L'été de mes 18 ans 14

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Les joies du travail.
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Récit n'a pas de balises

Partie 14 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Ce fut ma première journée dans l'entreprise « Confifruit ». J'avoue que j'avais beaucoup aimé et il me tardait de retourner au boulot! Le lendemain matin, je partis au travail d'un pas léger. Je portais une petite robe assez courte, mais j'avais oublié les indications de Mme Meyer. Mal m'en prit! Elle me fit venir dans son bureau et lorsqu'elle sentit que j'avais une culotte, elle me dit :

« Ah Claire, je n'aime pas cela du tout. Retire cette culotte tout de suite! Tu mérites un châtiment! »

Elle m'attira et l'allongea en travers sur ses cuisses. Elle arracha ma culotte. Avant que j'aie eu le temps de protester, elle se mit à me fesser vigoureusement. Je poussai quelques cris, mais pas très longtemps. D'abord ses coups étaient mesurés et puis cela m'excitait de me faire fesser comme une sale gamine. Mme Meyer s'en rendit compte quand elle glissa sa main entre mes cuisses et sentit mon minou trempé.

« Ah, petite coquine! Cela te plait, hein? Bon, alors je veux bien passer l'éponge pour cette fois, mais tu n'as pas intérêt à recommencer! Relève-toi et demande-moi pardon. Bien, mets-toi à genoux pour cela. »

Elle retroussa sa jupe, dévoilant son sexe trempé.

« Allez, lèche-moi... oui, Claire... oui c'est bon, continue! »

Je ne me fis pas prier et la léchais avidement jusqu'à ce qu'elle jouisse en m'inondant de ses liqueurs.

« Ah merci Claire, c'était divin! Dis-moi, es-tu libre demain soir? Bon, alors tu viendras diner à la maison vers 19h. Fais-toi belle et pas de dessous, bien sûr! Maintenant va au magasin et occupe-toi de la vente. »

J'obéis et rejoignis mon poste de travail. Je servis des clientes toute la matinée. L'une d'elle me fit des yeux doux. C'était une grande rousse assez pulpeuse et je dois avouer qu'elle me faisait saliver aussi. Elle me demanda si je pouvais lui livrer la marchandise chez elle le lendemain matin. Comme c'était samedi et que je ne travaillais pas, j'acceptais. Elle me tendit sa carte et je lus : « Chloe Bernier, dessinatrice. » Je promis de passer dans la matinée. En fin de matinée, Valérie vint me rejoindre pendant sa pause. Nous commençâmes à nous embrasser et à nous caresser, mais nous fûmes interrompues par l'arrivée d'une cliente. Valérie parvint à se cacher derrière le comptoir avant d'être vue. Tandis que je servais la cliente, elle se mit à caresser mes jambes nues en remontant toujours plus haut. Bientôt sa main atteignit mon pubis et se mit à aller et venir dans mon sillon. Je sentais l'excitation me gagner et j'avais de plus en plus de mal à me concentrer pour répondre à la cliente.

« Oui madame. Nous avons aussi la confiture de mirabelles en pots de 500 grammes... oui c'est plus avantageux. Vous pouvez la conserver plus d'un an, regardez la date de .... Ahhh... validité. »

Je n'avais pas pu retenir un râle lorsque j'avais senti la bouche de Valérie remonter le long de mes cuisses et se poser sur mon minou. La cliente commençait à me regarder bizarrement. Je crois qu'elle avait senti mon trouble. Heureusement elle avait terminé ses achats car je n'aurais pas pu me retenir plus longtemps sous les assauts de Valérie qui suçait mon bouton tout en me doigtant énergiquement. La porte était à peine refermée que je me mis à gémir et que je jouis en criant. Valérie se releva et me murmura :

« Suce-moi aussi, je t'en prie, j'ai trop envie! »

Je m'accroupis devant elle et relevant sa jupe d'une main, je me mis à lécher sa fente toute trempée. Elle se mit à donner des coups de cul en geignant et elle ne tarda pas à jouir.

« Ah merci Claire, c'était délicieux. Hélas, je dois retourner à mon poste. »

La journée se termina sans autres péripéties. Le soir, j'emportais chez moi les achats de Mme Bernier pour les lui livrer le lendemain matin. Elle habitait à quelques kilomètres de chez moi. Comme il faisait beau, je m'y rendis en vélo. J'avais mis une robe légère pas trop courte et des dessous sages. J'avais décidé de faire à nouveau l'ingénue, car ce rôle me plaisait beaucoup.

Je sonnais à la grille et Mme Bernier vint m'ouvrir. Elle portait une jupe longue et un chemisier échancré qui dévoilait la naissance de ses seins assez lourds.

« Ah bonjour! C'est vraiment gentil de me livrer. Entre! Je peux te tutoyer? Tu es si jeune... c'est quoi ton prénom? »

« Euh... Claire », murmuré-je d'un air timide. Elle m'entraina dans le salon et me servit un jus d'orange. Nous nous assîmes sur un canapé en cuir fauve et nous nous mîmes à papoter.

Ses questions devenaient de plus en plus indiscrètes et je répondais en rougissant et en hésitant.

« Alors, comme ça, tu n'as pas de petit ami... ni de petite amie? Moi, à ton âge, j'en faisais de belles... Jolie comme tu es... »

Elle s'était rapprochée de moi en parlant et avais posé une main sur mon genou découvert. Mine de rien, sa main remontait doucement, entrainant ma robe de plus en plus haut. Lorsqu'elle aperçut ma culotte en coton blanche, elle s'écria :

« Mon Dieu Claire, quels tristes dessous! Il faut faire quelque chose! »

Et elle me prit la main et m'entraina dans sa chambre. Elle ouvrit les tiroirs d'une grande commode et se mit à fouiller. Elle en sortit un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle blanche ajourée et me dit :

« J'ai acheté cet ensemble pour ma fille Isabelle, mais il ne lui plait pas. Je te le donne s'il te va. Tu n'as qu'à l'essayer. Appelle-moi quand tu es prête! »

Et elle sortit, me laissant seule. Je n'hésitai pas longtemps et troquai mes dessous contre ceux de Mme Bernier. Ils m'allaient parfaitement et étaient assez coquins, ne cachant pas grand-chose, ni les pointes de mes seins, ni mon pubis. Je passai la tête à la porte et appelai Mme Bernier. Elle me cria :

« Viens, je suis dans le salon! »

Je retournai dans le salon et m'approchai d'elle timidement. Elle s'écria :

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