L'été de mes 18 ans 15

« Oh mais cela te va à ravir. Tourne-toi, marche! Hmmm vraiment très joli! »

Elle s'étonna elle aussi de mon absence de pilosité et je lui racontai le même mensonge qu'à ma prof de bio. Elle me dit :

« Tu sais, ce n'est pas gênant, au contraire... surtout pour certaines caresses... »

Je fis celle qui ne comprenait pas et me rassit à côté d'elle sur le canapé. Je vis qu'elle avait déboutonné un peu son chemisier et j'apercevais ses seins en poire par l'échancrure. Surprenant mon regard, elle me dit :

« Tu veux voir mes dessous? Attends... »

Elle finit de déboutonner son chemisier et l'ôta. Puis elle se leva, dégrafa sa jupe et la fis glisser à terre. Elle portait une ensemble en dentelle noire : guêpière, culotte et bas fumés. Elle me demanda :

« Alors, dis-moi, qu'en penses-tu? Cela te plait? »

Je rougis et murmurai :

« Oh oui, madame, vous êtes très belle! »

« Allons tu peux me tutoyer, même si je pourrais être ta mère! Et mon prénom est Chloé. »

« Bien mada... euh bien Chloé! »

« Hmmm, tu sais que cela me fait des choses de te voir comme ça. Tiens touche! »

Elle prit ma main et la posa sur son mont de vénus. J'apercevais ses poils roux assez fournis à travers sa culotte presque transparente. Voyant que je ne retirais pas ma main, elle la fit aller et venir entre ses cuisses en poussant des soupirs.

« Ah, j'adore quand on me caresse là, pas toi? »

Et avant que je puisse répondre, elle posa sa main sur ma culotte et se mit à la faire aller et venir aussi. Je frémis.

« Cela te plait aussi, n'est-ce pas? Tu sais, le mieux est de retirer ta culotte, sinon elle va être toute mouillée. Je retire la mienne aussi, mais c'est déjà trop tard, regarde! »

Et elle me montra la tache sur le devant. Puis elle fit glisser sa culotte à terre, dévoilant son minou roux. Voyant que j'hésitai, elle saisit ma culotte par l'élastique et la fis glisser le long de mes jambes. Je l'aidais en soulevant un peu mes fesses. Elle contempla mon minou et dit :

« Très mignon, ce petit minet! On en mangerait! Et comment trouves-tu le mien? »

« Euh j'aime bien vos... euh tes poils roux... et tes lèvres! », dis-je en rougissant. Elle prit à nouveau ma main et la posa sur son sexe. Elle se mit à se caresser avec mes doigts, d'abord entre les poils, puis elle fit glisser mes doigts dans sa fente toute trempée. Je me mis à la doigter toute seule. Elle en profita pour faire jaillir ses seins de sa guêpière. Ils étaient vraiment superbes, allongés avec des aréoles assez foncées et des tétons fins et longs. Elle se mit à les presser et les faire tourner entre ses doigts en gémissant.

« Oh oui, Claire, c'est bon... Mets un troisième doigt... oui comme ça! »

Elle se mit à haleter. Elle posa alors sa main sur son sexe et se mit à frotter de plus en plus vite. Je ne pus résister et approchai ma bouche de son sein droit. Je me mis à sucer et à lécher son téton. Cela déclencha son orgasme. Elle jouit longuement en criant très fort.

« Oh merci Claire. Quel délice! A ton tour maintenant! Lève-toi s'il se plait! Approche et pose ton pied sur le canapé! »

J'obéis. Ma position dévoilait largement mes parties intimes. Elle se pencha alors et je sentis son souffle chaud sur mon ventre et mes cuisses. Puis sa langue se mit à fureter dans mon sillon. Elle lécha toute ma vulve avec des soupirs de contentement.

« Hmmm j'aime ton gout intime! Et ce minou tout lisse, c'est un vrai délice! »

Da sa main, elle écarta largement mes lèvres intimes et s'empara de mon minet qu'elle lécha et suça longuement, m'arrachant des gémissements de plus en plus bruyants. Sentant que je n'allais pas tarder à jouir, elle s'interrompit brutalement et se redressa.

« Cela te plait? Tu aimes que je te suce? »

« Oh oui, mais je t'en prie, continue! »

« Attends, je n'en ai pas fini avec toi! »

Elle m'entraina à nouveau dans sa chambre. Elle prit une cordelette dans un tiroir et me lia les mains qu'elle attacha ensuite à un anneau scellé dans le mur. Je sentis son souffle sur ma nuque, puis ses mains qui dégrafaient mon soutien-gorge. Elle passa ses mains sous mes aisselles et se mit à palper brutalement mes seins, m'arrachant un gémissement. Puis elle attrapa mes tétons et les tordis. Je gémis plus fort.

« Tu veux que j'arrête? », me demanda-t-elle. Très excitée, je répondis que non. Elle me lâcha soudain et je l'entendis fouiller à nouveau dans un tiroir. Elle revint avec une chainette munie de pinces à chaque bout. Elle mit les pinces à mes tétons, m'arrachant de nouveaux gémissements. Elle me fit écarter les jambes et appuya sur mes reins pour faire saillir ma croupe. Puis elle se mit à me fesser vigoureusement de ses mains. Je poussai des cris sous les coups. Mon derrière me cuisait de plus en plus, mais cela m'excitait aussi énormément. Lorsque mes fesses furent cramoisies, elle s'interrompit et je l'entendis ôter sa guêpière. Ensuite elle plaqua contre mon dos son corps nu à l'exception de ses bas. D'une main, elle se mit à tirer sur la chainette, étirant les pointes de mes seins. De l'autre main, elle se mit à fouiller brutalement mon minou, tirant sur mes lèvres et pinçant mon bouton. Je me mis à gémir de plus en plus fort et je sentis un orgasme fabuleux monter dans mes reins. Je hurlai mon plaisir. Elle détacha mes mains et je me laissai tomber par terre, épuisée.