L'été de mes 18 ans 20

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Entre Marianne et Joséphine 2.
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Récit n'a pas de balises

Partie 20 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Les vibrations se répercutaient dans ma vulve où elle continuait de me pénétrer de plus en plus vite. Je hurlai et jouis comme une folle. Après une pause, elle ôta sa ceinture et me dit :

« Tu veux en essayer un? Va le choisir, alors! »

J'allai à la commode et me décidai pour un gode ceinture qui ressemblait à s'y méprendre à un vrai pénis. Je le mis en place. D'elle-même, Joséphine se mit à quatre pattes et me tendis sa croupe rebondie. De ses deux mains, elle écarta ses fesses, me présentant très impudiquement toute sa vallée.

« Quel trou préfères-tu? », lui demandai-je, indécise.

« Les deux! », me répondit-elle d'une voix rauque.

Je pris le phallus en latex entre mes doigts et le positionnai à l'entrée de sa vulve, puis je poussai un grand coup. Elle gémit. Je me mis à aller et venir rapidement, la faisant crier de plus en plus. En même temps mon pouce se mit à jouer avec sa rosette, puis je le fis entrer, lui arrachant un grognement de satisfaction.

« Prends-moi dans les fesses! » m'intima-t-elle.

Je lui obéis. Tandis que je besognai son anus, je vis qu'elle se caressait le minou de sa main. Je sentis ses fesses se tendre de plus en plus puis elle jouit en criant. Nous étions toutes deux épuisées par le plaisir et je la quittais en promettant de lui faire signe. J'en avais très envie car elle m'avait confié avant de partir qu'elle aimant beaucoup les rencontres à plusieurs et j'avais très envie de dévergonder Marianne. Dès le lendemain, j'appelai cette dernière en lui disant que j'avais une surprise pour elle. Je lui demandai de laisser sa porte ouverte le soir même, de mettre un bandeau sur ses yeux et de m'attendre, assise sur son canapé, seulement vêtue d'une nuisette.

Joséphine et moi, nous arrivâmes chez Marianne vers 20h. A l'interphone, je lui demandai si elle était prête. La porte n'était pas verrouillée. J'entrai la première. Marianne attendait sagement sur le canapé. Comme je lui avais demandé, elle portait une nuisette très légère et quasi transparente et un bandeau sur les yeux. Je l'embrassai fougueusement en caressant sa fabuleuse poitrine très vite dressée. Puis, je l'abandonnai un instant en prétextant un besoin urgent et je fis entrer Joséphine. Celle-ci fut tout de suite séduite par Marianne, sa poitrine et sa tenue. Je fis glisser les bretelles de la nuisette et ce fut Joséphine qui se mit à agacer ses seins de la langue, avant de téter longuement les pointes. Marianne se mit à soupirer de plus en plus bruyamment. Puis je la fis lever et se mettre à genoux sur le canapé, nous tournant le dos. Je relevai sa nuisette, caressai ses fesses en les écartant légèrement. Joséphine regardait, conquise par ce qu'elle voyait. Je lui laissai la place et elle se pencha pour embrasser goulûment les fesses de Marianne avant de laisser sa langue errer dans son sillon, titiller son bouton et sa rosette.

J'en profitais pour me dévêtir, puis je m'attaquai aux vêtements de Joséphine qui se retrouva bientôt nue également. Je me plaçai derrière et me mis à caresser ses fesses avant de laisser glisser ma main dans son sillon. Elle était trempée. Tandis que je la doigtais, j'entendis Marianne gémir :

« Mon Dieu, que tu es gourmande aujourd'hui. C'est encore pire que d'habitude! »

Joséphine sentit que Marianne n'allait pas tarder à jouir. Elle détacha sa bouche de son minou et se contenta de lui donner des petits coups de langue afin de faire durer le plaisir. Marianne gémissait maintenant sans discontinuer et poussait de petits cris à chaque coup de langue. Quant à moi, j'avais glissé deux doigts dans le sexe de Joséphine et un doigt dans son anus et j'allais et venais à un rythme soutenu. Je me penchai à l'oreille de Joséphine et lui murmurai :

« Vas-y, fais la jouir! »

Joséphine colla à nouveau sa bouche sur le sexe de Marianne qui se cambra encore plus. Elle se mit à crier comme une folle en donnant des coups de cul et s'effondra sur le canapé, terrassée par un orgasme puissant. J'accélérai mes caresses et Joséphine jouit sans pouvoir retenir ses gémissements. Marianne demanda, perplexe :

« Mais qui est là? »

Je lui retirai son bandeau et lui dis :

« Je te présente Joséphine, tu as aimé ses caresses? »

Marianne rougit, très troublée de s'être offerte ainsi totalement à une inconnue, mais Joséphine s'approcha d'elle et l'embrassa tendrement. Après un instant d'hésitation, elle lui rendit son baiser. Puis Joséphine lui demanda :

« Que dirais-tu de nous occuper de Claire? »

Marianne murmura quelque chose à l'oreille de Joséphine qui sourit. Puis elle s'allongea sur la moquette. Joséphine me fit coucher sur elle en 69. Marianne s'empara de mon minou. Pendant ce temps, Joséphine se plaça derrière moi en écartant mes jambes au maximum et elle se mit à titiller ma rosette de sa langue. Je sentis l'excitation grimper très vite sous les assauts de ces deux bouches gourmandes. Tandis que Marianne suçotait mes grandes lèvres, aspirait mon sexe dans sa bouche puis mordillait mon bouton, la langue de Joséphine pénétrait mon petit trou. Je me mis à gémir de plus en plus fort et je jouis dans un grand cri. C'est alors que Joséphine sortit de son sac un échantillon de ses godemichés en disant :

« Hmmm Marianne, avec lequel veux-tu que je te prenne? »

Marianne eut un moment d'hésitation, mais céda d'autant plus vite que Joséphine et moi, nous titillions ses tétons dressés.

« Euh... le noir là, s'il n'est pas trop gros! »

Joséphine mit en place sa ceinture avec le gros gode noir et tandis que je tétais les seins de Marianne, elle alla se placer entre ses cuisses. Elle prit le phallus de latex dans sa main et se mit à en frotter la vulve de Marianne toute trempée. Celle-ci se mit à respirer plus fort. Joséphine plaça alors le gode à l'entrée de son sexe et poussa doucement. Il y eut quelques instants difficiles car le sexe de Marianne était assez étroit, mais bien vite il s'adapta à la dimension de l'engin. Je me mis à agacer son bouton tandis que Joséphine accélérait sa cadence, pénétrant Marianne jusqu'au fond de son minet détrempé. Marianne gémissait maintenant sans discontinuer, je pinçai son bouton assez fort, déclenchant son orgasme.

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