et je la sentais de plus en plus troublée.

« Bon voilà ce que tu vas faire : je te laisse deux jours pour raccourcir ton gazon le plus possible avec des ciseaux et nous comparerons à nouveau. Tu veux bien?

Elle accepta et elle sortit après avoir remis sa culotte et son peignoir.

Le surlendemain matin, j'étais à nouveau nue dans la salle de bains lorsqu'elle entra. Elle s'approcha de la baignoire et ouvrit les robinets. Puis elle retira son peignoir : elle était nue. Je vis de suite la différence. Elle avait taillé sa toison très court et j'apercevais maintenant très nettement ses grandes lèvres qui étaient assez proéminentes.

« Ah oui Clotilde, je préfère ainsi, ton minet est vraiment ravissant. C'était vraiment dommage de ne pas le voir! »

Elle rougit et pour masquer son trouble, elle s'assit dans la baignoire. Je lui proposai de la rejoindre pour discuter un peu. Elle accepta et je m'assis en face d'elle en repliant les jambes et en les entourant de mes bras. Je vis qu'elle fixait intensément mon minet tout lisse.

« Alors, comment te sens-tu ainsi? », lui demandai-je.

« Oh euh, c'est très troublant de tondre sa toison comme ça. »

« Oui, Cela t'a excitée? Je parie que tu t'es caressée! »

Elle rougit comme une pivoine et baissa les yeux. Profitant de son trouble, je m'agenouillai entre ses jambes. Je me penchai pour contempler son minet et vis que ses lèvres étaient toutes gonflées. Je posai ma main sur sa cuisse gauche et remontai doucement. Lorsque ma main atteignit son pubis, elle frémit, mais ne dit rien. J'en profitai pour effleurer ses lèvres et les écarter. Je les palpai délicatement et sentis très vite une protubérance à leur sommet. Je jetai un œil, étonnée :

« Mon Dieu, Clotilde, quel gros bouton tu as! Assieds-toi sur le rebord, il faut que je vois cela de plus près. »

Elle obéit et j'ouvris ses cuisses, puis j'écartai délicatement ses grandes lèvres. Son clitoris était gros comme mon petit doigt et faisait plus d'un centimètre de long. Ne pouvant résister à la tentation, j'approchai ma bouche et lui donnai quelques coups de langue. Je la sentis frémir. Je posai alors ma bouche sur son sexe et me mis à suçoter doucement son bouton. Je l'entendis respirer de plus en plus fort et gémir. Son bassin se mit à tressauter tandis que je la suçais de plus en plus fort. Terrassée par un fabuleux orgasme, elle poussa un grand cri.

« Ah là là Claire! Je n'ai jamais rien ressenti de pareil. J'en suis toute chamboulée. »

« Eh bien, il faudra recommencer alors! Et je te montrerai comment me caresser aussi. »

Nous sortîmes rapidement du bain et nous séchâmes, car son mari n'allait pas tarder à rentrer. Je l'embrassai sur les lèvres avant de regagner ma chambre.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Mes 2 Voisines 01 Nathie découvre le vrai visage de ses 2 voisines.
Soirée au Club De jeunes femmes subissent la loi des matrones.
Julie Découvre Le Facesitting Julie découvre le plaisir de dominer et devient accro.
Addiction à la Fessee Une jeune mariée découvre le plaisir de la fessée.
Un Vieux Couple Un vieux couple séduit un étudiant naïf pour le plaisir.
Plus d'histoires